François et l'homosexualité : "Il y a quelque chose de personnel en jeu"

Ceux qui ont connu Jorge Bergoglio en Argentine confirment que l'attention qu'il porte à la propagande homosexuelle montre que quelque chose de personnel est en jeu pour lui, écrit AldoMariaValli.it (13 août).

Il a toujours aimé s'entourer d'homosexuels, sauf qu'il s'est montré très dur envers ceux qui, en tant qu'homosexuels, ne se sont pas montrés "fidèles" dans son entourage.

Valli cite abondamment un article de LifeSiteNews.com rédigé par le psychothérapeute néerlandais Gerard J.M. van der Aardweg, spécialiste de l'homosexualité.

Selon van der Aardweg, Bergoglio éprouve une certaine forme d'attirance homosexuelle. Il considère donc qu'il a pour mission de justifier les péchés homosexuels et élève les revendications douteuses d'une infime minorité au rang de préoccupation centrale de son pontificat, tout en négligeant les besoins réels de la famille.

Van der Aardweg insiste sur le fait qu'il s'agit d'un diagnostic psychologique et non d'une accusation.

Il remarque que François a épousé l'idéologie homosexuelle avec un zèle qui n'a rien à envier à celui des partisans de l'idéologie homosexuelle.

Ce qu'il a ordonné d'écrire en 2014 dans le rapport intermédiaire du Synode des évêques pour la famille est typique de la propagande homosexuelle.

Van der Aardweg cite : " Les homosexuels ont des dons et des qualités à offrir à la communauté chrétienne " ; " Nos communautés sont-elles capables (...) d'accepter leur orientation sexuelle ? " ; " Une réflexion sérieuse est nécessaire sur la manière d'élaborer (...) des approches pour la croissance affective [des homosexuels] et leur maturation dans l'Évangile, en intégrant l'aspect sexuel. "

Sur les concubinages homosexuels : "Il y a des cas où l'assistance mutuelle jusqu'au sacrifice est un soutien valable dans la vie de ces personnes".

François ne fait jamais la distinction entre les péchés homosexuels et les homosexuels qui cherchent à vivre chastement.

Le langage utilisé par Bergoglio est typique de la propagande homosexuelle car il donne sournoisement, jamais directement, une image trompeuse des concubinages homosexuels et exhorte à la "compassion" pour les "victimes" d'une prétendue injustice.

François a encouragé les homosexuels - comme Juan Carlos Cruz - à poursuivre leur vice ("Dieu vous a fait ainsi" ; "Vous devez être heureux avec ce que vous êtes").

En revanche, M. van der Aardweg cite une personne homosexuelle d'âge moyen : "Avec le recul, je ne comprends pas pourquoi j'ai pensé que la vie gay était si glamour. C'est un monde difficile et je ne le souhaiterais pas à mon pire ennemi". C'est ainsi que François devrait parler, mais il ne le fait pas.

Ceux qui contredisent son idéologie homosexuelle, Bergoglio les appelle des "petits groupes idéologiques". En utilisant le terme "idéologique", Bergoglio projette sa propre idéologie sur la grande majorité du monde.

Selon van der Aardweg, il s'agit de l'attitude de ceux qui suppriment leur sens moral et deviennent hostiles à la loi morale.

Les méthodes de Bergoglio pour propager l'homosexualité pratiquée sont similaires à celles utilisées par le mouvement homosexuel dans les régimes occidentaux.

Ces méthodes consistent à nommer des propagandistes homosexuels à des postes clés, à taire les résultats de recherches importunes, à éviter toute discussion publique honnête, à répandre l'endoctrinement par le mensonge, à intimider par l'abus de pouvoir, à élever l'idéologie homosexuelle au rang de religion d'État laïque et à punir les détracteurs.

Bergoglio n'a jamais mené d'étude sérieuse sur le sujet, n'a jamais encouragé de discussions ouvertes et n'a jamais annoncé ouvertement ses intentions. Ses documents sur les actes homosexuels sont d'un faible niveau intellectuel. Ses slogans sont de la démagogie de bas étage.

Il a refusé de répondre aux questions des cardinaux dubia, des hommes érudits et intègres, parce qu'il n'a pas de réponse, explique M. van der Aardweg.

La compassion sélective prônée par Bergoglio est étroitement liée à l'auto-victimisation des homosexuels et va de pair avec la colère contre les défenseurs de la morale.

Les besoins immenses des familles ne sont guère plus qu'une note de bas de page pour lui.

Un pape qui prône l'acceptation des concubinages homosexuels dissimule difficilement son intérêt personnel pour la question.

Les traits saillants de sa personnalité ne contribuent d'ailleurs pas à dissiper ce soupçon, puisqu'il existe un consensus sur la prédominance de sa soif de pouvoir et de ses habitudes tyranniques.

Selon van der Aardweg, ce trait de caractère dénote un amour de soi et un orgueil démesurés, qui se traduisent par une incapacité à aimer et à servir les autres, y compris Dieu, avec maturité.

Ce type de personnalité, marqué par un sentiment de supériorité, pousse le sujet à se fier à ses "instincts", qu'il appelle "Esprit Saint", tout en renonçant aux autorités supérieures telles que la Tradition, l'Écriture et le Magistère. Cela l'isole des autres.

Les frustrations et les déséquilibres émotionnels, ainsi qu'une confiance en soi démesurée, entretiennent l'égocentrisme et l'égoïsme pubertaire, ainsi que le manque d'intérêt et de sentiment pour les autres. Face à ses pairs et au monde, le sujet fait preuve d'une froideur particulière.

Van der Aardweg cite un ancien directeur mexicain d'un portail catholique de langue espagnole, qui a travaillé avec Bergoglio à Buenos Aires :

"Lorsque je vous ai rencontré pour la première fois, et que vous étiez encore le cardinal Bergoglio, j'ai été surpris par le fait que vous ne faisiez jamais comme les autres cardinaux et évêques.

Quelques exemples : lorsque tous les évêques se sont présentés en soutane et en vêtements cléricaux parce que les règles de la réunion l'exigeaient, vous vous êtes présenté en clergyman et en collier de prêtre.

Quand tout le monde prenait place sur les chaises réservées aux évêques et aux cardinaux, vous laissiez la chaise du cardinal Bergoglio vide et vous vous asseyiez à l'arrière, en disant : "Je suis bien ici, je me sens bien ici".

Quand les autres arrivaient en voiture, vous arriviez en retard, pressé et ennuyé, en parlant bruyamment des réunions dans les transports publics que vous aviez préféré utiliser.

Quand j'ai vu ces choses - j'ai honte de le dire - je me suis dit : "Mais regardez comme il veut attirer l'attention ! Si vous vouliez vraiment être humble, ne pourriez-vous pas vous comporter comme tous les autres évêques et ne pas attirer l'attention sur vous ?


Van der Aardweg relève un deuxième trait marquant : "Le mensonge et la duplicité sont chroniques chez lui". Dans le profil des homosexuels actifs, qui se normalisent eux-mêmes, ce sont des traits communs.

L'"amour" homosexuel et le monde homosexuel sont imprégnés de mensonges et de tricheries, parce qu'ils ne prospèrent pas sur l'amour mais sur la dépendance à l'amour de soi, et le mensonge en est une manifestation.

La soif de pouvoir manifestée par Bergoglio suggère que l'addiction à la recherche immature de soi était déjà développée bien avant qu'il ne commence à déformer ouvertement la religion catholique.

Le manque de sincérité et les mensonges sont le signe d'un manque de courage viril qui n'évite pas la confrontation directe.

À en juger par son comportement, la personnalité de Bergoglio correspond à celle des activistes homosexuels, ainsi qu'au profil des prêtres homosexuels qui se justifient eux-mêmes.

Image: © Mazur, CC BY-NC-ND, Traduction de l'IA

Didake37
peut être est il refoulé François Narcisse ? 🤭
Etienne bis
Peut-être ?
Grosminet
Analyse fort intéressante du personnage Bergoglio.
Etienne bis
Sur un air bien connu, tous en choeur...
"Ber-go-lio c'est de la canaille,
un empoisonneur, un brigand.
N'allez pas croire que je raille,
On vous l'a montré à l'instant !"
Etienne bis
Ce ... il ose tout.