Le rapport en vue du synode homosexualiste allemand ne représente presque personne
Le nombre de catholiques allemands interrogés pour le synode se situe "dans la fourchette basse des pourcentages à un chiffre", indique le résumé de 13 pages des diocèses allemands publié vendredi.
Les compilateurs de ce rapport réclament des prédications laïques, des femmes comme ministres présidents, des laïcs officiant lors des baptêmes et des mariages, des services dans une langue [encore] plus simple, et l'élimination de la distance [inexistante depuis longtemps] entre la table des repas et l'assemblée.
Ironiquement, des groupes particulièrement privilégiés se sentent "marginalisés" dans l'église, dit le rapport : des hérétiques, des homosexuels et des adultères largement acclamés. On y déplore aussi que les femmes et les hommes mariés [et les nombreux autres qui ne sont ni appelés ni baptisés] soient "exclus" des fonctions ecclésiastiques.
Ironiquement, les questions sempiternelles des cinquante dernières années (pilules anti-maternité, avortement et pseudo-mariage homosexuel) sont qualifiées de "sujets tabous". Selon le rapport, les théologiens qui expriment ouvertement leur opinion sur des sujets tabous craignent la révocation de leur licence d'enseignement s'ils en parlent ouvertement. En vérité, l'hérésie est plus ou moins devenue une condition préalable pour devenir évêque ou professeur de théologie (et plutôt plus que moins).
En outre, le rapport déplore que l'Église, dont la voix a longtemps été réduite au silence, soit perçue comme une "institution qui pose des définitions et n'écoute pas".
L'affirmation selon laquelle il existe une liturgie de qualité dans tous les diocèses allemands est particulièrement sarcastique.
Image: © Pressebild, SynodalerWeg.de, #newsLvlawtukfk
Les compilateurs de ce rapport réclament des prédications laïques, des femmes comme ministres présidents, des laïcs officiant lors des baptêmes et des mariages, des services dans une langue [encore] plus simple, et l'élimination de la distance [inexistante depuis longtemps] entre la table des repas et l'assemblée.
Ironiquement, des groupes particulièrement privilégiés se sentent "marginalisés" dans l'église, dit le rapport : des hérétiques, des homosexuels et des adultères largement acclamés. On y déplore aussi que les femmes et les hommes mariés [et les nombreux autres qui ne sont ni appelés ni baptisés] soient "exclus" des fonctions ecclésiastiques.
Ironiquement, les questions sempiternelles des cinquante dernières années (pilules anti-maternité, avortement et pseudo-mariage homosexuel) sont qualifiées de "sujets tabous". Selon le rapport, les théologiens qui expriment ouvertement leur opinion sur des sujets tabous craignent la révocation de leur licence d'enseignement s'ils en parlent ouvertement. En vérité, l'hérésie est plus ou moins devenue une condition préalable pour devenir évêque ou professeur de théologie (et plutôt plus que moins).
En outre, le rapport déplore que l'Église, dont la voix a longtemps été réduite au silence, soit perçue comme une "institution qui pose des définitions et n'écoute pas".
L'affirmation selon laquelle il existe une liturgie de qualité dans tous les diocèses allemands est particulièrement sarcastique.
Image: © Pressebild, SynodalerWeg.de, #newsLvlawtukfk