natale07
natale07

J.O de Paris : Croix des Invalides supprimée, flamme portée par des pervers, blasphèmes, et après ????

Divin Sauveur Jésus, nous venons, dans une pensée de foi, de réparation et d’amour, déplorer à Vos pieds nos infidélités et celles des pauvres pécheurs nos frères; daignez agréer le faible tribut de nos consolations, nous Vous le demandons par le Cœur compatissant de Marie, Votre Mère, et par saint Jean, Votre disciple bien-aimé.
De l’oubli et de l’ingratitude des hommes,
nous voulons Vous …Plus
Divin Sauveur Jésus, nous venons, dans une pensée de foi, de réparation et d’amour, déplorer à Vos pieds nos infidélités et celles des pauvres pécheurs nos frères; daignez agréer le faible tribut de nos consolations, nous Vous le demandons par le Cœur compatissant de Marie, Votre Mère, et par saint Jean, Votre disciple bien-aimé.
De l’oubli et de l’ingratitude des hommes,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
De Votre délaissement au saint Tabernacle,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
Des crimes des pécheurs,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
De la haine des impies,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
Des blasphèmes qu’on vomit contre Vous,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
Des injures faites à Votre Divinité,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
Des sacrilèges par lesquels on profane Votre Sacrement d’amour,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
Des immodesties et des irrévérences commises en Votre présence adorable,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
Des trahisons dont Vous êtes l’adorable Victime,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
De la froideur du plus grand nombre de Vos enfants,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
Du dédain que l’on fait de Vos avances pleines d’amour,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
Des infidélités de ceux qui se disent Vos amis,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
De nos résistances à Vos grâces,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
De nos propres infidélités,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
De l’incompréhensible dureté de nos cœurs,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
De nos longs retards à Vous aimer,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
De notre lâcheté dans Votre saint service,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
De la profanation du saint jour du dimanche,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
De l’amère tristesse où Vous plonge la perte des âmes,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
De Vos longues attentes à la porte de nos cœurs,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
Des amers rebuts dont on Vous abreuve,
nous voulons Vous consoler, Seigneur!
Cœur Sacré de Jésus, ayez pitié de nous et de Vos enfants de la terre.
Cœur Immaculé de Marie, priez pour nous qui avons recours à Vous.
Amende Honorable.
Ô Dieu trois fois Saint, je Vous adore, je Vous aime, je Vous bénis par le Cœur sacré de Jésus au Très Saint Sacrement de l’autel, et je Vous offre, par les mains de l’Immaculée Vierge Marie, toutes les saintes Hosties qui sont sur nos autels et dans nos tabernacles, en sacrifice d’expiation, de réparation et d’amende honorable pour tous les sacrilèges, les profanations, les impiétés, les blasphèmes et les crimes qui Vous outragent par tout l’univers. Ainsi soit-il.
natale07

Incendie sur la flèche de la cathédrale de Rouen

Exact ! est-ce que les gens comprendront un jour ???
natale07

Chapelet du Précieux Sang (Pour la Gloire de Dieu et le Salut du monde)

Triduum au Précieux Sang en l"honneur de la Sainte Trinité
A dire du 13 au juillet

La Vierge Marie dit :
"Adorez le Précieux Sang de Mon Fils qui coule continuellement pour Ses enfants en ces Derniers Temps. Invoquez-Le toujours pour votre protection. Par le Chapelet du Précieux Sang, le Royaume de Dieu arrivera sur terre....Je vous demande de répandre cette dévotion comme vous avez répondu à …Plus
Triduum au Précieux Sang en l"honneur de la Sainte Trinité
A dire du 13 au juillet

La Vierge Marie dit :
"Adorez le Précieux Sang de Mon Fils qui coule continuellement pour Ses enfants en ces Derniers Temps. Invoquez-Le toujours pour votre protection. Par le Chapelet du Précieux Sang, le Royaume de Dieu arrivera sur terre....Je vous demande de répandre cette dévotion comme vous avez répondu à Mon Saint Rosaire. Je suis avec vous...Recevez Ma bénédiction. Je prie pour que votre foi ne faiblisse pas. Vous devez lutter pour la vie et aider vos frères. Je prie pour que vous soyez unis, vous devez vous aimer les uns les autres. Je vous couvre de Mon Saint Manteau et vous garde dans Mon Coeur. Je vous protège tous. Je vous aime tous. Recevez ceci (une rose) pour votre sanctification et votre sainteté. Demeurez dans la paix du Ciel. "

Temps de prière de 12 jours au Précieux Sang pour Israël

A dire du 20 au 31 juillet


"Mes enfants, que Ma paix soit avec vous au dernier jour de cette grande prière de l'année. Je vous bénis tous. Aujourd'hui, Je vous baigne dans Mon Précieux Sang. Laissez la lumière de Mon Saint-Esprit éclairer vos âmes. Tous ceux qui ont adoré avec ferveur Mon Précieux Sang durant tout ce mois ont reçu la santé de l'esprit et la paix du coeur. J'arroserai la terre aride et allégerai ses souffrances. Dans un désert brûlant, coulera un océan d'eau génératrice de vie. Je transformerai au désert en une verte forêt. Tous ceux qui ont souffert avec Moi règneront avec Moi quand Ma gloire sera révélée."

maranathajesus.net/wp-content/uploads/2012/03/attachment-1.pdf
natale07

Chapelet du Précieux Sang de Jésus

Triduum au Précieux Sang en l"honneur de la Sainte Trinité
A dire du 13 au juillet

La Vierge Marie dit :
"Adorez le Précieux Sang de Mon Fils qui coule continuellement pour Ses enfants en ces Derniers Temps. Invoquez-Le toujours pour votre protection. Par le Chapelet du Précieux Sang, le Royaume de Dieu arrivera sur terre....Je vous demande de répandre cette dévotion comme vous avez répondu à …Plus
Triduum au Précieux Sang en l"honneur de la Sainte Trinité
A dire du 13 au juillet

La Vierge Marie dit :
"Adorez le Précieux Sang de Mon Fils qui coule continuellement pour Ses enfants en ces Derniers Temps. Invoquez-Le toujours pour votre protection. Par le Chapelet du Précieux Sang, le Royaume de Dieu arrivera sur terre....Je vous demande de répandre cette dévotion comme vous avez répondu à Mon Saint Rosaire. Je suis avec vous...Recevez Ma bénédiction. Je prie pour que votre foi ne faiblisse pas. Vous devez lutter pour la vie et aider vos frères. Je prie pour que vous soyez unis, vous devez vous aimer les uns les autres. Je vous couvre de Mon Saint Manteau et vous garde dans Mon Coeur. Je vous protège tous. Je vous aime tous. Recevez ceci (une rose) pour votre sanctification et votre sainteté. Demeurez dans la paix du Ciel. "

Temps de prière de 12 jours au Précieux Sang pour Israël

A dire du 20 au 31 juillet


"Mes enfants, que Ma paix soit avec vous au dernier jour de cette grande prière de l'année. Je vous bénis tous. Aujourd'hui, Je vous baigne dans Mon Précieux Sang. Laissez la lumière de Mon Saint-Esprit éclairer vos âmes. Tous ceux qui ont adoré avec ferveur Mon Précieux Sang durant tout ce mois ont reçu la santé de l'esprit et la paix du coeur. J'arroserai la terre aride et allégerai ses souffrances. Dans un désert brûlant, coulera un océan d'eau génératrice de vie. Je transformerai au désert en une verte forêt. Tous ceux qui ont souffert avec Moi règneront avec Moi quand Ma gloire sera révélée."
natale07

Chapelet du Précieux Sang de Jésus

CONSÉCRATION AU PRÉCIEUX SANG DE JÉSUS-CHRIST
Miséricordieux Jésus, reconnaissant que je ne suis rien et que Vous êtes le Dieu
Suprême, je me prosterne à Vos pieds et Vous remercie pour les nombreuses
manifestations des grâces que Vous m’avez accordées, à moi, votre ingrate
créature. Je Vous remercie tout spécialement de m’avoir délivré au moyen de Votre
Précieux Sang du pouvoir destructif …Plus
CONSÉCRATION AU PRÉCIEUX SANG DE JÉSUS-CHRIST
Miséricordieux Jésus, reconnaissant que je ne suis rien et que Vous êtes le Dieu
Suprême, je me prosterne à Vos pieds et Vous remercie pour les nombreuses
manifestations des grâces que Vous m’avez accordées, à moi, votre ingrate
créature. Je Vous remercie tout spécialement de m’avoir délivré au moyen de Votre
Précieux Sang du pouvoir destructif de Satan. En présence de Marie, ma chère
maman, de mon Ange gardien, de mon saint Patron et de toute l’assemblée
Céleste, je me consacre, Ô Très bon Jésus, de mon plein grè et d’un cœur sincère, à
Votre Précieux Sang, par lequel Vous avez sauvé le monde du péché, de la mort et
de l’Enfer. Je Vous promets, avec le secours de votre grâce et dans la mesure de
toutes mes forces, de susciter et de répandre la dévotion à Votre Précieux Sang,
prix de notre rédemption afin que Votre Sang adorable soit honoré et glorifié par
tous.
Dans ce sens, je désire réparer mon infidélité envers Votre Précieux Sang d’amour
d’amour et accomplir des actes de satisfaction pour tant de profanations faites par
les hommes contre le Précieux prix de leur salut.
Oh! Si seulement pouvaient être effacés mes propres péchés, ma froideur et mes
manques de respect envers vous, ô Précieux Sang très saint.
Voilà pourquoi, Ô Très doux Jésus, je Vous offre l’amour, l’honneur, et l’adoration
que Votre Très Sainte Mère, Vos fidèles disciples et tous les Saints ont offerts à
Votre Précieux Sang. Je Vous configure d’oublier mon infidélité et ma froideur
passées, et de pardonner à tous ceux qui Vous offensent.
Ô Divin Sauveur, aspergez-moi, ainsi que tous les hommes, de Votre Précieux Sang,
afin que, Ô Amour Crucifié, à partir de maintenant, nous puissions Vous aimer de
tout notre coeur et honorer dignement le Prix de notre salut. Amen
Ô Sainte Mère de Dieu, nous avons recours à votre protection. Ne rejetez pas les
prières que nous vous adressons dans nos pressants besoins, mais délivrez-nous de
tout danger, Ô Vierge comblée de gloire et de bénédiction. Amen
Pour tous les Bienfaiteurs de cette Dévotion:
Notre Père*… Je vous salue Marie*… Gloire au Père*…
natale07

L'obscénité reste dans la cathédrale de Linz jusqu'au 16 juillet

Je revois l’intérieur de ce pauvre refuge de pierre où Marie et Joseph ont trouvé asile et partagent le sort des animaux.
Un petit feu sommeille, de même que son gardien. Marie relève doucement la tête de sa couche et regarde. Voyant que Joseph a la tête qui tombe sur la poitrine, comme s’il réfléchissait, elle pense que la fatigue a triomphé de son désir de rester éveillé. Elle a un bon …Plus
Je revois l’intérieur de ce pauvre refuge de pierre où Marie et Joseph ont trouvé asile et partagent le sort des animaux.
Un petit feu sommeille, de même que son gardien. Marie relève doucement la tête de sa couche et regarde. Voyant que Joseph a la tête qui tombe sur la poitrine, comme s’il réfléchissait, elle pense que la fatigue a triomphé de son désir de rester éveillé. Elle a un bon sourire et s’assied, puis s’agenouille en faisant moins de bruit que ne peut en faire un papillon qui se pose sur une rose. Un sourire heureux sur le visage, elle prie. Elle prie les bras écartés, pas vraiment en croix mais presque, les paumes tournées vers le ciel et en avant, sans jamais paraître fatiguée de cette position pénible. Puis elle se prosterne, le visage contre le foin, dans une prière encore plus profonde, une longue prière.
Joseph se secoue. Il voit que le feu est presque mort et que l’étable est dans une quasi-obscurité. Il jette une poignée de brindilles extrêmement fines et la flamme se réveille ; il y ajoute des rameaux un peu plus gros, puis encore plus gros, car le froid doit être piquant. Le froid de cette nuit d’hiver paisible pénètre en effet de toutes parts dans ces ruines. Le pauvre Joseph doit être gelé, car il se trouve près de la “ porte ” – appelons comme cela l’ouverture sur laquelle son manteau fait office de rideau. Il avance ses mains vers la flamme, défait ses sandales et en approche ses pieds. Il se réchauffe. Quand le feu a bien pris et que sa lumière est assurée, il se tourne. Il ne voit rien, même plus le voile blanc de Marie, qui traçait auparavant une ligne claire sur le foin sombre. Il se met alors debout et s’approche lentement de la couche.
« Tu ne dors pas, Marie ? » demande-t-il.
Il le demande à trois reprises jusqu’à ce qu’elle en prenne conscience et réponde :
« Je prie.
– Tu n’as besoin de rien ?
– Non, Joseph.
– Essaie de dormir un peu, ou du moins de te reposer.
– Je vais essayer, mais prier ne me fatigue pas.
– Bonne nuit, Marie.
– Bonne nuit, Joseph. »
Marie reprend sa position. Joseph, pour ne plus céder au sommeil, s’agenouille auprès du feu et prie. Pour ce faire, il se couvre le visage de ses mains. Il les enlève de temps en temps pour alimenter le feu puis retourne à sa prière fervente. Excepté le bruit du bois qui crépite et celui de l’âne, qui de temps à autre frappe le sol du pied, on n’entend rien.
29.2 Un rayon de lune pénètre par une fissure du plafond, comme une lame immatérielle d’argent qui s’en va chercher Marie. Au fur et à mesure que la lune monte dans le ciel, il s’allonge et, finalement, l’atteint. Le voilà sur la tête de Marie en prière, la nimbant de blancheur.
Marie lève la tête comme sur un appel du Ciel et se remet à genoux. Oh, comme c’est beau ici ! Elle lève la tête, qui semble resplendir à la blanche lumière de la lune, et un sourire la transfigure, un sourire qui n’est plus humain. Que voit-elle ? Qu’entend-elle ? Qu’éprouve-t-elle ? Elle seule pourrait dire ce qu’elle a vu, entendu et éprouvé au moment fulgurant de sa maternité. Je vois seulement la lumière ne cesser de grandir autour d’elle. On dirait qu’elle descend du ciel, qu’elle émane des pauvres choses qui l’entourent et surtout d’elle-même.
Son vêtement bleu foncé a maintenant pris l’apparence d’un bleu d’une douceur céleste de myosotis, ses mains et son visage semblent devenir bleutés comme s’ils étaient placés sous le feu d’un saphir immense et clair. Cette couleur me rappelle, en plus pâle, celle que j’ai vue dans les visions du Paradis ou de la venue des Mages ; elle se diffuse toujours plus sur les objets, les revêt, les purifie, les rend splendides.
La lumière se dégage toujours plus du corps de Marie, elle absorbe celle de la lune, on dirait même qu’elle attire à elle tout ce qui peut lui arriver du ciel. C’est elle, désormais, qui est dépositaire de la Lumière, celle qui doit donner cette Lumière au monde. Et cette Lumière béatifique, irrésistible, incommensurable, éternelle, divine qui est sur le point de nous être donnée s’annonce par une aube, un éveil de lumière au clairon, un chœur d’atomes de lumière qui ne cesse de croître comme une marée et de s’élever comme de l’encens, qui descend en torrent et se déploie comme un voile…
La voûte, couverte de fissures, de toiles d’araignées, de décombres en saillie qui tiennent en équilibre instable par quelque prodige de la statique, cette voûte noire, enfumée, repoussante, ressemble à celle d’une salle royale. Chaque pierre est un bloc d’argent, chaque fissure une clarté opaline, chaque toile d’araignée un précieux baldaquin tissé d’argent et de diamants. Un gros lézard qui sommeille entre deux blocs de pierre semble être un bracelet d’émeraude oublié là par une reine. Une grappe de chauves-souris engourdies, un précieux lustre d’onyx. Le foin qui pend de la plus haute des mangeoires n’est plus de l’herbe, mais d’innombrables fils d’argent pur qui tremblent dans l’air avec la grâce de cheveux dénoués.
La mangeoire inférieure, en bois sombre, est devenue un bloc d’argent bruni. Les murs sont recouverts d’un brocart où la blancheur de la soie disparaît sous une broderie de perles en relief. Quant au sol… qu’en dire ? C’est du cristal illuminé par une lumière blanche. Les saillies ressemblent à des roses de lumière jetées à terre en signe d’hommage, et les trous à des coupes précieuses qui dégagent arômes et parfums.
29.3 La lumière ne cesse de croître, l’œil ne peut la supporter Comme absorbée par un voile de lumière incandescente, la Vierge y disparaît… et la Mère en émerge.
Oui : quand la lumière redevient supportable à mes yeux, je vois Marie tenant son Fils nouveau-né dans les bras. C’est un petit bébé rose et potelé qui s’agite et se débat de ses mains, grosses comme un bouton de rose, et de ses petits petons, qui tiendraient bien dans le cœur d’une rose. Il vagit d’une voix tremblante, exactement celle d’un agneau qui vient de naître, en ouvrant une bouche qui ressemble à une fraise des bois et en montrant une petite langue qui tremble contre son palais rose. Il bouge une tête si blonde qu’on la croirait sans cheveux, une petite tête que sa mère soutient de la paume de sa main tout en regardant son bébé ; elle l’adore en pleurant et riant tout à la fois, et s’incline pour y déposer un baiser, non pas sur sa tête innocente, mais au milieu de la poitrine, là où son petit cœur bat – et cela pour nous : là où, un jour, se trouvera la blessure. Sa Mère la lui soigne par avance, cette blessure, par son baiser immaculé.
Le bœuf, réveillé par la clarté, se lève dans un grand bruit de sabots et mugit, et l’âne tourne la tête et brait. C’est la lumière qui les réveille, mais j’aime à penser qu’ils ont voulu eux aussi saluer leur Créateur, de leur part et de la part de tous les animaux.
29.4 Joseph aussi, qui priait, comme en extase, avec une intensité telle qu’il s’était isolé de tout ce qui l’entourait, se secoue. Entre ses doigts dont il se couvre le visage, il voit filtrer cette étrange lumière. Il découvre son visage, lève la tête, se tourne. Le bœuf, debout, lui cache Marie. Mais elle l’appelle :
« Joseph, viens. »
Il accourt et, devant le spectacle, s’arrête, comme foudroyé de respect, et va tomber à genoux là où il se trouve. Mais Marie insiste :
« Viens, Joseph. »
Prenant appui de la main gauche sur le foin et tenant de la main droite l’Enfant tout contre son cœur, elle se lève et se dirige vers Joseph, qui s’avance d’un pas hésitant, pris entre le désir de venir à elle et la crainte d’être irrespectueux.
Au pied de la couche les deux époux se rencontrent et se regardent en pleurant de bonheur.
« Viens, offrons Jésus au Père », dit Marie.
Tandis que Joseph s’agenouille, elle, debout entre les deux troncs qui soutiennent la voûte, élève son Enfant dans ses bras et dit :
« Me voici. C’est pour lui, mon Dieu, que je prononce ces mots. Me voici pour faire ta volonté. Et avec lui, moi, Marie, et Joseph, mon époux. Voici tes serviteurs, Seigneur. Que nous fassions toujours ta volonté, à tout moment et en toute occasion, pour ta gloire et par amour pour toi. »
Puis Marie se penche, dit : « Prends-le, Joseph » et lui offre l’enfant.
« Moi ? A moi ? Oh non, je n’en suis pas digne ! »
Joseph est tout intimidé, anéanti à l’idée de devoir toucher Dieu.
Mais Marie insiste en souriant :
« Tu en es bien digne. Nul ne l’est plus que toi, et c’est pour cette raison que le Très-Haut t’a choisi. Prends-le, Joseph, et tiens-le pendant que je vais chercher les langes. »
Rouge comme une pivoine, Joseph étend les bras et prend le poupon de chair qui crie de froid. Mais une fois qu’il l’a dans les bras, il abandonne son intention première de le tenir loin de lui par respect, et il le serre contre son cœur, en éclatant en sanglots :
« Oh, Seigneur ! Mon Dieu ! »
Puis il se penche pour baiser les petits pieds et les sent glacés. Alors, il s’assied par terre, le presse contre lui et se sert de son manteau marron et de ses mains pour essayer de le couvrir, de le réchauffer, de le défendre contre la bise nocturne. Il voudrait aller à côté du feu mais, là-bas, un courant d’air pénètre par la porte. Mieux vaut rester là où il est. Ou plutôt, mieux vaut aller entre les deux animaux, qui le protègeront du courant d’air et donneront de la chaleur. Il va donc se placer entre le bœuf et l’âne, tournant le dos à la porte, penché sur le nouveau-né pour lui faire de sa poitrine une niche dont les côtés sont une tête grise aux longues oreilles et un gros museau blanc aux naseaux fumants et aux bons yeux humides.
29.5 Marie a ouvert le coffre et en a tiré des linges et des langes.
Elle est allée auprès du feu et les y a réchauffés. Elle s’avance maintenant vers Joseph et enveloppe l’Enfant dans la toile tiédie, puis dans son propre voile pour protéger la petite tête.
« Où allons-nous le mettre maintenant ? » demande-t-elle.
Joseph regarde autour de lui, réfléchit…
« Attends, dit-il. Poussons plus loin les deux animaux et leur foin, tirons vers le bas le foin qui se trouve là au-dessus, et mettons Jésus à l’intérieur. Le bois du bord de la mangeoire le protègera des courants d’air, le foin fera office d’oreiller et le souffle du bœuf le réchauffera un peu. Mieux vaut le bœuf, il est plus patient et tranquille. »
Joseph se met à l’œuvre pendant que Marie berce son Enfant en le serrant sur son cœur et en appuyant sa joue contre la petite tête pour lui transmettre un peu de chaleur.
Joseph ranime le feu sans lésiner sur le bois pour obtenir une belle flamme et réchauffer le foin et, à mesure qu’il le sèche, il le met sur son sein pour l’empêcher de refroidir. Lorsqu’il en a entassé suffisamment pour faire un petit matelas à l’Enfant, il va à la mangeoire et l’arrange pour en faire un berceau.
« C’est prêt, dit-il. Maintenant, il nous faudrait une couverture pour empêcher le foin de le piquer et pour le recouvrir…
– Prends mon manteau, dit Marie.
– Tu vas avoir froid.
– Oh, ça ne fait rien ! La couverture est trop rugueuse, alors que mon manteau est doux et chaud. Je n’ai pas froid du tout. Mais qu’il ne souffre plus, lui ! »
Joseph prend alors l’ample manteau de douce laine bleu foncé et l’installe en double sur le foin ; un pan retombe hors de la crèche. Le premier lit du Sauveur est prêt.
De sa douce démarche ondoyante, Marie l’y porte et l’y dépose, le recouvre avec le pan du manteau qu’elle ramène aussi autour de sa tête nue, qui enfonce dans le foin, dont elle est à peine protégée par le fin voile de Marie. Seul le petit visage de Jésus, gros comme le poing, reste à découvert, et le couple, penché sur la crèche, tout heureux, le regarde dormir de son premier sommeil. La chaleur des langes et du foin a calmé ses pleurs et apporté le sommeil au doux Jésus.
natale07

La sainte Nativité

Je revois l’intérieur de ce pauvre refuge de pierre où Marie et Joseph ont trouvé asile et partagent le sort des animaux.
Un petit feu sommeille, de même que son gardien. Marie relève doucement la tête de sa couche et regarde. Voyant que Joseph a la tête qui tombe sur la poitrine, comme s’il réfléchissait, elle pense que la fatigue a triomphé de son désir de rester éveillé. Elle a un bon …Plus
Je revois l’intérieur de ce pauvre refuge de pierre où Marie et Joseph ont trouvé asile et partagent le sort des animaux.
Un petit feu sommeille, de même que son gardien. Marie relève doucement la tête de sa couche et regarde. Voyant que Joseph a la tête qui tombe sur la poitrine, comme s’il réfléchissait, elle pense que la fatigue a triomphé de son désir de rester éveillé. Elle a un bon sourire et s’assied, puis s’agenouille en faisant moins de bruit que ne peut en faire un papillon qui se pose sur une rose. Un sourire heureux sur le visage, elle prie. Elle prie les bras écartés, pas vraiment en croix mais presque, les paumes tournées vers le ciel et en avant, sans jamais paraître fatiguée de cette position pénible. Puis elle se prosterne, le visage contre le foin, dans une prière encore plus profonde, une longue prière.
Joseph se secoue. Il voit que le feu est presque mort et que l’étable est dans une quasi-obscurité. Il jette une poignée de brindilles extrêmement fines et la flamme se réveille ; il y ajoute des rameaux un peu plus gros, puis encore plus gros, car le froid doit être piquant. Le froid de cette nuit d’hiver paisible pénètre en effet de toutes parts dans ces ruines. Le pauvre Joseph doit être gelé, car il se trouve près de la “ porte ” – appelons comme cela l’ouverture sur laquelle son manteau fait office de rideau. Il avance ses mains vers la flamme, défait ses sandales et en approche ses pieds. Il se réchauffe. Quand le feu a bien pris et que sa lumière est assurée, il se tourne. Il ne voit rien, même plus le voile blanc de Marie, qui traçait auparavant une ligne claire sur le foin sombre. Il se met alors debout et s’approche lentement de la couche.
« Tu ne dors pas, Marie ? » demande-t-il.
Il le demande à trois reprises jusqu’à ce qu’elle en prenne conscience et réponde :
« Je prie.
– Tu n’as besoin de rien ?
– Non, Joseph.
– Essaie de dormir un peu, ou du moins de te reposer.
– Je vais essayer, mais prier ne me fatigue pas.
– Bonne nuit, Marie.
– Bonne nuit, Joseph. »
Marie reprend sa position. Joseph, pour ne plus céder au sommeil, s’agenouille auprès du feu et prie. Pour ce faire, il se couvre le visage de ses mains. Il les enlève de temps en temps pour alimenter le feu puis retourne à sa prière fervente. Excepté le bruit du bois qui crépite et celui de l’âne, qui de temps à autre frappe le sol du pied, on n’entend rien.
29.2 Un rayon de lune pénètre par une fissure du plafond, comme une lame immatérielle d’argent qui s’en va chercher Marie. Au fur et à mesure que la lune monte dans le ciel, il s’allonge et, finalement, l’atteint. Le voilà sur la tête de Marie en prière, la nimbant de blancheur.
Marie lève la tête comme sur un appel du Ciel et se remet à genoux. Oh, comme c’est beau ici ! Elle lève la tête, qui semble resplendir à la blanche lumière de la lune, et un sourire la transfigure, un sourire qui n’est plus humain. Que voit-elle ? Qu’entend-elle ? Qu’éprouve-t-elle ? Elle seule pourrait dire ce qu’elle a vu, entendu et éprouvé au moment fulgurant de sa maternité. Je vois seulement la lumière ne cesser de grandir autour d’elle. On dirait qu’elle descend du ciel, qu’elle émane des pauvres choses qui l’entourent et surtout d’elle-même.
Son vêtement bleu foncé a maintenant pris l’apparence d’un bleu d’une douceur céleste de myosotis, ses mains et son visage semblent devenir bleutés comme s’ils étaient placés sous le feu d’un saphir immense et clair. Cette couleur me rappelle, en plus pâle, celle que j’ai vue dans les visions du Paradis ou de la venue des Mages ; elle se diffuse toujours plus sur les objets, les revêt, les purifie, les rend splendides.
La lumière se dégage toujours plus du corps de Marie, elle absorbe celle de la lune, on dirait même qu’elle attire à elle tout ce qui peut lui arriver du ciel. C’est elle, désormais, qui est dépositaire de la Lumière, celle qui doit donner cette Lumière au monde. Et cette Lumière béatifique, irrésistible, incommensurable, éternelle, divine qui est sur le point de nous être donnée s’annonce par une aube, un éveil de lumière au clairon, un chœur d’atomes de lumière qui ne cesse de croître comme une marée et de s’élever comme de l’encens, qui descend en torrent et se déploie comme un voile…
La voûte, couverte de fissures, de toiles d’araignées, de décombres en saillie qui tiennent en équilibre instable par quelque prodige de la statique, cette voûte noire, enfumée, repoussante, ressemble à celle d’une salle royale. Chaque pierre est un bloc d’argent, chaque fissure une clarté opaline, chaque toile d’araignée un précieux baldaquin tissé d’argent et de diamants. Un gros lézard qui sommeille entre deux blocs de pierre semble être un bracelet d’émeraude oublié là par une reine. Une grappe de chauves-souris engourdies, un précieux lustre d’onyx. Le foin qui pend de la plus haute des mangeoires n’est plus de l’herbe, mais d’innombrables fils d’argent pur qui tremblent dans l’air avec la grâce de cheveux dénoués.
La mangeoire inférieure, en bois sombre, est devenue un bloc d’argent bruni. Les murs sont recouverts d’un brocart où la blancheur de la soie disparaît sous une broderie de perles en relief. Quant au sol… qu’en dire ? C’est du cristal illuminé par une lumière blanche. Les saillies ressemblent à des roses de lumière jetées à terre en signe d’hommage, et les trous à des coupes précieuses qui dégagent arômes et parfums.
29.3 La lumière ne cesse de croître, l’œil ne peut la supporter Comme absorbée par un voile de lumière incandescente, la Vierge y disparaît… et la Mère en émerge.
Oui : quand la lumière redevient supportable à mes yeux, je vois Marie tenant son Fils nouveau-né dans les bras. C’est un petit bébé rose et potelé qui s’agite et se débat de ses mains, grosses comme un bouton de rose, et de ses petits petons, qui tiendraient bien dans le cœur d’une rose. Il vagit d’une voix tremblante, exactement celle d’un agneau qui vient de naître, en ouvrant une bouche qui ressemble à une fraise des bois et en montrant une petite langue qui tremble contre son palais rose. Il bouge une tête si blonde qu’on la croirait sans cheveux, une petite tête que sa mère soutient de la paume de sa main tout en regardant son bébé ; elle l’adore en pleurant et riant tout à la fois, et s’incline pour y déposer un baiser, non pas sur sa tête innocente, mais au milieu de la poitrine, là où son petit cœur bat – et cela pour nous : là où, un jour, se trouvera la blessure. Sa Mère la lui soigne par avance, cette blessure, par son baiser immaculé.
Le bœuf, réveillé par la clarté, se lève dans un grand bruit de sabots et mugit, et l’âne tourne la tête et brait. C’est la lumière qui les réveille, mais j’aime à penser qu’ils ont voulu eux aussi saluer leur Créateur, de leur part et de la part de tous les animaux.
29.4 Joseph aussi, qui priait, comme en extase, avec une intensité telle qu’il s’était isolé de tout ce qui l’entourait, se secoue. Entre ses doigts dont il se couvre le visage, il voit filtrer cette étrange lumière. Il découvre son visage, lève la tête, se tourne. Le bœuf, debout, lui cache Marie. Mais elle l’appelle :
« Joseph, viens. »
Il accourt et, devant le spectacle, s’arrête, comme foudroyé de respect, et va tomber à genoux là où il se trouve. Mais Marie insiste :
« Viens, Joseph. »
Prenant appui de la main gauche sur le foin et tenant de la main droite l’Enfant tout contre son cœur, elle se lève et se dirige vers Joseph, qui s’avance d’un pas hésitant, pris entre le désir de venir à elle et la crainte d’être irrespectueux.
Au pied de la couche les deux époux se rencontrent et se regardent en pleurant de bonheur.
« Viens, offrons Jésus au Père », dit Marie.
Tandis que Joseph s’agenouille, elle, debout entre les deux troncs qui soutiennent la voûte, élève son Enfant dans ses bras et dit :
« Me voici. C’est pour lui, mon Dieu, que je prononce ces mots. Me voici pour faire ta volonté. Et avec lui, moi, Marie, et Joseph, mon époux. Voici tes serviteurs, Seigneur. Que nous fassions toujours ta volonté, à tout moment et en toute occasion, pour ta gloire et par amour pour toi. »
Puis Marie se penche, dit : « Prends-le, Joseph » et lui offre l’enfant.
« Moi ? A moi ? Oh non, je n’en suis pas digne ! »
Joseph est tout intimidé, anéanti à l’idée de devoir toucher Dieu.
Mais Marie insiste en souriant :
« Tu en es bien digne. Nul ne l’est plus que toi, et c’est pour cette raison que le Très-Haut t’a choisi. Prends-le, Joseph, et tiens-le pendant que je vais chercher les langes. »
Rouge comme une pivoine, Joseph étend les bras et prend le poupon de chair qui crie de froid. Mais une fois qu’il l’a dans les bras, il abandonne son intention première de le tenir loin de lui par respect, et il le serre contre son cœur, en éclatant en sanglots :
« Oh, Seigneur ! Mon Dieu ! »
Puis il se penche pour baiser les petits pieds et les sent glacés. Alors, il s’assied par terre, le presse contre lui et se sert de son manteau marron et de ses mains pour essayer de le couvrir, de le réchauffer, de le défendre contre la bise nocturne. Il voudrait aller à côté du feu mais, là-bas, un courant d’air pénètre par la porte. Mieux vaut rester là où il est. Ou plutôt, mieux vaut aller entre les deux animaux, qui le protègeront du courant d’air et donneront de la chaleur. Il va donc se placer entre le bœuf et l’âne, tournant le dos à la porte, penché sur le nouveau-né pour lui faire de sa poitrine une niche dont les côtés sont une tête grise aux longues oreilles et un gros museau blanc aux naseaux fumants et aux bons yeux humides.
29.5 Marie a ouvert le coffre et en a tiré des linges et des langes.
Elle est allée auprès du feu et les y a réchauffés. Elle s’avance maintenant vers Joseph et enveloppe l’Enfant dans la toile tiédie, puis dans son propre voile pour protéger la petite tête.
« Où allons-nous le mettre maintenant ? » demande-t-elle.
Joseph regarde autour de lui, réfléchit…
« Attends, dit-il. Poussons plus loin les deux animaux et leur foin, tirons vers le bas le foin qui se trouve là au-dessus, et mettons Jésus à l’intérieur. Le bois du bord de la mangeoire le protègera des courants d’air, le foin fera office d’oreiller et le souffle du bœuf le réchauffera un peu. Mieux vaut le bœuf, il est plus patient et tranquille. »
Joseph se met à l’œuvre pendant que Marie berce son Enfant en le serrant sur son cœur et en appuyant sa joue contre la petite tête pour lui transmettre un peu de chaleur.
Joseph ranime le feu sans lésiner sur le bois pour obtenir une belle flamme et réchauffer le foin et, à mesure qu’il le sèche, il le met sur son sein pour l’empêcher de refroidir. Lorsqu’il en a entassé suffisamment pour faire un petit matelas à l’Enfant, il va à la mangeoire et l’arrange pour en faire un berceau.
« C’est prêt, dit-il. Maintenant, il nous faudrait une couverture pour empêcher le foin de le piquer et pour le recouvrir…
– Prends mon manteau, dit Marie.
– Tu vas avoir froid.
– Oh, ça ne fait rien ! La couverture est trop rugueuse, alors que mon manteau est doux et chaud. Je n’ai pas froid du tout. Mais qu’il ne souffre plus, lui ! »
Joseph prend alors l’ample manteau de douce laine bleu foncé et l’installe en double sur le foin ; un pan retombe hors de la crèche. Le premier lit du Sauveur est prêt.
De sa douce démarche ondoyante, Marie l’y porte et l’y dépose, le recouvre avec le pan du manteau qu’elle ramène aussi autour de sa tête nue, qui enfonce dans le foin, dont elle est à peine protégée par le fin voile de Marie. Seul le petit visage de Jésus, gros comme le poing, reste à découvert, et le couple, penché sur la crèche, tout heureux, le regarde dormir de son premier sommeil. La chaleur des langes et du foin a calmé ses pleurs et apporté le sommeil au doux Jésus.

Enseignement de la Vierge Marie à Maria Valtorta
Efficacité salvatrice de la maternité divine de Marie
29.6 Marie dit :
« Je t’avais promis qu’il allait venir t’apporter sa paix. Te rappelles-tu la paix qui était en toi au temps de Noël, quand tu m’as vue avec mon Bébé ? C’était alors pour toi un temps de paix, mais voici venir un temps de souffrance. Mais tu le sais, désormais : c’est par la souffrance que l’on gagne la paix, tout comme chaque grâce pour nous-mêmes et pour les autres. Jésus-Homme redevint Jésus-Dieu après ses terribles souffrances de la Passion. Il redevint la Paix. Paix dans le Ciel d’où il était venu et d’où il la répand maintenant sur ceux qui, dans le monde, l’aiment. Mais aux heures de la Passion, lui, il fut privé de la paix du monde. S’il l’avait ressentie, il n’aurait pas souffert. Or il fallait qu’il souffre, et qu’il souffre complètement.
29.7 Moi, Marie, j’ai racheté la femme par ma maternité divine. Mais ce ne fut que le début de la rédemption de la femme. Me refusant à toute union humaine en faisant vœu de virginité, j’avais repoussé toute satisfaction charnelle et mérité la grâce de Dieu. Mais cela n’était pas suffisant, car la faute d’Eve était un arbre à quatre branches : orgueil, cupidité, gourmandise et luxure. Elles devaient donc être coupées toutes les quatre avant de stériliser l’arbre jusqu’aux racines.
29.8 C’est en m’humiliant jusqu’au plus profond de moi-même que j’ai vaincu l’orgueil.
Je me suis humiliée devant tout le monde. Je ne parle pas de mon humilité face à Dieu : toute créature la doit au Très-Haut. Son Verbe la possédait. Je devais l’avoir, moi qui étais une simple femme. Mais as-tu jamais réfléchi aux humiliations que j’ai dû subir de la part des hommes, qui plus est sans me défendre de quelque manière que ce soit ? Joseph lui-même, qui était juste, m’avait accusée dans son cœur. Les autres, qui n’étaient pas justes, avaient péché en me calomniant sur ma grossesse et, telle une vague amère, la rumeur de leurs paroles était venue se briser contre mon humanité.
Ce furent les premières des humiliations innombrables que me valurent ma vie de Mère de Jésus et du genre humain : humiliations de la pauvreté, de la fuite, des reproches des parents et amis qui, par ignorance de la vérité, taxaient de faiblesse ma conduite maternelle envers mon Jésus devenu jeune homme, humiliations encore au cours des trois années de son ministère, humiliations cruelles à l’heure du Calvaire, jusqu’à devoir reconnaître que je n’avais pas de quoi acheter de lieu de sépulture pour mon Fils ni des aromates.
29.9 J’ai vaincu la cupidité de nos premiers parents en renonçant d’avance à mon Enfant.
Une mère ne renonce jamais à son enfant, à moins d’y être forcée. Si la patrie, l’amour d’une épouse ou Dieu lui-même l’arrachent à son cœur, elle se rebiffe contre la séparation. C’est naturel. Son fils grandit dans son sein, et le lien qui le tient uni à nous n’est jamais complètement rompu. Le canal vital de l’ombilic a beau être coupé, il reste toujours un nerf qui part du cœur de la mère et se greffe sur le cœur de son enfant, un nerf spirituel et plus vivant, plus sensible qu’un nerf physique. Et elle le sent s’étirer jusqu’à la souffrance si l’amour de Dieu ou d’un être, ou encore les exigences de la patrie éloignent le fils de sa mère. Et il se brise en déchirant le cœur si la mort arrache un enfant à sa mère.
En ce qui me concerne, j’ai renoncé à mon Fils dès l’instant où je l’ai eu. Je l’ai donné à Dieu, je vous l’ai donné. Moi, je me suis dépouillée du Fruit de mon sein pour réparer le vol par Eve du fruit de Dieu.
29.10 J’ai vaincu la gourmandise, celle du savoir et celle de la jouissance, en acceptant de savoir uniquement ce que Dieu voulait que je sache, sans demander ni à lui ni à moi plus que ce qui m’était dit. J’ai cru, sans chercher plus loin. J’ai vaincu la gourmandise de la jouissance, parce que je me suis refusée à toute satisfaction charnelle. Ma chair, je l’ai mise sous mes pieds. La chair, cet instrument de Satan, je l’ai gardée avec Satan sous mon talon pour m’en faire un escabeau qui me permette de m’approcher du Ciel. Le Ciel, voilà mon but ! C’est là où est Dieu, ma seule faim, une faim qui, loin d’être gourmandise, est un besoin béni de Dieu, qui ne veut nous voir d’appétit que pour lui seul.
29.11 J’ai vaincu la luxure, qui est la gourmandise portée jusqu’à la gloutonnerie. Tout vice non réfréné conduit en effet à un vice plus grand. Et la gourmandise d’Eve – déjà coupable – la conduisit à la luxure. Il ne lui a pas suffi de se satisfaire seule, elle voulut amener sa faute à une intensité raffinée : elle a connu la luxure et l’a fait connaître à son compagnon. J’en ai renversé les termes et, au lieu de descendre, je me suis toujours élevée. Au lieu de faire déchoir, j’ai toujours entraîné vers le haut et, de mon compagnon qui était un homme honnête, j’ai fait un ange.
Dès que j’ai possédé Dieu et avec lui ses infinies richesses, je me suis hâtée de m’en dépouiller en disant : “ Voici, que ta volonté soit faite pour lui et par lui. ” Une personne chaste est celle qui fait preuve de retenue, non seulement dans sa chair, mais aussi dans ses affections et ses pensées. Je devais être la Femme chaste pour réduire à rien la femme impudique de la chair, du cœur et de l’esprit. Dès lors, je n’ai jamais abandonné cette retenue, en ne disant même pas de mon Fils – qui n’était qu’à moi seule sur la terre comme il n’était qu’à Dieu au Ciel – : “ Il est à moi et je le veux. ”
29.12 Toutefois, cela ne suffisait pas encore pour rendre à la femme la paix perdue par Eve. C’est au pied de la croix que je vous l’ai obtenue, en voyant mourir celui que tu as vu naître. En me sentant arracher les entrailles au cri de mon Enfant qui mourait, je me suis vidée de toute féminité : je n’étais plus chair, mais ange. Marie, l’Epouse vierge de l’Esprit, est morte à ce moment précis. La Mère de la grâce est restée, celle dont la torture vous a engendrés à la grâce et vous l’a donnée. C’est au pied de la croix que la femelle que j’avais reconsacrée en tant que femme la nuit de Noël a acquis le moyen de devenir créature des Cieux.
C’est pour vous que j’ai fait tout cela, en me refusant toute satisfaction sensuelle, si sainte fût-elle. Eve vous avait réduites à l’état de femelles à peine supérieures aux compagnes des animaux, mais j’ai fait de vous – à condition que vous le vouliez – les saintes de Dieu. J’ai atteint ce sommet pour vous. Comme je l’avais fait pour Joseph, je vous ai élevées vers les hauteurs. Le rocher du Calvaire est mon Mont des Oliviers. C’est là que j’ai pris mon élan pour porter jusqu’aux Cieux l’âme à nouveau sanctifiée de la femme, en même temps que ma propre chair, glorifiée pour avoir porté le Verbe de Dieu. Par là, j’ai effacé en moi jusqu’à la dernière trace d’Eve, la dernière racine de cet arbre à quatre rameaux toxiques et aux racines plongées dans la sensualité qui avait entraîné l’humanité à sa chute et qui vous mordra les entrailles jusqu’à la fin des siècles et jusqu’à la dernière femme. C’est de là où je resplendis dans le rayonnement de l’Amour que je vous appelle et vous indique le remède pour vous vaincre vous-mêmes : la grâce de mon Seigneur et le sang de mon Fils.
29.13 Quant à toi, ma voix, repose ton âme dans la lumière de cette aube de Jésus et trouves-y la force nécessaire pour les crucifixions à venir, qui ne te seront pas épargnées : car c’est ici que nous te voulons et on n’y arrive que par la souffrance ; c’est ici que nous te voulons, et l’on y monte d’autant plus haut qu’on a supporté davantage de souffrances pour obtenir la grâce au monde.
Va en paix. Je suis avec toi. »
natale07

"La Croix : Aucun document en préparation contre la messe romaine

ND de La Salette nous a prévenu : Rome perdra sa foi et deviendra le siège de l’Antéchrist.......L’Eglise sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais voilà Enoch et Elie remplis de l’Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et beaucoup d’âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit …Plus
ND de La Salette nous a prévenu : Rome perdra sa foi et deviendra le siège de l’Antéchrist.......L’Eglise sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais voilà Enoch et Elie remplis de l’Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et beaucoup d’âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de l’Antéchrist........Par le sang, les larmes et les prières des Justes, Dieu se laissera fléchir ; Enoch et Elie seront mis à mort ; Rome, païenne, disparaîtra ; le feu du Ciel tombera et consumera trois villes ; tout l’univers sera frappé de terreur, et beaucoup se laisseront séduire parce qu’ils n’ont pas adoré le vrai Christ vivant parmi eux.
natale07

Extrémisme liturgique : François va interdire toutes les messes en latin

ND de La Salette nous a prévenu : Rome perdra sa foi et deviendra le siège de l’Antéchrist.......L’Eglise sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais voilà Enoch et Elie remplis de l’Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et beaucoup d’âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit …Plus
ND de La Salette nous a prévenu : Rome perdra sa foi et deviendra le siège de l’Antéchrist.......L’Eglise sera éclipsée, le Monde sera dans la consternation. Mais voilà Enoch et Elie remplis de l’Esprit de Dieu ; ils prêcheront avec la force de Dieu et les hommes de bonne volonté croiront en Dieu et beaucoup d’âmes seront consolées ; ils feront de grands progrès par la vertu du Saint-Esprit et condamneront les erreurs diaboliques de l’Antéchrist........Par le sang, les larmes et les prières des Justes, Dieu se laissera fléchir ; Enoch et Elie seront mis à mort ; Rome, païenne, disparaîtra ; le feu du Ciel tombera et consumera trois villes ; tout l’univers sera frappé de terreur, et beaucoup se laisseront séduire parce qu’ils n’ont pas adoré le vrai Christ vivant parmi eux.
natale07

Antiilluminaten TV

Mais c'est n'importe quoi de publier leur vidéo ! ils sont ravis ! vous leur servez de média ! vous vous faites propagande pour eux ! Supprimez cette m.... Merci
natale07

Pays-Bas : Un homosexuel deviendra prêtre l'année prochaine

On ne peut pas être prêtre et homo ! c'est impossible, il devra faire un choix ! soit quitter ces pratiques (démoniaques) abominables aux yeux de Dieu, soit abandonner le séminaire.
natale07

Olivia Grégoire, ex co-dirigeante d’une agence produisant des faux articles de presse au service de …

Tout le gouvernement est sous l'emprise du mal ! qui se ressemble, s'assemble !
natale07

Des musulmans perturbent un concert dans la cathédrale de Metz - Le Salon Beige

C'est pas étonnant ! et ça continuera tant que ces hommes soit disant de Dieu continueront à accueillir l'antichrist et à ne pas vouloir évangéliser
natale07

Très chers lecteurs, Après une escapade espagnole à la Jonquera hier auprès de sa Première Dame et …

Bonne route et que toute la cour céleste vous accompagne
natale07

Russie : des amendes pour ceux qui inciteraient les femmes à avorter ont été approuvées dans la …

Salve Corda – Obtenir la conversion du monde et la paix
Lettre de soutien de Monseigneur Schneider
Chers fidèles de Salve Corda,
C’est avec une profonde joie que je viens apporter mon soutien spirituel à la grande Alliance autour des Cœurs de Jésus et Marie que vous avez lancée. Dans le contexte d’une crise mondiale sans précédent, votre objectif de répondre de façon concrète à leur appel …Plus
Salve Corda – Obtenir la conversion du monde et la paix

Lettre de soutien de Monseigneur Schneider

Chers fidèles de Salve Corda,
C’est avec une profonde joie que je viens apporter mon soutien spirituel à la grande Alliance autour des Cœurs de Jésus et Marie que vous avez lancée. Dans le contexte d’une crise mondiale sans précédent, votre objectif de répondre de façon concrète à leur appel est totalement d’actualité.
Cette dévotion aux Cœurs de Jésus et Marie se développe beaucoup aujourd’hui et c’est absolument essentiel. Malheureusement les demandes précises du Christ et de la Sainte Vierge, inséparables de cette dévotion, sont trop souvent oubliées. Le grand mérite de Salve Corda est justement d’en rappeler l’importance capitale et de fonder son action sur leur mise en œuvre........