"Steack" est ridicule ! Il est une copie de Jean-Henri-Romain Prompsault, un auteur dont ses livres finissaient sur l'index !
Orthodoxie catholique. Mandement de S. Em. Mgr le cardinal-archevêque de Lyon et de Vienne, portant condamnation d'un écrit intitulé : Du siège du pouvoir ecclésiastique dans l'Eglise de Jésus-Christ, Lettres à M. le marquis de Régnon, fondateur et rédacteur de L'union Catholique, par l'abbé J.-H.-R. Prompsault, Paris, 1853, page 347
Romanus Pontifex tamquam primas ecclesiae et princeps civilis e monumentis omnium seculorum demonstratus ,Addita Amplissima literatura · tome 4, par Agoston Roskoványi · 1867, page 349
Voilà, ce qu'arrivait à l'ultra-gallican Jean-Henri-Romain Prompsault:
Deux ans plus tard, il fit paraître son livre intitulé : Du siège du pouvoir ecclésiastique dans l’Église, dans lequel il ne reconnaissait au pape qu’un simple droit de primauté, d’honneur et de juridiction. Cet ouvrage, condamné dans un mandement du cardinal de Bonald, fut mis peu après à l’index par la cour de Rome. Cette même année, l’abbé Prompsault fit paraître, en faveur de deux prêtres interdits, des mémoires dans lesquels il s’attachait à prouver qu’ils n’avaient pas été condamnés selon les règles du droit et blâmait l’archevêque de Paris de n’avoir pas reçu comme il le devait l’appel de l’un d’eux. M. Sibour, qui jusqu’au lors avait soutenu l’abbé Prompsault, condamna, par une ordonnance dans laquelle il se faisait juge dans sa propre cause, la doctrine des deux, consultations d’une manière générale.
Se voyant suspendu de ses fonctions ecclésiastiques dans le diocèse de Paris (8 septembre 1854), Prompsault se pourvut près du conseil d’État et partit pour Rome, afin de demander à Pie IX de se faire juge entre lui et son archevêque. Mais il ne put obtenir une audience du pape, à qui il avait été signalé comme un ennemi dangereux du Saint-Siège.
@Bénédicte LIOGIER ; @Hélène33 ; @AveMaria44 ; @Arthur De la Baure ; @Ave dola solfa fasol lasisol
Romanus Pontifex tamquam primas ecclesiae et princeps civilis e monumentis omnium seculorum demonstratus ,Addita Amplissima literatura · tome 4, par Agoston Roskoványi · 1867, page 349
Voilà, ce qu'arrivait à l'ultra-gallican Jean-Henri-Romain Prompsault:
Deux ans plus tard, il fit paraître son livre intitulé : Du siège du pouvoir ecclésiastique dans l’Église, dans lequel il ne reconnaissait au pape qu’un simple droit de primauté, d’honneur et de juridiction. Cet ouvrage, condamné dans un mandement du cardinal de Bonald, fut mis peu après à l’index par la cour de Rome. Cette même année, l’abbé Prompsault fit paraître, en faveur de deux prêtres interdits, des mémoires dans lesquels il s’attachait à prouver qu’ils n’avaient pas été condamnés selon les règles du droit et blâmait l’archevêque de Paris de n’avoir pas reçu comme il le devait l’appel de l’un d’eux. M. Sibour, qui jusqu’au lors avait soutenu l’abbé Prompsault, condamna, par une ordonnance dans laquelle il se faisait juge dans sa propre cause, la doctrine des deux, consultations d’une manière générale.
Se voyant suspendu de ses fonctions ecclésiastiques dans le diocèse de Paris (8 septembre 1854), Prompsault se pourvut près du conseil d’État et partit pour Rome, afin de demander à Pie IX de se faire juge entre lui et son archevêque. Mais il ne put obtenir une audience du pape, à qui il avait été signalé comme un ennemi dangereux du Saint-Siège.
@Bénédicte LIOGIER ; @Hélène33 ; @AveMaria44 ; @Arthur De la Baure ; @Ave dola solfa fasol lasisol