François : victime de chantage ou maître-chanteur ?
Il développe à nouveau le cas de l'archevêque Edgar Peña Parra, le secrétaire d'État adjoint. Peña était homosexuel avant son ordination en 1985, a été dénoncé à la police pour avoir séduit deux séminaristes en 1990, a été impliqué dans deux meurtres incluant des pratiques homosexuelles en 1992, et a été dénoncé par un journaliste comme homosexuel au Nonce (2000, 2001, 2002), écrit Viganò.
Le cardinal Parolin était au courant et a pourtant accepté la Peña comme son remplaçant. Viganò observe que Francis choisit souvent des collaborateurs accusés de "tels crimes".
Pour Viganò, il y a deux explications à cela : soit François lui-même est victime de chantage "de la part de ceux qui bénéficient en toute impunité de sa clémence". Cela expliquerait sa rage contre l'Église alors qu'il respecte en même temps des personnes notoirement corrompues et perverties. Ou encore, François encourage délibérément des personnes dissolues qui peuvent donc être victimes de chantage.
Image: Carlo Viganò, © RemnantNewspaper.com, #newsAscnjdubxc
