François : Quiconque n'est pas évêque est un "chrétien de seconde zone"
![](https://seedus0275.gloriatv.net/storage1/xont7hspcje7xi17p9n1mvcqziq6hf6mef7a4n3.webp?scale=on&secure=1kujYvSCAvKMNPj337Vevw&expires=1721070164)
Il a déclaré à son ancien secrétaire, le père Guillermo Marcó (Infobae.com, 13 mars), qu'il remerciait Dieu pour le "dialogue" et la "communication" au sein du Collège des cardinaux, mais qu'il craignait les "agendas cachés".
En ce qui concerne le synode sur la synodalité, François a fait référence à un prétendu "problème des femmes". Jusqu'à présent, elles n'ont pas pu voter dans les synodes épiscopaux "parce qu'elles étaient des chrétiennes de seconde zone".
Selon cette logique, quiconque n'est pas évêque est un "chrétien de seconde zone" car seuls les évêques votent au synode des évêques, tout comme seuls les apiculteurs votent au sein de l'association des apiculteurs, et ils ne peuvent pas voter à celle des pêcheurs.
François a qualifié l'évangélisation de "prosélytisme" et a rappelé sa performance embarrassante lors des Journées de la jeunesse de Panama 2019, lorsqu'une dame appartenant à un mouvement ecclésiastique lui a présenté deux convertis qu'elle avait conduits dans l'Église.
Avec une sensibilité pastorale exquise, François l'a réprimandée : "Vous n'avez converti personne. C'est du prosélytisme et la prédication de l'Évangile n'a rien à voir avec le prosélytisme. Laissez-les libres, laissez chacun grandir à sa manière".
Au moins rétrospectivement, François a compris qu'il aurait dû se taire : "J'étais un animal" [Fui un animal].
Enfin, François a involontairement parlé de lui-même : "Un vieil homme amer est très triste, pire qu'un jeune homme triste."
#newsSfzfrtasxp
![](https://seedus3932.gloriatv.net/storage1/jamt602qlpqqe6quga9ws2hst6ev46789lef6hr.webp?crop=4096.2531.0.419&scale=on&secure=jt1nWhkRrh7fwS-d5-Mmzw&expires=1721077842)