La louange de mes lèvres
Sur ce point je vous rejoins ( bien avant internet ) j'ai toujours dit que c'était en partie la faute des chrétiens si les juifs s'étaient emparé de la banque .
Rothschild , c'est cela , le blason des changeurs de monnaie
Sinon pour mémoire les Juifs étaient déjà présent en Europe ( avant JC ) notamment à Marseille , pour y exercer le commerce d'esclaves avec les Romains
Mais qui vous empêche de vous convertir au Judaïsme ? cela à l'air de vous attirer ? 2000 ans ( et plus ) qu'il attendent leur maschiah , les pauvres

Suite et fin

Nous voyons ainsi que les efforts des médias occidentaux, des historiens officiels, des politiciens de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale et de sa préhistoire ont coupé beaucoup de pages intéressantes. Les Juifs ont financé la création du Troisième Reich, Hitler personnellement, étaient à la tête de l'Allemagne, ont participé à la "solution" de la question juive, à savoir la destruction de leurs compatriotes, combattant dans le cadre des forces armées allemandes. Et après l’effondrement du Reich sur le peuple allemand, ils ont jeté tout le blâme sur le génocide du peuple juif et les ont forcés à payer une contribution. Jusqu'à présent, l'Allemagne et les Allemands étaient considérés comme les principaux coupables d'incitation à la Seconde Guerre mondiale, bien que les organisateurs de ce massacre soient restés impunis.

L'URSS et ses dirigeants politiques aiment être accusés d'antisémitisme, mais Saiko dans son livre "Carrefour sur le chemin de l'Israël" et Weinstock dans son ouvrage "Le sionisme contre Israël" fournissent des données très intéressantes. Parmi les Juifs qui ont été persécutés par les nazis et ont trouvé le salut à l'étranger de 1935 à 1943, 75% ont trouvé refuge dans l'Union soviétique totalitaire. L'Angleterre abritait environ 2% (67 000 personnes), les États-Unis - moins de 7% (environ 182 000 personnes) et 8,5% des réfugiés partaient pour la Palestine.
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Joseph Staline - Juif Khazar
Joseph Jugashvilli était un Juif
"Jugha" signifie "Juif", "shvili" signifie "fils".

Papa avait un cordonnier d'origine juive. En Géorgie, il y avait une grande communauté juive. Les Juifs en Géorgie étaient de petits commerçants, tailleurs, usuriers et cordonniers. Les cordonniers juifs ont parfaitement bercé les bottes géorgiennes pour tous les goûts. Et faites attention au nom de Staline - Joseph ... Joseph est un nom juif ...

La mère de Staline était un Ossète de la région peuplée par les Khazars. Les Khazars en Russie s'appelaient Juifs, il y avait donc beaucoup de Juifs parmi eux.

Le nom prérévolutionnaire de Staline était typiquement juif, Joseph David Djugashvili. Au cours de la lutte révolutionnaire, il le remplaça par "Koba" - le nom du chef du soulèvement juif anti-romain.

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Sur le territoire de la Géorgie, en particulier dans les régions où la plaine régnait, la dénomination chrétienne des Ossètes était l’une des raisons pour lesquelles on les justifiait sur ces terres. Les registres de salaires soulignent souvent le fait qu’un Ossète est un nouveau chrétien, un naosari (issu des Ossètes) ou un oshopian (les anciens Ossètes). Dans les trois cas, cela signifie appartenir à la foi chrétienne des Ossètes, à laquelle ces concepts s'appliquent. Faire référence à cela signifie que la vie d'un chrétien ossète (s'il est chrétien, alors il n'est plus un ossète dans le vrai sens du terme, il est déjà considéré comme un Géorgien) parmi la population chrétienne géorgienne est naturelle et même souhaitable; Ici, avec ces baptisés, les Ossètes ont partagé leur destin difficile et les ancêtres de Staline, Ivan, avec ses deux fils, Beso et George (Gogia). Intéressé par cette question, nous (G.Z. Kodalaev et Ch.N. Bagaev - AK) avons naturellement interrogé plusieurs habitants: Shalva Georgievich Karasashvili (77 ans), Archil Mikhailovich Bagashvili, Ruko Bagashvili, Vano Aleksandrovich Abashvili, Nugzar Arsoshvili et son épouse Manvelitu Kvelashvili (du village de Svatskhur, district de Tskhinvali). Ils ont tous dit une chose: Dzhugashvili s’est déplacé d’Ossétie du Sud avec nos ancêtres dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, tel était le désir du roi Erekle Deux, mais nous ne savons pas exactement d’où il vient: ni de la gorge de Dzhava, ni de Gerskoye. Mais le fait qu’ils soient des Ossètes ne fait aucun doute. Nous nous connaissons Selon eux, Beso n'aurait pas été en mesure de payer la taxe (3 roubles) et aurait été contraint d'aller travailler à Gori. Là, il s’installa à Kulumbegashvili, également un Ossète de la gorge de Gersk, qui travaillait comme cordonnier et s’était marié. Une fois encore, il est retourné chez son père pour des raisons familiales. Il est mort de deux enfants en bas âge. Quand Keke portait le troisième, elle devait retourner à Gori. C'était la coutume: la femme devait donner naissance à ses proches et la première fois être avec l'enfant là-bas. Par conséquent, Beso a été contraint de retourner à Gori et d'y rester temporairement afin d'aider sa femme et son fils. Mais les circonstances étaient telles qu'il ne revint jamais à Lilo. La maison de Saman, abandonnée et déserte, Beso s’est lentement effondrée. Jusqu'à récemment, à la périphérie est du village de Lilo, on pouvait voir les ruines de cette demeure. Aujourd'hui, cet endroit abrite une grande et belle maison dans laquelle Nugzar Arsoshvili vit heureux et en sécurité avec son épouse Manvelita Kvelashvili et ses enfants. Et ce n'est pas par hasard. Nugzar est le seul de ce village qui soit directement lié à la famille Dzhugashvili. Le fils de George, le frère de Beso - Nikolay a été amené à Nugzar Arsoshvili par son grand-père maternel et par Staline par son cousin. Compte tenu de toutes ces circonstances, les autorités locales ont autorisé Nugzar à faire revivre les ruines de la vieille maison, à insuffler de la chaleur dans le foyer en voie de disparition et à ne pas oublier le nom du père de Staline. Et ces sentiments sont proches de tous ceux qui vivent dans cette maison. En réponse à notre demande, ils nous ont dit beaucoup de choses intéressantes, ils ont montré des albums de famille avec des photographies, dont beaucoup mettaient en vedette Staline, ses proches et ses proches. Il y avait une photo ici et pauvre Beso. On dit qu'ils l'ont enlevé de la pierre tombale. Ils nous ont signalé l'emplacement de la tombe de Beso - du côté droit du cimetière situé à l'entrée de la ville de Telavi. Nos hôtes aimables nous ont dit que George Dzhugashvili, le frère de Beso, est enterré ici à Lilo, mais le lieu de leur sépulture leur est inconnu. Nous ne pouvions pas non plus trouver sa tombe - les inscriptions sur de nombreuses pierres tombales avaient été effacées et il était impossible de déterminer où tout était écrit, beaucoup de pierres sont presque complètement tombées sur le sol, envahies par l'herbe. Ou peut-être qu'il n'y avait pas de pierre sur sa tombe et que le tertre funéraire avait été rasé depuis longtemps ... Mais sur les tombes de ses descendants décédés, de coûteux monuments s'élèvent. Le fils de Georgy, Sandro, et sa femme sont enterrés à proximité. Il y a une inscription sur leur monument: Sandro Dzhugashvili - 1884-1923, Nino Dzhugashvili - 1902-1975. Leur fille Elo Dzhugashvili (1918-1961) et leur fils Nikolay Dzhugashvili (? - 1945) (34) se reposent également ici. Le poète géorgien Georgy Leonidze (1899-1966) a écrit un poème sur les enfants et les adolescents de Staline. G.Leonidze en 1907 est devenu élève de l'école théologique de Tiflis et depuis 1913. étudié au séminaire théologique de Tiflis. Selon G.Z. Kodalaev et Ch.N. Bagaev, on ne peut qu'accepter les lignes du poème de G.Leonidze. Ils sont fiables, puisque le poème a été écrit pendant la vie de Staline. ... Un poète oserait-il écrire de fausses paroles sur les ancêtres du grand chef au cours de sa vie? ... D'après toutes ces données, il est clair que George Leonidze savait bien qui étaient les ancêtres de Staline et d'où ils venaient. Et bien que le poème ne dise rien directement à ce sujet, il crée l'impression évidente que les ancêtres de Staline sont des Ossètes, des immigrants du village de montagne de Ger, en Ossétie du Sud. Peut-être a-t-il pris soin de ne pas le dire directement, car Staline, dans son témoignage autobiographique, ne s'est pas qualifié d'Ossète.

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TOUT LES TROIS FEMMES STALIN ÉTAIENT DES JUIFS

La première - Ekaterina Svanidze, lui donna un fils Jacob
La deuxième épouse, Katya Alliluyeva, lui a donné un fils, Vasily, et une fille, Svetlana. Décédé dans des circonstances mystérieuses, vraisemblablement par suicide.
Et la troisième épouse est Rosa Kaganovich, la fille du commissaire du peuple à l'industrie soviétique, Lazar Kaganovich.

Svetlana Staline

La fille de Staline (émigrée aux États-Unis en 1967), où elle a épousé le fils de Lazarus Michael, le neveu de sa mère. Elle avait quatre maris, dont trois Juifs.

Vasily Staline

Le premier député de Staline, Molotov, était également marié à un Juif, dont le frère, Sam Karp, était impliqué dans le commerce d'exportation du Connecticut. Les choses sont encore plus compliquées du fait que la fille de Molotov, Svetlana (à moitié juive), était fiancée au fils de Staline, Basil.

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Alexander Burdonsky - Le petit-fils de Staline a passé un échantillon d'ADN et le décodage a montré que son ADN appartient à l'haplogroupe G2. 3. Ceci est un haplogroupe purement juif. Le fait est qu’il existe 4 branches de l’haplogroupe G. G1, G2 est vieux, G2 est jeune et G2c. L'haplogroupe G vient du Moyen-Orient. G est originaire du Levant, la branche occidentale du croissant fertile, en particulier dans la partie nord du Levant. C’est l’une des régions où la révolution agricole néolithique a commencé, peut-être la plus ancienne région où l’agriculture a été découverte (l’agriculture a commencé dans le sud de la Mésopotamie plusieurs milliers d’années plus tard, car elle nécessite des systèmes d’irrigation.) que la plus grande diversité, et les premières branches de G et J, et, apparemment, de moi, se trouvent dans la partie nord du croissant fertile, nous pouvons dire avec exactitude que G, I et J sont tous originaires de 1000 km les uns des autres. De plus, les généticiens savent avec certitude que les haplogroupes G, I et J faisaient à l'origine partie de l'haplogroupe F. À l'heure actuelle, la plus grande diversité de G se situe dans le sud-est de l'Anatolie et au Liban. Il semble que toutes les branches G soient représentées ici (à l'exception peut-être d'une branche U13 + de G2a). C’est vrai que G a le pourcentage le plus élevé dans le Caucase, mais il est entièrement constitué de G2a1a et de la branche G8 + G2a, et non de G1 ou G2c ou de toute autre branche. Il existe des régions où il semble que G1 domine, en particulier parmi les iranophones ( Ce ne sont pas les Indiens, mais les Indo-Européens!) dans les montagnes du Sud-Ouest du Luristan, en Perse, près de l'Irak (25%). Jusqu'à présent, presque dans toutes les autres régions où G est égal ou supérieur à 10%, G2 l'emporte. Pas seulement en Géorgie pourcentage élevé de G (environ 33%), mais aussi l’Arménie, l’Azerbaïdjan et les provinces voisines de l’Iran en La zone située au sud de la mer Caspienne (Mazandaran), dans chacune de ces zones, représente environ 18% de la population totale. Il semble que ce soit G2a. Le seul endroit où les autres branches non-G2a sont dominées est la région pachtoune du Pakistan et de l'Afghanistan. 10% (bien sûr, sans compter les Juifs ashkénazes, dont environ 10% sont des G - G2c, G1 et G2a, et des Juifs séfarades et du Moyen-Orient, qui représentent 10 à 20% des G2a, ainsi que des G1 parmi les Juifs yéménites . ) En général, le G2 est d’origine purement orientale et juive. Il est arrivé dans le …

La louange de mes lèvres Dans les Choux

L'examen de l'ADN a confirmé les racines juives de Staline
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L'examen génétique effectué à Tel Aviv a confirmé les liens de sang de Joseph Staline et du citoyen israélien Yefim Berkovich, dont les proches vivaient sur le territoire géorgien à l'époque de Staline.

«Nous avons effectué deux analyses d'ADN à la fois: sur les liens familiaux de Berkovich et de Staline et sur l'origine juive de Staline.

Les deux ont donné un résultat positif. La précision est de 99,9% », a déclaré le Dr Avigdor Perelmann.

«J'ai toujours su que Staline était un Juif. Maintenant, ce fait est confirmé d'un point de vue scientifique. Pas étonnant qu'il ait été l'un des initiateurs de la création de l'État d'Israël.

Je me souviens de la façon dont son portrait était suspendu dans mon kibboutz natal », a déclaré Abram Zahavi, docteur en sciences historiques de l'Université de Tel Aviv.

Qui a réellement financé la montée au pouvoir de Hitler?
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Les historiens ne sont pas encore d’accord sur ce point: certains pensent que les nazis ont été gardés secrètement par la Reichswehr allemande, qui chérit le rêve de vengeance après la défaite de la Première Guerre mondiale, d’autres que les principaux sponsors du Fuhrer étaient des industriels allemands.

Dans le même temps, Version écrit, lorsque l'ex-président de la Reichsbank et ministre de l'Économie, Jalmar Schacht, aux procès de Nuremberg a rendu justice aux accusés et à ceux qui ont inculqué le Troisième Reich, en mentionnant les sociétés américaines General Motors et Ford. "Et aussi personnellement directeur général de la Banque d'Angleterre, Norman Montagu, - les Américains ont passé un accord avec lui, promettant la liberté en échange du silence. Et le Tribunal militaire international a pleinement justifié la mine malgré les protestations des avocats soviétiques.

Le secret de l’aide anglo-saxonne à Hitler au début de sa carrière politique a entraîné deux personnes dans la tombe - le financier suisse apparemment discret Wilhelm Gustloff (ce n’est pas un hasard si le Führer a attribué à titre posthume le plus grand paquebot de croisière allemand à son nom) et le trésorier du NSDAP, Franz Schwartz. Gustloff, qui a été tué en 1936 à Davos, en Suisse, par un élève fragile, Jalmar Schacht, a qualifié "d'intermédiaire permanent" entre les sociétés britanniques et américaines, d'une part, et les nazis, d'autre part (selon certaines informations, Gustloff aurait servi de médiateur entre 1925 et 1929). Quant au SS Obergruppenführer SS Schwartz, il mourut non moins étrange que Gustloff: le 2 décembre 1947, il aurait dû être libéré du camp de filtration de Regensburg, mais le général ne quitta pas la prison. Je prenais mon petit déjeuner, me sentais mal et mourais une heure et demie plus tard - «à cause de problèmes d'estomac», comme indiqué dans le rapport médical. En avril 1945, Schwartz a brûlé dans la «maison brune» (siège du NSDAP à Munich) tous les documents financiers susceptibles de compromettre les représentants des pays victorieux et, pour cette raison, comptait naïvement sur la clémence.

Hitler a reçu le premier coffre à monnaie du chef de la firme Shell

Cependant, malgré le fait que les deux témoins les plus importants se soient toujours tus, certains historiens ont néanmoins réussi à obtenir des preuves du parrainage anglo-saxon de Hitler et de ses sbires. L'Italien Guido Giacomo Preparat, qui a consacré près de deux décennies à l'étude des relations entre les nazis et les milieux d'affaires de Londres et de Washington, a appelé ceux qui ont conduit le peuple Brown au pouvoir: «Qui a financé les nazis dès le début? Selon un récit ridicule, obstinément implanté dans la société, les nazis se sont financés en collectant des fonds lors de rassemblements. " Et puis la drogue prouve de manière convaincante: la majeure partie de l'argent du parti nazi était d'origine étrangère. Par l'intermédiaire de la Chase National Bank, des clans financiers d'outre-mer de Morgans et de Rockefeller ont promu les actions d'IG Farbenindustrie et de plusieurs autres usines chimiques allemandes à Wall Street (plus tard, l'idée de Krupp est passée sous le contrôle de Roefeller Standard Oil), et de Dillon and Reed Bank - Vereinigte Stahlwerke d'Alfred Tissou. «Dès 1933, quand il devint clair avec une clarté irréfutable que AEG avait financé Hitler», écrivait Preparat, «30% des actions appartenaient à son partenaire américain, General Electric. Ainsi, selon l'historien, «pendant 15 ans, de 1919 à 1933, l'élite anglo-saxonne est activement intervenue dans la politique allemande, dans l'intention de créer un mouvement obscurantiste, qui pourrait plus tard être utilisé comme un pion dans une grande intrigue géopolitique ... Hitlérisme, mais ce sont eux qui ont créé les conditions dans lesquelles ce phénomène pourrait se produire. "

Mais un autre historien allemand de la finance, Joachim Festte, qui écrivit à Hitler un autre chercheur spécialisé dans les flux financiers: «À l’automne 1923, Hitler se rendit à Zurich et en revint,« avec un coffre plein de francs suisses et de billets d'un dollar ». C'est-à-dire qu'à la veille de la tentative de «putsch à la bière», quelqu'un a alloué un montant solide en devises au futur Fuhrer. » Ce "quelqu'un", selon certaines sources, n'était autre que Sir Henry Deterding, chef du cabinet anglo-néerlandais Shell. Il financera plus tard Hitler par l'intermédiaire de Wilhelm Gustloff. Il est intéressant de noter que le tribunal de Munich, où l'affaire du coup d'État a été entendu, n'a pu que prouver que le parti nazi avait reçu 20 000 dollars des industriels de Nuremberg pour avoir organisé l'insurrection. Mais les coûts des camarades de Hitler ont été estimés à un minimum de 20 fois supérieur! En avril 1924, Hitler fut condamné à cinq ans de prison pour haute trahison. En décembre, il fut libéré, acquit la villa Berghof et commença à publier le journal recréé Volkisher Beobachter. La question est, quel shishi? «Depuis 1924, écrivait Joachim Festus, les industriels et les financiers qui sympathisent avec Hitler (Thyssen, Vogler, Kirdorf et Schröder) ont secrètement versé des sommes considérables aux nazis. Dans le même temps, les dirigeants et les responsables des partis politiques de stormtroopers étaient payés en devises. " Il est à noter que Vogler et Schröder n'étaient probablement pas des hommes d'affaires allemands mais américains, mais qu'ils ont principalement gagné leur capital à l'étranger. Parmi les promoteurs de Hitler, il y avait d'autres personnalités ambiguës - par exemple, le chef de IG Farbenindustrie Max Warburg - le frère du directeur de la Réserve fédérale de New York, Paul Warburg. Ou Carl Bosch, qui dirigeait la division allemande de Ford Motor Company. Et comment les industriels allemands pourraient-ils souhaiter que Hitler arrive au pouvoir? Après tout, les nationaux-socialistes, pas moins que les bolcheviks, voulaient limiter les industriels!

Pour lequel Henry Ford a reçu la plus haute commande du Troisième Reich

Depuis 1931, un journaliste du journal américain Detroit News, venu en Allemagne pour interroger Adolf Hitler, un homme politique prometteur, a été surpris de voir le portrait d’un personnage bien connu - Henry Ford - posé sur son bureau. "Je le considère comme mon inspiration", a expliqué Hitler. Mais Ford n’était pas seulement le cerveau derrière les principaux nazis, mais aussi un sponsor généreux. Ford et Hitler se sont mis d'accord sur la base d'un antisémitisme qui leur était propre. Au début des années 20, «Grand-père Ford» imprimait et envoyait à l'Allemagne un demi-million d'exemplaires des «Protocoles des aînés de Sion», puis deux de ses livres - «World Jewry» et «Jewish Activities in America».

Sur la photo: Henry Ford a reçu de Hitler l'ordre le plus élevé du Troisième Reich. Et American General Motors possédait l’un des plus grands constructeurs automobiles allemands - Opel, qui produisait des camions de l’armée de type Blitz - «Lightning».

À la fin des années 20 et au début des années 30, selon certaines sources, Ford aurait généreusement nourri le NSDAP (les preuves écrites de Franz Schwartz sont restées sur ce compte, bien qu'il n'ait pas mentionné de montants précis). Et, en guise de gratitude, Hitler a décerné à Ford une grande croix de l’aigle allemand, la plus haute distinction du Reich, qui pouvait être attribuée à un étranger. C’est ce qui s’est passé le 30 juillet 1938 à Detroit, lors d’un dîner de fête auquel environ un demi-millier d’éminents Américains ont assisté. Ordre attribué au consul allemand. Ford, disent-ils, était si ému qu'il a même versé des larmes. Après cela, Ford a entrepris de financer intégralement le projet de «voiture du peuple» de Hitler - il a finalement obtenu 100% des actions de la nouvelle société Volkswagen.

Les liens entre Ford et Hitler étaient si forts qu'ils ne se sont pas équilibrés pendant la guerre. À cette époque, une loi spéciale interdisant toute coopération avec les hitlériens (loi sur le commerce avec l'ennemi) avait été adoptée, mais cette loi semblait n'avoir aucun effet pour Ford. En 1940, Ford refuse d'assembler les moteurs des avions d'Angleterre en guerre contre l'Allemagne. Parallèlement, à Poissy, en France, sa nouvelle usine commence la production de moteurs d'avion pour la Luftwaffe. Les filiales européennes de Ford en 1940 ont livré gratuitement 65 000 camions à Hitler! En France occupée, la succursale Ford a continué de produire des camions pour la Wehrmacht et une autre succursale, en Algérie, a fourni des camions et des véhicules blindés au général Hitler. Soit dit en passant, un barreau remarquable: à la fin de la guerre, l’aviation alliée a complètement bombardé la ville allemande de Cologne. Intacte - par un miracle, pas autrement! - Il n'y a que quelques bâtiments de l'usine Ford Motor. Néanmoins, Ford (et ses concurrents de General Motors en même temps) obtiennent du gouvernement des États-Unis une indemnisation pour les dommages «infligés à leurs biens en territoire ennemi». Parallèlement, General Motors possédait l'un des plus grands constructeurs automobiles allemands, Opel, qui fabriquait des camions de l'armée du modèle Blitz, le Lightning. Sur la base de ces machines, les artisans ont créé le fameux "gazenvageny" - chambres à gaz sur roues. Au début de la Seconde Guerre mondiale, la contribution totale des sociétés américaines aux succursales et bureaux de représentation allemands s’élevait à environ 800 millions de dollars - l’investissement de Ford était estimé à 17,5 millions de dollars, Standard Oil (à présent Exxon) à 120 millions de dollars et General Motors à 35 millions de dollars.

Flux de trésorerie des …

Qui a financé Hitler avant d'arriver au pouvoir?
Ce texte contient des faits importants sur qui a financé Hitler et comment. Ces faits clarifient et résument l’histoire du développement, de l’appui et du financement du NSDAP. Plus important encore, ils exposent les nombreux mythes associés à Hitler et au NSDAP, tels que le militarisme et l'expansionnisme hitlériens, le financement du NSDAP par Paul ou Sydney (James) Warburg et les Rothschild et l'impopularité de Hitler auprès de la majorité des Allemands.

Comme presque tous les partis, le parti nazi a commencé son développement avec une poignée d'idéologues, dont Adolf Hitler était le principal «noyau». Mais le NSDAP est né de rien; elle est originaire d'une autre partie. C'était le parti ouvrier allemand, dirigé par Anton Draxler. Hitler y avait été affecté par l'armée pour l'espionner. L'armée s'intéressait à deux choses: la recherche de nationalistes et l'éradication des communistes, qui menaçaient de transformer l'Allemagne en une grande république soviétique. Les compétences oratoires de Hitler ont contribué à son choix pour ce rôle. Il était rempli de sympathie pour Draxler et beaucoup de ses idées, rejoignit le parti, il reçut une carte de membre avec un numéro de parti, règle que Hitler soutint plus tard dans le NSDAP. Lorsque Hitler a commencé sa carrière politique, il a rapidement déterminé qu'il lui fallait un nouveau parti correspondant à ses projets et à ses ambitions. Par conséquent, il se concentra sur l'élaboration de ses plans et de ses théories et surpassa ainsi Draxler. et ainsi le NSDAP est apparu. Hitler a rapidement fait connaissance avec les membres riches de la société Tule. Il n'a pas rejoint ce mouvement, mais a voulu union avec eux. À ce stade seulement, ils renforceraient considérablement le potentiel de son parti en faisant don des fonds nécessaires au trésor du parti nazi. Après avoir quitté l'armée, Hitler a consacré toute sa force au développement du parti nazi.

Tandis que Draxler était entièrement concentré sur la défaite des ouvriers allemands, Hitler visait un public plus large. Ses contacts avec des émigrés blancs russes, des membres riches de la société de Tule, et en particulier avec Gottfried Feder et Dietrich Eckart, ont été d’une aide précieuse pour l’acquisition de la faillite «Volkischer Beobachter». Feder, avec deux autres membres du NSDAP, a acheté 30 000 actions. Dietrich Eckart a donné environ 60 000 RM. Les 120 000 Rehymarok restants ont été payés par l’industriel Dr. Grandel Gottfried, qui a été conquis par l’adresse personnelle de Hitler.

Selon Poole, les partisans d'Hitler appartenaient à un large éventail de classes, de nationalités et de groupes ethniques. De nombreux riches émigrés blancs russes qui ont eu des contacts avec la société de Thulé ont conclu des alliances avec le parti nazi et ont fourni à Hitler «une énorme somme d’argent», selon des propos officiels de 1923. On y mentionne également Henry Ford et Benito Mussolini, dont les agents personnels ont pris contact avec le parti nazi en Allemagne, très probablement pour organiser le transfert du soutien financier du Duce. La grande-duchesse russe Victoria, qui avait des opinions promonarchiques et anticommunistes, donna de l'argent à Hitler. Sir Henry Deterding de la Royal Dotch Shell Company envoya d'énormes sommes d'argent à Hitler en 1931, 32 et 33, dans l'espoir qu'il lui rendrait les territoires qui l'intéressaient avec du pétrole occupé à l'avenir par les bolcheviks.

Le montant devrait se situer entre 30 et 55 millions de livres. Deterding a épousé une Allemande et a même déménagé en Allemagne. Comme beaucoup d’autres, il s’est rendu compte que seule une politique étrangère affirmée de l’Allemagne pouvait assurer sa survie dans un monde où la France et l’Angleterre détenaient le monopole d’un quart du globe et étaient déterminées à détruire l’Allemagne.

Les Allemands ont tout essayé, y compris l'observation des réparations accordées à Versailles, qui constituait un vol de facto. Ce «contrat» a été conçu avec un seul objectif: l’élimination constante de l’industrie allemande de la concurrence. Ernst Röhm était un nationaliste allemand ardent qui a acheminé des fonds pour le NSDAP par le biais de diverses organisations de premier plan. La société Thulé, qui défendait des vues pan-germaniques et nationalistes, a aidé le NSDAP à obtenir beaucoup d’argent. Deux joailliers allemands, Josef Vöss et Josef Gar, ont soutenu Hitler et lui ont alloué des fonds. Un certain petit entrepreneur, M. Pöshl, a donné des fonds à Hitler au tout début du développement du parti nazi. Quirin Destl - un partisan encore plus ancien d’Hitler a alloué de petits fonds. Oscar Kerner, propriétaire d'un magasin de jouets, a également versé de l'argent au NSDAP. Dr. Friedrich Kron, un dentiste, a donné presque tous leurs fonds. Adolf Muller a également aidé le parti nazi, prêtant constamment de l'argent à Hitler. Mme Hoffman, la veuve du directeur de l'école, envoyait régulièrement des fonds à Adolf Hitler. De nombreux amis du général Ludendorf, membres de la société de Thule, ont fourni des fonds au NSDAP. Un nombre important d'étrangers et de citoyens allemands vivant ou travaillant en Autriche, en Grande-Bretagne, en Tchécoslovaquie, en Finlande, en France, en Italie, en Hollande, en Hongrie, en Suisse, en Suède et en Amérique ont donné de l'argent à Hitler, principalement par l'intermédiaire de Winfred Wagner, Kurt Lyudeke et des nationalistes hongrois. comme Gyula Gömbesh. De nombreux membres du "Casque d'acier" et d'autres organisations de droite ont également parrainé Hitler. Emil Kirdorf, un baron du charbon, a donné de l’argent à Hitler, ainsi qu’à d’autres hommes d’affaires qui soutenaient habituellement Alfred Gugenberg (l’homme qui avait essayé d’utiliser Hitler à ses propres fins). Il a également soutenu le général Ritter von Epp, qui a aidé Dietrich Eckart et le parti nazi à acquérir Beobachter; Le docteur Emil Gansser, qui avait des liens avec de riches protestants; L'amiral Schroeder, qui a déjà occupé un poste élevé dans la marine; Le baron Rudolf von Sebottendorf, qui entretenait des liens avec J. F. Lehmann (membre de la Thule Society, financier de la marine allemande) et avec un groupe d'officiers de marine sympathiques; Herr Schaffer, a acquis des armes pour les unités SA; Kurt Lyudeke, qui avait des liens avec deux marchands d'armes juifs qui soit

1) Ne savaient pas qui était Lyudeke
ou
2) N'avait aucune raison d'avoir peur de Hitler;

peut-être le duc d'Anhalt et le comte Fugger; Ernst Ganfshtengl, riche diplômé de Harvard et ayant de nombreuses relations en Amérique; la riche Magda Quandt, qui a épousé Joseph Goebbels; Fritz Thiessen, qui nia plus tard avoir donné d'importantes sommes à Hitler et à Göring, en 1929 et au cours de la première moitié des années 1930; et ainsi de suite etc.

Pas de Warburg, Rothschilds ou Rockefellers. En passant, Rockefeller a indirectement recoupé le secteur financier nazi en investissant par Standard Oil dans IG Farben, étroitement associé au Warburg, mais Farben n’a accordé aucun soutien financier à Hitler avant 1933. c'était. Il n'a pas été soutenu directement ou indirectement. L'histoire de Sydney Warburg est une pure fiction. Fritz Thiessen et certains industriels lourds du cercle de Huguenberg, plutôt que James Warburg, fournirent à Hitler d'importants "investissements" en espèces en 1929 (au moins 1 250 000 RM) et Deterding, associé à plusieurs sociétés charbonnières allemandes, s'occupa d'Hitler au début des années 1930. Tandis que Hitler dépensait des sommes énormes pour faire campagne, il n'arrêtait pas de suivre toutes ses dépenses. Tous ses financements ont été soigneusement étudiés et la plupart d’entre eux sont issus; frais de fête, assurance et frais de discours de Hitler lui-même; Gregor Strasser, de gauche, qui a donné environ 10 000 RM par mois pendant toute l'année 1931; l'éditeur Adolf Muller; et l’épargne financière du trésorier du parti, Franz Schwartz, dont les rapports financiers détaillés ont été détruits. Les Américains l'interrogèrent si cruellement qu'il mourut en captivité britannique. Ses notes, indiquant même les sponsors anonymes de Hitler, n'ont paru jusqu'ici nulle part. Poole soupçonne les occupants américains de les avoir détruits.

La déclaration de Goebbels du 17 janvier 1932 selon laquelle la situation financière du parti «s’est soudain améliorée» n’est pas tout à fait vraie. La vérité est que le nombre de partisans d’Hitler a augmenté, en grande partie grâce à Franz von Papen et au baron Kurt von Schroeder avec son groupe de sponsors, y compris les dirigeants de la HAPAG (société anonyme de transport Gambrug-America Transport), I.H. Stein, Commerce et Banque privée, compagnie d’extraction du charbon de Gelsenkirchen, Deutsche Bank, banque Reichscredit-Gesellschaft, compagnie d’assurances Alliance, industrie de la potasse, compagnie de charbon Brabag et plusieurs autres industriels. Adolf Hitler dut supporter pendant un certain temps la domination des banques contrôlées, par exemple par les Warburg, et ouvrir un compte spécial dans le cadre de l'accord de Havaar). Avec l'aide des mesures prises, l'émigration juive était généreusement encouragée. L’objectif de Hitler était de supprimer, et donc de forcer, les banques financières étrangères jusqu’à ce qu’elles quittent l’Allemagne - la même politique qu’il avait utilisée pour encourager l’émigration juive. Un exemple en est la «germanisation» de deux aciéries juives dans la région de Rhon en 1937.

S'agissant du processus de recrutement et de recrutement de nouveaux arrivants au NSDAP, il convient de noter que les recrues potentielles ont été recrutées plus souvent dans la rue, lors de rassemblements et de discours. Brochures, dépliants - les outils de base à cette fin. Parfois, Hitler ou d'autres membres du parti étaient invités à parler ou à parler avec des industriels ou des nobles intéressés par un parti nationaliste anticommuniste. Contrairement aux mythes sur Sydney Warburg et d’autres, Hitler et la droite du parti nazi n’ont reçu autant d’aide financière d’industriels et de banquiers qu’en 1933, au même titre que les frères Strassers, les sociaux-démocrates (SPD) et même le Huguenberg. Les raisons pour lesquelles Hitler et le parti nazi n'ont jamais reçu le même niveau de financement à un stade précoce sont les suivantes:
1) de nombreux industriels ne faisaient pas confiance à Hitler, compte tenu de sa position socialiste sur de nombreuses questions;
2) certains financiers et industriels ont essayé de maintenir le statu quo, sans donner d'avantages à aucune des parties;
3) beaucoup se méfiaient de ses attitudes anti-juives.

Revenons au recrutement de recrues: la majorité des recrues potentielles et des sympathisants ont entendu parler d’Hitler et du NSDAP par le bouche à oreille. Cette méthode est l'une des plus efficaces. Lorsque Schaubner - Richter, Schacht, Borzig, Thyssen et Kirdorf ont recommandé le NSDAP et Hitler personnellement, de riches représentants de la classe moyenne et supérieure ont sérieusement considéré Hitler et son parti. Hitler fut invité à prendre la parole lors du congrès des industriels lourds en 1927. Il a même écrit un discours spécial à cette occasion, destiné uniquement à ce public capitaliste-industriel. En plus de son agitation active, le NSDAP plaçait diverses affiches partout, vendait diverses bagatelles pour collecter de petits fonds (par exemple du savon, où figurait le symbolisme du NSDAP sur l'emballage), et établissait également des contacts à l'étranger avec des immigrants allemands (principalement aux États-Unis) et des étrangers. points de vue pro-nazis, pour amasser des fonds. Kurt Lyudeke a particulièrement excellé dans ce type de campagne.

Au tout début de son existence, les anciens combattants, agriculteurs, ouvriers, jeunes, nobles, femmes, petits entrepreneurs et retraités ont principalement rejoint le NSDAP. Ce sont les couches sociales de la population les plus exposées à l'agitation nazie, mais plus tard, Hitler réussit à gagner le soutien des élites fortunées, des industriels lourds, des fascistes et des monarchistes d'autres pays, des organisations d'anciens combattants, de l'armée et de la flotte, et même de Montague Norman, célèbre banquier anglais. l'ami Yalmar Schacht, qui, selon les témoignages des secrétaires Ernest Skinner et Emile Moreau, méprisait les juifs, les français et les catholiques. Il refusa sans vergogne d'aider le Trésor français et prouva qu'il était capable d'organiser des fonds pour le NSDAP, rejoignant le reste du conglomérat bancaire Bruno von Schroeder (Schroeder Bank), Kurt von Schroeder (Stein Bank) et la Banque d'Angleterre (F.S. Tierks et M. Norman.) Norman ressentait une grande sympathie pour les Allemands depuis ses études à Dresde et offrait naturellement une aide financière au nouveau gouvernement. Schacht a ouvertement soutenu cette mesure depuis 1931. Depuis, Hitler était hostile à la France et très amical envers Grande-Bretagne de, et conduit la politique discriminatoire envers les Juifs, trois choses que Norman se charge, il a recommandé Kurt von Schroeder pour fournir un prêt pour le parti nazi.

Avant l'arrivée au pouvoir des nazis, de nombreux paysans étaient endettés et craignaient l'expropriation de leurs terres si le KKE arrivait au pouvoir. Ils étaient également mécontents de l'insuffisance des droits protectionnistes appliqués aux produits agricoles. Les anciens combattants étaient sujets à l'agitation, parce qu'ils se sentaient trompés par la classe dirigeante, en particulier par les démocrates libéraux du SPD, qu'il leur était difficile de trouver du travail. Les travailleurs, en majorité des jeunes, étaient susceptibles parce qu'ils croyaient être exploités par les capitalistes, mais surtout parce qu'ils étaient le plus touchés par l'inflation et le chômage. Les retraités n'aimaient pas leur trop petite pension. Les nobles s'intéressaient à Hitler, parce qu'il s'opposait à la franc-maçonnerie et à son expropriation des propriétaires terriens, mais aussi parce qu'il faisait allusion à la restauration de la monarchie. En règle générale, tous ces groupes s’opposaient au marxisme-communisme. La majorité des masses allemandes ne sont pas intéressées par un bain de sang révolutionnaire ou un collectivisme agraire, mais par la sécurité économique et sociale, la justice et la prospérité pour elles-mêmes; Les élites allemandes n’ont pas soutenu l’expropriation et la collectivisation.

Lors de son adhésion au NSDAP, le nazi nouvellement fondé a payé une cotisation annuelle au parti. Il s'est vu remettre une carte de membre et a été immédiatement envoyé pour effectuer les travaux nécessaires au parti. Cela pourrait être n'importe qui, de la pose d’affiche à la représentation ou à la distribution de tracts dans les rues et dans les pubs.

Kurt Lyudeke, Otto Wagener et Ernst Röhm ont joué un rôle de premier plan dans l'armement, la formation et le recrutement de soldats sud-africains. Lüdeke avait des relations sur le marché noir, y compris avec des marchands d'armes juifs. Le gouvernement berlinois était enclin à ignorer les batailles entre les AS et les communistes, parce qu'ils s'opposaient au coup d'Etat communiste. De plus, le parti hitlérien soutenait l'unité nationale allemande à tout prix. Hitler et son SA ont donc dû endurer pour empêcher la répétition des événements bavarois.

Faits dérangeants sur Hitler et le parti nazi

• Gustav Stresemann était également sujet au militarisme, tout comme Adolf Hitler. Ainsi, la thèse selon laquelle Hitler aurait été nommé chancelier pour déclencher une guerre dans le futur est controversée.

• Plusieurs des otages de la classe supérieure, y compris des membres de Tula, ont été tués en 1918 par les communistes. Douze personnes ont été abattues dans la cour d'école de Munich.

• Hitler et Hess, et non Goering et Goebbels, comme le prétend Sydney Warburg, ont demandé de l’argent en 1929. L’industriel allemand Emil Kirdorf a très probablement versé de l’argent auprès du NSDAP à ce moment-là.

• Radek, Axelrod et Levin - tous les communistes sont juifs. Ces trois hommes ont personnellement menacé Fritz Thyssen, ainsi que son père. À partir de ce moment, il a chaleureusement soutenu Hitler.

• Thyssen a minimisé son soutien aux nationaux-socialistes. Il a donné 1.250.000 Reichsmarks entre 1928 et 1929. C'est à cette époque que Sydney Warburg aurait envoyé plusieurs transferts d'argent à Hitler.

• Kirdorf avait des amis juifs, dont le Dr Arthur Salomonson. Malgré cela, Kirdorf a très peu donné pour Hitler et le parti nazi.

• Thyssen et Kirdorf n'avaient pas beaucoup d'espoir en Allemagne. La France et l'Angleterre avaient le monopole d'un quart du monde et étaient déterminées à détruire l'Allemagne.

• La dictature de Versailles a été la fin pour l'Allemagne.

• Le «traité» était en fait une arme économique contre l’Allemagne, qui l’affaiblissait à jamais en tant que rival de l’Angleterre et d’autres: les indemnités de réparation allemandes se montaient à 32 milliards de dollars, soit 425 milliards de dollars convertis au taux actuel, soit environ 6,6 milliards de dollars par an. .

• Le NSDAP n'était pas contrôlé par les forces juives internationales, comme le suggèrent certains chercheurs (Sutton, Hayek, etc., par exemple - reich_erwacht). Le NSDAP s'est lui-même battu pour son pouvoir. Par exemple, dans un des combats de rue entre les national-socialistes et les communistes, environ 300 personnes ont été tuées. Hitler s'est battu pour le pouvoir pendant 14 ans, plusieurs tentatives ont été faites, il a failli être touché par une tentative de putsch, ce qui contredit ce mythe.

• "IG Farben" et le reste des principaux industriels et financiers (à de rares exceptions près) n’ont parrainé Hitler et le NSDAP qu’en 1933.

• La prévention du communisme à tout prix est le motif principal du soutien des grandes entreprises à Hitler et au parti nazi.

• Les Alliés ont détruit l'industrie de Krupp, qui a ensuite apporté son soutien au NSDAP. Krupp, avec l'aide de subventions étrangères, a construit et testé des armes dans des pays neutres bien avant l'arrivée au pouvoir de Hitler.

• Les grandes entreprises se sont concentrées sur la construction de la flotte allemande au début des années 1920, bien avant l'arrivée au pouvoir d'Hitler.

• L’Allemagne «libérale démocrate» de Weimar a fourni une assistance tacite au réarmement de l’Allemagne de toutes les manières possibles. Krupp était subventionné par le régime de Weimar, pas par Hitler.

• Le réarmement de l'Allemagne a commencé en 1928 - cinq années complètes avant la nomination d'Adolf Hitler à la chancelière.

• Les sociaux-démocrates (SPD) ont soutenu le réarmement.

• Le réarmement ne prouve pas que l'Allemagne envisageait une guerre d'agression ou qu'elle était un «État militariste».

• La France, et non l'Angleterre, était l'ennemi numéro un aux yeux de Hitler.

• La suprématie des intérêts personnels et le pouvoir de l'argent (pour l'achat de députés du Reichstag) ont détruit la République de Weimar. Ces deux traits sont, par essence, des traits inaliénables de toutes les démocraties qui ont pour objectif de donner aux masses une illusion de pouvoir et d’ordre afin de prévenir leur mécontentement.

• Le SPD est devenu un outil politique pour les syndicats et la bureaucratie. Tous les autres, y compris CNG, étaient des projets de tous les groupes.

• Le Huguenberg et les partis nationalistes avaient un soutien beaucoup plus fort que le NSDAP pour les grandes entreprises et le prestige. Cependant, le Huguenberg n'était pas un outil obéissant des financiers. Il s’opposa au plan anglo-maçonnique de Dawes, tandis que plusieurs de ses sponsors l’appuyaient.

• Le plan anglo-maçonnique de Jung a été adopté 11 ans après la guerre et stipulait que les Allemands devaient payer une «indemnisation» pour les 59 prochaines années!

• Huguenberg et Strasser ont sous-estimé Hitler. Hitler n’était pas un tirage au sort pour «un pion». Cela était déjà visible en 1929, lors des supposés transferts d’argent de Warburg à Hitler. Le mythe de Warburg a été utilisé pour discréditer Hitler par Strasser et Stennes. Stennes, avec 80 000 soldats sud-africains, s'empare du siège du parti nazi à Berlin et projette de détruire Hitler, mais Hitler les surpasse. Il a simplement fourni au tribunal la preuve de la propriété du siège. La police a donc été obligée de restituer le quartier général et le coup d'État de Stennes-Strasser contre Hitler a échoué. Fait intéressant, Stennes n'a jamais été membre du parti nazi.

• Hitler a utilisé les méthodes de Karl Luger: a utilisé les outils de pouvoir existants.

• Thyssen a admis financer le NSDAP. Son soutien continu à Hitler et son alliance stratégique avec Huguenberg et son parti signifiaient des recettes monétaires solides pour Hitler en 1929, de Thyssen et non de Sydney Warburg.

• Après 1930, «Volkischer Beobachter» a progressivement réglé toutes ses dettes.

• Il n’ya pas de financement «secret» à un stade précoce. Max Amann a promis tous les actifs du parti nazi. Les charges et les dons peu fréquents des riches ont ajouté des fonds au parti après septembre 1930.

• L’économie allemande était contrôlée par l’État et par un cartel bancaire privé - 2 500 banques avant l’arrivée au pouvoir de Hitler.

• Madame Quandt a rejoint le parti nazi en 1930 et lui a fourni des fonds.
.
• Kaiser Wilhelm et ses fils ont soutenu le NSDAP et ont fait des efforts pour tenter de convaincre Hitler de rétablir la monarchie.

• Bruening, de facto, était un dictateur, mais a échoué parce que la crise s’est aggravée.

• Le parti populaire allemand, plus conservateur, a demandé une révision de la Constitution et la destruction du système parlementaire, donnant à Hindenburg le droit de nommer un gouvernement.

• Les autres partis nationalistes ont reçu beaucoup plus d’argent et de soutien que Hitler, mais ils n’avaient pas un tel soutien des masses. Ainsi, seul Hitler avait un sérieux soutien de masse des Allemands et il était donc impossible de le renvoyer ou de l'ignorer.

• Les grandes entreprises, à savoir les industriels, ont apporté un soutien au NSDAP en 1931.

• Mussolini a fourni un soutien informel au NSDAP. La France a soutenu les séparatistes bavarois, tandis que l'Italie a soutenu les nationalistes. Hitler était le seul à avoir dénoncé la France et était prêt à céder le Tyrol du Sud à l’Italie (où vivaient environ 250 000 000 d’Allemands).

• Hitler a reçu un financement des nazis en 1932. Mussolini a également envoyé des armes au parti nazi dans les années 1920.

• Le vicomte Rothermere du Daily Mail a donné de l'argent à l'entreprise d'Ernst Hanfstengel. Rotemir se tenait sur des positions pro-allemandes et méprisait les Juifs.

• Deterding a rencontré Alfred Rosenberg en Grande-Bretagne et lui a promis un financement. Deterding contrôle des champs de pétrole en Roumanie, en Russie, en Californie, à Trinidad, dans les Indes orientales néerlandaises et au Mexique. Il avait aussi des tours en Mésopotamie et en Perse. Les Soviétiques ont saisi leurs champs pétroliers à Bakou, Grozny et Maikop et les ont nationalisés, causant de graves dommages à Deterding. • George Bell était un agent de Deterding en contact avec le NSDAP. Deterding a financé non seulement le parti nazi, mais également les nationalistes biélorusses et ukrainiens, ainsi que les rebelles géorgiens anti-soviétiques.

• Deterding a épousé un Allemand et a déménagé en Allemagne. Il fut le sponsor principal du NSDAP en 1931, 1932 et 1933 - le magnat néerlandais misant entre 30 et 55 millions de livres.

• Le traité de Trianon était encore pire et plus injuste que Versailles. La Hongrie a perdu sa population et son territoire et était complètement appauvrie. Ce traité a tourné la plupart des Hongrois contre la démocratie. En 1919, Bela Kun a commis des atrocités sans merci pendant trois mois: il a confisqué et exproprié des terres privées, des paysans ont été massacrés sans discrimination, l'économie était en ruine, ce qui a finalement entraîné la famine. Les Hongrois, pour la plupart, étaient anti-communistes et anti-juifs par la suite. La plupart de ces communistes, y compris Bela Kun, étaient des juifs et des maçons. Cette expérience a conduit les mouvements nationalistes hongrois sous la direction de Gömbes Gyula, qui a aidé à financer le parti nazi.

• L’émeute de Stennes est un point très important, mais trop souvent négligé. Shtennes était un agent de Strasser et de capitaine Erhard, tous deux soutenus par des industriels et des clients juifs.

• À la suite de ce soulèvement, les AS, les SS et les jeunesses hitlériennes ont été interdits par décret de Brüning, signé par le président Hindenburg. C'était en 1932. C'est ainsi que Rothschild et Warburg ont soutenu Hitler! Pourquoi ont-ils permis d'interférer avec leur "pion"? Cette interdiction était une tentative de détruire à jamais le parti nazi et Hitler. En outre, si Hitler n’était en réalité qu’un «instrument» du capital international, comme le suggèrent certains spécialistes, tels Jim Condit et Guido Drug, pourquoi ne pas remporter l’élection présidentielle de 1932? Quelle est l'essence du motif pour préempter sa "prise de pouvoir", si elle était vraiment derrière lui?

• Le juif Paul Silverberg, fondé par Gregor Strasser et non par Hitler. Silverberg était le dirigeant de R. A. G., l'une des plus grandes entreprises de charbon du monde.

Publié avec des abréviations mineures de

VK Clarke "Démystification de la naissance et financement du NSDAP"

Sources:

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Gregor, Dr. AJ National Socialisme et Race. London: Steven Books, 2009.
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Pudor, Dr. Heinrich. “Les Hauts Financiers de la France.” In Warwolves of the High Cross, édité par Veronica Kuzniar Clark et Luis Muñoz, 51-66. États-Unis: Éditeurs Vera Icona, 2011.
Schinnerer, Erich. Loi allemande et législation. Edité par Richard Mönnig. Berlin: Publications Terramare, 1938.
Schwarz, Dieter. Franc-maçonnerie: idéologie, organisation et politique. 6ème éd. Berlin: Maison d'édition centrale du NSDAP, 1944.
Schwarzwäller, Wulf. Hitler inconnu: sa vie privée et sa fortune. Traduit par Aurelius von Kappau. Edité par Alan Bisbort. Bethesda, Md.: National Press Inc et Star Agency, 1989.
Warburg, Sidney. Les sources financières du socialisme national: les soutiens secrets d'Hitler. Traduit par JG Schoup. Palmdale, Californie: Omni Publications, 1995.

La louange de mes lèvres

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"..Dans le zoo, chez les animaux Le lion est un Juif et la souris est un Juif ".

Sur l'origine de Staline (Dzhugashvili) et de sa famille est encore moins connue que sur Oulianov-Lénine. Aucun document ni aucune preuve permettant de dire avec confiance qu'ils n'ont pas subi de falsification pendant la longue période du règne de Staline n'ont été préservés. En fait, nous devons encore nous occuper des légendes créées par Staline lui-même ou par des travailleurs idéologiques du parti bolchevique. "Staline" est l'un des mythes les plus puissants de Triesar, et jusqu'à présent, nous ne pouvons que difficilement voir une personne réelle derrière ces mythes.

Secrets de famille .

De quelle nationalité était Joseph Dzhugashvili? Une question élémentaire, mais il n'y a toujours pas de réponse. On a dit aux masses d'ouvriers que Dzhugashvili était géorgien. Il semble que Staline lui-même, malgré tout son comportement en public, ait tenté de montrer son origine caucasienne (géorgienne). Par exemple, on sait que jusqu'à la fin de sa vie, Staline parlait avec un fort accent caucasien, même s'il a passé la majeure partie de sa vie en Russie et a parlé exclusivement en russe. Il aimait organiser pour les mœurs caucasiennes de magnifiques fêtes avec ses copains, pour porter un toast. Mais comment expliquer que les commissaires bolcheviks de petite ville, maîtrisant à peine la langue russe, parlaient, chantaient et prononçaient des discours ardents en russe, presque sans accent (et beaucoup commencèrent même à écrire des livres en russe), et l'homme qui pendant la plus grande partie de sa vie ne parlait que le russe , et gardé jusqu’à la fin de la vie un accent de Caucase notable? Ou: où le fils de la famille du pauvre cordonnier a-t-il eu toutes ces habitudes alimentaires? L'emphase de Staline et ses mœurs délibérées sur le Caucase ne sont-elles pas un jeu et une imitation de l'image choisie une fois?
Pourquoi pas Si le grand-père Kalinin (le grand héritier des intellectuels héréditaires) n'a pas dépensé un peu d'argent pour étudier les manières d'un simple paysan russe, afin de jouer cette image jusqu'à la fin de sa vie, pourquoi d'autres Bolcheviks, y compris Dzhugashvili, Pourraient-ils jouer les mêmes rôles choisis, conçus pour montrer la "proximité avec les gens", ou bien cacher leur véritable origine?
Ou une autre question: d'où vient le nom Dzhugashvili? Il n'y a même pas de mots similaires en géorgien. C'est pourquoi de nombreux chercheurs ont commencé à considérer Dzhugashvili comme non pas en géorgien, mais en ossète («dzug» en ossète signifie «troupeau», «troupeau», d'où le nom Dzugashvili ou Dzhugashvili, qui se traduit par «fils du troupeau»).

Mais il semble plus probable que ce silence autour de l'origine de Joseph Dzhugashvili et les tentatives constantes de dépeindre de lui des Géorgiens ou des Ossètes soient associés à un fait très gênant pour les camarades des bolcheviks et de Staline - Dzhugashvili était d'origine juive .

Juifs de montagne .

N'inventons rien. Quel est le "fils du troupeau" est complètement incompréhensible. Mais dans la langue ossète, il y a le mot "Dzuga" et "Zuts", qui n'a qu'un seul sens - un Juif . Et puis l'origine du nom Dzhugashvili devient complètement claire et compréhensible: le fils d'un Juif .
De nombreux peuples et tribus vivent dans le Caucase, et parmi eux, on connaît depuis longtemps une tribu qui vivait dans de petites communautés à travers le Caucase - les Juifs des montagnes. Et, comme ailleurs, la plupart des Juifs pratiquaient l'artisanat et le commerce, y compris de nombreux cordonniers.
Parmi les Juifs de montagne russes modernes, il existe de nombreuses figures sensationnelles. Telman Ismailov, propriétaire de Cherkizon, et récemment propriétaire de l’ensemble de l’industrie pétrolière russe Igor Khanukovich Yusufov, ainsi que du propriétaire de la plus grande société laitière Wimm Bill Dann David Yakobashvili.
Staline venait de la famille d'un cordonnier juif. Cela est attesté par son nom de famille et son prénom. Les Géorgiens russes et orthodoxes n'avaient pas l'habitude d'appeler les enfants "Joseph". Mais parmi les Juifs "Joseph" et "Joseph" - au moins un centime par douzaine. Iosif Kobzon, Tatiana Iosifovna Lokshina, Stanislav Iosifovich Kholmogorov (pape Egoria-Kholmogory). S'il vous plaît aimer et favoriser - Yuden.

Liens de famille.

Les Juifs, qui ont commis des crimes ensemble dans un groupe, ont un très fort désir de leurs semblables et une forte «impulsion de sang». Par conséquent, il y a des cas où même un quart de Juif prend soudain conscience de son identité de Juif, épouse une femme juive et part rapidement pour Israël.
Et qu'en est-il des liens familiaux avec le camarade Dzhugashvili? Tout est comme il se doit chez les Juifs. Jugez par vous-même.

La première épouse de Staline, Ekaterina Semyonovna Svanidze, avait un frère, Alexander, marié à Maria Anisimovna Svanidze (née Kogona), qui appartenait à une riche famille juive.
Anna Alliluyeva, la soeur de la deuxième épouse de Staline, Nadezhda Alliluyeva, travailla à Odessa Cheka en 1920 et épousa Stanislav Redins, également un éminent chekiste, qui devint le beau-frère de Staline à l'avenir. Redins a été arrêté et abattu lorsque L. Beria se trouvait à la tête du NKVD.
Le fils aîné de Staline, Yakov, épousa le troisième mariage avec Yulia (Judith) Isaakovna Melzer (1911-1968), fille d'un marchand d'Odessa, pour qui il était, selon le journal de M. A. Svanidze, soit le troisième, soit le quatrième mariage (avec Yakov Julius Meltzer En particulier, elle était mariée à NP Bessarab, commissaire aux affaires intérieures de l'Ukraine, qui travaillait avec Redins, ce qui a permis à Yulia de faire connaissance avec Jacob.
En 1942, Svetlana, la fille de Svetlana, âgée de 16 ans, a eu une liaison avec le célèbre réalisateur Alexei Kapler, qui était marié à cette époque-là et avait de nombreux admirateurs et maîtresses.
Le premier mari de Svetlana, diplômé de la même école que Grigory Morozov, était également juif. Selon ses souvenirs, Staline n'aimait pas le fait que Grégory évitait le front. Mais le problème principal était le père de Gregory - Joseph G. Morozov (Yesel Morse Girshevich). Un ancien homme d’affaires, qui a servi un pot-de-vin pendant un an au NEP, a commencé à se présenter comme un vieux bolchevik, professeur, et a déclaré qu’il aurait rencontré Staline. Iosif Morozov-Moroz a commencé à rencontrer Polina Zhemchuzhina (épouse de V.M. Molotov), à l'époque R.S. Zemlyachka, est devenue amie avec Lina Stern, qui dirigeait l'Institut de physiologie de l'Académie des sciences de l'URSS, qui l'a nommée députée. Naturellement, Staline a été informé du comportement de son marieur et le mariage de Svetlana a été résilié sans que les formalités nécessaires aient été remplies. Le marieur de Staline, Joseph Morozov, a été condamné à 15 ans de prison pour activités antisoviétiques (relâché en avril 1953 sur ordre de L. Beria), mais l'époux de Svetlana, Grigory Moroz, n'a pas été blessé. Il a même réussi à terminer le prestigieux MGIMO en 1949 et à aller au travail. au ministère des affaires étrangères. Plus tard, Staline a dit à Svetlana: "Ce sont les sionistes qui vous ont jeté votre premier mari ...".

"Ilito" soviétique.

Il faut dire que parmi les communistes de haut rang et les membres du parti, même d'origine russe, le mariage avec des femmes juives était considéré comme une bonne chose. Ainsi, comme déjà au niveau de la famille et du sang, une alliance hostile au peuple russe a été consolidée. Si les enfants d'un membre du parti de haut rang étaient juifs, quels seraient les intérêts russes?

Voici quelques exemples:
La femme d'Andreeva - Dora Moiseevna Hazan - Juive
La femme de Molotov - Polina Semyonovna Zhemchuzhina (Perla Semenovna Karpovskaya) - Juive
La femme de Vorochilov - Catherine (Golda) Davidovna Gorbman - Juive (baptisée avant le mariage)
L'épouse de Kirov - Maria Lvovna Markus - Juive
La femme de Kuibyshev - Evgenia Solomonovna Kogan - Juive
Le sommet du parti bolchevique était rempli de juifs et de juifs: en fait, cette étrange et sauvage union entre Russes, de par leur appartenance ethnique, bolcheviks et juifs, a formé au fil du temps le ferment de la «nouvelle communauté historique» - le «peuple soviétique». Il est l’essence des chimères laides actuelles, les "Russes", le peuple russe. Mais peu de bolcheviks de descendance non juive avaient une parenté aussi étroite avec les juifs que le camarade Staline lui-même.

La véritable histoire de Triesari.

Parmi les premiers bolcheviks, les Russes étaient étonnamment peu nombreux. Parmi les bolcheviks, les Russes travaillaient parmi les ouvriers, étant eux-mêmes issus du monde du travail. Mais ce n'étaient pas du tout la majorité. Et une partie considérable des «ouvriers» - bolcheviks sont généralement des figures mythiques. Mais il est certain que la direction des bolcheviks se composait littéralement de Juifs.
Et nous devons comprendre que Staline n'a pas du tout fait exception à cet ordre de choses, car tout se met en place. Les Kraskons, les staliniens et d'autres imbéciles stalinophiliques croient parfois que le «merveilleux Staline géorgien» aurait «sauvé» le «peuple russe zomuchennyy» des «méchants, méchants et méchants Juifs». En fait, Staline, lui-même juif, a tout simplement remporté la guerre civile interne opposant différents clans du parti et, sous la pression des circonstances historiques, a été contraint de détruire, notamment, nombre de ses compatriotes.

C’est la raison pour laquelle beaucoup de Juifs ne se félicitent pas autant de condamner le rôle historique de Dzhugashviliyev. En fait, il a tué ses propres Juifs en nombre considérable. Comme ce Golem de la légende, carrément.

La louange de mes lèvres echec et mat , le vilain grognon !

L'examen de l'ADN a confirmé les racines juives de Staline
La société
20 mars 2018 Vitaly Mann Комментариев: 1

L'examen génétique effectué à Tel Aviv a confirmé les liens de sang de Joseph Staline et du citoyen israélien Yefim Berkovich, dont les proches vivaient sur le territoire géorgien à l'époque de Staline.

«Nous avons effectué deux analyses d'ADN à la fois: sur les liens familiaux de Berkovich et de Staline et sur l'origine juive de Staline.

Les deux ont donné un résultat positif. La précision est de 99,9% », a déclaré le Dr Avigdor Perelmann.

«J'ai toujours su que Staline était un Juif. Maintenant, ce fait est confirmé d'un point de vue scientifique. Pas étonnant qu'il ait été l'un des initiateurs de la création de l'État d'Israël.

Je me souviens de la façon dont son portrait était suspendu dans mon kibboutz natal », a déclaré Abram Zahavi, docteur en sciences historiques de l'Université de Tel Aviv.