Le cardinal Zen voit une discontinuité entre François et ses prédécesseurs
Le cardinal Joseph Zen, 91 ans, de Hong Kong, estime qu'il est "vraiment dommage" que "notre belle tradition musicale", y compris le chant grégorien, se soit perdue dans la vie de l'Église (OnePeterFive.com, 12 décembre).
"La tradition musicale de l'Église a été sacrifiée sans rien recevoir en retour". Il doute également que la "participation active" souhaitée de la congrégation à la liturgie ait été atteinte.
Le cardinal Zen a observé qu'en Allemagne, la foi traverse une "crise dévastatrice". Il est préoccupé par le fait qu'un "agenda très personnel" est mis en avant sous le prétexte de la synodalité. Selon lui, cela inclut "l'introduction d'idées qui sont en conflit direct avec la doctrine de l'Église".
Le fait que des laïcs aient voté lors du synode de synodalité a déformé ce que devrait être un synode, "de cette façon, la structure même de l'Église est affectée".
La réponse de François au Dubia de cinq cardinaux "ne clarifie pas vraiment les questions que nous lui avions soumises", déclare le cardinal Zen.
Il appelle cela la "méthode habituelle" dans l'Église d'aujourd'hui qui consiste à donner des "réponses glissantes". Elles ferment la porte d'entrée sur certaines questions mais laissent la porte de derrière grande ouverte. L'Église doit offrir "une doctrine sûre, pas une matière fluide".
Sans citer le nom de François, il voit "des signes de grande discontinuité entre ce qui se passe aujourd'hui et les pontificats précédents".
Image: Joseph Zen, Traduction de l'IA
"La tradition musicale de l'Église a été sacrifiée sans rien recevoir en retour". Il doute également que la "participation active" souhaitée de la congrégation à la liturgie ait été atteinte.
Le cardinal Zen a observé qu'en Allemagne, la foi traverse une "crise dévastatrice". Il est préoccupé par le fait qu'un "agenda très personnel" est mis en avant sous le prétexte de la synodalité. Selon lui, cela inclut "l'introduction d'idées qui sont en conflit direct avec la doctrine de l'Église".
Le fait que des laïcs aient voté lors du synode de synodalité a déformé ce que devrait être un synode, "de cette façon, la structure même de l'Église est affectée".
La réponse de François au Dubia de cinq cardinaux "ne clarifie pas vraiment les questions que nous lui avions soumises", déclare le cardinal Zen.
Il appelle cela la "méthode habituelle" dans l'Église d'aujourd'hui qui consiste à donner des "réponses glissantes". Elles ferment la porte d'entrée sur certaines questions mais laissent la porte de derrière grande ouverte. L'Église doit offrir "une doctrine sûre, pas une matière fluide".
Sans citer le nom de François, il voit "des signes de grande discontinuité entre ce qui se passe aujourd'hui et les pontificats précédents".
Image: Joseph Zen, Traduction de l'IA