Quant aux déclarations des (vrais) saints des siècles passés appelées à la rescousse par les conciliaires pour justifier ou excuser leurs entourloupes et leur double langage, il est bon de rappeler que ces saints pouvaient ainsi parler sans danger, sans crainte d'être mal compris, parce qu'il ne serait pas venu à l'idée des fidèles de leur temps d'interpréter leurs paroles dans un sens vicieux, hérétique ou... maçonnique. Ce qui est loin d'être le cas de nos jours où les omnipotentes sectes maçonniques dominent le monde et prétendent imposer leur idéologie à tous, catholiques compris ! Autres temps, autres moeurs et... autres discours ! La problématique est exactement la même lorsque les catholiques des temps passés parlaient de "Liberté Religieuse" : tout le monde savait qu'il s'agissait de la Liberté de la seule Religion Catholique. Plus que jamais, bien plus qu'autrefois, en nos temps de folie ou de "désorientation diabolique", le vrai Catholique doit être sans ambiguïté, avec un discours clair et net, n'hésitant pas à corriger sans délai toute interprétation fallacieuse...

Conséquences ultimes et indiscutables de ces prévarications gravissimes de la hiérarchie catholique, entre mille, ces choses vues et entendues du pauvre fidèle de base affolé : "Remercions Dieu pour la riche diversité des religions !" (une dame dans la Prière Universelle il y a quelques années, sous le regard béat et approbateur du curé) ou encore "Que demandez-vous pour votre enfant avec le baptême ? Réponse du papa, sous le même regard béat et approbateur du curé : "Qu'il apprenne la Tolérance, la Liberté (quelle liberté, la liberté du Catholique ou celle du maçon, cher monsieur ?) et l'ouverture à l'Autre !"

À mon avis, vous auriez dû, cher ami, également souligner en couleur saumon cette phrase particulièrement ambigüe et extrêmement dangereuse : "La liberté est un droit de toute personne : chacune jouit de la liberté de croyance, de pensée, d’expression et d’action." Le mot et le concept de "liberté" sont parmi les plus dangereux et les plus pernicieux qui soient car, depuis les prétendues "Lumières", ils peuvent signifier une chose et son exact contraire : la "Liberté" du Catholique est, en toute Vérité, la pleine adhésion ou soumission à Dieu, unique Source de toute Liberté et Souveraine Liberté Lui-même (Jean VIII, 32...); en revanche la "liberté" du franc-maçon, la "liberté" de 1789, la "liberté" des diaboliques est opposée à 180° à la (vraie) Liberté du catholique : c'est l'Homme indépendant et affranchi de toute autorité, l'Homme abominable qui se fait Dieu, l'"Homme Libre" (titre du Journal de Clémenceau, mentor du Macron !!!) qui refuse toute obéissance à Dieu et à ses représentants sur terre (Église Catholique, père de famille ou Autorité légitime)... On aurait pu espérer que François entend le mot dans son sens premier, catholique, mais la suite de la phrase montre qu'il n'en est rien : le "droit à la liberté de croyance" dont il se gargarise ou "Droit à la Liberté Religieuse" est l'hérésie majeure, gravissime du Concile Vatican II (et en cela François est dans la parfaite continuité de ses "saints" prédécesseurs, à l'heureuse exception de Jean-Paul Premier); quant à la "liberté de pensée, d'expression et d'action", ces folies, ces "délires" ont déjà été condamnés depuis longtemps, entre autres par le pape Grégoire XVI de sainte mémoire, dans son encyclique "Mirari Vos". Rappelons pour ceux qui sont victimes des menteurs, des manipulateurs et des imposteurs que la "liberté religieuse" n'est en aucun cas, comme le prétend monstrueusement Dignitatis Humanae, un "droit", encore moins un "droit sacré", car tout droit ne peut venir que de Dieu et Dieu veut que l'on Lui rende un Culte en étant... catholique; mais la "liberté religieuse" bien entendue est seulement une tolérance plus ou moins révocable, extensible ou rétrécie en fonction des circonstances (nécessité d'assurer la paix publique, interdiction aux fausses religions ou aux sectes d'user de cette tolérance pour exercer un prosélytisme public etc...) ou rendue indispensable par l'interdiction faite aux états comme à l'Église de violer les consciences, même erronées. L'état qui viole cette Vérité divine, comme par exemple la France maçonnique depuis 1789, et avec la bénédiction de Rome depuis 1965, s'expose aux pires conséquences : c'est exactement ce qui s'est passé avec l'intrusion du protestantisme puis du talmudiste jusqu'au sommet de l'Etat, en attendant le retour à la barbarie la plus bestiale avec le mahométisme. Précisons enfin pour les mêmes bonnes personnes que lorsque l'on parlait dans l'Église des siècles passés, jusque Vatican II exclusivement, de droit à la "Liberté Religieuse", on parlait, sans le préciser, de "Liberté" de la Religion Catholique, tant cela était évident pour tous.

"les conciliaires ont détruit les derniers États ouvertement et officiellement catholiques pour en faire de vulgaires Démocraties Maçonniques"

En effet cher ami

Il est notoire (sauf pour les crétins complices ou pour ceux qui ne veulent rien voir ni savoir) qu'après le concile se sont multipliées les interventions scandaleuses auprès des gouvernements pour qu'ils retirent de leurs Constitutions la mention du Catholicisme comme religion d’Etat ou pour réviser les concordats.

Colombie en 1973
Espagne en 1976
Pérou en 1980
Italie en 1984
Ce sont quasiment tous les Etats Catholiques qui ont été "exhortés" à adopter les principes de cette "liberté religieuse" !

François n'a t-il pas lui-même vanté cette "liberté religieuse" à la Présidente de la Slovénie pourtant à immense majorité catholique ?!

Qu'est-ce que la Chrétienté y a gagné ?

Rien, mais comme elle a perdu !

L'islam persécute au moins autant les chrétiens, la Foi a fondu comme neige au soleil et en Occident les mosquées ont poussé comme des champignons... et c'est maintenant en France que des prêtres se font molester, voire égorger, et les églises vandaliser !

Oui, c'est une période de l'histoire du monde qui restera tristement dans les mémoires de nos descendants. Après le Concile Vatican II, effaré par ce qui allait se produire, l'abbé de Nantes s'était rendu en Espagne pour alerter le gouvernement du général Franco des conséquences trop prévisibles de ce Concile; il obtint un rendez-vous avec l'un des ministres du général (dont je ne me rappelle plus le nom). Mais le gouvernement espagnol ne prit pas au sérieux cette mise en garde, persuadé qu'il était impossible qu'une telle trahison puisse venir de Rome... Pendant ce temps le futur Juan-Carlos trahissait, lui aussi... L'alliance du "sabre et du goupillon" CONTRE la Royauté sociale de Notre-Seigneur ! Apocalyptique !

Nous devons obéir aux autorités avec discernement. Si ce que dit le pape en tant qu'homme est peccamineux il nous est un devoir de lui désobéir. Si ce que le pape nous demande ne l'est pas mais vient simplement de lui, en tant qu'homme, nous avons le choix d'accepter ou de refuser ; si ce que le pape nous demande vient de l'Esprit Saint nous avons le devoir d'obéir à l'Esprit Saint. C'est le problème du in personna christi.
D'une manière générale c'est à notre évêque que nous devons obéissance d'abord ; ensuite au pape.

Oui, avec discernement. Le devoir d’obéissance catholique vis-à-vis de la hiérarchie catholique (incarnée en effet d’abord par notre évêque) ne suppose pas une obéissance aveugle et inconditionnelle. Si par exemple mon évêque me demandait de faire silence sur un crime que le Droit de l'Eglise oblige pourtant à dénoncer, je serais alors en droit de lui désobéir. Il existe plusieurs degrés d’autorité enseignante dans les Actes du saint Magistère. Même quand ceux-ci sont revêtus de la plus faible autorité magistérielle ils appellent de la part des fidèles une attention respectueuse et bienveillante. Les Actes relevant du Magistère universel, ordinaire et extraordinaire, en matière de foi et de morale, appellent une obéissance dite de foi certaine de leur part. Quant un Pape exprime ou improvise, en dehors d’un acte de magistère, des paroles doctrinalement très douteuses voire hétérodoxes, ces paroles n’exigent bien entendu aucune attention obéissante de leur part.

Oui, mais ce cardinal n'est que la voix de son maître bisouteur de Coran, receveur de signe de Shivâ, ami des vaudous du Bénin, copain du Dalaï Lama qu'il a appelé "Votre Sainteté", admirateur des danseuses demi-nues d'Océanie" etc... etc... etc... et sa responsabilité en est, de ce fait, moindre : "...Car, par son Incarnation, le Fils de Dieu s'est en quelque sorte uni Lui-même à TOUT homme..." (Gaudium & Spes 22, 2. Texte élaboré par monseigneur Karol Wojtyla, futur "saint" Jean-Paul II. Cf. "Redemptor Hominis")

"...Ils jouent sur les mots et induisent en erreur leurs fidèles..." : oui, ces ambiguïtés, c'est la tare originelle (probablement voulue !) de plusieurs textes majeurs du Concile Vatican II, tare beaucoup plus présente -tout comme les omissions (on peut AUSSI pécher par omission, ne l'oublions pas)- que les rares hérésies conciliaires. Et depuis la fin de Vatican II, ces ambiguïtés sont toujours éclaircies dans la pratique par ceux qui ont l'autorité dans un sens hérétique, malsain, progressiste et moderniste, preuve de l'intention qui les animait... Et lorsque vous demandez des explications ou que vous protestez, on vous jette à la figure l'autre sens, plus traditionnel ! Qu'alliez-vous imaginer ? Et passez muscade... depuis 55 ans. Les "fumées de satan" dont s'étonnait "saint" Paul VI en 1972, elles sont là, exactement sous la pointe de votre scalpel.

Quand j'ai une critique à faire, je la fais habituellement de manière loyale, argumentée et raisonnée et, dans ce domaine, je ne cours pas me réfugier comme un neuneu affolé sur "You-Tube" ou "Wikipedia". On a les défenseurs qu'on peut... Moi, j'ai lu et étudié très sérieusement les principaux textes de Vatican II, pendant des dizaines d'années; je sais donc de quoi je parle et je peux en parler sérieusement, prêt à illustrer mon propos par des exemples précis si l'on me le demande, même si cela est bien difficile dans le cadre restreint des commentaires de Gloria.tv; car c'est bien un domaine immense, délicat qui ne supporte pas l'imprécision, le flou ou la précipitation. De fait, j'ai écouté le flot de verbiage du "you-tubeur" "Archidiarrhée" (on aurait préféré un théologien calme, précis et posé plutôt qu'un insipide pilier d'internet), dont le débit ahurissant et le matraquage d'images de toutes sortes font immédiatement penser à ces bateleurs de foire ou à ces prestidigitateurs qui attirent et embobinent les pauvres badauds éberlués à force de ronflant baratin et de gestes de théâtre pendant qu'ils font leurs entourloupes en douce. Et puis, s'attaquer à un monsieur Abauzit qui n'est rien du tout dans ces questions, en faisant croire qu'il représente un chef de file crédible des opposants à Vatican II, c'est s'assurer une victoire facile, peu glorieuse et somme toute assez lâche; mais on a l'habitude de ce genre de procédés, tant dans les questions politiques que religieuses. Maintenant, trêve de plaisanterie, nous catholiques, nous attendons, de préférence en priant et en faisant pénitence, mais sans faiblir, le vrai procès de Vatican II qui se fera, tôt ou (plutôt) tard, devant qui de droit, devant l'Autorité responsable et non devant les agités du bocal qui sévissent de nos jours sur le web.

Catholique et Français, il y a sur le net des loups dans la bergerie, de faux chrétiens et des pervers. Je suppose-même que l'on trouve des robots car l'intelligence artificielle a fait des progrès. Nous sommes arrivés à la fin des temps. Notre pape est pleinement mouillé dans le syncrétisme, le culte de la Terre et la propagation de la religion maçonnique. La doctrine ? Il s'en fout. Très bon psychologue il joue sur le fait qu'on le respecte car il est le saint Père et qu'à cause de cela tout ce qu'il fait est saint, irréprochable. Hors, il ne cesse de proférer hérésies sur hérésies A TITRE PERSONNEL comme il en a le droit et vous pensez qu'il agit DANS L'ESPRIT SAINT alors qu'il agit à titre peccamineux. Il cherche à entrainer derrière lui toute l'Eglise vers l'enfer tout en proclamant qu'il n'y a pas d'enfer. Le pape a un problème mental. Il raisonne faux.
Le problème dans le doc ci-joint sur le pape François alors qu'il n'était que Mgr Jorge Bergoglio ; doc que j'ai chargé est que le cardinal de Buenos Aires anticipe les messes sacrilèges sous couvert de messes œcuméniques. Mgr Swift se proclame adorateur de la Terre. On ne peut adorer deux maîtres. Alors comment peut-il concélébrer avec MgrJorge Bergoglio sans que les deux ne commettent un double sacrilège ? En effet, concélébrer avec une personne excommuniée pour idolâtrie équivaut à s'excommunier soit-même.
Lorsque la soif du pouvoir ronge le cœur d'un homme il est près à vendre son âme.

Avoir lu les textes du Concile Vatican II à travers par exemple le filtre malveillant de l’herméneutique de l’abbé de Nantes, dont il est facile de démontrer la nature en partie déformante et diffamatoire ( les vidéos de « Archidiacre » notamment démontent clairement le logiciel anti-Vatican II déformant ), est bien autre chose que de les avoir lus en toute objectivité et suivant le sens que leur a donnés le Magistère ordinaire et universel de l'Eglise. L’argumentaire du Youtubeur « Archidiacre » est solidement étayé sur des documents du Magistère, d’avant Vatican II et d’après Vatican II, ainsi que sur des textes de la Tradition sacrée, et il se déroule selon des jugements rationnels d’une rigueur implacable. Sur la forme, ses vidéos, qui requièrent un travail documentaire audio-visuel impressionnant, sont certes critiquables car son choix de les publier dans un format relativement court (moins de 30 min), le contraint à parler vite et à ne pas s’attarder sur chaque exposition visuelle d’un extrait de texte. Pour profiter du contenu très dense de ses vidéos il convient donc d’appuyer ponctuellement sur « pause » et de les retravailler ensuite à tête reposée. Son travail n’a rien d’un « bateleur de foire » (sic!) mais d’un apologète sérieux. J’ai lu parfois dans des commentaires sous ses vidéos quelques anti-Vatican II confesser ne pas partager ses convictions pro-Vatican II et en même temps reconnaître le sérieux et la cohérence de son argumentaire. S’agissant de Adrien Abauzit, il a choisi de lui répondre car ce sédévacantiste exerce désormais une réelle influence sur l’Internet, surtout dans la mouvance schismatisante anti-Vatican II. Ponctuellement il s’est adapté dans ses réponses à son esprit de dérision pour, tel un judoka, le retourner contre lui. Enfin, soyons sérieux et laissons fantasmer les schismatisants : il n’y aura jamais de remise en cause du concile Vatican II dans le futur par la Sainte Eglise, du moins pour tout ce qui touche à son magistère ordinaire et universel en matière de foi et de morale, magistère déjà validé par la pleine autorité apostolique pontificale, notamment dans le dernier Catéchisme de l’Église.