Laurier
3443

La véritable ÉGLISE est nécessairement APOSTOLIQUE ! Une des quatre notes essentielles au CREDO, sans laquelle elle n’est plus ! Qu'est-ce à dire ?

L’Église catholique serait-elle encore UNE et APOSTOLIQUE (Credo) si elle venait à perdre toute sa hiérarchie de juridiction divinement instituée par le Christ (Pape et/ou évêques établis par lui, can. 108 §3 CIC 1917) ?

Non, l’Église catholique ne serait plus UNE ni APOSTOLIQUE si elle venait à perdre totalement son fondement hiérarchique (successeurs légitimes des Apôtres et notamment de saint Pierre), même par simple « interruption », tel que cela ressort de l’enseignement magistériel et dogmatique rappelé ci-dessous.
De plus, il lui serait impossible de reconstituer une hiérarchie puisque le pape ne peut être élu que par le collège des cardinaux légitimes (cf. Constitution de Pie XII, 1945) ou à défaut très exceptionnellement par « l’Église universelle » entendue comme la réunion de tous les chefs légitimes des Églises particulières (l’ensemble des évêques résidentiels ayant juridiction ordinaire : le corps épiscopal réuni en concile imparfait c’est-à-dire sans pape, canon 223). Cf. doctrine du cardinal Cajetan, Billot, Journet, etc. Si l’Église hiérarchique enseignante vivante (légitime) disparaissait totalement de la planète terre (n’existait plus), l’Église catholique romaine visible — militante — pourtant divinement constituée par le Christ sur cette pierre avec promesses de ne pas faillir, aurait été vaincue et serait morte. La simple interruption de la hiérarchie légitime, qui ne pourrait donc plus se reconstituer par succession ininterrompue, ferait que l’Église perdrait à la fois son caractère d’Apostolicité et d’indéfectibilité.
Elle ne serait plus UNE non plus, puisque le fondement visible de cette unité est précisément PIERRE et ses successeurs légitimes : « En effet, l’Église n’a qu’un seul Chef, un seul conducteur invisible, Notre-Seigneur Jésus-Christ, établi par le Père Éternel (Eph., I, 22), Chef (ou tête) de toute l’Église qui est son corps ; et un seul Chef visible qui est le successeur légitime de Saint Pierre sur le siège de Rome. Tous les Pères sont unanimes sur ce point que ce Chef (cette tête) visible de l’Église était nécessaire pour établir et conserver son unité. » (Catéchisme du Concile de Trente)

— « Pourquoi dites-vous que l’Église est apostolique ? — L’Église est apostolique parce qu’elle est fondée sur les Apôtres et sur leur prédication, et gouvernée par leurs successeurs, les Pasteurs légitimes qui, SANS INTERRUPTION et sans altération, continuent de transmettre et la doctrine et le pouvoir [la juridiction : potere en italien]. — Quels sont les Pasteurs légitimes de l’Église ? — Les Pasteurs légitimes de l’Église sont le Pape ou Souverain Pontife, et les Évêques en union avec lui. » (Catéchisme de la doctrine chrétienne de saint PIE X, 1912, en ses questions 111+112.)

— « L’apostolicité est une propriété essentielle de l’Église et par cette apostolicité essentielle à l’Église, il faut entendre : origine apostolique, doctrine apostolique, succession apostolique. L’apostolicité, regardée dans la succession des pasteurs légitimes est une marque distinctive de la véritable Église, et elle emporte, avec l’origine apostolique, l’apostolicité de doctrine. […] Le corps des évêques doit avoir à sa tête comme chef suprême, comme évêque des évêques, Pierre, lieutenant visible du Christ, centre et principe visible d’unité pour tout le corps. Enfin, à cette société ainsi constituée Jésus promet assistance à jamais. Bâtie sur le roc, nulle tempête ne la détruira ; les puissances de l’enfer ne sauraient prévaloir contre elle : elle est indéfectible, elle sera toujours ce que le Christ l’a faite — indéfectible dans l’enseignement de la vérité, indéfectible dans l’usage de ses moyens de sanctification, indéfectible dans sa constitution même et dans la forme de son gouvernement. Et de là les conditions de l’apostolicité : même foi et même doctrine, même constitution, mêmes sacrements, ce sont les trois choses établies par le Christ et destinées à demeurer pour toujours dans son Église indéfectible. Est-ce tout ? Oui et non. Oui, mais à la condition, implicitement contenue dans celles qui précèdent, que le pouvoir de prêcher, d’absoudre, de consacrer, d’ordonner, de gouverner au nom de Dieu, se transmette sans interruption suivant les lois établies par le fondateur. Pas d’apostolicité sans mission ni sans continuité. Si le pouvoir se perd dans une société humaine, la société a en elle-même de quoi le relever, pour ainsi dire ; le pouvoir dans l’Église est d’autre nature ; il a son principe en Dieu, il peut se transmettre vivant ; mais une fois éteint, il faudrait pour rallumer le flambeau une nouvelle intervention de Dieu. En fait, une société que Dieu referait ainsi sur les ruines de l’Église ne serait plus l’Église : l’Église indéfectible aurait péri. » (Dictionnaire de théologie catholique, tome 1b, Apostolicité, col.1620)

— « C’est, en effet, une chose évidente : L’Église étant un corps social hiérarchique, il faut appartenir à ce corps social pour avoir part à l’autorité de sa hiérarchie. Sans succession apostolique, la hiérarchie n’est plus celle que le Christ a instituée : c’est une œuvre humaine ; et quand même les sacrements y resteraient, l’autorité n’y serait pas ; car le pouvoir d’ordre n’emporte pas de soi le pouvoir de juridiction : celui-ci est attaché à la mission, à la succession légitime. Il ne suffit pas de se réclamer du Christ, ni même d’avoir les sacrements. On est des siens, on est de son Église (je parle au for extérieur) quand on obéit aux pasteurs établis par lui, envoyés par lui. C’est donc pour une Église une question capitale que celle de la succession légitime. » (Dictionnaire de théologie catholique, tome 1b, Apostolicité, col. 1625.)

— «Voilà pourquoi les Pères du Concile de Nicée, pour faire comprendre à tous quelle était l’Église catholique, ajoutèrent au symbole, par une inspiration divine, le mot Apostolique. Et en effet, le Saint-Esprit qui gouverne l’Église, ne la gouverne que par des ministres apostoliques (c’est-à-dire par les successeurs légitimes des Apôtres). Cet esprit fut d’abord donné aux Apôtres, mais ensuite, grâce à l’infinie Bonté de Dieu, il demeura toujours dans l’Église. » (Catéchisme du Concile de Trente)

— « Il est évident que l’autorité ne peut être transmise que par succession légitime ; par conséquent, l’Église doit avoir une succession légitime, ou formelle, de pasteurs pour transmettre l’autorité apostolique d’âge en âge. Celui qui s’immisce dans le ministère contre les lois de l’Église [sans mandat pontifical ou sans le consentement présumé du Pontife romain] ne reçoit aucune autorité et, par conséquent, ne peut en transmettre aucune à ses successeurs. […] Pour cette raison, le pouvoir des Ordres peut être obtenu par fraude ou conféré contre la volonté de l’Église par toute personne ayant des ordres valides lui-même, mais ne dépend donc pas de la succession légitime. […] En d’autres termes, l’Église doit être apostolique dans son ministère au moyen d’une succession légitime qui remonte dans une ligne ininterrompue avec les Apôtres. […] En aucun cas, les schismatiques n’ont une succession légitime ; il n’y a pas de transmission de la juridiction parce qu’ils se sont retirés de la communion avec Rome — le pape légitime —, le centre et la source de toute juridiction. » (R. P. Elwood Sylvester Berry 1879-1954, professeur d’apologétique au séminaire du Mont Saint Mary de Baltimore, dans le Maryland ; The Church of Christ, An Apologetic and Dogmatic Treaties, Eugene, OR : Wipf and Stock Publishers, 1927. Imprimatur.)

— « Or, toute juridiction est une participation des clefs qui n’ont été données qu’à Pierre seul ; il est donc l’unique source de la juridiction. De la plénitude de sa puissance émane toute autorité spirituelle, comme nous l’apprenons des Pères, des papes et des conciles. » (Dom Gréa, De l’Église et sa divine Constitution, 1885, Appendice C.)

— « Q. Pourquoi l’appelle-t-on Apostolique ? R. Parce qu’elle a été fondée par les apôtres, et que depuis les apôtres elle a toujours subsisté, et subsistera jusqu’à la fin du monde, avec une succession continuelle et non interrompue de pasteurs légitimes, sous un seul et même chef visible, qui est Notre Saint-Père le Pape. […] L’Église est encore Apostolique dans son ministère, parce qu’elle a duré depuis les apôtres, par une succession continuelle et non interrompue de pasteurs légitimes. Car Jésus-Christ n’a pas établi son Église pour un temps passager, mais pour durer jusqu’à la consommation des siècles. […] 3° Parce qu’elle remonte, par une succession continuelle et non interrompue de pasteurs légitimes, jusqu’aux apôtres, et, par eux, jusqu’à Jésus-Christ. C’est un fait si évident que ses ennemis eux-mêmes sont forcés d’en convenir. Tous les écrivains ecclésiastiques déduisent la succession des souverains pontifes, évêques de Rome, depuis saint Pierre jusqu’à Pie IX, qui occupe aujourd’hui la chaire apostolique ; de sorte que nous pouvons remonter de Pape en Pape jusqu’à Jésus-Christ, sans trouver aucune interruption. » (Nouvelle explication du catéchisme de Rodez, op. cité, 1880, tome 2, 11e leçon, pp. 122-124.)

— « Le Christ a fondé son Église entière sur Pierre et que, par suite, l’apostolicité est visible et reconnaissable en lui et dans ses successeurs. […] L’apostolicité n’est incontestablement reconnaissable que dans l’Église fondée sur Pierre et ses successeurs, l’Église de Rome. Elle seule peut démontrer sa connexion ininterrompue avec l’Apôtre S. Pierre. […] L’Église est apostolique en tant qu’elle est bâtie sur le fondement des Apôtres et en tant que ce fondement persiste dans la personne des successeurs des Apôtres jusqu’à la fin du monde. Dans la primauté et dans l’épiscopat, qui lui est légitimement uni, cette propriété essentielle reçoit l’importance d’une note visible et facilement discernable par tous. […] L’Église de Jésus-Christ est une, sainte, catholique et apostolique. Ces quatre notes ne sont pas pour elle quelque chose d’extérieur et d’accidentel : elles lui sont nécessaires et essentielles. » (Mgr Bernard Bartmann, Précis de théologie dogmatique, §152. L’Apostolicité.)

----------
Mgr Donald J. Sanborn, sédévacantiste, le reconnait également avec honnêteté :
« le problème théologique criant auquel font face les sédévacantistes est de pouvoir expliquer l’apostolicité de l’Église – qui est un dogme – tout en affirmant que Bergoglio et ses évêques n’ont pas la juridiction pour enseigner, gouverner et sanctifier l’Église et sont donc un faux pape et de faux évêques.
« Tandis que la vacance du siège de Rome ou d’un siège de diocèse ne porte pas atteinte à l’apostolicité, puisque ces vacances ont lieu de tout temps, il est cependant nécessaire à l’apostolicité de l’Église qu’il y ait un moyen légal pour élire un pape et nommer des évêques. En d’autres termes, il doit y avoir des personnes qui ont un droit légitime de voter et de nommer. Si cela disparaît, l’Église catholique disparaît. On serait alors obligé de nier l’ indéfectibilité de l’Église, ce qui est hérétique. Bien évidemment, la réponse à cette question est de suprême importance.[1] »

[1] Most Holy Trinity Seminary Newsletter, Décembre 2021. – Mais il ne donne pas lui-même la solution puisqu’une hiérarchie dite materialiter (thèse de Cassiciacum) n’a pas la juridiction : or, « ce qui leur manque, c’est le pouvoir de juridiction, condition essentielle de l’apostolicité. » (Ernest Savignac, p.s.s., Manuel d’apologétique à la portée de tous, Montréal 1936, p. 177.) Même « convertis », il leur manquerait toujours le pape dont il pourrait la recevoir… Donc rupture dans la hiérarchie divinement instituée et la succession apostolique ! D’ailleurs, son ouvrage La papauté matérielle (Sodalitium 2001), dans sa première partie et à l’aide de seize théologiens, établit indubitablement qu’il est nécessaire d’avoir à la fois l’Ordre ET le pouvoir (la juridiction) pour rendre compte de la nécessaire succession apostolique ininterrompue. « Il ne suffit pas, pour constituer la note d’apostolicité, de la succession matérielle, si je puis ainsi dire, depuis les apôtres ; il faut en outre la succession formelle [avec juridiction], en sorte que celui qui est désigné comme le successeur des apôtres, doit conserver l’unité de foi et de communion avec le chef et le centre de l’Église universelle, […] On doit rejeter, comme ne faisant point partie de l’Église du Christ, toutes les sociétés qui sont privées de l’une ou de l’autre, ou de l’une et l’autre succession qui constitue la note de l’apostolicité. » (Théologie dogmatique du R. P. Perrone, tome V, 1877, p. 352-353.)

Pour développer ce sujet, lire (nouveauté 2023) :

« La visibilité de l’Église à la fin des temps, à la lumière de l’enseignement de l’Église, “la Femme au désert” (Apoc. XII) » par Laurent Morlier. 160 pages, 2023 (que vous pouvez télécharger provisoirement sur le site fichier-pdf.fr ).

Fichier PDF APOCALYPSE XII La Femme au désert.pdf
Arthur De la Baure
Tout cela est entendu, mais alors, où est l"Eglise visible possedant les quatre notes selon vous et où est le Pape? Sachant que l'eglise conciliaire ne possède ni la Sainteté, ni la catholicité, ni l' unité, peut-être pourrions nous trouver l’apostolicité ( bien que celle-ci soit liée a la profession de la vraie foi).
Et sachant que les papes postconciliaires sont imbus de modernisme ( et Saint …Plus
Tout cela est entendu, mais alors, où est l"Eglise visible possedant les quatre notes selon vous et où est le Pape? Sachant que l'eglise conciliaire ne possède ni la Sainteté, ni la catholicité, ni l' unité, peut-être pourrions nous trouver l’apostolicité ( bien que celle-ci soit liée a la profession de la vraie foi).
Et sachant que les papes postconciliaires sont imbus de modernisme ( et Saint Pie X n'a t il pas excommunié tous les modernistes ?) et que manifestement vous rejettez la Révolution conciliaire avec ses autorités qui en font la propagande.
Donc puisque que la visibilité ( avec son apostolicité)est liée, selon votre démonstration, a la visibilité du Pape et de la hiérarchie ainsi qu'a sa permanence, vers où doit aller un catholique ? Vers un" pape" François qui n'est probablement plus catholique? Vers un" pape " sauvage né d'un conclave tout aussi sauvage ? Vers un pape caché qui survivrait quelque part? Ce qui semble être un fixisme juridique ne vous laisse que tres peu de marge de manœuvre. Si en plus vous épousez la thèse de mr Morlier qui rejette absolument toute notion de " mystère d'iniquité" ,je ne vois qu'une solution possible si je pousse votre raisonnement, la survie quelque part d'une hiérarchie catholique authentique mais cachée. C'est apparemment la thèse de mr Morlier.
Peut être m'échappe-t-il quelque chose?
Laurier
"Tout cela est entendu" ? écrivez-vous.... Moi, j'en doute quand je lis chez les sedevacantistes qu'il n'y a plus du tout d'Autorité légitime, de ministres légitimes ayant juridiction ordinaire, encore en vie sur cette terre ! Plus de pape légitime depuis 60 ans, plus de cardinaux légitimes non plus et aujourd'hui plus d'évêques légitimes non plus (canoniquement institué par un vrai pape) = …Plus
"Tout cela est entendu" ? écrivez-vous.... Moi, j'en doute quand je lis chez les sedevacantistes qu'il n'y a plus du tout d'Autorité légitime, de ministres légitimes ayant juridiction ordinaire, encore en vie sur cette terre ! Plus de pape légitime depuis 60 ans, plus de cardinaux légitimes non plus et aujourd'hui plus d'évêques légitimes non plus (canoniquement institué par un vrai pape) = Église interrompue dans son fondement hiérarchique d'institution divine ! = Note d'Apostolicité caduque = Église MORTE. C'est évidemment une impossibilité théologique radicale ou alors, il ne faut plus chanter le CREDO ou perdre la Foi !!
« Il [le Christ] voulut qu’il y eut en son Église des Pasteurs et des Docteurs jusqu’à la consommation des siècles » (Pie IX, Pastor Æternus 1870 : “ita in Ecclesia sua Pastores et Doctores usque ad consummationem sæculi, esse voluit.” ) C’est donc une volonté divine (et rien ne peut aller contre : Esther XIII, 9-11) que la juridiction ordinaire ne cesse pas puisque sans celle-ci il ne peut y avoir de « Pasteurs et Docteurs » légitimes. C’est une certitude de Foi, puisqu’en leur absence, l’Église serait interrompue, invisible, donc morte. Cela fait donc partie des exigences de la Foi. Comme l’enseigne le cardinal Cajetan : « impossible que l’Église soit laissée sans pape et sans électeurs de pape » (électeurs qui ne peuvent qu’être de l’Église enseignante, ayant juridiction ordinaire par communication d’un vrai pape, en dernier recours le clergé de Rome.
Simple mais important rappel : « la hiérarchie appartient à la constitution essentielle de l’Église, en tant que le Christ l’a ainsi instituée et fondée.[1] » La hiérarchie légitime (établie par un vrai pape, ayant donc juridiction ordinaire) ne peut donc pas cesser d’exister un seul instant, à défaut de quoi l’Église ne serait plus telle que le Christ l’a divinement instituée. « Il faut aussi nécessairement qu’elle ait toujours un Pape, successeur de saint Pierre, car le siège de Pierre étant le fondement de l’Église, s’il venait à manquer, toute l’Église par là même s’écroulerait aussitôt. L’Apostolicité est une des marques les plus certaines et les plus claires, à laquelle Jésus-Christ a voulu qu’on reconnût son Église.[2] »
Plus de développements ici :
Fichier PDF SODALITIUM ET LA BULLE DE PAUL IV Cum ex Apostolatus, par l'abbé Ricossa.pdf

[1] Théologie dogmatique du R. P. Perrone, Tome V, Migne 1877, p. 307. Et Concile de Trente, session XXIII, canon vi (sous peine d’anathème).
[2] Nouvelle explication du catéchisme de Rodez. Par l’Abbé H. Noël, Vicaire Général du Diocèse, ancien Supérieur du petit Séminaire de Saint-Pierre-sous-Rodez. Approuvé par Mgr l’Évêque de Rodez et Mgr L’Évêque de Mende. Périsse Frères, Libr.-Ed. 1856. t. II. 11e Leçon. De l’Église. Neuvième instruction. Apostolicité de l’Église, p. 125.
Arthur De la Baure
Oui, mais vous tournez autour du pot. Puisque vous jugez les sédévacantistes hors course, il faut maintenant développer ce que vous croyez être la solution.
Est ce le sedepleinisme de mgr Lefebvre, la thèse de mgr des lauriers, l'herméneutique de la continuité de Benoit16 et des ecclesiadeistes, ou alors une autre thèse originale que j'ignore, comme la survivance cachée d'une hiérarchie qu'il …Plus
Oui, mais vous tournez autour du pot. Puisque vous jugez les sédévacantistes hors course, il faut maintenant développer ce que vous croyez être la solution.
Est ce le sedepleinisme de mgr Lefebvre, la thèse de mgr des lauriers, l'herméneutique de la continuité de Benoit16 et des ecclesiadeistes, ou alors une autre thèse originale que j'ignore, comme la survivance cachée d'une hiérarchie qu'il me semblait pressentir dans vos propos?
Votre développement deductif qui exclu à mesure qu'il progresse mène où ?