La "virulence" (sic !) de ce sud-américain me fait penser à quelque chose. Je ne me rappelle pas la procédure précise mais il me semble, sauf erreur de ma part, qu'un chef d'état catholique avait jadis certains privilèges vis à vis de Rome, dont celui, prévu par le Droit de l'Église, de faire remontrance au Pape pour des sujets comme la Foi ou les moeurs, avec possibilité de procès. Le dernier droit, celui d'"exclusive", a été aboli, je crois, par Pie X. Ce serait peut-être une solution au drame actuel : un chef d'état catholique accusant très officiellement, ce qu'aucun évêque n'a été capable de faire jusqu'à présent, le pape d'hérésie, de schisme et de scandale en exigeant un procès canonique en bonne et dûe forme, avec usage si nécessaire de l'Infaillibilité et avec sentences à la clé. Rêvons un peu...