"Conformément à l'habituel double visage typique du pire péronisme, Bergoglio jette par-dessus bord - au moins publiquement - le président de la Conférence épiscopale italienne, le cardinal Zuppi et ses acolytes, après avoir rencontré et encouragé à plusieurs reprises Casarini et les ONG.
La séquence d’interventions en faveur des passeurs d’immigrés s’est intensifiée ces dernières années. Il a dit d'abord : « Comptez sur moi » ( Migranti. Papa Francesco a Mediterranea: «Contate su di me» ) puis Avvenire tisse le panégyrique de Casarini : « Parmi les migrants en mer, j'ai retrouvé mon être chrétien" ( Sinodo. Luca Casarini: «Fra i migranti in mare ho riscoperto il mio essere cristiano» ), et finalement Bergoglio le nomme envoyé spécial au Synode ( Il Papa arruola Casarini. Dai traffici sui migranti a esperto del Vaticano ).
Bien sûr, devant l'auguste aval, les serviteurs zélés font tout pour l'aider non seulement en paroles, mais aussi économiquement, sans perdre de vue les bénéfices …Plus