La Démocratie Maçonnique espagnole, ou plutôt la "monarchie constitutionnelle à l'espagnole", celle dont rêve monsieur Louis "XX", a interdit le Rosaire dans les rues de Madrid pour les jours de la grande Liturgie des Élections Européennes (pour la pourriture soviétoïde de l'"Union Européenne") car on ne peut servir publiquement et officiellement deux maitres à la fois. Soit le diable et son …Plus
La Démocratie Maçonnique espagnole, ou plutôt la "monarchie constitutionnelle à l'espagnole", celle dont rêve monsieur Louis "XX", a interdit le Rosaire dans les rues de Madrid pour les jours de la grande Liturgie des Élections Européennes (pour la pourriture soviétoïde de l'"Union Européenne") car on ne peut servir publiquement et officiellement deux maitres à la fois. Soit le diable et son prestige, soit Notre-Dame du Rosaire ! Il faut choisir, en privé... comme en public, n'en déplaise aux nostalgiques des catacombes. Les conciliaires ont choisi de s'effacer et d'abandonner la place publique aux adeptes de satan et les vrais catholiques tiennent bon. Honneur à eux en ces temps terribles ! Ils ont bien du courage, ces espagnols. Quand au Rosaire, s'il y a bien, après la Messe, un acte catholique public, c'est bien celui-là, depuis Lépante en 1571, victoire publique obtenues des prières publiques de toute la Chrétienté, jusqu'au pape saint Pie V. Vive le Rosaire, vive le Sacré-Coeur de Jésus, vive le Christ-Roi pas seulement des coeurs mais aussi des sociétés qui viendront à bout de tous leurs ennemis, malgré satan et ses adeptes, malgré les lâches et les veules*** !
*** "J’avais cru, en entrant dans la vie religieuse, que j’aurais surtout à conseiller la douceur et l’humilité; avec le temps, je vois que ce qui manque le plus souvent, c’est la dignité et la fierté !" (saint Charles de Foucauld, Lettre à Laperrine, 6 décembre 1915)