François est un "homme politique rusé", "dur", "impitoyable"
Les cardinaux récemment nommés sont tous de stricte observance bergoglienne, accueillent à tout prix l'immigration de masse et l'inter-religion pendant que "les fidèles fuient les paroisses".
Alessandro Rico l'écrit dans Panorama.it (22 octobre), "En Italie, le pourcentage de catholiques a chuté de 7,7%". La participation des fidèles aux événements de François a diminué de moitié.
“Bergoglio n'a même pas réussi à arrêter l'hémorragie des catholiques d'Amérique latine qui fuyaient vers les sectes protestantes."
Rico remarque que François gouverne "d'une manière tout sauf collégiale.” Il le qualifie d'"autoritaire" et d'"homme politique rusé" qui "parfois est impitoyable" et s'entoure de personnes "d'une morale douteuse, qui sont donc faibles et facilement contrôlables".
En voici des exemples : l'évêque auxiliaire de Buenos Aires Juan Carlos Maccarone (+2015), l'évêque d'Orán Gustavo Zanchetta, Monseigneur Battista Ricca, Cardinal Óscar Rodríguez Maradiaga.
François est connu au Vatican comme "un homme dur" qui s'attend à ce que ses ordres soient exécutés rapidement. Ses invitations "à se sentir libre de le critiquer" lui servent "à dépister ses adversaires".
Les agnostiques et les progressistes sont excités par François qui parle "comme le Secrétaire général de l'ONU ou le chef de Greenpeace, plutôt que comme le successeur de Pierre ; il semble qu'il ne veuille pas confirmer ses frères dans la foi, mais être admiré par le monde", Rico cite un monseigneur du Vatican anonyme.
Il conclut que "l'Eglise en sortie” de François est en fait plus retranchée que jamais. assiégée par des scandales."
Alessandro Rico l'écrit dans Panorama.it (22 octobre), "En Italie, le pourcentage de catholiques a chuté de 7,7%". La participation des fidèles aux événements de François a diminué de moitié.
“Bergoglio n'a même pas réussi à arrêter l'hémorragie des catholiques d'Amérique latine qui fuyaient vers les sectes protestantes."
Rico remarque que François gouverne "d'une manière tout sauf collégiale.” Il le qualifie d'"autoritaire" et d'"homme politique rusé" qui "parfois est impitoyable" et s'entoure de personnes "d'une morale douteuse, qui sont donc faibles et facilement contrôlables".
En voici des exemples : l'évêque auxiliaire de Buenos Aires Juan Carlos Maccarone (+2015), l'évêque d'Orán Gustavo Zanchetta, Monseigneur Battista Ricca, Cardinal Óscar Rodríguez Maradiaga.
François est connu au Vatican comme "un homme dur" qui s'attend à ce que ses ordres soient exécutés rapidement. Ses invitations "à se sentir libre de le critiquer" lui servent "à dépister ses adversaires".
Les agnostiques et les progressistes sont excités par François qui parle "comme le Secrétaire général de l'ONU ou le chef de Greenpeace, plutôt que comme le successeur de Pierre ; il semble qu'il ne veuille pas confirmer ses frères dans la foi, mais être admiré par le monde", Rico cite un monseigneur du Vatican anonyme.
Il conclut que "l'Eglise en sortie” de François est en fait plus retranchée que jamais. assiégée par des scandales."