Voici ce que Saint Paul VI confiait en 1977 à son ami Jean Guitton

PAUL VI : “Il y a un très grand trouble en ce moment dans le monde et dans l’Église, et ce qui est en question, c’est la foi. Il arrive maintenant que je me redise la phrase obscure de Jésus dans …Plus
PAUL VI : “Il y a un très grand trouble en ce moment dans le monde et dans l’Église, et ce qui est en question, c’est la foi. Il arrive maintenant que je me redise la phrase obscure de Jésus dans l’Évangile de saint Luc : ‘Quand le Fils de l’Homme reviendra, trouvera-t-il encore de la foi sur la terre ?’ Il arrive que paraissent des livres où la foi est diminuée sur des points importants, que l’épiscopat se taise, qu’on ne trouve pas ces livres étranges. Et c’est cela qui, à mes yeux, est étrange. Il m’arrive de relire l’Évangile de la fin des temps et de constater qu’il y a en ce moment certains signes de cette fin. Est-ce que nous sommes proches de la fin ? c’est ce que nous ne saurons jamais. Il faut toujours nous tenir prêts à la fin, mais tout peut durer très longtemps. Ce qui me frappe quand je considère le monde catholique, c’est qu’à l’intérieur du catholicisme une pensée de type non-catholique semble parfois avoir le dessus, et il se peut que cette pensée non catholique à …Plus
Sylvanus
Le Credo de saint Paul VI :
Texte intégral du Credo du peuple de Dieu (dans une traduction non officielle en français) prononcé solennellement par Paul VI le 30 juin 1968.
Nous croyons en un seul Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, Créateur des choses visibles comme ce monde où s’écoule notre vie passagère, des choses invisibles comme les purs esprits qu’on nomme aussi les anges, et Créateur en …Plus
Le Credo de saint Paul VI :
Texte intégral du Credo du peuple de Dieu (dans une traduction non officielle en français) prononcé solennellement par Paul VI le 30 juin 1968.

Nous croyons en un seul Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, Créateur des choses visibles comme ce monde où s’écoule notre vie passagère, des choses invisibles comme les purs esprits qu’on nomme aussi les anges, et Créateur en chaque homme de son âme spirituelle et immortelle.

Nous croyons que ce Dieu unique est absolument un dans son essence infiniment sainte comme dans toutes ses perfections, dans sa toute-puissance, dans sa science infinie, dans sa providence, dans sa volonté et dans son amour. Il est Celui qui est, comme il l’a révélé à Moïse ; et il est Amour, comme l’apôtre Jean nous l’enseigne : en sorte que ces deux noms, Être et Amour, expriment ineffablement la même divine réalité de Celui qui a voulu se faire connaître à nous, et qui, "habitant une lumière inaccessible", est en lui-même au-dessus de tout nom, de toutes choses et de toute intelligence créée. Dieu seul peut nous en donner la connaissance juste et plénière en se révélant comme Père, Fils et Esprit Saint, dont nous sommes par grâce appelés à partager, ici-bas dans l’obscurité de la foi et au-delà de la mort dans la lumière éternelle, l’éternelle vie. Les liens mutuels constituant éternellement les trois personnes, qui sont chacune le seul et même Être divin, sont la bienheureuse vie intime du Dieu trois fois saint, infiniment au-delà de ce que nous pouvons concevoir à la mesure humaine. Nous rendons grâce cependant à la bonté divine du fait que de très nombreux croyants puissent attester avec Nous devant les hommes l’unité de Dieu, bien qu’ils ne connaissent pas le mystère de la Très Sainte Trinité.

Nous croyons donc au Père qui engendre éternellement le Fils, au Fils, Verbe de Dieu, qui est éternellement engendré, au Saint-Esprit, personne incréée qui procède du Père et du Fils comme leur éternel amour. Ainsi en les trois personnes divines, "coaeternae sibi et coaequales", surabondent et se consomment, dans la surexcellence et la gloire propres à l’être incréé, la vie et la béatitude de Dieu parfaitement un, et toujours "doit être vénérée l’unité dans la trinité et la trinité dans l’unité".

Nous croyons en Notre Seigneur Jésus-Christ, qui est le Fils de Dieu. Il est le Verbe éternel, né du Père avant tous les siècles et consubstantiel au Père, "homoousios to Patri", et par lui tout a été fait. Il s’est incarné par l’œuvre du Saint-Esprit dans le sein de la Vierge Marie et s’est fait homme : égal donc au Père selon la divinité, et inférieur au Père selon l’humanité et un lui-même, non par quelque impossible confusion des natures mais par l’unité de la personne.

Il a habité parmi nous, plein de grâce et de vérité. Il a annoncé et instauré le Royaume de Dieu et nous a fait en lui connaître le Père. Il nous a donné son commandement nouveau de nous aimer les uns les autres comme il nous a aimés. Il nous a enseigné la voie des béatitudes de l’Évangile : pauvreté en esprit, douleur supportée dans la patience, soif de la justice, miséricorde, pureté du cœur, volonté de paix, persécution endurée pour la justice. Il a souffert sous Ponce Pilate, Agneau de Dieu portant sur lui les péchés du monde, et il est mort pour nous sur la croix, nous sauvant par son sang rédempteur. Il a été enseveli et, de son propre pouvoir, il est ressuscité le troisième jour, nous élevant par sa résurrection à ce partage de la vie divine qu’est la vie de la grâce. Il est monté au ciel et il viendra de nouveau, en gloire cette fois, pour juger les vivants et les mort: chacun selon ses mérites - ceux qui ont répondu à l’amour et à la pitié de Dieu allant à la vie éternelle, ceux qui les ont refusés jusqu’au bout allant au feu qui ne s’éteint pas. Et son règne n’aura pas de fin.

Nous croyons en l’Esprit Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie, qui est adoré et glorifié avec le Père et le Fils. Il nous a parlé par les Prophètes, il nous a été envoyé par le Christ après sa Résurrection et son Ascension auprès du Père ; il illumine, vivifie, protège et conduit l’Église ; il en purifie les membres s’ils ne se dérobent pas à la grâce. Son action qui pénètre au plus intime de l’âme, rend l’homme capable de répondre à l’appel de Jésus: "Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait".

Nous croyons que Marie est la Mère demeurée toujours vierge du Verbe incarné, notre Dieu et Sauveur Jésus-Christ, et qu’en raison de cette élection singulière elle a été, en considération des mérites de son Fils, rachetée d’une manière plus éminente, préservée de toute souillure du péché originel et comblée du don de la grâce plus que toutes les autres créatures.

Associée par un lien étroit et indissoluble aux mystères de l’Incarnation et de la Rédemption, la Très Sainte Vierge, l’Immaculée, a été, au terme de sa vie terrestre, élevée en corps et en âme à la gloire céleste et configurée à son Fils ressuscité en anticipation du sort futur de tous les justes; et Nous croyons que la Très Sainte Mère de Dieu, nouvelle Ève, mère de l’Église, continue au ciel son rôle maternel à l’égard des membres du Christ, en coopérant à la naissance et au développement de la vie divine dans les âmes des rachetés.

Nous croyons qu’en Adam tous ont péché, ce qui signifie que la faute originelle commise par lui a fait tomber la nature humaine, commune à tous les hommes, dans un état où elle porte les conséquences de cette faute et qui n’est pas celui où elle se trouvait d’abord dans nos premiers parents, constitués dans la sainteté et la justice, et où l’homme ne connaissait ni le mal ni la mort. C’est la nature humaine ainsi tombée, dépouillée de la grâce qui la revêtait, blessée dans ses propres forces naturelles et soumise à l’empire de la mort, qui est transmise à tous les hommes et c’est en ce sens que chaque homme naît dans le péché. Nous tenons donc, avec le Concile de Trente, que le péché originel est transmis avec la nature humaine, "non par imitation, mais par propagation", et qu’il est ainsi "propre à chacun".

Nous croyons que Notre-Seigneur Jésus-Christ, par le sacrifice de la croix, nous a rachetés du péché originel et de tous les péchés personnels commis par chacun de nous, en sorte que, selon la parole de l’Apôtre, "là où le péché avait abondé, la grâce a surabondé".

Nous croyons à un seul baptême institué par Notre-Seigneur Jésus-Christ pour la rémission des péchés. Le baptême doit être administré même aux petits enfants qui n’ont pu encore se rendre coupables d’aucun péché personnel, afin que, nés privés de la grâce surnaturelle, ils renaissent "de l’eau et de l’Esprit Saint" à la vie divine dans le Christ Jésus.

Nous croyons à l’Église une, sainte, catholique et apostolique, édifiée par Jésus-Christ sur cette pierre qui est Pierre. Elle est le corps mystique du Christ, à la fois société visible instituée avec des organes hiérarchiques et communauté spirituelle, l’Église terrestre ; elle est le peuple de Dieu pérégrinant ici-bas et l’Église comblée des biens célestes ; elle est le germe et les prémices du Royaume de Dieu, par lequel se continuent, au long de l’histoire humaine, l’œuvre et les douleurs de la Rédemption et qui aspire à son accomplissement parfait au-delà du temps dans la gloire. Au cours du temps, le Seigneur Jésus forme son Église par les sacrements qui émanent de sa plénitude. C’est par eux qu’elle rend ses membres participants au mystère de la mort et de la résurrection du Christ, dans la grâce du Saint-Esprit qui lui donne vie et action. Elle est donc sainte tout en comprenant en son sein des pécheurs, parce qu’elle n’a elle-même d’autre vie que celle de la grâce : c’est en vivant de sa vie que ses membres se sanctifient ; c’est en se soustrayant à sa vie qu’ils tombent dans les péchés et les désordres qui empêchent le rayonnement de sa sainteté. C’est pourquoi elle souffre et fait pénitence pour ses fautes, dont elle a le pouvoir de guérir ses enfants par le sang du Christ et le don de l’Esprit Saint.

Héritière des divines promesses et fille d’Abraham selon l’Esprit, par cet Israël dont elle garde avec amour les Écritures et dont elle vénère les patriarches et les prophètes ; fondée sur les apôtres et transmettant de siècle en siècle leur parole toujours vivante et leurs pouvoirs de pasteur dans le successeur de Pierre et les évêques en communion avec lui; perpétuellement assistée par le Saint-Esprit, elle a charge de garder, enseigner, expliquer et répandre la vérité que Dieu a révélée d’une manière encore voilée par les prophètes et pleinement par le Seigneur Jésus. Nous croyons tout ce qui est contenu dans la parole de Dieu, écrite ou transmise, et que l’Église propose à croire comme divinement révélé, soit par un jugement solennel, soit par le magistère ordinaire et universel. Nous croyons à l’infaillibilité dont jouit le successeur de Pierre quand il enseigne ex cathedra comme pasteur et docteur de tous les fidèles, et dont est assuré aussi le corps des évêques lorsqu’il exerce avec lui le magistère suprême.

Nous croyons que l’Église, fondée par Jésus-Christ et pour laquelle il a prié, est indéfectiblement une dans la foi, le culte et le lien de la communion hiérarchique. Au sein de cette Église, la riche variété des rites liturgiques et la légitime diversité des patrimoines théologiques et spirituels et des disciplines particulières, loin de nuire à son unité, la manifestent davantage.

Reconnaissant aussi l’existence, en dehors de l’organisme de l’Église du Christ, de nombreux éléments de vérité et de sanctification qui lui appartiennent en propre et tendent à l’unité catholique, et croyant à l’action du Saint-Esprit qui suscite au cœur des disciples du Christ l’amour de cette unité, Nous avons l’espérance que les chrétiens qui ne sont pas encore dans la pleine communion de l’unique Église se réuniront un jour en un seul troupeau avec un seul pasteur.

Nous croyons que l’Église est nécessaire au salut, car le Christ qui est seul médiateur et voie de salut se rend présent pour nous dans son Corps qui est l’Église. Mais le dessein divin du salut embrasse tous les hommes ; et ceux qui, sans faute de leur part, ignorent l’Évangile du Christ et son Église mais cherchent Dieu sincèrement et, sous l’influence de la grâce, s’efforcent d’accomplir sa volonté reconnue par les injonctions de leur conscience, ceux-là, en un nombre que Dieu seul connaît, peuvent obtenir le salut.

Nous croyons que la messe célébrée par le prêtre représentant la personne du Christ en vertu du pouvoir reçu par le sacrement de l’ordre, et offerte par lui au nom du Christ et des membres de son Corps mystique, est le sacrifice du calvaire rendu sacramentellement présent sur nos autels. Nous croyons que, comme le pain et le vin consacrés par le Seigneur à la Sainte Cène ont été changés en son Corps et son Sang qui allaient être offerts pour nous sur la croix, de même le pain et le vin consacrés par le prêtre sont changés au corps et au sang du Christ glorieux siégeant au ciel, et Nous croyons que la mystérieuse présence du Seigneur, sous ce qui continue d’apparaître à nos sens de la même façon qu’auparavant, est une présence vraie, réelle et substantielle.

Le Christ ne peut être ainsi présent en ce sacrement autrement que par le changement en son corps de la réalité elle-même du pain et par le changement en son sang de la réalité elle-même du vin, seules demeurant inchangées les propriétés du pain et du vin que nos sens perçoivent. Ce changement mystérieux, l’Église l’appelle d’une manière très appropriée transsubstantiation. Toute explication théologique, cherchant quelque intelligence de ce mystère, doit pour être en accord avec la foi catholique, maintenir que, dans la réalité elle-même, indépendante de notre esprit, le pain et le vin ont cessé d’exister après la consécration, en sorte que c’est le corps et le sang adorables du Seigneur Jésus qui dès lors sont réellement devant nous sous les espèces sacramentelles du pain et du vin, comme le Seigneur l’a voulu, pour se donner à nous en nourriture et pour nous associer à l’unité de son Corps mystique.

L’unique et indivisible existence du Seigneur glorieux au ciel n’est pas multipliée, elle est rendue présente par le sacrement dans les multiples lieux de la terre où la messe est célébrée. Et elle demeure présente, après le sacrifice, dans le Saint Sacrement, qui est, au tabernacle, le cœur vivant de chacune de nos églises. Et c’est pour nous un devoir très doux d’honorer et d’adorer dans la sainte hostie, que nos yeux voient, le Verbe incarné qu’ils ne peuvent pas voir et qui, sans quitter le ciel, s’est rendu présent devant nous.

Nous confessons que le royaume de Dieu commencé ici-bas en l’Église du Christ n’est pas de ce monde, dont la figure passe, et que sa croissance propre ne peut se confondre avec le progrès de la civilisation, de la science ou de la technique humaines, mais qu’elle consiste à connaître toujours plus profondément les insondables richesses du Christ, à espérer toujours plus fortement les biens éternels, à répondre toujours plus ardemment à l’amour de Dieu, à dispenser toujours plus largement la grâce et la sainteté parmi les hommes. Mais c’est ce même amour qui porte l’Église à se soucier constamment du vrai bien temporel des hommes. Ne cessant de rappeler à ses enfants qu’ils n’ont pas ici-bas de demeure permanente, elle les presse aussi de contribuer, chacun selon sa vocation et ses moyens, au bien de leur cité terrestre, de promouvoir la justice, la paix et la fraternité entre les hommes, de prodiguer leur aide à leurs frères, surtout aux plus pauvres et aux plus malheureux. L’intense sollicitude de l’Église, épouse du Christ, pour les nécessités des hommes, leurs joies et leurs espoirs, leurs peines et leurs efforts, n’est donc rien d’autre que son grand désir de leur être présente pour les illuminer de la lumière du Christ et les rassembler tous en lui, leur unique Sauveur. Elle ne peut signifier jamais que l’Église se conforme elle-même aux choses de ce monde, ni que diminue l’ardeur de l’attente de son Seigneur et du royaume éternel.

Nous croyons à la vie éternelle. Nous croyons que les âmes de tous ceux qui meurent dans la grâce du Christ, soit qu’elles aient encore à être purifiées au purgatoire, soit que dès l’instant où elles quittent leur corps, Jésus les prenne au paradis comme il a fait pour le bon larron, sont le peuple de Dieu dans l’au-delà de la mort, laquelle sera définitivement vaincue le jour de la résurrection où ces âmes seront réunies à leur corps.

Nous croyons que la multitude de celles qui sont rassemblées autour de Jésus et de Marie au paradis forme l’Église du ciel, où dans l’éternelle béatitude elles voient Dieu tel qu’il est et où elles sont aussi, à des degrés divers, associées avec les saints anges au gouvernement divin exercé par le Christ en gloire, en intercédant pour nous et en aidant notre faiblesse par leur sollicitude fraternelle.

Nous croyons à la communion de tous les fidèles du Christ, de ceux qui sont pèlerins sur la terre, des défunts qui achèvent leur purification, des bienheureux du ciel, tous ensemble formant une seule Église, et Nous croyons que dans cette communion l’amour miséricordieux de Dieu et de ses saints est toujours à l’écoute de nos prières, comme Jésus nous l’a dit : Demandez et vous recevrez. Aussi est-ce avec foi et dans l’espérance que Nous attendons la résurrection des morts et la vie du monde à venir.

Béni soit le Dieu trois fois saint. Amen.

Paul PP. VI

Source : totus-tuus.fr/…du-pape-paul-vi-120173471.html
Catholique et Français
"Hymne à la gloire de l'Homme", entonné à l’occasion d’un voyage de la terre à la lune, plagiat de l’Hymne au Christ-Roi des siècles :
«Honneur à l’Homme !
Honneur à la Pensée !
Honneur à la science !
Honneur à la technique !
Honneur au travail !
Honneur à la hardiesse humaine !
Honneur à la synthèse de l’activité scientifique et du sens de l’organisation de l’Homme qui, à la différence …Plus
"Hymne à la gloire de l'Homme", entonné à l’occasion d’un voyage de la terre à la lune, plagiat de l’Hymne au Christ-Roi des siècles :
«Honneur à l’Homme !
Honneur à la Pensée !
Honneur à la science !
Honneur à la technique !
Honneur au travail !
Honneur à la hardiesse humaine !
Honneur à la synthèse de l’activité scientifique et du sens de l’organisation de l’Homme qui, à la différence des autres animaux, sait donner à son esprit et à son habileté manuelle des instruments de conquêtes !
Honneur à l'Homme roi de la terre et aujourd'hui Prince du Ciel (sic !)"
(double langage de "saint" Paul VI; in "Angelus du 7 février 1971" D.C. 71. 156). Ce ne seraient que cymbales retentissantes, paroles mondaines, creuses, ambigües et malsaines dans la bouche d'un vicaire du Christ si mille et un discours et actes de celui qui "plus que quiconque, avait le Culte de l'Homme (sic !)" ne venaient confirmer l'effroyable sens que l'on tremble de leur donner !
✍️ - "Ainsi parle l'Eternel : Maudit soit l'homme qui met sa confiance dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son coeur de l'Eternel !" (Jérémie XVII, 5)
✍️ - "Dieu seul (Dieu SEUL !), notre Sauveur, par Jésus-Christ notre Seigneur, soient gloire, majesté, force et puissance, dès avant tous les temps, et maintenant, et dans tous les siècles ! Amen !" (Jude I, 25)
✍️- "...que manifestera en son Temps le bienheureux et seul Souverain, le Roi des rois, et le Seigneur des seigneurs, Qui seul possède l'immortalité, Qui habite une Lumière inaccessible, Que nul homme n'a vu ni ne peut voir, à Qui appartiennent l'honneur et la puissance éternelle. Amen !" (1 Timothée VI, 15-16)
✍️ - "Ils disaient d'une voix forte : l'Agneau qui a été immolé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l'honneur, la gloire, et la louange. Et toutes les créatures qui sont dans le ciel, sur la terre, sous la terre, sur la mer, et tout ce qui s'y trouve, je les entendis qui disaient : à Celui qui est assis sur le Trône, et à l'Agneau, soient la louange, l'honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles ! Et les quatre êtres vivants disaient : Amen ! Et les vieillards se prosternèrent et adorèrent." (Apocalypse V, 12-14) Etc... Etc...
Catholique et Français
Jean-Baptiste Montini, devenu Paul VI en 1963, a parfaitement épousé son siècle et son histoire est, d'une certaine manière, celle des dévoiements et des fausses routes sur lesquels le monde moderne s'est résolument engagé à partir du pontificat de Léon XIII. L'abbé de Nantes accusait un Jean-Paul II perverti par la théosophie de Rudolf Steiner d'être un gnostique et un hérésiarque déclaré …Plus
Jean-Baptiste Montini, devenu Paul VI en 1963, a parfaitement épousé son siècle et son histoire est, d'une certaine manière, celle des dévoiements et des fausses routes sur lesquels le monde moderne s'est résolument engagé à partir du pontificat de Léon XIII. L'abbé de Nantes accusait un Jean-Paul II perverti par la théosophie de Rudolf Steiner d'être un gnostique et un hérésiarque déclaré mais, curieusement, il disait que Paul VI, plus progressiste que moderniste, était un homme d'une Foi plus traditionnelle mais "déchiré" et que l'on faisait probablement chanter... Il est intéressant de voir que Paul VI soufflait un jour le chaud (presque toujours en privé, donc sans portée efficace, comme ici avec son ami Jean Guitton) et, d'autres jours, le plus souvent, publiquement et avec des dégâts considérables, le froid de paroles qui plaisent au monde dont on connait le prince. Ceux qui souhaiteraient lire une analyse critique de la vie de Montini, dont les errements n'ont évidemment pas commencé avec Vatican II (quelle idée saugrenue !) pourront lire cette étude très fouillée de la CRC : ICI
Spirigold
Oui, c'est vrai, Paris Match a mis le pape à la une à Fatima, en 1967, Paul VI, "Le monde est en danger", c'est qd même étonnant, par rapport aux élucubrations du rock n' Roll et cie.
Catholique et Français
"Bien que le pape Paul VI ait toujours dédaigné les demandes de la Vierge de Fatima, il s’est toutefois rendu à la Cova da Iria en 1967 pour le cinquantenaire des Apparitions.
Arrivé le 13 mai, à 9 h40, à l’aéroport, le Pape mit ensuite deux heures pour parcourir les quarante-trois kilomètres qui le séparaient de la Cova da Iria. Il avançait lentement, sans cesse ovationné, acclamé par les …Plus
"Bien que le pape Paul VI ait toujours dédaigné les demandes de la Vierge de Fatima, il s’est toutefois rendu à la Cova da Iria en 1967 pour le cinquantenaire des Apparitions.
Arrivé le 13 mai, à 9 h40, à l’aéroport, le Pape mit ensuite deux heures pour parcourir les quarante-trois kilomètres qui le séparaient de la Cova da Iria. Il avançait lentement, sans cesse ovationné, acclamé par les paysans portugais qui se pressaient sur son passage. Enfin, à midi, il monta sur le podium installé devant la basilique. D’un pas rapide, Paul VI passa à côté de la statue de Notre-Dame sans La saluer, sans La prier, sans La regarder. Puis il célébra, seul, une messe basse en portugais, en présence d’un million de pèlerins.
Il avait imposé à sœur Lucie d’être présente. Il lui donna la communion et, après la messe, elle lui fut présentée. Le journaliste Robert Serrou décrit la scène : «Paul VI lui tend les bras. La religieuse se précipite aux genoux du Saint-Père qui lui met la main gauche sur sa tête... Sa timidité a disparu, elle a tant de choses à dire au Pape qu’elle ose lui demander un entretien seule à seul.
“Voyez, ce n’est pas le moment, répond Paul VI. Et puis, si vous voulez me communiquer quelque chose, dites-le à votre évêque; c’est lui qui me le communiquera; soyez bien confiante et bien obéissante à votre évêque.”»
Les pèlerins voulaient voir sœur Lucie. Ils criaient : «Lucia ! Lucia ! Lucia !» Mgr Hnilica conduisit alors la voyante sur le devant de la tribune. Lorsque ces centaines de milliers de fidèles l’aperçurent auprès du Pape, ils exultèrent. Les applaudissements emplirent l’esplanade tandis que la messagère de l’Immaculée, en proie à une vive émotion, pleurait.
Quelques jours plus tard, Paul VI dira à son ami Jean Guitton : «Oh ! c’est une jeune fille très simple ! C’est une paysanne sans complications. Le peuple voulait la voir, et je la lui ai montrée.» (...)
En commentant la prédication et les actes de Paul VI ce jour-là, l’abbé de Nantes remarquait : «Il n’y a rien là qui rappelle Fatima, ses miracles, son Message ! (...) La Paix demeurait, dans le message de la Vierge Marie, un Don de Dieu accordé à la prière et à la pénitence de son Église Catholique. La paix, dans le message de Paul VI, est l’œuvre des hommes auxquels s’adressent son amour, son culte et maintenant sa prière même ! (...) » Assurément, le Pape était acquis à la thèse moderniste de Dhanis. (...) Le 5 juin 1967, trois semaines après la venue de Paul VI à Fatima, la Guerre des Six Jours commença d’incendier le monde. Les Israéliens s’emparèrent de Jérusalem et plantèrent leur drapeau sur le mont Sinaï. (...)"
Catholique et Français
"Car, lors de sa visite à l’ONU, "saint" Paul VI s'est recueilli dans le sanctuaire maçonnique de cette maison, dans la “Meditation Room” au centre de laquelle est «un Autel pour un dieu sans visage» *. Peut-être a-t-il lu, lors du Procès de l'abbé de Nantes toute la signification occulte, judéo-maçonnique, de ce lieu, de son mobilier et de sa décoration. C’est la “Chambre de Réflexion” de …Plus
"Car, lors de sa visite à l’ONU, "saint" Paul VI s'est recueilli dans le sanctuaire maçonnique de cette maison, dans la “Meditation Room” au centre de laquelle est «un Autel pour un dieu sans visage» *. Peut-être a-t-il lu, lors du Procès de l'abbé de Nantes toute la signification occulte, judéo-maçonnique, de ce lieu, de son mobilier et de sa décoration. C’est la “Chambre de Réflexion” de la Loge, par laquelle doit passer l’apprenti au cours de son initiation. "Saint" Paul VI y est passé. Il a donc été donc initié ? Et c’est ensuite seulement qu'il a pu parler, un correct langage de franc-maçon***, devant toute l’Assemblée des Nations dont 65% des membres sont Frères**." (d'après le Liber Accusationis In Paulum Sextum. 1973)
* Dans le magazine Paris-Match 9 octobre 1965 & Lettre 218 p.1 & sq : "Un Autel pour un Dieu sans visage l'attendait... A l'ONU, il n'y a point de chapelle. Pour se recueillir sur les questions graves, face à face avec leur conscience, à ces hommes venus du monde entier, appartenant à toutes les Religions, on a offert un Lieu de Retraite et de Méditation insolite, dédié à la Paix et à ceux qui sont morts pour elle. Salle nue pour ne blesser personne, avec un tableau abstrait; nul objet de culte n'y figure. Une grande pierre y évoque un autel symbolique pour un Dieu anonyme. Pour le Saint-Père, cette pièce étrange ne représente pas un aussi grand dépaysement que l'on pourrait croire. Si catholiquement, pour lui, elle n'est pas une chapelle, c'est tout de même le lieu de rencontre des âmes de bonne volonté." 😈
** CRC 45 p.13 : "Texte d'une lettre de propagande de la F.M. de Château-Thierry révélant qu'à l'O.N.U. Paul VI s'adressait à des diplomates du monde entier dont 65% appartiennent aux Loges et s'accordait avec eux sur les bases d'une "philosophie commune" à tous les hommes." 😈
*** Voir mon commentaire précédent.
Catholique et Français
"Saint" Paul VI (discours à l'ONU/octobre 1965) : "...convaincu comme Nous le sommes que cette Organisation des Nations Unies représente le chemin obligé de la Civilisation et de la Paix mondiale... Les peuples se tournent vers les Nations Unies comme vers l'ultime espoir de la Concorde et de la Paix : Nous osons apporter ici, avec le Nôtre, leur tribut d'Honneur et d'Espérance... Merci à vous …Plus
"Saint" Paul VI (discours à l'ONU/octobre 1965) : "...convaincu comme Nous le sommes que cette Organisation des Nations Unies représente le chemin obligé de la Civilisation et de la Paix mondiale... Les peuples se tournent vers les Nations Unies comme vers l'ultime espoir de la Concorde et de la Paix : Nous osons apporter ici, avec le Nôtre, leur tribut d'Honneur et d'Espérance... Merci à vous, Gloire à vous, qui depuis vingt ans travaillez pour la Paix, et qui avez même donné à cette sainte Cause d'illustres victimes !... Vous avez, Messieurs, accompli, et vous accomplissez une grande oeuvre : vous enseignez aux hommes la Paix. L'ONU est la grande école où l'on reçoit cette éducation, et nous sommes ici dans l'Aula Magna de cette école. Quiconque (quiconque !!!) prend place ici devient élève et devient maître dans l'art de construire la Paix. Et quand vous sortez de cette salle, le monde regarde vers vous comme vers les architectes, les constructeurs de la Paix... C'est ce qu'il y a de plus beau dans l'O.N.U., c'est son visage humain le plus authentique; c'est l'idéal dont rêve l'Humanité dans son pélerinage à travers le temps; c'est le plus grand espoir du monde ! Nous oserons dire : c'est le Reflet du Dessein de Dieu..." Sic ! (source w2.Vatican.va)
Cath56
"Saint" Paul VI... "Saint" est en trop.
Spirigold
Pour canoniser Paul VI, il eut fallu qu'il fût bien mort, et que le sosie à lunettes, aperçu dans les années 70, fût aperçu vivant. Et non pas le contraire. Après les enquêtes David Yallop / John Cornwell, bien malin qui pourrait certifier la mort de Paul VI en 1978. La secrétaire de Jean Guitton, et journaliste Michèle Reboul, est bien placée pour noyer le poisson.
Miles - Christi
Cher ami: Je ne veux surtout pas vous peiner, et encore moins vous scandaliser, mais il me semble utile de transcrire ici un passage de l'article suivant:
Anathema sit Bergoglio - Document complet, pages 41/43, qui nous fait voir des choses qui ne sont pas très "catholiques" au sujet de "Saint" Paul VI, celui-là même qui voulut éradiquer la Sainte Messe catholique, en composant et en imposant un …Plus
Cher ami: Je ne veux surtout pas vous peiner, et encore moins vous scandaliser, mais il me semble utile de transcrire ici un passage de l'article suivant:
Anathema sit Bergoglio - Document complet, pages 41/43, qui nous fait voir des choses qui ne sont pas très "catholiques" au sujet de "Saint" Paul VI, celui-là même qui voulut éradiquer la Sainte Messe catholique, en composant et en imposant un nouveau missel "aggiorné", à la sauce "écuménique", avec la participation active de six protestants. Le voici:

Ce culte de l’homme, conçu comme un dieu en devenir par voie évolutive, est le propre de la gnose luciférienne. Je me permets de citer ici un texte peu connu du cardinal Montini, tiré d’une conférence intitulée Religion et travail, prononcée le 27 mars 1960 à Turin, au théâtre Alfieri, que l’on peut lire dans le volume de la Documentation Catholique de l’année 1960, à la page 764, et qui correspond au numéro 133, paru le 19 juin 1960. Je tiens à donner la référence précise à l’intention de ceux qui pourraient avoir du mal à en croire ses yeux, et à juste titre, tellement les propos du cardinal Montini sont ahurissants. Voici les paroles de celui qui allait devenir pape trois ans plus tard et promulguer les documents de Vatican II en 1965:

« L’homme moderne n’en viendra-t-il pas un jour, au fur et à mesure que ses études scientifiques progresseront et découvriront des lois et des réalités cachées derrière le visage muet de la matière, à tendre l’oreille à la voie merveilleuse de l’esprit qui palpite en elle? Ne sera-ce pas là la religion de demain? Einstein lui-même entrevit la spontanéité d’une religion de l’univers. »[1]

L’esprit qui « palpite » dans la matière, la « religion de demain », qui serait une religion « cosmique », une « religion de l’univers »: ce sont là les fondamentaux de la gnose évolutionniste teilhardienne, avec le culte de l’homme en voie de divinisation. Et puis, qu’un cardinal de l’Eglise en matière religieuse invoque l’autorité d’un juif socialiste, qui revendiquait une « religiosité cosmique » fondée sur la contemplation de la structure de l'Univers, compatible avec la science positiviste et rejetant tout dogme ou croyance, a de quoi laisser pantois.

Lorsque, en 1929, le rabbin Herbert S. Goldstein lui demande « Croyez-vous en Dieu ? », Einstein répond:

« Je crois au Dieu de Spinoza qui se révèle lui-même dans l’ordre harmonieux de ce qui existe, et non en un Dieu qui se soucie du destin et des actions des êtres humains[2]. »

Et dans une lettre adressée au philosophe juif Eric Gutkind en 1954 Einstein écrivit:

« Le mot Dieu n’est pour moi rien de plus que l’expression et le produit des faiblesses humaines, la Bible un recueil de légendes, certes honorables mais primitives qui sont néanmoins assez puériles. Aucune interprétation, aussi subtile soit-elle, ne peut selon moi changer cela[3]. »

C’est-à-dire que le Dieu d’Einstein n’est rien d’autre que le Deus sive Natura du philosophe juif Baruch Spinoza, qui, dans sa doctrine panthéiste, identifiait Dieu à la nature. Telle est la « religion de l’univers » que professait Einstein et qu’évoque avec admiration le cardinal Montini dans sa conférence, et dont il s’inspire pour prédire une « religion de l’avenir » destinée à prendre un jour la place du christianisme. Quand on pense que cet homme par la suite deviendra pape, et que c’est lui qui plus tard promulguera les documents novateurs de Vatican II, abolira la messe catholique, en inventera une nouvelle de toutes pièces[4] avec la contribution d’« experts protestants » et modifiera le rituel de tous les sacrements, il y a de vraiment de quoi avoir froid dans le dos…

Voici une autre déclaration de Paul VI allant dans le même sens, prononcée lors de l’Angélus du 7 février 1971 à l’occasion d’un voyage sur la lune, véritable hymne à l’homme en voie de divinisation:

« Honneur à l’homme, honneur à la pensée, honneur à la science, honneur à la technique, honneur au travail, honneur à la hardiesse humaine; honneur à la synthèse de l’activité scientifique et du sens de l’organisation de l’homme qui, à la différence des autres animaux, sait donner à son esprit et à son habileté manuelle des instruments de conquête; honneur à l’homme, roi de la terre et aujourd’hui prince du ciel[5]. »

[1] Voici le texte original italien: « Non capiterà forse all'uomo moderno, mano mano che i suoi studi scientifici progrediscono, e vengono scoprendo leggi e realtà sepolte nel muto volto della materia, di ascoltare la voce meravigliosa della spirito ivi palpitante? Non sara cotesta la religione di domani? Einstein stesso intravide la spontaneità d'una religione dell'universo. » Voir la page n° 3 du document suivant, en activant la fonction T (« Show text »):
fc1.to.cnr.it/…islandora:viewerSdef/getViewer
[2] fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Einstein
[3] willeime.com/Einstein-Gutkind.htm
[4] laportelatine.org/…critique-du-nouvel-ordo-missae - chire.fr/…-115473-la-nouvelle-messe.aspx - amazon.com/…logical-Critique/dp/0982686706
[5] Paul VI, Angélus du 7 février 1971 à l’occasion d’un voyage sur la lune cité dans La Femme et le dragon, Maurice Canioni, p. 365 : notredamedesanges.wordpress.com/…n-face-de-la-veritable-eglise/ - « Onore all’uomo! Onore al pensiero! Onore alla scienza! Onore alla tecnica! Onore al lavoro! Onore all’ardimento umano! Onore alla sintesi dell’attività scientifica e organizzativa dell’uomo, che, a differenza di ogni altro animale, sa dare strumenti di conquista alla sua mente e alla sua mano. Onore all’uomo, re della terra ed ora anche principe del cielo. »
vatican.va/…ents/hf_p-vi_ang_19710207.html
Spirigold
Non mais franchement, c'est quoi, l'amitié dans les commentaires? "Cher ami par ci", "Cher ami par là". Hypocrite, moi, je ne donne pas des couleuvres à manger à des amis, ni aux ennemis, d'ailleurs!
C'est vraiment inutile, ce genre de politesse mal placée, quand je vois des âneries monstrueuses étalées en prime abord: "Paul VI, ... qui voulut éradiquer la Sainte Messe catholique."
Ben voyons,…Plus
Non mais franchement, c'est quoi, l'amitié dans les commentaires? "Cher ami par ci", "Cher ami par là". Hypocrite, moi, je ne donne pas des couleuvres à manger à des amis, ni aux ennemis, d'ailleurs!
C'est vraiment inutile, ce genre de politesse mal placée, quand je vois des âneries monstrueuses étalées en prime abord: "Paul VI, ... qui voulut éradiquer la Sainte Messe catholique."
Ben voyons, ce n'est pas la question du pape, le pb que pose J.-P. Aussant, mais le problème des clercs modernistes et des laïcs, aussi ignorants que désobéissants, qui nous envahissent de commentaires débiles, hors sujets, par milliers de paragraphes, 50 ans après la bataille!
Les papes italiens n'ont jamais été contestés après leurs élections, donc il est parfaitement hérétique, d'aller chercher des intentions maléfiques, dans les actions religieuses ou morales des papes élus, et acceptés par l'Eglise universelle.
Gloria.tv n'est pas modéré, donc ça demande un effort intellectuel minimal, avant de taper sur son clavier.
Un chrétien n'a aucun motif d'attaquer un pape légitime, sur la question de la messe, qui est un sacrement, donc soumis à l'infaillibilité pontificale.
Les milliards de catholiques, fidèles ou pas, n'ont jamais contesté Paul VI, ni Jean XIII, mais les chrétiens fidèles, ont largement contesté les réformes liturgiques, bien avant Mgr Lefebvre, et l'élection de Jean-Paul II, par centaines de milliers, et depuis le 1er jour de son élection, pas 50 ans plus tard.
Les prêtres modernistes ont suivi le Card Bugnini, responsable de la réforme liturgique, sans jamais obtenir l'avis du pape italien Paul VI, qui était pris en otage au Vatican.
M. Jean-Pierre Aussant pose le problème de façon claire et limpide, et c'est parfaitement justifié, le clergé des années 70, n'a jamais contesté les courriers fallacieux de Mgr Bugnini, tandis que le pape italien, a dû l'envoyer paitre à l'autre bout du monde.
Le courrier d'un cardinal, ça ne vaut pas la signature du pape, une vraie signature, Mgr Lefebvre ne s'est pas laissé abuser, il a compris la différence, quand le Vatican a voulu fermer le séminaire d'Ecône, il a refusé d'obéir, à des courriers venant des cardinaux félons.
Miles - Christi
Je suis argentin, pas francophone natif. Merci de votre remarque linguistique. La prochaine fois, je n'écrirai donc pas "cher ami". Cependant, en parlant d'hypocrisie, vous faites un jugement téméraire.
jean pierre aussant
Au fond ce qui est responsable des dérives modernistes d'une partie de l'église et des catholiques, est sans doute de même nature que ce qui fait que la majorité des chrétiens croient aujourd'hui dans le corona-delirium. Une sorte d'infestation des têtes par les démons. Mgr Lefebvre avait d'ailleurs bien dit que le modernisme polluait les esprits des prêtres dans les années cinquante, donc bien …Plus
Au fond ce qui est responsable des dérives modernistes d'une partie de l'église et des catholiques, est sans doute de même nature que ce qui fait que la majorité des chrétiens croient aujourd'hui dans le corona-delirium. Une sorte d'infestation des têtes par les démons. Mgr Lefebvre avait d'ailleurs bien dit que le modernisme polluait les esprits des prêtres dans les années cinquante, donc bien avant Vatican II. C'est cette même vague de fond satanique qui est à l'oeuvre. Mais nous les chrétiens, nous savons "qu'il faut que cela arrive". C'est pourquoi nous gardons l'espérance.
jean pierre aussant
Quand on lit ce magnifique texte de Paul VI (pourtant un des principaux instigateurs de Vatican II), on réalise la grossière imbécilité de tous ces sedevacantistes haineux qui voudraient expliquer le phénomène du mal sur terre et dans l'histoire à partir de ce concile!
Spirigold
Non, pas du tout investigateur! Le pape italien était loin des magouilles! C'est le Card Achille Liénart, qui a fait basculer Vatican II, ("Peto Verbum"), et Vilot, qui a pris le pape en otage. (Camerlingue/Chambellan) Le pape italien Paul VI n'était pas vraiment présent au concile, à priori, il recevait des compte-rendus falsifiés. Liénart est parfaitement référencé, dans la presse du nord: …Plus
Non, pas du tout investigateur! Le pape italien était loin des magouilles! C'est le Card Achille Liénart, qui a fait basculer Vatican II, ("Peto Verbum"), et Vilot, qui a pris le pape en otage. (Camerlingue/Chambellan) Le pape italien Paul VI n'était pas vraiment présent au concile, à priori, il recevait des compte-rendus falsifiés. Liénart est parfaitement référencé, dans la presse du nord: "En 1962, le cardinal Liénart s’illustre lors du concile Vatican II, initié par Jean XXIII. Lors de l’ouverture des débats, son intervention, capitale, permet à l’Église de s’engager résolument dans la voie de la réforme" (La Voix du nord" 6/10/2014)
blanche52
Le cardinal Montini était déjà à surveiller, selon Pie XII !
Xavier S
Montini était un Janus au double langage qui cachait mal sa double-appartenance qui le déchirait, l'une catholique, l'autre maçonnique. "Reconnaissez-lui (au Concile) au moins ce mérite, vous, humanistes modernes qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme: nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l'homme." (Discours de …Plus
Montini était un Janus au double langage qui cachait mal sa double-appartenance qui le déchirait, l'une catholique, l'autre maçonnique. "Reconnaissez-lui (au Concile) au moins ce mérite, vous, humanistes modernes qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme: nous aussi, nous plus que quiconque, nous avons le culte de l'homme." (Discours de Paul VI, 07.12.1965, à la clôture du Concile V.II)