Voici une suggestion pour la communion sur la langue, dans le rite tridentin.
Les communiants sont agenouillés au banc de communion.
L'acolyte qui place la patène sous le menton de chaque communiant, tiendrait dans sa seconde main une tasse remplie d'eau (éventuellement additionnée d'une goutte de désinfectant). Le prêtre y tremperait le bout de ses doigts (le pouce et l'index) chaque fois qu'il passe d'un communiant à un autre.

Churchmilitant n'est que du mauvais journalisme américain appartenant à la presse à scandales. Entièrement fondé sur le péché grave de médisance lucrative. A vomir. N'oublions pas que l'un des noms du diable est "l'Accusateur" (des âmes lors de leur jugement particulier devant Dieu). Je pense aussi à Bergoglio qui, lui, s'est fait l'accusateur des "rigides". J'ai entièrement confiance dans "les 3 clercs de la FSSPX", que j'ai connus à Bruxelles: entièrement dévoués au Sacerdoce et au bien des âmes, je suis certain qu'ils ont fait leur possible pour endiguer le mal. C'est ce que Churchmilitant ne semble pas comprendre ou cherche à dissimuler.

Pour étudier objectivement l'oeuvre de Don Bosco et la comprendre, il faut absolument écarter les analyses et les commentaires établis selon les critères modernistes-progressistes de Vatican II. Il faut se plonger dans le seul catholicisme romain d'avant 1963,qui est celui de l'histoire. Don Bosco appartient à cette chrétienté-là, avec son clergé en soutane, sa messe en latin, son catéchisme, ses dévotions. Pas à la fausse Eglise née de Vatican II. Aujourd'hui en 2020, les différences sont si grandes dans l'oeuvre salésienne, par rapport à la période d'avant 1963, que si Don Bosco revenait, il ne reconnaîtrait plus rien à l'oeuvre qui porte son nom (le réseau d'écoles des prêtres salésiens), tant celle-ci a été transformée et ruinée spirituellement depuis les années 60. La devise de l'oeuvre de Don Bosco était "Mon Dieu, donnez-moi des âmes; quant au reste, reprenez-le", ce qui illustrait la priorité absolue accordée au salut des âmes. Hélas, depuis le Concile, cette pastorale des fins dernières a presque disparu de l'Eglise conciliaire et des oeuvres salésiennes officielles.

Saint Jean Bosco témoigne dans sa biographie de Dominique Savio, avoir senti l'horrible puanteur du péché. Dans le récit du songe qu'il eut de l'au-delà, le 6.10.1876 à Lanzo, on lit: "...Savio tenait encore le 3e billet; on y lisait 'Lassati in via iniquitatis'. Là devaient figurer les noms de tous ceux qui vivaient dans le péché mortel. J'étais impatient de les connaître. Mais Savio me dit avec une certaine vivacité: 'Non, attendez un moment. Quand vous ouvrirez ce billet, il en sortira une puanteur que vous ne pourrez supporter. Les anges et l'Esprit-Saint lui-même sentent l'odeur du péché et l'ont en horreur...' Cela dit, comme s'il avait voulu fuir, il se retira au milieu de ses compagnons célestes. J'ouvris le billet. Il n'en sortit aucun nom, mais à l'instant je vis tous ceux qui s'y trouvaient... j'en reconnu la plupart, car ils étaient élevés à l'Oratoire ou dans d'autres collèges. J'en vis beaucoup qui passaient pour bons... mais on se trompaient. A peine eus-je ouvert le billet qu'il exhala une puanteur tellement insupportable que je crus en mourir... Cette puanteur pénétra jusque dans les murs et s'attacha si bien à mes vêtements que, longtemps après, je croyais encore la sentir. Même aujourd'hui, rien qu'en y pensant, j'ai des nausées et j'éprouve une envie de vomir."
Don Bosco n'était pas le seul à avoir senti l'odeur du péché (pas seulement dans ce songe, mais aussi au confessionnal): le saint curé d'Ars aussi, au confessionnal.