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Accords Ursula / Bourla : jackpot pour big pharma.
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Le débat sur le devant de la scène n'est qu'un trompe l’œil, c'est le spectacle pour les gueux, mais les vrais tractations se font dans les coulisses à l’abri des regards.
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Parlement européen : Ursula von der Leyen n’exclut pas une alliance de la droite avec le groupe de Giorgia Meloni, ECR avec qui RECONQËTE s'apprête à siéger :
L’actuelle présidente de la Commission européenne, tête de liste du parti PPE pour les élections européennes, participait, à Maastricht, à son premier débat de campagne.
Parlement européen : Ursula von der Leyen n’exclut pas une …Plus
Parlement européen : Ursula von der Leyen n’exclut pas une alliance de la droite avec le groupe de Giorgia Meloni, ECR avec qui RECONQËTE s'apprête à siéger :

L’actuelle présidente de la Commission européenne, tête de liste du parti PPE pour les élections européennes, participait, à Maastricht, à son premier débat de campagne.

Parlement européen : Ursula von der Leyen n’exclut pas une alliance de la droite avec le groupe de Giorgia Meloni

Le groupe ECR de Reconquete n'a pas présenté de candidat contre Ursula :

Les principaux candidats aux élections européennes se sont affrontés lors du premier débat de la course, négociant notamment sur le Green Deal, la guerre entre Israël et le Hamas, la migration irrégulière, l'intelligence artificielle et TikTok.

A six semaines des élections européennes, les principaux candidats à la présidence de la Commission européennes se sont retrouvés lundi soir à Masstricht aux Pays-Bas pour un premier débat électoral co-organisé par Politico Europe et Studio Europa.
Une heure et demie d'échanges continus, souvent fougueux et passionnés voire parfois maladroits.
Sur scène se trouvaient les "Spitzenkandidaten", les candidats à la présidence de la Commission européenne après les élections de juin : la présidente sortante Ursula von der Leyen (Allemande, Parti populaire européen), Nicolas Schmit (Luxembourgeois, Parti socialiste européen), Marie-Agnes Strack-Zimmermann (Allemande, Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe), Bas Eickhout (Pays-Bas, Parti vert européen), Anders Vistisen (Danois, Parti Identité et Démocratie), Walter Baier (Autrichien, Parti de la gauche européenne), Maylis Roßberg (Allemande, Alliance libre européenne) et Valeriu Ghilețchi (Moldave, Mouvement politique chrétien européen).

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La seule éventuelle alternative d’alliance demeure donc bien avec le groupe CRE, absent du paysage politique français, « sauf si Éric Zemmour [ancien candidat d’extrême droite à l’élection présidentielle de 2022] décide de présenter une liste ».

En tout état de cause, les appels du pied de CRE vers le PPE se font de moins en moins discrets. Dans un entretien accordé à EURACTIV Italie, l’eurodéputé de Fratelli d’Italia (groupe CRE) Vincenzo Sofo indiquait que « l’électorat conservateur augmente partout en Europe et demande aux partis concernés de construire une majorité alternative à celle qui existait jusqu’à présent à Bruxelles ».

Pour 2024, M. Sofo appelle les élus du PPE à s’interroger et « décider s’ils veulent sortir d’une certaine ambiguïté », en continuant « à suivre les socialistes et rester attaché à la laisse de la gauche comme ces dernières années ou revenir défendre les valeurs du centre droit qu’ils ont abandonnées ».

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