@GrosminetAu lien suivant vous trouverez le texte original de traditionis custodes et surtout la lettre explicative du pape François (que je vous prierais, s'il vous plait, par respect pour les catholiques dont je suis de l'appeler comme il se doit et non "Bergoglio" comme le font les fidèles des sectes sedevacantistes dont vous n'êtes pas, bien sûr).
Je vous rappelle que les
290 lieux de messes traditionnelles dans 90 dicèses de France ne sont pas dites dans les catacombes mais dans des églises en plein jour avec grande affluence de fidèles (500 à 700 fidèles par messe dans ma paroisse tradi diocésaine tous les dimanches) avec la bénédiction de l'évêque.
Chez les anti JP II, anti Benoit XVI et anti François, c'est normal que ce soit plus compliqué pour eux.
Dumoins cette situation durera pour les catholiques traditionnels tant que les pyromanes schismatiques ne réussiront pas à trop mettre le feu entre les catholiques de différents bords.
Auquel cas, effectivrement un jour toutes les messes tradi seront interdites à causes des zélotes.
Ils seront contents : ils auront gagné leur combat et les propro s'en frotteront les mains : "merci les gars, vous avez bien travaillé pour nous !"
"Traditionis Custodes": un motu proprio sur l'usage du Missel de Jean XXIII (traduction) - ZENIT - FrancaisLe Pape François dit : "le
Motu proprio Ecclesia Dei de 1988, était avant tout motivée par la volonté de favoriser la recomposition du schisme avec le mouvement guidé de Mgr Lefebvre.
- l’usage de ce Missel, avait donc une raison ecclésiale de recomposition de l’unité de l’Église.
- j’ai chargé la Congrégation pour la doctrine de la foi de vous adresser un questionnaire sur l’application du
Motu proprio Summorum Pontificum. Les réponses parvenues ont révélé une situation douloureuse qui m’inquiète, me confirmant la nécessité d’intervenir. Malheureusement, l’intention pastorale de mes prédécesseurs, qui avaient entendu « faire tous les efforts afin que tous ceux qui ont vraiment le désir de l’unité aient la possibilité rester dans cette unité ou la retrouver » , a été souvent gravement négligée.
Une possibilité offerte par saint Jean-Paul II et avec une magnanimité encore plus grande par Benoît XVI afin de
recomposer l’unité du corps ecclésial dans le respect des différentes sensibilités liturgiques a été utilisée pour augmenter les distances, durcir les différences, construire des oppositions qui blessent l’Église et en entravent la progression, en l’exposant au risque de divisions.- Je suis également attristé par les abus de part et d’autre dans la célébration de la
liturgie. Comme Benoît XVI, je stigmatise moi aussi que « dans de nombreux endroits
on ne célèbre pas de façon fidèle aux prescriptions du nouveau Missel, mais qu’il soit même compris comme une autorisation ou jusqu’à
une obligation à la créativité, qui conduit souvent à des déformations à la limite de ce qui est supportable » .
- Mais je ne suis pas moins attristé par
une utilisation instrumentale du Missale Romanum de 1962, toujours plus caractérisée par un refus croissant non seulement de la réforme liturgique, mais du Concile Vatican II, avec l’affirmation infondée et insoutenable qu’il aurait trahi la Tradition et la « vraie Église »