Lux Æterna

Co-rédemptrice, un terme équivoque.

La note du Cardinal Fernández préfet de la CDF fait couler beaucoup d'encre et soulève même de l'indignation. Pourtant si on lit cette note sans à priori et avec rectitude intellectuelle, on ne trouve objectivement rien à redire au niveau doctrinal sauf éventuellement une brève allusion à l' œcuménisme conciliaire. La note, en rejetant le terme de "co-rédemptrice " n'est en rien un blasphème, une hérésie ou je ne sais quoi d'autre. C'est la clarification définitive d'un terme qui à toujours été jugé équivoque par les théologiens et utilisé par ses partisans avec nombre de restrictions. Malheureusement nous avons encore la preuve que certains catholiques ( et évidemment de sédévacantistes) ne sont plus capables d'une approche raisonnée et rationnelle des écrits émanant de l'Église. Tout est immédiat, reflexif, émotionnel. Pour une telle question il faut cependant garder la tête froide, lire avec attention le document et le comparer à des enseignements antérieurs. Il faut comprendre par ailleurs que nous ne vivons pas dans un monde manichéen avec d'un côté l'Église postconciliaire d'où ne peut sortir que du mal et un monde traditionaliste ( ou conservateur) représentant de la vérité de l'Église.
Pour revenir au terme "co-rédemptrice" voici un texte de théologie dogmatique anté-conciliaire tiré d'un manuel fameux destiné à la formation des prêtres et des religieux. Il ne dit pas autre chose que la note de la CDF.

"Synthèse. D’après l’Écriture comme d’après la Tradition, Marie prend doublement part à la Rédemption. Tout d’abord, et c’est là le plus important, par sa maternité : elle est la Mère du Sauveur. Elle y prend part, en second lieu, par sa coopération à l’œuvre de la Rédemption, elle est la Mère de ceux qui doivent être sauvés. La première participation fait déjà l’objet d’un dogme ; la seconde attend encore sa définition.

Scheeben, qui a travaillé plus que personne en Allemagne à développer la mariologie, écrit que « Marie n’est pas un principe coordonné dans le Christ et indépendant de lui, habilité et appelé pour compléter sa force et sa puissance rédemptrice ». Elle a en effet été rachetée par lui et « ne peut qu’en tant que rachetée par lui, en vertu de la force reçue de lui‑même, coopérer à l’œuvre de la Rédemption ». Elle a « si peu le pouvoir de compléter la force et la puissance rédemptrice interne du Christ qu’elle est plutôt portée essentiellement par la foi à la force du Christ et que son seul but est que cette force parvienne d’une manière convenable à son exercice. C’est pourquoi l’influence de Marie sur la Rédemption est une pure coopération et cette coopération de son côté n’est qu’une coopération ministérielle avec l’acte rédempteur du Christ qui est en soi l’acte rédempteur indépendant et proprement dit. Marie elle‑même n’est qu’une collaboratrice acceptée par le Rédempteur, c‑à‑d. appelée et habilitée par lui, une collaboratrice qui le sert de près dans la réalisation de l’œuvre rédemptrice que supporte entièrement sa propre force et puissance ou, pour le dire en latin d’une manière plus concise et plus plastique, elle est la « ministra Redemptoris in opere redemptionis ». Scheeben s’efforce, avec raison, d’écarter la difficulté qui se trouve dans la syllabe « co » du mot « coopération », en représentant l’acte rédempteur du Christ comme étant en lui‑même complet, achevé, principal. En effet l’acte du Christ doit logiquement et objectivement être posé avant, car ce n’est que par lui que Marie est ce qu’elle est : « Servante de la Rédemption ». Il est déjà défini, on le sait, que c’est « au vu des mérites du Christ » qu’elle a reçu sa rédemption. La notion de Rédemption est une notion unique, achevée en elle‑même. S. Paul parle très nettement de la Rédemption (le singulier avec l’article, Rom. 31, 24, etc.). On ne doit pas courir le risque de briser cette notion par une expression qui implique une coordination. Car ce qui pour Marie est une coopération en est une aussi pour le Christ. Une partie fournit la coopération pendant que l’autre la reçoit. Il semble donc que la formule de Scheeben elle‑même ait besoin d’être corrigée. Scheeben d’ailleurs connaît une autre formule. Il continue : Dans les temps modernes (depuis le 16ème siècle) on a appelé Marie « coopératrice à la Rédemption » et aussi « corédemptrice ». Mais cette expression, bien qu’elle ait un sens très bon, voire très beau, qui ne peut pas être rendu par un autre aussi concis et aussi net, présente cependant, prise toute seule, au lieu de l’accentuation de la subordination et de la dépendance ministérielle de Marie, un peu trop l’apparence d’une coordination avec le Christ ou bien d’un complément de la force du Christ. Aussi ne devrait on l’employer qu’avec la restriction expresse : « dans un certain sens ». Il pense qu’ « Auxiliaire du Rédempteur pour l’œuvre de rédemption » serait meilleur, mais il fait encore immédiatement une restriction : « Seulement on ne doit pas entendre ici aide dans le sens ordinaire de soutien, c‑à‑d. le renforcement d’une force en soi insuffisante par une autre force, mais dans le sens d’un service qui favorise l’obtention d’un but ». Nous laissons à d’autres le soin de juger si Scheeben est plus clair maintenant qu’auparavant. Diekampf élève aussi des difficultés : « Depuis le 17ème ou le 18ème siècle, certains théologiens soutiennent qu’il faut donner un nouveau titre d’honneur à la Très Sainte Vierge, celui de « corédemptrice ». Ils apportent, dans ces efforts, on ne peut pas le contester, de bons sentiments qu’on peut admettre dogmatiquement. Mais, pour éviter des malentendus faciles, ils sont obligés d’entourer leur expression de tant de réserves et de la détourner tellement de son sens propre qu’il vaudrait mieux s’abstenir d’employer cette expression. Pour des raisons semblables, j’avais également refusé jusqu’ici d’employer ce terme, car sans les « réserves », il peut être mal compris « dans son sens propre ». Je l’ai ensuite accepté dans la troisième et la quatrième édition de mon livre sur la Sainte Vierge, parce qu’il a été employé par les derniers Papes dans des Encycliques. Il n’en reste pas moins des difficultés pour la dogmatique scientifique. Ces difficultés proviennent manifestement de la syllabe « co ». Le Traité de la grâce nous offre un exemple de la coopération entre un supérieur et un inférieur dans la notion de « grâce coopérante ». Mais la chose est différente, car l’effet de la grâce et de la volonté est « totus Dei et totus hominis », ce qu’on ne peut pas dire du Christ et de Marie même d’une manière analogue. On a proposé et mis en usage une formule, d’après laquelle Marie a mérité pour nous de congruo tout ce que le Christ a mérité de condigno. Mais si nous voulons adopter cette manière de voir et, au moyen de cette expression scolaire née au 13ème siècle, expliquer la participation de Marie à l’œuvre de l’Homme‑Dieu, il nous faut rendre acceptable théologiquement que la « satisfaction surabondante » du Christ ait pu recevoir encore un « complément » ou une « aide » de la part de Marie ; il nous faudra ensuite établir par l’Écriture et la Tradition que cette formule est tout au moins implicitement révélée ; il nous faudra encore éviter le danger de briser la notion de l’unicité et de l’unité absolue de la Rédemption qui se trouve partout dans la Révélation. Doit‑on se représenter la chose de cette façon : Le Christ a d’abord racheté Marie seule, de condigno afin de racheter ensuite le monde avec elle (cooperans), lui par le mérite de condigno et elle par le mérite de congruo ? Le mérite de Marie ne peut avoir son fondement que dans le mérite du Christ. Mais il faut établir que tout cela se trouve manifestement dans le plan divin du salut. Sur ce point, les travaux réunis des théologiens auront encore de la lumière à faire."

Précis de théologie dogmatique Bartmann.
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Catholique et Français

Jésus, Brasier d'Amour qui ne peut se contenir, est tellement bon, tellement modeste, tellement humble qu'Il a voulu associer à ses Côtés une Créature, certes parfaite, à sa Rédemption du monde. Les débats et les arguments rigoureux, froids et secs des théologiens, c'est une chose. Le coeur qui parle d'abord et qui associe dans un seul amour les Très Saints Coeur de Jésus et de Marie, c'est toute autre chose, sans doute plus profonde. La Religion Catholique est d'abord et avant tout un amour.

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La théologie anté-conciliaire a toujours considéré que le terme co-rédemptrice ne devait être utilisé qu'avec de nombreuses précisions à cause de son caractère ambiguë pour le commun des catholiques. À cause de différents lobbies au sein de l'Église, des devotions désordonnées qu'entrainent les réseaux sociaux, de la pauvreté doctrinale des catholiques modernes et des fausses révélations, l' Église décide de poser des restrictions quant à l'utilisation du terme co-rédemptrice. Cela reste dans la logique de la théologie antérieure, preuve avec un extrait du célèbre précis de théologie dogmatique Bartmann qui était utilisé dans les séminaires et maisons religieuses avant Vatican II.

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Ça viendra quand même en son temps et au bon moment, quand le monde qui sera plongé dans la tourmente aura besoin de son aide ! Les signes de sa manifestation seront alors éclatants ! 🙏

Léon XIV

L'ambiguïté sur cette question appartient à ceux qui n'ont pas la Foi. Le rôle de l'Église n'est pas de susciter des doutes sur les questions doctrinales, mais bien des certitudes. Encore une preuve que Rome n'a plus la Foi.

Monsieur vous n'êtes pas catholique, pourquoi vous mêlez vous de la vie de l'Eglise?

Léon XIV

Désolé de vous apprendre que vous n'êtes pas Catholique et que vous connaissez pas grand chose à la doctrine Catholique.

Monsieur, vous êtes malade. Cela semble être un trouble dissociatif ou une schizophrénie légère. Vous voyez bien que la seule personne qui vous prend au sérieux ici, c'est vous. Vous devriez vous rapprocher d'un médecin psychiatre. Je suis très sérieux. Quand on commence à se croire investi d'une mission divine ou à se prendre pour un personnage prestigieux et d'envergure mondiale, c'est un premier signe clinique.

Léon XIV

"Or l'homme animal ne perçoit pas les choses qui sont de l'Esprit de Dieu; car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les comprendre, parce que c'est spirituellement qu'on en juge." 1 Cor 2,14

Monsieur, le déni n'est jamais la solution.

philippeLILOU

La Vierge Marie est Co-rédemptrice de fait, quel que soient les opinions contraires, sans son Fiat pas de Rédemption…
Le Vatican sait que c'est Elle qui "écrasera la tête du Serpent", et ça dérange.
Et c'est normal, " Rome perdra la foi et deviendra le siège de l'antichrist", nous y sommes.

vobiscum

C'est déjà le 31 mai 1938 qu'on a décidé cela en mettant Le Livre du Ciel sur la Divine Volonté dicté par Jésus-Christ à Luisa Piccarreta dans sa vie mystique aux Archives! PICCARRETA free.fr/Luisa.htm ETOILE 16 de la Divine Volonté! 10% du Livre du …

Lux Æterna

Note de la CDF sur le titre de Co-rédemptrice
17. Le titre de Co-rédemptrice apparaît au XVe siècle comme une correction à l’invocation de Rédemptrice (comme abréviation de Mère du Rédempteur) que Marie recevait depuis le Xe siècle. Saint Bernard attribue à Marie un rôle au pied de la Croix qui donne naissance au titre de Co-rédemptrice, qui apparaît pour la première fois dans un hymne anonyme du XVe siècle à Salzbourg[31]. Bien que le nom de Rédemptrice ait été maintenu aux XVIe et XVIIe siècles, il disparut complètement au XVIIIe siècle pour être remplacé par Co-rédemptrice. La recherche théologique sur la coopération de Marie à la Rédemption, au cours de la première moitié du XXe siècle, a conduit à approfondir le contenu du titre de Co-rédemptrice[32].
18. Certains Pontifes ont utilisé ce titre sans trop s’attarder à l’expliquer[33]. D’une manière générale, ils l’ont présenté de deux manières précises: par rapport à la maternité divine, dans la mesure où Marie, en tant que mère, a rendu possible la Rédemption accomplie dans le Christ[34], ou en référence à son union avec le Christ près de la Croix rédemptrice[35]. Le Concile Vatican II a évité d’utiliser le titre de Co-rédemptrice pour des raisons dogmatiques, pastorales et œcuméniques. Saint Jean Paul II l’a utilisé à sept reprises au moins, en le rapportant en particulier à la valeur salvifique de nos souffrances offertes avec celles du Christ à qui Marie est unie avant tout sur la Croix[36].
19. Lors de la Feria IV du 21 février 1996, le Préfet de ce qu’on appelait alors la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, le Cardinal Joseph Ratzinger, en réponse à la question de savoir si la demande du mouvement Vox Populi Mariae Mediatrici d’une définition du dogme de Marie comme co-rédemptrice ou médiatrice de toutes grâces était acceptable, a répondu dans son votum personnel : « Négatif. La signification précise des titres n’est pas claire et la doctrine qu’ils contiennent n’est pas mûre. Une doctrine définie de foi divine appartient au dépôt de la foi, c’est-à-dire à la révélation divine véhiculée dans l’Écriture et dans la tradition apostolique. Or, on ne voit pas clairement comment la doctrine exprimée dans les titres est présente dans l’Écriture et dans la tradition apostolique »[37]. Plus tard, en 2002, il s’est exprimé publiquement contre l’utilisation de ce titre : « La formule “Co-rédemptrice” est trop éloignée du langage de l’Écriture et de la patristique et provoque ainsi des malentendus... Tout procède de Lui, comme le disent surtout les Lettres aux Éphésiens et aux Colossiens. Marie est ce qu’elle est grâce à Lui. Le mot “co-rédemptrice” éclipserait cette origine ». Le Cardinal Ratzinger ne niait pas qu’il y aurait de bonnes intentions et des aspects valables dans la proposition d’utiliser ce titre, mais il soutenait qu’il s’agissait d’un « terme erroné »[38]
20. Le Cardinal de l’époque mentionnait les Lettres aux Éphésiens et aux Colossiens, où le vocabulaire utilisé et le dynamisme théologique des hymnes présentent de telle manière la centralité rédemptrice unique et la fontalité du Fils incarné que la possibilité d’y ajouter d’autres médiations est exclue, parce que « toutes sortes de bénédictions spirituelles » nous sont données « dans le Christ » (Ep 1, 3) ; parceque nous sommes pour Lui des fils adoptifs (cf. Ep 1, 5) et en Lui nous avons été comblés de grâce (cf. Ep 1, 6), « En Lui nous trouvons la rédemption, par son sang » (Ep 1, 7) et « Il nous a prodigués » (Ep 1, 8) sa grace. En Lui, « nous avons été mis à part » (Ep 1, 11) et nous avons été prédestinés. Et Dieu a voulu « faire habiter en Lui toute la Plénitude» (Col 1, 19) et, « par Lui, réconcilier tous les êtres pour Lui » (Col 1, 20). Une telle louange sur la place unique du Christ nous invite à mettre chaque créature en situation clairement réceptive, et à une prudence religieuse et délicate lorsque nous envisageons toute forme de coopération possible dans le domaine de la Rédemption.
21. Le Pape François a clairement exprimé sa position au moins trois fois contre l’utilisation du titre de Co-rédemptrice, alléguant que Marie « n’a jamais voulu prendre pour elle quelque chose de son Fils. Elle ne s’est jamais présentée comme co-rédemptrice. Non, disciple »[39]. L’œuvre rédemptrice a été parfaite et n’a besoin d’aucun ajout. C’est pourquoi « la Vierge n’a voulu obtenir aucun titre de Jésus [...]. Elle n’a pas demandé d’être elle-même une quasi-rédemptrice ou une co-rédemptrice: non. Il n’y a qu’un seul Rédempteur et ce titre ne se dédouble pas »[40]. Le Christ « est l’unique Rédempteur : il n’y a pas de co-rédempteurs avec le Christ »[41]. Parce que « le sacrifice de la Croix, offert avec un cœur aimant et obéissant, présente une satisfaction surabondante et infinie »[42]. Bien que nous puissions prolonger ses effets dans le monde (cf. Col 1 :24), ni l’Église ni Marie ne peuvent remplacer, ni perfectionner, l’œuvre rédemptrice du Fils de Dieu incarné, qui a été parfaite et n’a pas besoin d’ajouts.
22. Compte tenu de la nécessité d’expliquer le rôle subordonné de Marie au Christ dans l’œuvre de la Rédemption, l’utilisation du titre de Co-rédemptrice pour définir la coopération de Marie est toujours inopportune. Ce titre risque d’obscurcir l’unique médiation salvifique du Christ et peut donc générer une confusion et un déséquilibre dans l’harmonie des vérités de la foi chrétienne, parce qu’« il n’y a de salut en personne d’autre », car « il n’y a pas sous le ciel d’autre nom donné aux hommes par lequel nous devions être sauvés » (Ac 4, 12). Lorsqu’une expression nécessite des explications nombreuses et constantes, afin d’éviter qu’elle ne s’écarte d’un sens correct, elle ne rend pas service à la foi du Peuple de Dieu et devient gènante. Dans ce cas, elle n’aide pas à exhalter Marie comme la première et la plus grande collaboratrice dans l’œuvre de la Rédemption et de la grâce, parce que le danger d’obscurcir la place exclusive de Jésus-Christ, Fils de Dieu fait homme pour notre salut, le seul capable d’offrir au Père un sacrifice d’une valeur infinie, ne serait pas un véritable honneur pour la Mère. En effet, en tant que « servante du Seigneur » (Lc 1, 38), elle nous indique le Christ et nous demande : « Tout ce qu’Il vous dira, faites-le » (Jn 2, 5).
Mater Populi fidelis - Nota dottrinale su alcuni …

Dieu sait que les propos de Narcisse Imbroglio ne sont pas ma tasse de thé. Mais il a écarté le terme de "co-rédemptrice", qui signifie "rédemptrice avec". Ce qui n'est pas heureux comme expression.
Le rédempteur, c'est Jésus et sa mère a contribué à Sa mission en lui donnant la vie. Mais elle n'a prétendu à aucun titre. Cela n'a pas empêché la publication de traités de Mariologie. Mais quelles compétitions (inutiles) dans les superlatifs on peut trouver dans ces ouvrages.
Au pied de La Croix, il y avait aussi saint Jean. Par Jésus, il a été déclaré son fils et elle a été déclarée sa mère. Avec ça, les comptes sont bons.

Merci, je me sens moins seul.

@Lux Æterna
De rien. (Nous ne sommes pas obligés d'être en désaccord.) 🤔😂

steack

Cela dit Mgr Vigano n'a pas complètement tort sur le sujet : ce n'est pas le souci de lever une sémantique équivoque qui motive le cardinal Fernandez. Sinon il se serait attaqué à d'autres urgences bien avant...
Fremet et tabescet

Lux Æterna

@steack
Le texte de mgr Vigano que vous me donnez à lire est lamentable. C'est un procès d'intention colérique qui laisse même entrevoir un esprit de vengeance. Pour ma part j'ai juste regardé le contenu doctrinal de la note et j'ai cru bonnement aux intentions revendiquées. Cela dit vos questions quant à l'opportunité du document ou à d'éventuelles motivations occultes peuvent s'entendre. Mais je n'irai pas dans ce domaine speculatif et incertain que je ne maîtrise pas. Du reste je crois que la Providence à son mot à dire dans la promulgation de cette note.