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François divague encore au sujet de Judas

Francis a encore nié lors de son homélie du 8 avril que Judas brûle en enfer alors qu'il sait que le Christ a dit qu'il serait mieux pour Judas "s'il n'était jamais né".

"Cela signifie-t-il que Judas est en enfer ?" demande François. Il répond : "Je ne sais pas. Je regarde l'Evangile, et je vois Jésus l'appeler son ami."

Parlant peut-être de lui-même, François a également mentionné "le petit Judas que nous portons en nous", mais il s'est tu au sujet du Christ en disant que "Satan est entré dans Judas" (Jean 13, 27) qui est "le fils de la perdition" (Jean 17, 12).

#newsUfdidvlzok

apvs
Voici, pour être plus clair encore, mon point de vue théologique.
- Pour sauver le monde, Dieu a voulu avoir besoin que son Verbe Eternel s'incarne en Marie, prenant notre propre chair afin de pouvoir Lui offrir le seul sacrifice rédempteur saint, parfait, capable d'être agréé en complète réparation de nos fautes.
MAIS IL FALLAIT POUR CELA QUE MARIE CONSENTE À DEVENIR LA MÈRE DE DIEU !
MAIS IL …
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Voici, pour être plus clair encore, mon point de vue théologique.

- Pour sauver le monde, Dieu a voulu avoir besoin que son Verbe Eternel s'incarne en Marie, prenant notre propre chair afin de pouvoir Lui offrir le seul sacrifice rédempteur saint, parfait, capable d'être agréé en complète réparation de nos fautes.
MAIS IL FALLAIT POUR CELA QUE MARIE CONSENTE À DEVENIR LA MÈRE DE DIEU !
MAIS IL FALLAIT POUR CELA QUE JÉSUS CONSENTE LIBREMENT À MOURIR POUR NOUS SUR LA CROIX, EN OBEISSANCE À SON PÈRE !

Tous deux consentirent, et dès le départ, la victoire était donc assurée.

- Pour perdre le monde, et pour contrer l'ennemi redoutable que Satan pressentait en la Personne du Christ et en celle de sa Mère, il lui fallait À LUI AUSSI une "incarnation", un être qui lui appartiendrait complètement, afin de mettre à terre le grand Roi, afin qu'Il ne puisse pas régner ( !!!!! on élève un trône à Celui qu'on veut priver de Son Règne, faut-il être dupe ! )
MAIS IL FALLAIT POUR CELA QUE JUDAS Y CONSENTIT PLEINEMENT, SANS QUOI SA VICTOIRE SUR LE CHRIST LUI AURAIT ( selon lui ) ÉCHAPPÉ.
Et Judas, malheureusement, consentit à ce plan funeste... Il n'y avait absolument pas été forcé, ce n'était en aucun cas une condition de notre salut ( comme veulent le croire certains, pour dire qu'il était somme toute innocent )...

Et son consentement, débuté très tôt dans son enfance malheureuse, et déjà très abouti lors de son intégration parmi les apôtres, ne fit que croître, en dépit des efforts constants du Christ qui y jeta toutes ses forces, tout son être de Sauveur.... JUSQU'À SON PLEIN ABOUTISSEMENT. Pour la plus grande souffrance du Christ miséricordieux qui ne pouvait l'ignorer.

Nous ne savions pas que ce plein aboutissement du consentement de Judas à la domination satanique sur lui, survint bien avant le début de la Passion : JÉSUS NOUS L'A ENSEIGNÉ CLAIREMENT.
" Il eût mieux valu pour cet homme de ne point naître. "
apvs
Quand à mes paraphrases ? elles impliqueraient selon pseudo 62 ?
...que Judas ne put avoir aucune chance de se repentir de son acte de trahison, en particulier de son baiser de trahison dans le Jardin, en faisant mémoire d’une prétendue prophétie et sentence de Jésus de nature à l’enfermer fatalement dans une destinée malheureuse éternelle,
Ah bon ?
VS :
Non.
Ce qui est vrai, c'est que le …
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Quand à mes paraphrases ? elles impliqueraient selon pseudo 62 ?
...que Judas ne put avoir aucune chance de se repentir de son acte de trahison, en particulier de son baiser de trahison dans le Jardin, en faisant mémoire d’une prétendue prophétie et sentence de Jésus de nature à l’enfermer fatalement dans une destinée malheureuse éternelle,

Ah bon ?

VS :

Non.
Ce qui est vrai, c'est que le Seigneur répugne TELLEMENT à châtier les coupables, et combien plus de les voir être précipités en enfer, qu'Il a ici comme un mouvement DÉSESPÉRÉ de sa Miséricorde, comme pour dire à Judas :

" Mais enfin, homme, JE LE SAIS, TU VAS BIENTÔT ÊTRE ETERNELLEMENT DAMNÉ : JE LE SAIS !!! JE LE SAIS, ENTENDS-TU ?!! NE VEUX-TU PAS LE COMPRENDRE ?!! POURQUOI, POURQUOI NE FERAIS-TU PAS MENTIR CETTE PAROLE, QUE JE SAIS MALHEUREUSEMENT ÊTRE CERTAINE, POURQUOI ??? PAR PITIÉ POUR TOI-MÊME, ET PAR PITIÉ POUR MOI QUI VOUDRAIT TELLEMENT TE SAUVER ???

MAIS QUE DIS-JE, AMI : TU ES MORT, COMPLÈTEMENT MORT... J'ESSAIE DE TE RÉVEILLER, MAIS TU ES MORT...EN TANT QUE DIEU JE LE VOIS ET NE PEUX AVOIR AUCUN RESTE D'ILLUSION....

J'AI FAIS SORTIR DE SA TOMBE UN MORT DE QUATRE JOUR PAR MA PUISSANCE DIVINE, MAIS TOI..... TOI, TU ES TELLEMENT MORT, TU APPARTIENS TELLEMENT À SATAN QUE MA VOIX NE T'EFFLEURE MÊME PLUS....

PAUVRE JUDAS !!! PAUVRE JUDAS !!! COMME IL AURAIT MIEUX VALU POUR TOI DE NE PAS ÊTRE !!! AAAaah, si tu pouvais le comprendre, et dire simplement : " MISERICORDE ".... mais non..... tu es vraiment mort, ami...J'avais TOUT fais pour t'éviter cette mort spirituelle, pour te sauver.....et Mon Cœur plein d'Amour saigne d'annoncer ainsi ton châtiment ..."


Là est le mystère de Judas, tel qu'il est exposé dans Maria Valtorta :

- Oui, Jésus savait. En tant que Dieu, Il n'avait pas la chance d'ignorer, ce qui l'aurait fait moins souffrir.

- Judas, lui, ne pouvait pas être touché par autre chose que l'Amour infinie qui transparaissait dans ces Paroles pleine de COMPASSION, même si elles lui annonçaient le drame absolu de son existence, à qui le non-être était préférable.

- Pour sûr, ces Paroles étaient certaines et vraies, car la Prescience de Dieu est infaillible : MAIS COMME L'EXPLIQUE LE CHRIST DANS MARIA VALTORTA, MÊME CETTE PRESCIENCE IL VOULAIT, DANS UN MOUVEMENT DÉSESPÉRÉ DE SON AMOUR POUR JUDAS, LA FAIRE MENTIR !

Finalement :
apvs
Finalement : c'est un défit, un dernier défit du Christ, un dernier coup de trompe comme pour la malheureuse chèvre de mr Seguin que Jésus lance à Judas :
" FAIS MOI MENTIR ! PAR PITIÉ POUR LA VÉRITÉ QUI SOUFFRE TELLEMENT DE TE LA DIRE : FAIS MOI MENTIR, PAR IMPOSSIBLE, JUDAS PAUVRE MORT, SI TU LE PEUX ENCORE...... si tu le pouvais, aaaah si tu pouvais me faire mentir encore ! Si la Vérité …
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Finalement : c'est un défit, un dernier défit du Christ, un dernier coup de trompe comme pour la malheureuse chèvre de mr Seguin que Jésus lance à Judas :

" FAIS MOI MENTIR ! PAR PITIÉ POUR LA VÉRITÉ QUI SOUFFRE TELLEMENT DE TE LA DIRE : FAIS MOI MENTIR, PAR IMPOSSIBLE, JUDAS PAUVRE MORT, SI TU LE PEUX ENCORE...... si tu le pouvais, aaaah si tu pouvais me faire mentir encore ! Si la Vérité pouvait avoir le soulagement de dire : 1JE ME SUIS TROMPÉE, IL M'A FAIT MENTIR MAIS CELA M'EST BIEN ÉGAL, CAR C'EST MON BONHEUR : IL VIT ENCORE !!! IL EST ENCORE RELIÉ À MOI , SATAN NE ME L'A PAS ENCORE ARRACHÉ !!! "

Le Christ a voulu parler de cette dernière possibilité qui aurait pu avoir lieu si Judas n'avait pas été ce Judas là ! Si Judas avait voulu se laisser toucher, ne serait-ce que par la voix de la sainte Mère de Dieu, qui l'aurait emmené au pied de la Croix de son Fils recevoir à flot le Sang rédempteur, et avec lui son pardon.

Certainement, Judas serait ensuite mort très vite de chagrin....mais PARDONNÉ, pardonné de son déicide, avec l'espoir d'expier sa faute dans le purgatoire jusqu'à la fin du monde peut-être, mais pour entrer enfin un jour au Paradis....

Quel chagrin de penser à tout cela, et de partager un peu la peine déchirante du Cœur du très doux Jésus, qui SAVAIT d'avance que cela ne se ferait pas ...
apvs
Regardons la remarque du pseudo ci-dessous, concernant le désespoir de Judas, et comprenons en quoi elle pèche :
Non, Jésus ne pouvait pas signifier la prochaine damnation de Judas, car sinon, le diable aurait pu s'en servir pour le pousser au désespoir :
"Le traître que tu es aurait mieux fait de ne jamais naître car ton sort éternel de malheur fut de toute façon scellé par les paroles toutes …
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Regardons la remarque du pseudo ci-dessous, concernant le désespoir de Judas, et comprenons en quoi elle pèche :
Non, Jésus ne pouvait pas signifier la prochaine damnation de Judas, car sinon, le diable aurait pu s'en servir pour le pousser au désespoir :
"Le traître que tu es aurait mieux fait de ne jamais naître car ton sort éternel de malheur fut de toute façon scellé par les paroles toutes récentes du Seigneur Jésus."


REPONSE ÉVIDENTE :
- 1) Le diable, en parlant ainsi, aurait menti, tout comme il avait menti à Adam dans le jardin d'Éden, mais pour le flatter : " Mais non ! Vous ne mourrez pas ! etc..."
Il lui aurait alors menti, car CE N'EST CERTAINEMENT PAS LE CHRIST QUI SCELLA PAR SA PAROLE LE SORT DE JUDAS, C'EST JUDAS LUI-MÊME QUI DÉLIBÉRÉMENT, EN MOURANT JUSQU'AU PLUS INTIME DE LUI-MÊME À LA GRÂCE, EN SE DONNANT CORPS ET ÂME À SATAN, SCELLA TOUT SEUL SON SORT ÉTERNEL. ET CELA, COMMENT JUDAS POUVAIT-IL L'IGNORER ?
D'OÙ LA PARAPHRASE QUI M'EST VENU, ET QUE JE REPUBLIE CI-DESSOUS. ( voir juste après )

-2) La faute d'un suicidé n'est pas systématiquement la même ! C'est une des erreurs fondamentales du pseudo 62 !
On en a un témoignage éloquent rapporté par le saint curé d'Ars, concernant cet homme s'étant jeté d'un pont. ET POURQUOI LE FIT-IL ? Peut-être parce qu'on l'avait poussé au désespoir, ce qu'il regretta avant de se noyer, et rendit son suicide moins grave aux yeux du Seigneur...

Ainsi, si Judas s'était suicidé parce qu'il n'avait pas supporté la sentence du Christ :
- il l'aurait fait en priorité, avant même d'avoir commis le déicide, et cela aurait été mieux pour lui
- finalement, son péché de suicide aurait été sans doute MOINS GRAND, et on pourrait supposer qu'il se serait accompagné d'une secrète pensée de repentir, pourquoi pas ?

Même si Jésus n'a jamais poussé Judas au suicide, si par impossible Il l'avait fait, CELA AURAIT SANS DOUTE ÉTÉ UN MOINDRE MAL POUR JUDAS...

Pourquoi dans ce cas, définir comme illicite le fait que Judas ait pu être poussé à se donner la mort "dans de meilleurs dispositions", ce qui aurait été à n'en point douter un moindre mal pour lui ?
apvs
" Mais enfin, homme, JE LE SAIS, TU VAS BIENTÔT ÊTRE ETERNELLEMENT DAMNÉ : JE LE SAIS !!! JE LE SAIS, ENTENDS-TU ?!! NE VEUX-TU PAS LE COMPRENDRE ?!! POURQUOI, POURQUOI NE FERAIS-TU PAS MENTIR CETTE PAROLE, QUE JE SAIS MALHEUREUSEMENT ÊTRE CERTAINE, POURQUOI ??? PAR PITIÉ POUR TOI-MÊME, ET PAR PITIÉ POUR MOI QUI VOUDRAIT TELLEMENT TE SAUVER ???
MAIS QUE DIS-JE, AMI, TU ES MORT, COMPLÈTEMENT MORT.…
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" Mais enfin, homme, JE LE SAIS, TU VAS BIENTÔT ÊTRE ETERNELLEMENT DAMNÉ : JE LE SAIS !!! JE LE SAIS, ENTENDS-TU ?!! NE VEUX-TU PAS LE COMPRENDRE ?!! POURQUOI, POURQUOI NE FERAIS-TU PAS MENTIR CETTE PAROLE, QUE JE SAIS MALHEUREUSEMENT ÊTRE CERTAINE, POURQUOI ??? PAR PITIÉ POUR TOI-MÊME, ET PAR PITIÉ POUR MOI QUI VOUDRAIT TELLEMENT TE SAUVER ???

MAIS QUE DIS-JE, AMI, TU ES MORT, COMPLÈTEMENT MORT... J'ESSAIE DE TE RÉVEILLER, MAIS TU ES MORT...EN TANT QUE DIEU JE LE VOIS ET NE PEUX AVOIR AUCUN RESTE D'ILLUSION....

J'AI FAIS SORTIR DE SA TOMBE UN MORT DE QUATRE JOUR PAR MA PUISSANCE DIVINE, MAIS TOI..... TOI, TU ES TELLEMENT MORT, TU APPARTIENS TELLEMENT À SATAN QUE MA VOIX NE T'EFFLEURE MÊME PLUS....

PAUVRE JUDAS !!! PAUVRE JUDAS !!! COMME IL AURAIT MIEUX VALU POUR TOI DE NE PAS ÊTRE !!! AAAaah, si tu pouvais le comprendre, et dire simplement : " MISERICORDE ".... mais non..... tu es vraiment mort, ami...J'avais TOUT fais pour t'éviter cette mort spirituelle, pour te sauver.....et Mon Cœur plein d'Amour saigne d'annoncer ainsi ton châtiment ..."

😭
Psaume 62
Un typique complet contresens, ou plutôt inversion volontaire des choses, qui choque tant elle est ridicule ! :)))))))
Ni contresens ( contrairement à la paraphrase initiale de apvs sur ces paroles percutantes de Jésus) ni inversion volontaire des choses, mais un simple constat. :-))
Je n’ai jamais remis en question de mon côté la réalité de la damnation de Judas qui, ayant commis un blasphème …
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Un typique complet contresens, ou plutôt inversion volontaire des choses, qui choque tant elle est ridicule ! :)))))))

Ni contresens ( contrairement à la paraphrase initiale de apvs sur ces paroles percutantes de Jésus) ni inversion volontaire des choses, mais un simple constat. :-))

Je n’ai jamais remis en question de mon côté la réalité de la damnation de Judas qui, ayant commis un blasphème contre l’Esprit Saint par désespoir - blasphème impardonnable aux dires mêmes des paroles du Seigneur (Mc 3. 28-29) – se damna par le fait même.

J'estime donc que le pape François en l'occurrence n'a pas enseigné clairement toute la vérité, même si son homélie contient des éléments très édifiants. De même que cet article québécois cité par Sylvanus.
apvs
Voilà PAR CONTRE, non pas "la clef", mais une réponse claire aux incertitudes de Sylvanus :
Oui, l'Église a affirmé que la damnation de Judas était certaine :

[ « Aussi ne tirent-ils point d’autre fruit de leur Sacerdoce, que celui que recueillit Judas de son apostolat, c’est-à-dire leur perte éternelle. » ]
VS ( François) :
" Si Judas est damné ?? Je ne sais pas... Je ne peux pas savoir...."Plus
Voilà PAR CONTRE, non pas "la clef", mais une réponse claire aux incertitudes de Sylvanus :
Oui, l'Église a affirmé que la damnation de Judas était certaine :

[ « Aussi ne tirent-ils point d’autre fruit de leur Sacerdoce, que celui que recueillit Judas de son apostolat, c’est-à-dire leur perte éternelle. » ]

VS ( François) :
" Si Judas est damné ?? Je ne sais pas... Je ne peux pas savoir...." 🥴🥴🥴
apvs
Même le pseudo apvs 😂 😂 😂 🥴 🥴 🥴 prit acte que Judas commit le plus grave péché qui soit consistant en un blasphème contre l’Esprit Saint qui consiste en l’occurrence à se fermer par désespoir à la miséricorde infinie de Dieu.
Un typique complet contresens, ou plutôt inversion volontaire des choses, qui choque tant elle est ridicule ! :)))))))
Car OUI, le pseudo apvs en a tellement …
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Même le pseudo apvs 😂 😂 😂 🥴 🥴 🥴 prit acte que Judas commit le plus grave péché qui soit consistant en un blasphème contre l’Esprit Saint qui consiste en l’occurrence à se fermer par désespoir à la miséricorde infinie de Dieu.
Un typique complet contresens, ou plutôt inversion volontaire des choses, qui choque tant elle est ridicule ! :)))))))

Car OUI, le pseudo apvs en a tellement convenu, que cela faisait parti de son argumentaire pour montrer à notre ami Sylvanus combien son article se contredisait lui-même :
- On ne sait soi-disant pas si Judas est damné
- On sait qu'il a commis le plus grand péché qui puisse être commis ici-bas : DONC LE BLASPHÈME IMPARDONNABLE ( dès ici-bas) CONTRE LE SAINT ESPRIT !

Donc en fait :
- on ne sait pas
- mais en fait .... on sait.
( mais on dit qu'on ne peut pas savoir.... tout en sachant....)
Psaume 62
Quant aux paraphrases de apvs sur lesdites paroles percutantes de Jésus, elles sont une nouvelle fois, quoique moins gravement, non pertinentes car elles impliquent que Judas ne pût avoir aucune chance de se repentir de son acte de trahison, en particulier de son baiser de trahison dans le Jardin. Ainsi, en faisant mémoire d’une prétendue prophétie et sentence de Jésus de nature à l’enfermer …Plus
Quant aux paraphrases de apvs sur lesdites paroles percutantes de Jésus, elles sont une nouvelle fois, quoique moins gravement, non pertinentes car elles impliquent que Judas ne pût avoir aucune chance de se repentir de son acte de trahison, en particulier de son baiser de trahison dans le Jardin. Ainsi, en faisant mémoire d’une prétendue prophétie et sentence de Jésus de nature à l’enfermer fatalement dans une destinée malheureuse éternelle, il eût pu se dire à lui-même sous l’influence de Satan : « Le traître que tu es aurait mieux fait de ne jamais naître car ton sort éternel de malheur fut de toute façon scellé par les paroles toutes récentes du Seigneur Jésus » !!!

Or, répétons-le, Jésus ne put pas pousser Judas à quelque acte de désespoir, en lequel consista précisément la cause ultime de sa damnation, singulièrement après son baiser de trahison. C’est donc que la lecture péremptoire du pseudo apvs est gravement erronée.

Dans l’oeuvre de Maria Valtorta, il est narré l’errance de l’Iscariote faisant suite à sa livraison de Jésus au Jardin de Gethsémani, errance qui fut marquée par une rencontre inattentue avec Marie la mère de Jésus. Citation :

"Judas !" dit Marie, "Judas, qu'es-tu venu faire ?". Les paroles mêmes de Jésus, et dites avec un amour douloureux. Judas s'en souvient et pousse un cri. "Judas" répète Marie "qu'as-tu fait ? À tant d'amour tu as répondu en trahissant ?" La voix de Marie est une caresse tremblante. Judas va s'échapper. MARIE L'APPELLE D'UNE VOIX QUI AURAIT DÛ CONVERTIR UN DÉMON. "Judas ! Judas ! Arrête-toi ! Arrête-toi ! Écoute ! Je te le dis en son nom : repens-toi, Judas. Lui pardonne…".

Non, il n’était pas trop tard. La miséricorde infinie de Dieu lui était encore offerte par la voix de l’immaculée, douce et miséricordieuse Marie !
Psaume 62
Bien sûr que si (!), ces paroles du saint Concile de Trente : « Autrement, le souvenir plein d’amertume et la vue effrayante de tous nos péchés pourraient nous jeter dans le désespoir de Caïn et de Judas, qui ne voulurent voir en Dieu qu’un Vengeur et un Justicier, et non point la Bonté même de la Miséricorde infinie » donnent la clé de compréhension de la raison ultime de la damnation de …Plus
Bien sûr que si (!), ces paroles du saint Concile de Trente : « Autrement, le souvenir plein d’amertume et la vue effrayante de tous nos péchés pourraient nous jeter dans le désespoir de Caïn et de Judas, qui ne voulurent voir en Dieu qu’un Vengeur et un Justicier, et non point la Bonté même de la Miséricorde infinie » donnent la clé de compréhension de la raison ultime de la damnation de l’Iscariote . Même le pseudo apvs prit acte que Judas commit le plus grave péché qui soit consistant en un blasphème contre l’Esprit Saint qui consiste en l’occurrence à se fermer par désespoir à la miséricorde infinie de Dieu.

Certes le Concile de Trente n’a pas, ce disant, renseigné précisément sur le sort éternel de Caïn, à la différence de ce qu’il fit pour l’Iscariote par ailleurs [ « Aussi ne tirent-ils point d’autre fruit de leur Sacerdoce, que celui que recueillit Judas de son apostolat, c’est-à-dire leur perte éternelle. » ], bien que Caïn pût également se damner par désespoir. Mais ce disant le Concile de Trente a toutefois renseigné sur la cause ultime de la damnation de Judas : le désespoir opposé à la miséricorde de Dieu et se faisant au final péché impardonnable.

apvs mélange ensuite les choses, il prend des indices forts pour des preuves absolues.

Autant l’expression « le fils de perdition » prononcée par Jésus en l’absence de Judas, après qu’il fut parti préparer sa livraison de Jésus au Jardin de Gethsémani, ou encore le qualificatif « démon » constituent des indices très forts voire quasiment des preuves de la damnation future de Judas ( étant, dans l’ordre, au minimum une prophétie sur sa perdition en cours, sur le fait que Judas était en train d’emprunter la voie de la damnation, et au minimum une description de l’influence directe de Satan sur l’âme de Judas ). Autant lesdites paroles de Jésus " malheur à cet homme par qui le Fils de l'homme est livré ! Il eût mieux valu pour lui de ne pas naître ! " dites en la présence de Judas ne doivent très probablement pas être comprises EN ELLES-MÊMES comme sa damnation pour l’éternité, ainsi que le croyait saint Jean-Paul II et ainsi que je le crois également pour toutes les raisons que j’ai analysées plus bas dans des commentaires.
apvs
Non.
Ce qui est vrai, c'est que le Seigneur répugne TELLEMENT à châtier les coupables, et combien plus de les voir être précipités en enfer, qu'Il a ici comme un mouvement DÉSESPÉRÉ de sa Miséricorde, comme pour dire à Judas :
" Mais enfin, homme, JE LE SAIS, TU VAS BIENTÔT ÊTRE ETERNELLEMENT DAMNÉ : JE LE SAIS !!! JE LE SAIS, ENTENDS-TU ?!! NE VEUX-TU PAS LE COMPRENDRE ?!! POURQUOI, POURQUOI …
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Non.
Ce qui est vrai, c'est que le Seigneur répugne TELLEMENT à châtier les coupables, et combien plus de les voir être précipités en enfer, qu'Il a ici comme un mouvement DÉSESPÉRÉ de sa Miséricorde, comme pour dire à Judas :
" Mais enfin, homme, JE LE SAIS, TU VAS BIENTÔT ÊTRE ETERNELLEMENT DAMNÉ : JE LE SAIS !!! JE LE SAIS, ENTENDS-TU ?!! NE VEUX-TU PAS LE COMPRENDRE ?!! POURQUOI, POURQUOI NE FERAIS-TU PAS MENTIR CETTE PAROLE, QUE JE SAIS MALHEUREUSEMENT ÊTRE CERTAINE, POURQUOI ??? PAR PITIÉ POUR TOI-MÊME, ET PAR PITIÉ POUR MOI QUI VOUDRAIT TELLEMENT TE SAUVER ???

MAIS QUE DIS-JE, AMI, TU ES MORT, COMPLÈTEMENT MORT... J'ESSAIE DE TE RÉVEILLER, MAIS TU ES MORT...EN TANT QUE DIEU JE LE VOIS ET NE PEUX AVOIR AUCUN RESTE D'ILLUSION....

J'AI FAIS SORTIR DE SA TOMBE UN MORT DE QUATRE JOUR PAR MA PUISSANCE DIVINE, MAIS TOI..... TOI, TU ES TELLEMENT MORT, TU APPARTIENS TELLEMENT À SATAN QUE MA VOIX NE T'EFFLEURE MÊME PLUS....

PAUVRE JUDAS !!! PAUVRE JUDAS !!! COMME IL AURAIT MIEUX VALU POUR TOI DE NE PAS ÊTRE !!! AAAaah, si tu pouvais le comprendre, et dire simplement : " MISERICORDE ".... mais non..... tu es vraiment mort, ami...J'avais TOUT fais pour t'éviter cette mort spirituelle, pour te sauver.....et Mon Cœur plein d'Amour saigne d'annoncer ainsi ton châtiment ..."

😭
Sylvanus
L'heure sainte en direct de Gethsémani : www.ktotv.com
apvs
Pseudo 62 a écrit :
Les paroles suivantes du saint Concile de Trente sont LA clef de compréhension de la raison profonde de la damnation de Judas
Mais quelle erreur ! C'est totalement faux. Non pas ce commentaire du concile de Trente, mais il ne constitue certainement pas LA clef de compréhension. Voyons pourquoi :
Cain, Judas. Deux figures bibliques qui ne sont pour le moins pas des exemples à …
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Pseudo 62 a écrit :
Les paroles suivantes du saint Concile de Trente sont LA clef de compréhension de la raison profonde de la damnation de Judas
Mais quelle erreur ! C'est totalement faux. Non pas ce commentaire du concile de Trente, mais il ne constitue certainement pas LA clef de compréhension. Voyons pourquoi :

Cain, Judas. Deux figures bibliques qui ne sont pour le moins pas des exemples à suivre. On n'en parle même QUE comme les archétypes du contre-exemple moral ( ce qui a son utilité).

Mais Cain ?
Où donc l'Écriture parle-t-elle de sa damnation - que certes on peut soupçonner à bon droit - ? NUL PART.
Ni dans l'Evangile, ni dans l'Ancien Testament, le sort éternel de Cain, du roi Salomon ( qui dévia gravement du droit chemin à la fin de sa vie ), de Jesabel et autres, n'est dévoilé, encore moins prophétisé d'avance. Car telle n'est pas la coutume pour Dieu de nous renseigner sur le sort final de ses créatures tombées ( à une exception près).

Judas ?
L'Écriture prophétisait depuis longtemps sa damnation... Notre Seigneur la confirme dans l'Evangile de Vérité, non pas UNE seule fois, mais PLUSIEURS fois, dont l'une en présence de Judas.

Lorsque le Seigneur parle ainsi à son Père :
" Et aucun ne s'est perdu ( de ceux que Vous m'avez confiés) SAUF LE FILS DE PERDITION, AFIN QUE L'ECRITURE FUT ACCOMPLIT"
Il ne fait que dire le Vérité qu'Il tient de son Père, Il ne le dit pas "pour se venger par avance", mais bien au contraire, dans un sentiment de douleur indescriptible pour Judas ( voir l'extrait de Maria Valtorta dans mon précédent message ).

Si DÈS AVANT LA SAINTE CÈNE, le Seigneur a pu affirmer que Judas s'était perdu ( et forcément pour l'éternité, il n'y a pas d'autre choix ), ce n'était pas pour soudainement affirmer le contraire un jour après !
apvs
Ensuite, il convient de rappeler au pseudo que ce n'est pas NOUS qui donnons un sens à la Parole du Christ ! C'est ELLE qui nous informe, et la première chose qu'elle nous dit sur Elle-même est ceci : " Je suis la Vérité, écoutez-Moi" ( c'està dire : JE SUIS DIEU LE VERBE. NUL NE PEUT ME CONTESTER. )
Ceci est un dogme irréfragable. Le Christ nous dit toujours la Vérité, car Il EST la Vérité. …
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Ensuite, il convient de rappeler au pseudo que ce n'est pas NOUS qui donnons un sens à la Parole du Christ ! C'est ELLE qui nous informe, et la première chose qu'elle nous dit sur Elle-même est ceci : " Je suis la Vérité, écoutez-Moi" ( c'està dire : JE SUIS DIEU LE VERBE. NUL NE PEUT ME CONTESTER. )

Ceci est un dogme irréfragable. Le Christ nous dit toujours la Vérité, car Il EST la Vérité.

Ainsi, lorsqu'Il nous dit : " Malheur à cet homme par qui le Fils de l'Homme est livré ! Il eut mieux valu pour cet homme de ne pas naître ! ", le TOUT PREMIER COMMENTAIRE QUE NOUS POUVONS EN FAIRE EST CELUI-CI : "C'EST ABSOLUMENT VRAI."

Si cette Parole est vraie, elle implique nécessairement que le sort final de Judas était dors et déjà connu par le Christ, si malheureux de l'avouer avec douceur et compassion ! Car oui, on sent bien toute la compassion du Christ pour le futur damné qu'est Judas.

Objection du pseudo :

Oui mais c'est pas possible, parce qu'il est impossible que le Christ pousse Judas ainsi au suicide ! Donc, cette Parole, en fait, ne veut pas dire ce qu'elle veut dire, c'est un simple "électrochoc misericordieux" de la part du Sauveur.

RÉPONSE :
Le Christ était parfaitement maître de Lui-même en disant cela. Il aurait donc pu dire, pour laisser planer le doute :
" JE NE SAIS PAS S'IL N'EUT PAS ÉTÉ PRÉFÉRABLE POUR CET HOMME DE NE PAS NAÎTRE ! "
Cela aurait été une menace extrêmement percutante, capable d'ébranler un cœur endurci comme celui du malheureux apôtre.
MAIS NON.
Le Seigneur dit bien, il AFFIRME bien : " Il - eut - mieux - valu - pour - cet - homme - de - ne - pas - naître ".

IL EÛT MIEUX VALU = CELA EST.
Il n'avait nul besoin de rajouter : " Et Je vous dis la Vérité ! " , nous le savons DÉJÀ.

Examinons de plus près ce qu'écrit le pseudo :

Jamais Jésus ne prononça quelque parole devant Judas qui pussent l’inciter à s’enfermer dans sa conception vengeresse et justicière de Dieu qui le conduisit in fine à sa perte.
Comme déjà dit, il ne s'agit nullement ici d'une parole vengeresse ( comme je l'avais insinué trop rapidement une fois ), MAIS D'UNE DOUCE PAROLE DE COMPASSION ENVERS UN FUTUR DAMNÉ QUI NE POURRA PLUS FAIRE QUE SOUFFRIR ATROCEMENT POUR L'ÉTERNITÉ. C'est une Parole intimement douloureuse du Christ, qui ne peut plus faire comme s'Il ne savait pas...

Pour une fois, une seule fois, Dieu Lui-même rend publique la condamnation du plus grand pécheur que la terre ait jamais regretté de porter.


Surtout pas dans les dernières heures de sa vie où Satan vint l’attaquer de manière décisive au niveau de la tentation du désespoir.

Argument balayé dans mes commentaires précédents : puisque le Seigneur N'HÉSITA PAS À PARLER DE SES DOULEURS ATROCES ET DE LA MORT QU'IL ALLAIT DEVOIR ENDURER, EN PRÉSENCE DE JUDAS, COMME DE TOUS SES APÔTRES : CE QUI DÉCLENCHA EN CE DERNIER UNE EFFROYABLE PRISE DE CONSCIENCE DE SON CRIME, ET AINSI, L'ÉVEIL CERTAIN DE SON DÉSIR DU SUICIDE.

Si l'on se réfère aux assertions du pseudo, alors il faudrait faire la leçon à Dieu pour l'empêcher de trop parler, ou le convaincre que sa Parole n'est pas vraie. Tout cela relève de l'hérésie.
Psaume 62
Si Dieu n’a jamais permis que l’Église fasse de la damnation de Judas une vérité dogmatique, une vérité importante de la Foi catholique, c’est sans doute en effet pour éviter d’inciter les fidèles à désespérer de la miséricorde de Dieu, à l’exemple de l’Iscariote, aussi bien pour soi-même que pour les autres et en particulier dans nos prières pour les grands pécheurs ( « Moi si j'avais …Plus
Si Dieu n’a jamais permis que l’Église fasse de la damnation de Judas une vérité dogmatique, une vérité importante de la Foi catholique, c’est sans doute en effet pour éviter d’inciter les fidèles à désespérer de la miséricorde de Dieu, à l’exemple de l’Iscariote, aussi bien pour soi-même que pour les autres et en particulier dans nos prières pour les grands pécheurs ( « Moi si j'avais commis tous les crimes possibles, je garderais toujours la même confiance car je sais bien que cette multitude d'offenses n'est qu'une goutte d'eau dans un brasier ardent ! » dixit Ste Thrèse de Lisieux, docteure de l’Eglise ). Aussi sans doute pour éviter d’inciter les fidèles à nourrir quelque haine envers Judas Iscariote et par extension envers tous nos ennemis personnels et tous les ennemis de l’Église. A ce propos, j’ai lu aujourd’hui sur une autre page un commentaire hallucinant selon quoi il faut prier CONTRE tous nos ennemis et contre les ennemis de l’Église pour qu’ils soient tous punis dès cette vie ! En voilà encore un qui se dit plus catholique que certains papes canonisés et qui pourtant n’a rien compris à l’esprit de la foi chrétienne !... Il n'est donc pas important ni souhaitable à mon sens que la damnation de Judas devienne un dogme catholique. Je suis donc en désaccord avec la démarche d'un prêtre catholique parisien qui milite pour que l'Eglise crée ce dogme. Cela étant, les évêques, papes y inclus, et les prêtres catholiques se devraient de prêcher bien davantage et à bon escient sur les fins dernières, notamment sur le danger réel de la damnation éternelle, ainsi que le reconnut le pape saint Jean-Paul II dans son livre entretien précité 'Entrez dans l'espérance".
Psaume 62
Les paroles suivantes du saint Concile de Trente sont LA clef de compréhension de la raison profonde de la damnation de Judas :
« Les Pasteurs ont donc à prévenir les Fidèles que celui qui veut s’approcher de Dieu pour Lui faire cette demande, est obligé d’abord de reconnaître ses propres fautes, puis de ressentir une véritable douleur de les avoir commises, et en même temps d’être bien persuadé …Plus
Les paroles suivantes du saint Concile de Trente sont LA clef de compréhension de la raison profonde de la damnation de Judas :

« Les Pasteurs ont donc à prévenir les Fidèles que celui qui veut s’approcher de Dieu pour Lui faire cette demande, est obligé d’abord de reconnaître ses propres fautes, puis de ressentir une véritable douleur de les avoir commises, et en même temps d’être bien persuadé que Dieu a la volonté de pardonner à tous les pécheurs qui sont dans les dispositions que nous venons de rappeler. Autrement, 1 Isa., 27, 9. 2 Psal., 31, 1. (Page 420) le souvenir plein d’amertume et la vue effrayante de tous nos péchés pourraient nous jeter dans le désespoir de Caïn et de Judas, qui ne voulurent voir en Dieu qu’un Vengeur et un Justicier, et non point la Bonté même de la Miséricorde infinie. »

Jamais Jésus ne prononça quelque parole devant Judas qui pussent l’inciter à s’enfermer dans sa conception vengeresse et justicière de Dieu qui le conduisit in fine à sa perte. Surtout pas dans les dernières heures de sa vie où Satan vint l’attaquer de manière décisive au niveau de la tentation du désespoir.

Ces paroles percutantes du Seigneur : " Malheur à cet homme par qui le Fils de l'homme est livré ! Il eût mieux valu pour lui de ne pas naître ! " ne signifient par conséquent en rien ce que je pus lire dans le passé sous "la plume" d’un certain (m)oustique ;-) :

« C'est exactement comme s'Il lui disait : « Mais enfin, regarde, Judas ! Ô âme damnée que tu es ! Je n'ignore rien de ton sort futur, ô toi qui meurs d'envie de me faire tuer, REGARDE LE FEU qui t’est destiné, COMME MOI-MÊME JE L'AVAIS PREDIT DE TOI PAR AVANCE PAR LA BOUCHE DES PROPHETES ! TU NE TREMBLES PAS ENCORE ? NON ? C'EST CETTE ABSENCE DE PEUR QUI SCELLE TON DESTIN ! Avance donc vers ta fin éternelle, pauvre fou ! » (SIC !!!)

Outre le contresens radical et grossier de cette interprétation, outre le fait qu’il est inopportun voire blasphématoire de mettre dans la bouche du Seigneur l’insulte « fou », saint Jean Chrysostome nous fait comprendre qu’il importe de dépasser l’apparence possiblement littéralement rugueuse de ces paroles du Seigneur pour en saisir toute la force et la douceur de Son Amour miséricordieux vis-à-vis de son ami traître qu’Il choisit librement comme Apôtre (Jean 6.70) :

« CES PAROLES font bien voir encore l’ineffable douceur de Jésus-Christ. Car elles ne renferment pas le REPROCHE et l’INVECTIVE, mais elles sont l’expression d’un sentiment de COMPASSION, expression toujours CONTENUE, ADOUCIE et VOILÉE.

(…) ’’ Pour ce qui est du Fils de l’homme il s’en va selon ce qui a été écrit de lui; mais malheur à l’homme par qui le Fils de l’homme sera trahi. Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne fût pas né ’’. Quelques-uns disent que l’impudence de Judas allait si loin que, pour marquer davantage quel mépris il faisait de son Maître, il mit avec lui la main dans le plat. Mais, pour moi , je crois que Jésus-Christ ménagea cette rencontre pour faire plus d’impression dans l’esprit de ce disciple, par cette action qui témoignait plus d'amitié et de familiarité, et qui était plus capable de le toucher. (Homélie de St Jean Chrysostome)

Si l’on comprend d’une certaine façon littéraliste ces mots percutants du Seigneur : " Malheur à cet homme par qui le Fils de l'homme est livré ! Il eût mieux valu pour lui de ne pas naître ! ", on en vient à croire très faussement que le Seigneur poussa de facto celui qui l’avait trahi et qui continuera de le trahir au Jardin de Gethsémani, à ne plus croire à un pardon possible pour son péché très grave de trahison, une fois celui-ci entièrement consommé dans ce Jardin où, soit dit en passant, Jésus continua d’appeler « mon ami » (Mat. 26.50) celui qui pourtant allait lui donner un baiser de trahison.

Si Judas avait compris de cette façon fausse les paroles du Seigneur, s’il avait cru à tort que la réalisation complète au Jardin de son acte de trahison le condamnât ipso facto à la damnation éternelle, là où l’inexistence est préférable à l’existence, il ne put alors qu’être enfermé dans sa vision d’un Dieu vengeur, il ne put alors qu’être poussé au désespoir … dans lequel consiste précisément sa faute impardonnable ! Raison pour laquelle je crois que saint Jean-Paul II a raison quand il affirme que " cette phrase ne doit pas être comprise comme la damnation pour l’éternité. "

Je crois que Jésus voulut par ces paroles toucher profondément et autant que faire se put en cette heure décisive qui n'était pas encore à la Justice de Dieu - qui suivit son acte de désespoir par pendaison - mais à la Miséricorde. Je crois qu'il voulut lui dire en filigrane : « Réalise le grand malheur éternel auquel tu es en train de t’exposer en t’endurcissant dans ton acte de trahison qui te sépare de mon Amour ! Satan est en train d’emporter ton âme pour toujours en enfer là où la non-existence est préférable à l'existence ! Le laisseras-tu faire ? ».
apvs
Enfin, pourquoi l'Église n'a pas voulu dogmatiser cette question de la damnation de Judas, alors qu'elle sait pertinemment où il est pour l'éternité, et qu'elle l'enseigne à ses enfants ? ( même si François voudrait faire croire le contraire )
C'est à mon sens, parce qu'elle veut à tout prix éviter un contresens des plus fâcheux :
NOUS NE DEVONS ENTRETENIR AUCUN SENTIMENT DE VENGEANCE À L'EGARD …
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Enfin, pourquoi l'Église n'a pas voulu dogmatiser cette question de la damnation de Judas, alors qu'elle sait pertinemment où il est pour l'éternité, et qu'elle l'enseigne à ses enfants ? ( même si François voudrait faire croire le contraire )

C'est à mon sens, parce qu'elle veut à tout prix éviter un contresens des plus fâcheux :
NOUS NE DEVONS ENTRETENIR AUCUN SENTIMENT DE VENGEANCE À L'EGARD DE CET ENNEMI DE DIEU. LE CHRIST NOUS DEMANDE D'AIMER NOS ENNEMIS, NON DE LES CONDAMNER DÈS À PRÉSENT À L'ENFER. Et donc l'Église n'a pas voulu s'appesantir sur cette question, qui entraînerait chez beaucoup une peur sans fondement : peur d'être soi-même un judas, et donc peur d'être damné irrémédiablement ! Ou peur qu'un proche le soit.

Cela serait très vite fait de voir des Judas partout, et de semer la terreur plutôt que de lancer les âmes sur le chemin d'une humble confiance en la miséricorde infinie de Dieu, qui veut sauver jusqu'aux plus grands des pécheurs...

" Je ne suis pas venu JUGER le monde, mais le SAUVER " dit très clairement Jésus.
Et il faut être une personne diaboliquement extraordinaire - comme Judas - pour arriver, à la force d'un stupide désespoir, à faire mentir cette Parole pleine d'Amour et d'espérance !
apvs
@Sylvanus : et permettez-moi de compléter en s'illustrer encore ma réponse, puisque vous avez reçu pleine confirmation que l'Eglise a bien admis - par exemple lors du concile de Trente - que Judas était damné éternellement, le laissant fortement entendre également par l'abscence absolue de prière en sa faveur, alors que personne plus que lui n'en aurait besoin.
L'illustrer d'abord par un petit …
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@Sylvanus : et permettez-moi de compléter en s'illustrer encore ma réponse, puisque vous avez reçu pleine confirmation que l'Eglise a bien admis - par exemple lors du concile de Trente - que Judas était damné éternellement, le laissant fortement entendre également par l'abscence absolue de prière en sa faveur, alors que personne plus que lui n'en aurait besoin.

L'illustrer d'abord par un petit exercice de conjugaison, du verbe "ne pas avoir désiré" :


Je n'ai pas désiré,
tu n'as pas désiré,
il (elle) n'a pas désiré,
nous, vous, ils n'ont EN AUCUN CAS désiré

que Judas soit damné ! Le Christ en tout premier.

Et comme le dit sainte Catherine de Sienne, ce fut la plus grande douleur du Christ de devoir se résoudre à cette damnation inéluctable de Judas, comme nous le lisons dans Maria Valtorta :

( Jésus, le soir précédent le jeudi saint , tome 9 )

" Moi aussi, Je pardonne. Combien Je dois pardonner ! Je le fais pourtant. A ceux qui sont présents, aux disciples absents, à ceux qui ont le cœur sourd, aux ennemis, aux moqueurs, aux traîtres, aux assassins, aux déicides... Voilà, j'ai pardonné à toute l'humanité. Pour ce qui me concerne, Père, considère comme annulée toute dette de l'homme à l'Homme. C'est pour permettre à tous d'accéder à ton Royaume que je meurs, et je ne veux pas que le péché envers l'Amour incarné soit retenu pour condamner.
NON ? TU DIS NON ? C'EST MA DOULEUR. CE "NON" VERSE DANS MON COEUR LA PREMIÈRE GORGÉE DU CALICE ATROCE.
Mais, Père à qui j'ai toujours obéi, je te dis !
"Qu'il soit fait comme toi, tu le veux."

‐--------------------------
Voici parfaitement illustré le fait que ce n'est pas d'une manière dure et vengeresse que le Christ dira : "Il aurait mieux valu pour cet homme de ne pas naître "

MAIS DANS UNE DOULOUREUSE ET PLEINE OBEISSANCE À SON PÈRE, ET BIEN MALGRÉ LUI ! DONC AVEC DOUCEUR, ET PARFAITE VÉRITÉ.

Ici, le "NON" du Père exprime bien le fait que Judas, enfermé dans une désobéissance librement choisit, désormais coupé de toute motion de l'Amour, incapable par son propre choix de concevoir le moindre bon sentiment dans son cœur, NE POUVAIT PLUS OBTENIR DE PARDON, parfaitement ensatanisé qu'il était.

Autre illustration concernant QUI ETAIT JUDAS, simple regard sur celui dont le Christ allait dire une si terrible chose, même avec une infinie douceur :

( Jésus vient une nouvelle fois d'annoncer sa douloureuse Passion à ses apôtres, mais en détail cette fois, s'appuyant sur de nombreux passages de l'Écriture, le soir du mercredi saint, tome 9 )

- Tais-toi ! Tais-toi ! Sanglote Jean.
- Arrête ! Tu nous mets à l'agonie ! " supplient ses cousins.
André garde le silence, mais il pleure sans bruit, la tête entre les genoux. Simon est livide. Pierre et Jacques, fils de Zébédée, semblent à la torture. Philippe, Thomas et Barthélemy ont l'air de trois statues de pierre qui expriment l'angoisse.

Judas est un masque macabre, démoniaque. On dirait un damné qui comprend enfin ce qu'il a fait. La bouche ouverte pour pousser un hurlement intérieur qui n'arrive pas à sortir de sa gorge serrée, les yeux dilatés, effrayés d'un fou, les joues cadavériques sous le voile brun de sa barbe rasée, les cheveux en désordre parce que de temps à autre il y passe la main, pris d'une sueur froide, il semble près de s'évanouir.

Matthieu, levant son regard atterré pour chercher quelque aide dans son tourment, le voit et dit :
" Judas ! Tu te sens mal ?.... Maître, Judas souffre ! "
- Moi aussi, répond le Christ. Mais je souffre dans la paix. Devenez spirituels pour pouvoir supporter cette heure. Un homme charnel ne peut la supporter sans devenir fou..."
-------------------------------

Voici donc, dans toute son horreur, celui dont Jésus n'avait MÊME PAS ENCORE DIT : " Il eut mieux valu pour cet homme de ne pas naître ".

C'est dire à quel point il n'avait besoin de PERSONNE pour avoir envie de se suicider, car seule la volonté satanique d'accomplir jusqu'au bout son crime le cramponait à ce qui lui restait de "vie".

A vrai dire, plutôt : nous voyons ici COMBIEN LA SEULE ÉVOCATION DE LA PASSION PAR LE CHRIST, AUX OREILLES DE JUDAS, DONNAIT À CE DERNIER UNE IRRÉPRESSIBLE ENVIE DE SE SUICIDER, ET ON COMPREND AISÉMENT POURQUOI !


FALLAIT-IL DONC AUSSI QUE LE CHRIST RENONCE À PARLER DE SA PASSION À SES APÔTRES, " de peur de donner des idées suicidaires à Judas ? " 🥴

Mon humble avis est donc celui-ci :

la parole du Seigneur, qualifiant le non-être infiniment préférable pour Judas, est en réalité LE REGARD QUE DIEU PORTE SUR TOUS LES DAMNÉS, un regard d'infini compassion qui regrette sincèrement leurs souffrances, qui aurait tellement aimé qu'elles leur soient épargnées, mais UN REGARD LUCIDE, qui sait que rien désormais ne peut plus être fait en sa faveur, car son péché a été jusqu'au blasphème contre l'Esprit Saint, le privant désormais de tout secours divin...
Sylvanus
@apvs Comme dit précédemment, c'était mon dernier message. Je ne veux pas, après l'islam et les extraterrestres, terminer mon carême par Judas. Jamais l'Église n'a pas dogmatisé que Judas était en enfer. Le cas échéant, merci d'apporter le texte dogmatique, par exemple issu du Dentzinger qui montrerait que ce que j'ai dit est erroné. Bon jeudi saint. Bien à vous. Sylvanus
apvs
Oui, oui, j'ai parfaitement entendu, cher ami, c'était votre dernier message. Mais ce n'était pas mon dernier, à moi, surtout que j'attendais l'intervention prévisible du loustic ci-dessous. Bien à vous, que Dieu vous comble de ses grâces en cette Semaine Sainte qui commence +
apvs
L'Eglise n'a pas dogmatisé, certes, mais contrairement à ce que vous avez dit : elle s'est bien prononcée sur le sujet. Et en cela, elle n'a fait QUE croire aux Paroles du Seigneur qui nous sont rapportées dans l'Évangile.
Psaume 62
@Sylvanus
Permettez-moi cher Sylvain de vous exposer de façon la plus exhaustive possible mon opinion sur cette question.
Le plus grand des péchés est en effet le blasphème contre l’Esprit Saint. C’est le seul péché impardonnable d’après le Seigneur lui-même (Mc 3. 28-29), péché radical contre l’Amour de Dieu, péché qui consiste à laisser tuer en soi, délibérément et sous l’influence de …Plus
@Sylvanus
Permettez-moi cher Sylvain de vous exposer de façon la plus exhaustive possible mon opinion sur cette question.

Le plus grand des péchés est en effet le blasphème contre l’Esprit Saint. C’est le seul péché impardonnable d’après le Seigneur lui-même (Mc 3. 28-29), péché radical contre l’Amour de Dieu, péché qui consiste à laisser tuer en soi, délibérément et sous l’influence de Satan, toute capacité à accueillir l’Amour divin, l’infinie miséricorde de Dieu sur son péché, à s’isoler pour toujours en soi-même, dans l’enfer qu’est le rejet irrémédiable de l’Amour de Dieu.

La conclusion de l’article que vous avez cité est juste : « Pierre montre qu’il croit dans la miséricorde infinie de Jésus. En revanche, Judas se pend parce qu’il ne croit pas que sa faute puisse être pardonnée.»

Lire à ce sujet les révélations du Père Eternel à sainte Catherine de Sienne : « En dernière analyse, pourquoi Judas lscariote s’est-il damné ? »

Force est de constater que Dieu n’a jamais permis que l’Église dogmatise le sentiment commun traditionnel quant à la perdition éternelle du pauvre Judas. Peut-être pour éviter d'inciter l'Eglise à désespérer du salut des grands pécheurs ?

Reste que certaines paroles du Concile de Trente, sous une forme plutôt discrète et non autoritaire, laissent clairement comprendre que Judas Iscariote finit par se damner par sa propre faute en désespérant de la possibilité d'un pardon de Dieu ***.

Le fait semble-t-il que l’Église n’ait jamais intercédé explicitement pour le salut de l’âme de Judas constitue non une preuve absolue mais un indice fort sur son sort éternel de malheur.

Comme vous l’avez suggéré, certains mots ( ex : « démon ») et certaines paroles fortes du Seigneur quant à Judas ne sont pas en soi, quoi qu’en pensent et en disent péremptoirement certains, des preuves définitives de sa damnation mais aussi des indices forts.

En particulier ces paroles du Seigneur dites en présence de Judas : “Il vaudrait mieux que cet homme-là ne soit pas né !” à propos desquelles le pape saint Jean-Paul II dit (dans le livre entretien « Entrez dans l’espérance ») : « Même si le Christ dit, à propos de Judas qui vient de le trahir : “ Il vaudrait mieux que cet homme-là ne soit pas né ! ” cette phrase ne doit pas être comprise comme la damnation pour l’éternité. »

Ce qui est sûr et certain c’est que ces paroles du Seigneur, qui choisit Judas librement comme l’un de ses Apôtres (Jean 6.70) et qui le qualifia d’ « ami » jusqu’au Jardin de Gethsémani (Mat. 26.50), ne sont en aucun cas des paroles de colère et de dureté ( St Jean Chrysostome le comprit très bien ), des paroles étant susceptibles d’enfermer par la suite Judas dans le désespoir à cause de son péché gravissime de trahison.

Pour ma part je ne crois donc pas qu’à travers ces mots très percutants Jésus voulut signifier à Judas en filigrane : « Si tu pousses ton crime de trahison jusqu’à me livrer par un baiser au jardin de Gethsémani, alors ton crime ne sera plus pardonnable et conséquemment mieux eût valu que tu ne fusses jamais né », mais plutôt : « Réalise le grand malheur éternel auquel tu es en train de t’exposer en t’endurcissant dans ton acte de trahison qui te sépare de mon Amour ! Satan est en train d’emporter ton âme pour toujours en enfer là où la non-existence est préférable à l'existence ! Le laisseras-tu faire ? ».

Bon et saint Triduum pascal.

*** Citations du Catéchisme du concile de Trente (1566) :

« D’autres sont conduits au Sacerdoce par la soif des honneurs et par l’ambition. Il en est enfin qui ne recherchent les Ordres que pour s’enrichir ; et la preuve c’est que, si vous ne leur offrez quelque bénéfice considérable, ils ne songent même pas à recevoir un seul des Ordres sacrés. Ce sont ceux-là que notre Sauveur appelle des mercenaires, et dont le Prophète Ezéchiel disait : « Ils se paissent eux-mêmes, et non leurs brebis. ». Leur bassesse et leur avidité a déshonoré l’Etat ecclésiastique aux yeux des Fidèles, qui le regardent maintenant presque comme la profession la plus vile et la plus méprisable. Aussi ne tirent-ils point d’autre fruit de leur Sacerdoce, que celui que recueillit Judas de son apostolat, c’est-à-dire leur perte éternelle. »

« Les Pasteurs ont donc à prévenir les Fidèles que celui qui veut s’approcher de Dieu pour Lui faire cette demande, est obligé d’abord de reconnaître ses propres fautes, puis de ressentir une véritable douleur de les avoir commises, et en même temps d’être bien persuadé que Dieu a la volonté de pardonner à tous les pécheurs qui sont dans les dispositions que nous venons de rappeler. Autrement, 1 Isa., 27, 9. 2 Psal., 31, 1. (Page 420) le souvenir plein d’amertume et la vue effrayante de tous nos péchés pourraient nous jeter dans le désespoir de Caïn et de Judas, qui ne voulurent voir en Dieu qu’un Vengeur et un Justicier, et non point la Bonté même de la Miséricorde infinie. »
Etienne bis
- Personne parmi nous ne sait rien des décisions du Père.
- Lors de l'incarnation du Fils, ses propos sur Judas n'ont pas été rassurants.
- Pendant de longs siècles, l'Esprit a inspiré à son Eglise l'idée que ça ne s'était pas bien passé pour cet apôtre-là.
Et voilà que de nos jours, un jésuite suisse puis un autre jésuite argentin s'amusent à faire les malins et prendre le contre-pied …Plus
- Personne parmi nous ne sait rien des décisions du Père.
- Lors de l'incarnation du Fils, ses propos sur Judas n'ont pas été rassurants.
- Pendant de longs siècles, l'Esprit a inspiré à son Eglise l'idée que ça ne s'était pas bien passé pour cet apôtre-là.

Et voilà que de nos jours, un jésuite suisse puis un autre jésuite argentin s'amusent à faire les malins et prendre le contre-pied systématique du sentiment catholique sur ce sujet...
Il n'y a aucune raison des les prendre au sérieux.
apvs
Et pardon de vous contredire légèrement encore, cher ami, car décidément cela a du mal à être compris : LE CHRIST EST LA VÉRITÉ. Il l'a clamé Lui-même : "Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ".
Ces propos sur Judas ne sont pas simplement "pas rassurants", mais ils nous font savoir clairement ce que le Père a jugé au sujet de Judas, à savoir sa damnation éternelle.
Personne ne sait rien …
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Et pardon de vous contredire légèrement encore, cher ami, car décidément cela a du mal à être compris : LE CHRIST EST LA VÉRITÉ. Il l'a clamé Lui-même : "Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ".

Ces propos sur Judas ne sont pas simplement "pas rassurants", mais ils nous font savoir clairement ce que le Père a jugé au sujet de Judas, à savoir sa damnation éternelle.

Personne ne sait rien des décisions du Père, HORMIS EN CE QUI CONCERNE CE QUE SON FILS UNIQUE A BIEN VOULU NOUS RÉVÉLER : la dessus, il n'y a AUCUN doute.

Le dogme absurde comme quoi "on ne peut rien savoir" n'a strictement rien d'évangélique : puisque précisément, ON PEUT SAVOIR AVEC CERTITUDE QUE CE QUE NOUS DIT NOTRE SEIGNEUR JÉSUS CHRIST EST VRAI.

Voilà ce qui est remis aujourd'hui en doute par une personne incapable de mener le troupeau sur les bons pâturages de la vraie foi.
Etienne bis
@avps
Merci pour ces remarques, émises en toute cordialité.
Alex78
Comme un grand et malgré les multiples injonctions de Dieu tout puissant il a choisis son propre sort . Jésus étant Dieu qui sait et connait toutes choses considérait Judas comme son tendre ami , une parole , une demande de pardon de la part de Judas même après son deïcide et Jesus aurait eu pitié sa volonté étant de gagné toutes les âmes même les plus farouchement attachés au démon . Un …Plus
Comme un grand et malgré les multiples injonctions de Dieu tout puissant il a choisis son propre sort . Jésus étant Dieu qui sait et connait toutes choses considérait Judas comme son tendre ami , une parole , une demande de pardon de la part de Judas même après son deïcide et Jesus aurait eu pitié sa volonté étant de gagné toutes les âmes même les plus farouchement attachés au démon . Un amour qui dépasse tout entendement mais Judas à choisis son maître Satan et cela Jésus ne pouvait aller à l'encontre de sa liberté
apvs
@Sylvanus
Mais il faut aller plus loin dans l'analyse de votre article hypocrite et mensonger. Lisons :
Nous ne connaissons pas le destin de Judas.
TIENS DONC ! L'Ecriture en parlait dans l'Ancien Testament, Notre Seigneur en parle à ses apôtres on ne peut plus clairement, et nous ne le connaitrions pas ?
Jésus, en parlant de lui, dit à un certain moment : « Il aurait mieux valu pour cet homme de …
Plus
@Sylvanus
Mais il faut aller plus loin dans l'analyse de votre article hypocrite et mensonger. Lisons :
Nous ne connaissons pas le destin de Judas.
TIENS DONC ! L'Ecriture en parlait dans l'Ancien Testament, Notre Seigneur en parle à ses apôtres on ne peut plus clairement, et nous ne le connaitrions pas ?

Jésus, en parlant de lui, dit à un certain moment : « Il aurait mieux valu pour cet homme de ne jamais être né ! » (Mt 26,24), mais cela ne veut pas dire que Judas soit en enfer.

TIENS DONC ! Et bien voilà, c'est dit : l'Évangile nous ment !
Ah oui, car si Judas est en purgatoire, ou bien même (!!!!!!!) déjà en Paradis, ALORS : EN QUEL HONNEUR AURAIT-IL MIEUX VALU POUR CET HOMME DE NE PAS NAÎTRE ? SI FINALEMENT C'ÉTAIT POUR PASSER SON ÉTERNITÉ DANS UN BONHEUR INFINI ?
Ah oui, votre article à deux balles, en niant l'Evangile, n'arrive qu'à une chose : se couvrir de ridicule.


Jésus ne l’a jamais dit.
TIENS DONC !
" Et aucun ne s'est perdu ( se perdre = tomber en enfer ) SAUF SAUF SAUF SAUF SAUF SAUF SAUF ( je pense que 7 fois, ça devrait suffire) LE FILS DE PERDITION, AFIN QUE L'ECRITURE FUT ACCOMPLIT.


L’Église non plus.
L'Eglise, croyant d'après les Paroles infaillibles
Sylvanus
@apvs Dernier message. C'est une position personnelle (ainsi que celle de nombreux théologiens, je la partage d'ailleurs), mais pas la position déterminée de l'Église, qui ne s'est pas prononcée officiellement sur ce sujet en le tranchant. C'est simplement l'objet de mon propos.
apvs
@Sylvanus
Négatif, mon caporal chef, et c'est, vous allez le voir, une simple question de bon sens :
- l'Eglise est PARFAITEMENT CONSCIENTE que Judas a commis LE plus grand péché qui puisse être ( comme votre article le rappelle, se tirant ainsi une balle dans le pied )
- Si donc l'Église croyait qu'il restait la moindre chance pour Judas d'être finalement sauvé, et comme PAR NATURE L'ÉGLISE EST …
Plus
@Sylvanus
Négatif, mon caporal chef, et c'est, vous allez le voir, une simple question de bon sens :

- l'Eglise est PARFAITEMENT CONSCIENTE que Judas a commis LE plus grand péché qui puisse être ( comme votre article le rappelle, se tirant ainsi une balle dans le pied )

- Si donc l'Église croyait qu'il restait la moindre chance pour Judas d'être finalement sauvé, et comme PAR NATURE L'ÉGLISE EST MISÉRICORDIEUSE COMME SON DIVIN MAÎTRE,

ALORS DEPUIS 2000 ANS, IL N'Y AURAIT PAS UN SEUL JOUR, PAS UNE SEULE HEURE, OÙ ELLE LAISSERAIT JUDAS SANS LE SECOURS PARTICULIER DE SES PRIERES ARDENTES, EN FAVEUR DE CETTE PAUVRE ÂME SENSÉE SOUFFRIR ATROCEMENT DANS LE PURGATOIRE, AFIN DE HATER SA DÉLIVRANCE !

OR :
L'EGLISE N'A DEPUIS 2000 ANS JAMAIS ADRESSÉ À DIEU
( officiellement, tous les "Sylvanus" exceptés) UNE SEULE PRIÈRE EN FAVEUR DE JUDAS !

Elle avoue ainsi, implicitement, elle AFFIRME par là sa croyance dans la Parole infaillible de son Divin Seigneur Jésus Christ :
" Il eût mieux valu pour cet homme de ne pas naître "
apvs
@Sylvanus
Regardez encore comment votre article se contredit lui-même, et certifie malgré lui que Judas est en enfer :

" Le malheur de Judas est qu'il aurait pu devenir saint Judas" ( sic ! )
Il ne l'est donc pas devenu !
Et il n'y avait pas de milieu pour Judas :
- soit devenir saint ( par le repentir, ce qu'il ne fit pas )
- soit être damné par sa faute ( ce qui se produisit ).