@AveMaria44 "Si Bergoglio n'est pas pape, le Siège est vacant, c'est une conséquence logique.", pas nécessairement, du moins dans l'état de vos connaissances vous pouvez seulement dire que Bergoglio n'occupe pas le Siège de Pierre, que le siège soit vacant en est une autre.
Dans le sedevacantisme il y a plusieurs choses, le sedevac "de bonne foi" qui refuse simplement la papauté des anti-pape vaticandeuxesque; et il y a le sedevac dogmatique, qui pense qu'il n'y a plus de pape, que c'est parfaitement normal et qui argumente dans ce sens.
Or si il y a vacance entre deux élections, nous pouvons remarquer qu'il n'y a jamais eu de vacance de la sorte, puisque dans toutes il y a toujours eu des cardinaux catholiques pour élire un vrai pape (chose qui "n'existe plus" selon le point de vue des sedevacs).
Ainsi si il n'y a plus de pape, ni de cardinaux, les portes en l'enfer ont prévalu, car nous sommes dans l'impossibilité totale de restaurer l'Eglise (qui doit normalement subsister telle qu'elle à toujours existé).
Ceci est contre le dogme de la succession perpétuelle des papes, qui doit être continue, c'est à dire sans interruption. C'est une rupture de la succession apostolique des pontifes. Voila le constat.
Celui que vous faites contient des erreurs, soit en puissance parce que vous ne niez pas expressément ces dogmes (comme l'on fait certains au début de la crise), soit en acte parce que vous les niez avec pertinacité.

Les "prêtres" conciliaires il n'y en a pas en soi, leur sacerdoce est totalement invalide (sauf dans les eglises orientales). Pour les "prêtres" sédevacs, la plupart ont un sacerdoce douteux, voir inexistant, seul certains très vieux prêtres qui ont été ordonné dans la véritable Eglise ou peu avant le changement de rites pourraient se vanter d'avoir un vrai sacerdoce.

@Symphytum "Le plus important pour un Catholique, c'est d'être fidèle aux enseignements de l’Église et en totalité...." Nous sommes entièrement d'accord.
Si Bergoglio n'est pas pape, le Siège est vacant, c'est une conséquence logique. Le sédévacantisme n'est pas une religion, ni une solution, mais un constat, et je ne vois pas en quoi un constat peut contenir des erreurs. Les prêtres conciliaires sont certainement douteux, depuis le remaniement des rites, et ce n'est pas un seul dogme qu'ils nient mais une foule.

@AveMaria44 Je vous en prie, j'ai cru que vous pensiez que je considérai Bergoglio comme pontife.
La solution est ailleurs.
Le sédevacantisme n'en est pas une et il contient des erreurs ! De plus la plupart des "prêtres" sedevac ont un sacerdoce carrément douteux. Cela fait assez de raisons pour ne pas s'en approcher.
Je veux bien comprendre que le sedevacantisme-bashing est parfois bien malhonnête, tant par les arguments que par ceux qui les énoncent, mais cela ne fait jamais une raison valable pour aller à une messe avec un prêtre douteux ou qui se permet de nier certains dogmes que l'on doit croire DE FIDE.
Le plus important pour un Catholique, c'est d'être fidèle aux enseignements de l'Eglise et en totalité, pas d'avoir a tout prix des sacrements (chose qui est d'ailleurs bien difficile aujourd'hui).

Sa conception de la vérité, en devenir et consensuelle, n'est pas catholique. Pour en sortir, il faut tout d'abord ne pas nier, a priori, la réalité. Il ne s'agit plus ici de dubia. Il faut oser regarder la réalité en face. François est-il catholique ? Défend-il la Foi catholique et ceux qui la professent (voir la Chine)? Peut-on être pape malgré tout, sans la foi catholique, ou comme pensent certains, par intermittence, tantôt catholique, tantôt pas catholique ?

" la vérité de François :« Pour discerner la vérité, il est nécessaire d’examiner ce qui favorise la communion et promeut le bien et ce qui, au contraire, tend à isoler, diviser et opposer. La vérité, par conséquent, ne s’acquiert pas vraiment quand elle est imposée comme quelque chose d'extrinsèque et d’impersonnel ; elle découle au contraire de relations libres entre les personnes, de l’écoute réciproque. En outre, on ne cesse jamais de chercher la vérité, parce que quelque chose de faux peut toujours s'insinuer, même en disant des choses vraies. Un argument impeccable peut en fait reposer sur des faits indéniables, mais s'il est utilisé pour blesser quelqu’un et pour le discréditer aux yeux des autres, aussi juste qu'il apparaisse, il n'est pas habité par la vérité. À partir des fruits, nous pouvons distinguer la vérité des énoncés : s'ils suscitent la controverse, fomentent les divisions, insufflent la résignation ou si, au contraire, ils conduisent à une réflexion consciente et mûre, au dialogue constructif, à une dynamique fructueuse ».
Donc, il n'y a pas de Révélation, puis-qu’imposée et extérieure ne découlant pas de l'écoute réciproque ! Jésus-Christ n'est pas la Vérité incarnée a à laquelle il faut obéir? La vérité est une quête sans fin.........Le pauvre François n'est décidément pas catholique. Christe Eleison