Tout va bien !

On bénit les "unions" homo, on prête les églises aux mahométans, on ne cherche plus à évangéliser les païens, on organise au Vatican des processions à la Pachamama, on met sur un pied d'égalité trois religions antichrist avec celle de l'Eglise, et maintenant on donne la communion à des gens qui nient l'Evangile, rejettent le Sacrifice du Seigneur et font de la Très Sainte Trinité un "péché pire que le meurtre"...

Saint Pierre, Saint Jean, Saint Paul, tous les saint martyrs au Ciel... Seigneur, qu'ont-ils faits de l'Eglise et de vos brebis ?!!?

"Communiqué de justification de l’Evêque :

"Bla bla bla bla ... Sheik Mahairi bla bla en tant qu’ami, attristé par l’enterrement d’un autre ami bla bla bien connu bla bla entretient des relations respectueuses avec l’Église catholique..."

En quoi le fait d'être ami (contrevenant d'ailleurs en cela à cette parole du coran qui exige des musulmans de ne pas prendre alliés parmi les mécréants, mais déclare bien au contraire la haine et l'inimitié à jamais entre mahométans et chrétiens) d'un catholique donne droit à l'évêque à donner la communion à cet antichrist ?!

"Bla bla bla .... L’Église regarde également avec estime les musulmans. Ils adorent le Dieu unique, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de la terre bla bla..."

Nous y voilà donc ! Le poison des hérésies du concile porte ses fruits pourris : c'est bien la preuve flagrante, de l'aveu même de ce triste sire, que certaines déclarations du concile (Nostra Aetate et Lumen Gentium en l'occurrence) professent des mensonges. Non, les musulmans n'adorent pas avec nous le Dieu Unique, car de Dieu Unique il n'y en a qu'UN et c'est le Père, le Fils et le Saint-Esprit !

Cet évêque vient d'abroger cette parole certaine et véritable de l'Apôtre Saint Paul :

"Ainsi donc, chaque fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous proclamez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne.
Et celui qui aura mangé le pain ou bu la coupe du Seigneur d’une manière indigne devra répondre du corps et du sang du Seigneur.
On doit donc s’examiner soi-même avant de manger de ce pain et de boire à cette coupe.
Celui qui mange et qui boit mange et boit son propre jugement s’il ne discerne pas le corps du Seigneur."

Les musulmans proclament-ils le Sacrifice de Notre Seigneur ? Pas du tout, qui rejettent absolument la Croix.

Communiqué de justification de l’Evêque :

“Chers frères et sœurs, toujours en deuil après la mort du Cardinal Geraldo Majella Agnelo, archevêque émérite de São Salvador et primat du Brésil, ancien archevêque de Londrina, nous souhaitons émettre une déclaration concernant les répercussions générées par la communion que j’ai donnée à Sheik Jeque Ahmad Saleh Mahairi, en ma qualité de Dom Geremias Steinmetz.

Au cours des derniers jours, nous avons vécu une très belle cérémonie dans notre Église catholique romaine, qui célèbre non pas la mort, mais la foi en la vie éternelle à travers le Christ vivant et ressuscité. Les funérailles de Dom Geraldo, l’une des personnalités les plus importantes de l’Église au Brésil et dans le monde, ont impliqué plus de 24 heures de prières ininterrompues à la Cathédrale Métropolitaine de Londrina, en présence de prêtres de toutes les doyennés de l’archidiocèse de Londrina, qui englobe 16 municipalités de la région, ainsi qu’environ 20 évêques, dont trois cardinaux, des prêtres et des religieux de tout le pays.

En plus d’être une autorité religieuse respectée, Dom Geraldo était un ami et un proche de nombreux fidèles ayant assisté aux célébrations, notamment la dernière Sainte Messe avant son enterrement à 10 heures du matin, afin de lui rendre hommage. Des personnes de différentes confessions religieuses étaient présentes, y compris des autorités civiles et religieuses, telles que Sheik Jeque Ahmad Saleh Mahairi, de la Mosquée du Roi Faiçal.

Sheik Mahairi connaissait Dom Geraldo Majella depuis les années 1980 et était présent aux funérailles du Cardinal Agnelo en tant qu’ami, attristé par l’enterrement d’un autre ami. Le sheik est bien connu dans divers milieux de la société et entretient des relations respectueuses avec l’Église catholique. Il était également ami d’un autre archevêque de Londrina, feu Dom Albano Cavallin, avec qui il entretenait des liens étroits. En tant qu’ami, il a participé à la célébration eucharistique et, en se joignant à la ligne de communion, a reçu le corps du Christ.

Les images de la Sainte Messe diffusées montrent Sheik Mahairi recevant l’Eucharistie de mes mains, mais ne le montrent pas en train de la consommer. Face aux répercussions de ces images, j’ai demandé au vicaire général de l’archidiocèse de Londrina, le Père Rafael Solano, de parler au sheik afin de clarifier la situation.

Regrettant profondément ce qui s’était passé, car son intention n’était pas de manquer de respect à l’Église catholique, Sheik Mahairi a expliqué au vicaire général qu’il avait reçu Jésus, était retourné à son banc, s’était assis et avait consommé l’Eucharistie. Selon lui, l’évêque Albano lui avait expliqué il y a de nombreuses années que l’Eucharistie était le corps de Jésus, considéré comme un prophète dans l’islam.

[Citation du Concile Vatican II :]

L’Église regarde également avec estime les musulmans. Ils adorent le Dieu unique, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, qui a parlé aux hommes et dont les décrets, même s’ils sont cachés, cherchent à soumettre de tout cœur, comme Abraham s’est soumis à Dieu, que la foi islamique évoque volontiers. Bien qu’ils ne le reconnaissent pas comme Dieu, ils vénèrent Jésus en tant que prophète et honorent Marie, sa mère vierge, qu’ils invoquent parfois avec dévotion. Ils attendent le jour du jugement, lorsque Dieu récompensera tous les hommes une fois ressuscités. Ils tiennent donc la vie morale en haute estime et adorent Dieu par-dessus tout à travers la prière, l’aumône et le jeûne (Déclaration “Nostra Aetate”, n. 3). [Fin de la citation]

Ayant éclairci ces points, nous aimerions enfin considérer ce que le Pape François nous enseigne dans son dernier document sur la Liturgie, Desiderio Desideravi, de 2022. Personne n’avait gagné sa place lors de la Dernière Cène. Au contraire, ils ont été invités, attirés par le désir ardent de Jésus lui-même de partager ce repas de la Pâque avec eux, dont l’agneau est lui-même.

“Avant notre réponse à l’invitation – bien avant – se trouve son désir pour nous : nous pouvons ne pas en être conscients, mais à chaque fois que nous allons à la messe, la raison première est que nous sommes attirés par son désir pour nous. De notre part, la réponse possible, l’ascèse la plus exigeante consiste, comme toujours, à nous abandonner à son amour, à nous laisser attirer par lui. Ce qui est certain, c’est que toutes nos communions au Corps et au Sang du Christ ont été désirées par lui lors de la Dernière Cène”, a écrit le Pape François.

Toute la création est une manifestation de l’amour de Dieu. Et puisque cet amour s’est manifesté dans toute son ampleur à travers la Croix de Jésus, “toute la création est attirée vers lui. C’est l’ensemble de la création qui est élevé pour être mis au service de la rencontre avec le Verbe incarné, crucifié, mort, ressuscité et monté vers le Père.” (n. 42)

L’Eucharistie qui est élevée, le véritable Corps et Sang de Jésus, est reçue par les fidèles rassemblés autour de l’autel également comme un signe de charité, de cet amour irrépétible de Dieu qui se manifeste dans la Croix de Jésus. Par conséquent, “abandonnons les polémiques pour écouter ensemble ce que l’Esprit dit à l’Église, préservons la communion, continuons à nous émerveiller devant la beauté de la Liturgie.

Pâques nous a été donnée, gardons le désir que le Seigneur continue d’avoir de pouvoir la célébrer avec nous. Sous le regard de Marie, Mère de l’Église.” (Pape François – Desiderio Desideravi, n.65). La célébration eucharistique nous enseigne l’exercice noble de la charité, nourrit la douceur, nous conduit à la fraternité et au respect envers tous. Que l’Eucharistie, mystère d’amour, soit pour tous une source de grâce et de lumière illuminant les chemins de la vie.

Londrina, le 30 août 2023

En Jésus-Christ. Ma bénédiction,

Archevêque Geremias Steinmetz

Archevêque Métropolitain de Londrina”.

S'il s'agit bien d'un musulman, il y a un vice flagrant de procédure. Le baptême, c'est le point de départ pour pouvoir communier. Pour juger de la situation sur cette photo, on se limite bien souvent au premier coup d'œil pour trancher... Et si cet immigrant était nouvellement converti au christianisme ? Les chances mathématiques ne sont pas nulles. Et peut-être que le communiant n'a pas eu le temps de renouveler son habillement ? Dans son cas, est-ce que son chapeau blanc est déterminant ? Il ne sait pas lui-même ce qu'il fait là, ou bien il le sait maintenant très bien, en respect avec sa foi qui serait nouvelle chez lui ? Ça questionne évidemment, mais on n'a pas tous les éléments de réponse.