L'archevêque Viganò répond aux objections du cardinal Brandmüller
![](https://seedus6826.gloriatv.net/storage1/s8phbmqas9jluhxy0dt7ypgo6zp28qaskr1e2uk.webp?scale=on&secure=3I8HEMMfdFG71ERrwkTC9w&expires=1721123190)
Il accuse Brandmüller d'une "attitude légaliste" qui - par principe - considère qu'il est inconcevable qu'un concile puisse mal tourner.
Viganò soutient que les révolutionnaires de Vatican II ont utilisé l'étiquette "concile" pour imposer leurs hérésies "avec une intention malveillante et des buts subversifs".
Il cite le père Edward Schillebeecks (+2009), l'un des théologiens les plus actifs pendant Vatican II, qui a dit à propos des documents du concile : "Maintenant, nous le disons de manière diplomatique, mais après le concile, nous en tirerons les conclusions implicites".
Viganò en conclut que l'expression "herméneutique du soupçon" est utilisée pour dénigrer ceux qui "dénoncent la fraude conciliaire", bien que " l'étiquette "Concile" sur l'emballage ne reflète pas son contenu".
Il considère Vatican II comme "un travail de tromperie astucieux de la part de personnes notoirement infectées par le modernisme et il n'est pas rare qu'elles soient trompées, même dans leur conduite morale".
Viganò rappelle qu'on juge un arbre à ses : "Il ne suffit pas de parler d'un printemps conciliaire pour cacher le rude hiver qui s'abat sur l'Église".
Reprenant l'argument néo-conservateur selon lequel "le concile n'a rien changé à notre foi", Viganò conclut que, si cela est vrai, les néo-conservateurs peuvent aussi bien revenir au catéchisme de Pie X et au missel de Pie V.
#newsPnubrlenlh
![](https://seedus2043.gloriatv.net/storage1/r36lienddleh2ggf50i2hc2nttolpvxhfao01he.webp?crop=4096.2531&scale=on&secure=ZYyWZ_1h3swDuhjZZfHU6g&expires=1721124433)