Voici les auteurs du rapport BIDON sur les abus des évêques français
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Néanmoins, le rapport affirme qu'il y a eu 215 000 (70 fois plus) "victimes" françaises d'abus cléricaux.
La pseudo-recherche s'est déroulée en deux étapes. Tout d'abord, l'institut de sondage étatique Ifop, connu pour son inexactitude, et qui vend des sondages aux entreprises et aux partis politiques, a réalisé une enquête vague.
Ensuite, Nathalie Bajos, une "chercheuse" de l'Inserm (Institut national français de la santé et de la recherche médicale), a transformé les données en un "rapport".
Bajos, sociologue de gauche et militante, dirige "l'équipe dédiée aux questions de genre" de l'Ifop et a publié des torchons propagandistes tels que "La contraception : levier réel ou symbolique de la domination masculine ?" ; "Les inégalités sociales d'accès à la contraception en France" ; "Les enjeux contemporains de la légalisation de l'avortement" ; ou encore "Les femmes sont-elles encore libres de choisir leur contraception ?".
Medias-Press.info (13 octobre) qualifie le rapport Sauvé d'"enfant malade d'un ennemi du catholicisme".
Dans une vidéo diffusée sur Canal-U.tv, Bajos explique que les parents ne doivent pas s'inquiéter du fait que leurs enfants regardent du porno, car il est temps qu'ils cessent de s'impliquer dans la "sexualité" de leurs petits."
Image: Nathalie Bajos, #newsAqhjbmbkbv
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