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Mystère d'iniquité - Défense du Pape Boniface VIIIPlus
Mystère d'iniquité - Défense du Pape Boniface VIII
Bénédicte LIOGIER
Merci @Joseph-Marie pour cet ouvrage que je redécouvre (je l'avais déjà lu). Il est d'une richesse doctrinale et d'une actualité étonnantes.
Cette excellente doctrine, très bien sourcée, jette une grande clarté sur toutes les discussions actuelles.
Celui qui cherche la vérité ne peut en faire l'impasse.
Joseph-Marie
Rappel
« Que des Papes aient erré dans la foi est une fable calomnieuse, inventée au XVIe siècle par un groupe d'historiens protestants appelés "centuriateurs de Magdebourg". Leurs mensonges furent repris par les gallicans, puis par les anti-infaillibilistes du XIXe siècle. "C'est le genre d'attaque adopté, il y a trois siècles, par les "centuriateurs de Magdebourg". Comme, en effet, les auteurs …Plus
Rappel

« Que des Papes aient erré dans la foi est une fable calomnieuse, inventée au XVIe siècle par un groupe d'historiens protestants appelés "centuriateurs de Magdebourg". Leurs mensonges furent repris par les gallicans, puis par les anti-infaillibilistes du XIXe siècle. "C'est le genre d'attaque adopté, il y a trois siècles, par les "centuriateurs de Magdebourg". Comme, en effet, les auteurs et fauteurs des opinions nouvelles n'avaient pu abattre les remparts de la doctrine catholique, par une nouvelle stratégie, ils poussèrent l'Église dans les discussions historiques. L'exemple des centuriateurs fut renouvelé par la plupart des écoles en révolte contre l'ancienne doctrine, et suivi, ce qui est d'autant plus malheureux, par plusieurs catholiques [...]. On se mit à scruter les moindres vestiges d'antiquités ; à fouiller partout les recoins des archives ; à remettre en lumière des fables futiles, à répéter cent fois des impostures cent fois réfutées. [...] Parmi les plus grands Pontifes, même ceux d'une vertu éminente ont été accusés et flétris [...]. Les mêmes trames ont cours aujourd'hui ; et certes, plus que jamais, on peut dire en ce temps-ci que l'art de l'historien paraît être une conspiration contre la vérité." (S. S. Léon XIII : Bref Saepenumero considerantes, 18 août 1883). » (Cf. extrait 1 du Mystère d'iniquité).

Cet extrait 1 non seulement ne sort pas du contexte du Bref de S. S. le Pape Léon XIII, mais, au contraire, il résume en deux mots son idée principale : la réalité de la falsification historique des Actes et de la gloire des Pontifes Romains et de l'Église, et l'appel paternel du Pontife Romain aux chrétiens afin d'étudier la vraie histoire et ainsi réfuter les attaques calomnieux des ennemis de la Papauté et de l'Église. Il suffit simplement de lire le Bref EN ENTIER, neuf pages près et affiché sur mon mur, pour se convaincre des accusations calomniatrices et malveillantes des ennemis très rusés et sataniques, qui essayent en vain de mettre la confusion, en tirant des extraits mutilés, des mots ici et là, afin de tromper et perdre les âmes. Mais, même si l'extrait 1 n'est pas en harmonie avec un autre contexte, peu importe où il puisse se trouver, cet extrait 1 constitue lui-même un contexte tout à fait véridique, dont la véracité est prouvé par une foule de preuves, tant dogmatiques que historiques.

Au début, les calomniateurs accusèrent les nobles auteurs du Mystère, livre d'une documentation exceptionnelle et que ces pauvres diables ne peuvent réfuter, mais seulement calomnier effrontément, que l'extrait 1 n'était pas du tout dans le Bref de Léon XIII, qu'ils avaient lu au site Vatican. Or, quand j'ai apporté les pages numérisées du Bref, extraits du premier volume des Actes de S. S. Léon XIII, d'une édition numérisée, qui étaient identiques à l'extrait 1, se voyant démasqués, les calomniateurs honteux sortirent l'autre calomnie du contexte différent. Ils prétendent que le contexte du Bref traite sur la foi et l'histoire !!!! Que ces calomniateurs impies apportent un autre passage du même Bref du Pape Léon XIII, qui aurait un sens contraire au passage d'origine (extrait 1), que les nobles auteurs du Mystère citent.

Je mettrai ici-dessous quelques autres passages du même Bref de S. S. Léon XIII, Saepenumero considerantes, Sur les études historiques, qui sont en parfaite union de contexte avec l'extrait 1, cité par les auteurs du Mystère :

Nos Chers Fils, salut et bénédiction apostolique.

(p. 197) « Nous n'avons pu fréquemment considérer quels artifices inspirent le plus de confiance à ceux qui s'efforcent de rendre suspectes et odieuses l'Église et la Papauté, sans reconnaître, qu'avec beaucoup de force et de perfidie, ils s'attaquaient à l'histoire des âges chrétiens et surtout aux annales qui renferment les fastes des Pontifes Romains dans leur rapport et leur liaison avec les destinées italiennes. Partageant cette observation, plusieurs évoques de cette contrée se sont déclarés non moins émus des maux passés, qu'effrayés de l'avenir. En effet, il est aussi dangereux qu'injuste de sacrifier la vérité de l'histoire à la haine du Pontife Romain, dans le but manifeste de mettre par force les souvenirs du passé, travestis par le mensonge, au service des innovations italiennes. - Notre devoir étant donc, non seulement de revendiquer les autres droits de l'Église, mais de venger contre une injuste attaque la dignité et l'honneur du Siège apostolique, voulant qu'enfin la vérité soit victorieuse, et que les Italiens sachent qu'elle fut pour eux dans le passé et qu'elle sera dans l'avenir la plus abondante source de bienfaits, Nous avons résolu, Nos Chers Fils, de vous communiquer Nos vues sur ce grave sujet, et d'en confier l'exécution à votre sagesse.

(p. 197) « Les incorruptibles monuments de l'histoire, à les considérer avec un esprit calme et dégagé des préjugés, sont par eux-mêmes une apologie magnifique et spontanée de l'Église et du Pontificat. On peut en voir ressortir la vraie nature des institutions chrétiennes. (p.199) A travers de redoutables combats et d'éclatantes victoires, l'Église apparaît dans sa force et sa vertu divine ; et par le témoignage évident des faits, se révèlent et brillent les bienfaits considérables que les Pontifes Romains ont répandus sur tous les peuples, mais avec beaucoup plus d'abondance sur le sol où la divine Providence a placé le siège apostolique. Aussi convenait-il à ceux qui, par toutes sortes d'efforts, ont assailli le Pontificat, de ne pas épargner l'histoire, témoin de ces grandes choses. Et certes, ils ont entrepris d'attenter à son intégrité, et avec un art et une perversion telle, que les armes les plus propres à repousser l'injuste agression, sont devenues des traits offensifs...

(p. 201) « Mais le plus grave est qu'une telle méthode de traiter l'histoire a envahi même les écoles. Très souvent, en effet, on donne aux enfants pour les instruire des manuels parsemés de ces mensonges; et surtout si la perversité ou la légèreté du maître s'y prête, les jeunes lecteurs, familiarisés avec ces récits, sont facilement pris de dégoût pour la vénérable antiquité, et imbus d'un mépris impudent pour les choses et les personnes les plus saintes. Au delà des lettres élémentaires, il n'est pas rare que le danger soit plus considérable; car, dans les études supérieures, le récit des faits conduit à l'examen des causes; de cet examen on bâtit des théories sur des préjugés téméraires, le plus souvent en désaccord flagrant avec la révélation divine, et sans autre motif que de dissimuler et cacher tout ce que les institutions chrétiennes ont eu de plus salutaire dans le cours des choses humaines et dans la succession des événements. Ainsi font la plupart, examinant peu combien ils sont inconséquents, à quelles absurdités ils se livrent, et quelle masse de ténèbres ils répandent sur ce qu'on nomme la philosophie de l'histoire. En somme, sans descendre aux détails, le plan général d'enseigner l'histoire a pour but de rendre l'Église suspecte, les papes odieux, et de persuader surtout à la foule que le gouvernement pontifical est un obstacle à la prospérité et à la grandeur italienne.

(p. 201) « Or, on ne peut rien dire qui révolte davantage la vérité, au point qu'il faut grandement s'étonner que de telles accusations, si fortement réfutées par tant de témoignages, à plusieurs puissent encore paraître vraisemblables. En vérité, c'est à l'éternelle mémoire de la postérité que l'histoire consacre les immenses mérites du Pontificat Romain envers l'Europe, et surtout envers l'Italie, qui, plus que tout autre, comme il était naturel, a reçu du Saint-Siège la plus (p. 203) grande somme d'avantages et de faveur...

(p. 205) « Pour ces motifs et d'autres si lumineux, il n'est personne qui ne voie que représenter la Papauté en soi, ou le pouvoir temporel, comme funeste à la race italienne, ce n'est autre que mentir volontairement sur des faits évidents et notoires; c'est sciemment tromper dans un but criminel; c'est, par méchanceté, empoisonner l'histoire; reproche bien autrement grave s'il s'agit de catholiques et nés en Italie ; car ceux-ci, la reconnaissance, l'honneur de leur foi et l'amour de la patrie devraient les porter, non seulement à étudier, mais à défendre la vérité. Et puisque, parmi les protestants mêmes, plusieurs se sont rencontrés, d'un esprit assez pénétrant, assez impartial pour dépouiller une foule de préjugés, et rendre hommage, poussés par la force de la vérité, au Pontificat Romain, en confessant qu'il a rendu de grands services à la civilisation et à l'ordre public, c'est une indignité que plusieurs parmi nous osent protester; que, dans l'enseignement de l'histoire, ils préfèrent les thèses hasardées; partisans et preneurs d'étrangers, les admirant d'autant plus qu'ils insultent davantage les institutions catholiques, restant pleins de mépris pour nos plus grands écrivains qui, dans les récits de l'histoire, n'ont pas voulu séparer du dévouement à la patrie le respect et l'amour du Siège apostolique. A SUIVRE....

Appel aux Catholiques : Priez et lisez, apprenez et ne mourez pas ignorants !!! Instruisez-vous à la bonne source, i.e., auprès des Actes des Pontifes Romains, surtout auprès des éditions amies du Saint-Siège, avant le conciliabule d'eux (II), et vous aurez tous les moyens nécessaires pour combattre avec honneur le bon combat de la Foi et ainsi vaincre les ennemis de notre sainte Foi, semper idem, pour la plus grande gloire de Notre-Seigneur, de la Papauté et de l'Église Romaine, et pour le salut des âmes.
steack
@Hélène33
j'invite chacun à en prendre connaissance, en commençant par ce qui dit du Bref Saepenumero considerantes de Léon XIII. Et ensuite de lire le réel contexte de la citation frauduleusement insérée dans un contexte qui n'est pas celui de Léon XIII.
Le bref en page 2 quicumque.com/…uploads/2021/06/bref-saepenumero-considerantes.pdf
"Aussi convenait-il à ceux qui, par toutes sortes …Plus
@Hélène33

j'invite chacun à en prendre connaissance, en commençant par ce qui dit du Bref Saepenumero considerantes de Léon XIII. Et ensuite de lire le réel contexte de la citation frauduleusement insérée dans un contexte qui n'est pas celui de Léon XIII.

Le bref en page 2 quicumque.com/…uploads/2021/06/bref-saepenumero-considerantes.pdf

"Aussi convenait-il à ceux qui, par toutes sortes d’efforts, ont assailli la Papauté, de ne pas épargner l’histoire, témoin 2 de ces grandes choses. Et certes, ils ont entrepris d’attenter à son intégrité, et avec un art et une perversion tels que les armes les plus propres à repousser l’injuste agression, sont devenues des traits offensifs."
C’est le genre d’attaque adopté, il y a trois siècles, par les Centuriateurs de Magdebourg. Comme, en effet, les auteurs et fauteurs des opinions nouvelles n’avaient pu abattre les remparts de la doctrine catholique, par une nouvelle stratégie, ils poussèrent l’Église dans les discussions historiques. L’exemple des Centuriateurs fut renouvelé par la plupart des écoles en révolte contre l’ancienne doctrine, et suivi, ce qui est d’autant plus malheureux, par plusieurs catholiques de religion et italiens de natio
n."

Et voici dans quel contexte ces faussaires l'ont placé page 63 :

« Que des Papes aient erré dans la foi est une fable calomnieuse, inventée au XVIe siècle par un groupe d'historiens protestants appelés "centuriateurs de Magdebourg". Leurs mensonges furent repris par les gallicans, puis par les anti-infaillibilistes du XIXe siècle.
C'est le genre d'attaque adopté, il y a trois siècles, par les "centuriateurs de Magdebourg". Comme, en effet, les auteurs et fauteurs des opinions nouvelles n'avaient pu abattre les remparts de la doctrine catholique, par une nouvelle stratégie, ils poussèrent l'Église dans les discussions historiques. L'exemple des centuriateurs fut renouvelé par la plupart des écoles en révolte contre l'ancienne doctrine, et suivi, ce qui est d'autant plus malheureux, par plusieurs catholiques [...]. On se mit à scruter les moindres vestiges d'antiquités ; à fouiller partout les recoins des archives ; à remettre en lumière des fables futiles, à répéter cent fois des impostures cent fois réfutées. [...] Parmi les plus grands Pontifes, même ceux d'une vertu éminente ont été accusés et flétris [...]. Les mêmes trames ont cours aujourd'hui ; et certes, plus que jamais, on peut dire en ce temps-ci que l'art de l'historien paraît être une conspiration contre la vérité." (S.S. Léon XIII : Bref Saepenumero considerantes, 18 août 1883). » (Cf. Mystère d'iniquité).
steack
Joseph-Marie
Encore sur le Bref du Souverain Pontife Léon XIII
@steack! Il n'y a aucune ''citation frauduleusement insérée'' dans un contexte étranger au Bref du Pape Léon XIII, mais c'est vous le faussaire malfaiteur qui tirez un passage du Bref et essayez de lui donner un sens contraire à l'idée générale ou au contexte du Document pontifical. D'ailleurs, l'extrait 1 (le passage cité par les auteurs du …Plus
Encore sur le Bref du Souverain Pontife Léon XIII

@steack! Il n'y a aucune ''citation frauduleusement insérée'' dans un contexte étranger au Bref du Pape Léon XIII, mais c'est vous le faussaire malfaiteur qui tirez un passage du Bref et essayez de lui donner un sens contraire à l'idée générale ou au contexte du Document pontifical. D'ailleurs, l'extrait 1 (le passage cité par les auteurs du Mystère), par lui-même, constitue une vérité dogmatique et historique qui s'appuie non seulement sur l'Écriture et la Tradition apostolique, mais aussi sur les vrais monuments de l'antiquité, que des calomniateurs de votre trempe cherchent à corrompre. Le contexte de la citation (extrait 1) du Mystère est en pleine harmonie avec celui du Bref, qui dénonce les mensonges historiques contre l'enseignement officiel et la vie privée des Pontifes Romains, comme on le verra par la suite. Alors, soit que vous ne compreniez pas ce que vous lisiez, soit que vous ne vouliez pas comprendre, pour combattre obstinément et malicieusement la vérité connue, ce qui est un des péchés contre le SAINT-ESPRIT, qui n'est remis ni dans cette vie et ni dans l'autre.

Au premier paragraphe du Bref, le Souverain Pontife annonce l'idée générale ou le contexte de son document :

« En effet, il est aussi dangereux qu'injuste de sacrifier la vérité de l'histoire à la haine du Pontife Romain, dans le but manifeste de mettre par force les souvenirs du passé, travestis par le mensonge, au service des innovations italiennes. - Notre devoir étant donc, non seulement de revendiquer les autres droits de l'Église, mais de venger contre une injuste attaque la dignité et l'honneur du Siège apostolique, voulant qu'enfin la vérité soit victorieuse. » (Bref, p. 197)

Sacrifier la vérité de l'histoire à la haine du Pontife Romain veut dire propager des mensonges historiques en haine des Pontifes Romains. Sommes-nous d'accord jusqu'ici ? Parmi ceux qui ont assailli ainsi, i.e., par des mensonges historiques, le Pontificat ou les Pontifes Romains, se distinguent les centuriateurs de Magdebourg, un groupe des protestants luthériens allemands, qui ont écrit une version mensongère et calomnieuse de l'histoire ecclésiastique, en haine du Catholicisme et surtout en haine des Papes. La première citation en jaune qui commence par « Aussi convenait-il à ceux... », même si on n'y lit pas textuellement des phrases du genre les Papes n'ont pas erré dans la foi ou c'est une fable calomnieuse de dire que les Pape ont erré dans la foi, n'est pas du tout en contradiction avec l'autre citation en jaune « Que les Papes aient erré dans la foi... » des auteurs du Mystère, mais les deux citations convergent au même contexte du Bref. Dans la première citation, on y lit : Et certes, ils ont entrepris d’attenter à son intégrité. Qui ont attenté à son intégrité ? Deux lignes plus haut on y trouve la réponse : ceux qui, par toutes sortes d’efforts, ont assailli la Papauté. Comment ont-ils assailli la Papauté ? Ces assauts ont principalement pris la forme de mensonges historiques contre l'intégrité de la Papauté. Cette intégrité peut être doctrinale ou personnelle, i.e., contre l'enseignement de la Papauté ou contre la vie personnelle du Souverain Pontife qui occupe le premier Siège. Les centuriateurs de Magdebourg ont attaqué ces deux intégrités : 1. ils ont calomnié les Pontifes Romains, disant qu'ils avaient erré dans la foi, et 2. ils ont aussi attaqué la vie privé de ces même Pontifes. Une analyse critique de l'oeuvre des centuriateurs révèle l'attaque de ces deux intégrités, surtout l'assaut de l'intégrité doctrinale de la Papauté :

« L'idée prédominante de l'oeuvre, et ce qui a déterminé le choix et l'utilisation des matériaux, était de montrer que, même si " au début de l'Église, ce n'était pas une doctrine papiste antichrétienne, mais la doctrine et la religion évangéliques, qui avaient prévalues ", de la mort du dernier des apôtres à la restauration de la vraie religion par Martin Luther (sic), l'Église s'était égarée, induite en erreur par l'Antéchrist romain. » (Catholic Encyclopedia, Centuriators of Magdeburg, 1913, online version with imprimatur.)

Lisons ce que dit le savant Abbé Darras sur l'oeuvre des centuriateurs :

« Une haine sans compromis de la catholicité et un objectif constant de relier les hérésies de chaque époque et de chaque pays aux idées prédominantes des nouveautés de Luther, afin de créer une sorte de tradition de l'erreur à travers le cours des âges, est la caractéristique de cette collection, qui a servi de base et de modèle à toutes les tentatives du même genre, depuis sa création, que ce soit individuellement ou collectivement, des écrivains de la soi-disant Réforme. » (Abbé Darras, General History of the Catholic Church, 1865, 1st american edition; vol. 4, p. 186)

Si on lit attentivement le Bref du Souverain Pontife Léon XIII, on y trouve pareillement l'attaque contre les deux intégrités mentionnées ci-dessus :

Contre l'intégrité doctrinale des Pontifes Romains

« Ainsi, dans le but que Nous avons signalé, on se mita scruter les moindres vestiges d'antiquités ; à fouiller partout les recoins des archives ; à remettre en lumière des fables futiles, à répéter cent fois des impostures cent fois réfutées. Mutilant souvent ou rejetant habilement dans l'ombre ce qui forme comme les plus grands traits de l'histoire, on se plut à dissimuler par le silence les faits glorieux et les gestes mémorables, pendant qu'on redoublait d'attention pour signaler et exagérer ce qui pouvait être moins prudent et moins irréprochable ; bien qu'éviter tout en ce genre soit plus difficile que ne le comporte la nature humaine. » (Bref de S. S. Léon XIII, p. 199)

C'était quoi le but signalé par Sa Sainteté Léon XIII ? Le Souverain Pontife l'a précisé au premier paragraphe de son Bref : « En effet, il est aussi dangereux qu'injuste de sacrifier la vérité de l'histoire à la haine du Pontife Romain, dans le but manifeste de mettre par force les souvenirs du passé, travestis par le mensonge, au service des innovations italiennes. » (p. 197)

Sa Sainteté Pie IX a tenu le même langage que son successeur, et cela est tout à fait normal puisque tous les Papes sont guidé par l'ESPRIT-SAINT, dans leur mission divine de paître, régir et gouverner l'Église universelle, avec un pouvoir suprême (Concile oecuménique de Florence) :

« On les voit donc mettre en avant avec audace, comme indubitables ou du moins complètement libres, certaines doctrines maintes fois réprouvées, ressasser d'après les anciens défenseurs de ces mêmes doctrines des chicanes historiques, des passages mutilés, des calomnies lancées contre les Pontifes romains, des sophismes de tout genre. Ils remettent avec impudence toutes ces choses sur le tapis, sans tenir aucun compte des arguments par lesquels on les a cent fois réfutées. » (S.S. Pie IX : Bref Dolendum profecto, 12 mars 1870)

Contre l'intégrité personnelle des Pontifes Romains


« On a même cru permis de scruter, avec une sagacité perverse, les secrets douteux de la vie privée, saisissant ainsi et mettant en relief tout ce qui semblait offrir à la multitude avide de scandales l'appât d'un spectacle et d'une diffamation. Parmi les plus grands Pontifes, même ceux d'une vertu éminente ont été accusés et flétris, comme ambitieux, superbes, impérieux. » (Bref de S. S. Léon XIII, p. 199)

Voyons encore deux autres passages du document de S. S. Léon XIII qui, comme la citation des auteurs du Mystère, se situe dans le même contexte du Bref :

« Il faut que les hommes de coeur, doctement versés en ce genre d'études, se dévouent à écrire l'histoire de telle sorte qu'elle soit le miroir de la vérité et de la sincérité; et que les accusations insultantes, depuis trop longtemps accumulées contre les Pontifes Romains, soient dissipées doctement et convenablement ; à de maigres narrations qu'on substitue des investigations laborieuses et conduites à maturité; qu'on oppose aux arrêts téméraires un jugement prudent; aux opinions frivoles, une critique savante. Il faut énergiquement s'efforcer de réfuter les mensonges et les faussetés, en recourant aux sources... » (Bref, pp. 205-207)

« [...] l'histoire encore proclame que, malgré les combats et les assauts violents, le Pontificat Romain est toujours resté victorieux, et que ses adversaires, déçus dans leur espérance, n'ont fait que provoquer leur perte (idem., p. 209)


Avez-vous bien lu cette dernière citation, vous qui prétendait que l'infaillibilité pontificale est un fait exceptionnellement rare ? « [...] malgré les combats et les assauts violents, le Pontificat Romain est TOUJOURS resté victorieux, et que ses adversaires, déçus dans leur espérance, n'ont fait que provoquer leur perte. » (Bref de Sa Sainteté Léon XIII, Saepenumero considerantes, 18 août 1883)
Joseph-Marie
Sur le Livre Mystère d'iniquité
Le livre Mystère d'iniquité, d'une grande richesse documentaire et approuvé par l'imprimatur d'un évêque catholique, dévoile les pièges des ennemis très rusés qui, par leur « haute vente », ont réussi à infiltrer Vatican et les diocèses, des vrais loups sataniques et ravisseurs, qui se cachent sous l'apparence des brebis et d'une fausse piété afin de dévorer …Plus
Sur le Livre Mystère d'iniquité

Le livre Mystère d'iniquité, d'une grande richesse documentaire et approuvé par l'imprimatur d'un évêque catholique, dévoile les pièges des ennemis très rusés qui, par leur « haute vente », ont réussi à infiltrer Vatican et les diocèses, des vrais loups sataniques et ravisseurs, qui se cachent sous l'apparence des brebis et d'une fausse piété afin de dévorer et déchirer le troupeau du Seigneur. Alors c'est normal que ses diables sous peaux de brebis sont en fureur, quand ils réalisent que leur masques tombent devant la Vérité catholique intégrale qui les dissipent. Pour riposter, ils apportent des sophismes, ils vomissent des calomnies de toutes les espèces, car qui peut combattre la Vérité sans en être écrasé ?

« C’est une chose assurément regrettable, cher fils, qu’il se rencontre parmi, les catholiques des hommes qui, tout en, se faisant gloire de ce nom, se montrent complètement imbus de principes corrompus, et y adhèrent avec une telle opiniâtreté, qu’ils ne savent plus soumettre avec docilité leur intelligence au jugement de ce Saint-Siège quand il leur est contraire, et alors même que l’assentiment commun, et les recommandations de l’Épiscopat viennent le corroborer. Ils vont encore plus loin, et, faisant dépendre le progrès et le bonheur de la société humaine de ces principes, ils s’efforcent d’incliner l’Église à leur sentiment ; se regardant comme seuls sages, ils ne rougissent pas de donner le nom de parti ultramontain à toute la famille catholique qui pense autrement qu’eux.

« Cette folie monte à cet excès qu'ils entreprennent de refaire jusqu'à la divine constitution de l'Église et de l'adapter aux formes modernes des gouvernements civils, afin d'abaisser plus aisément l'autorité du Chef suprême que le Christ lui a préposé et dont ils redoutent les prérogatives [= l'infaillibilité et l'autorité]. On les voit donc mettre en avant avec audace, comme indubitables ou du moins complètement libres, certaines doctrines maintes fois réprouvées, ressasser d'après les anciens défenseurs de ces mêmes doctrines des chicanes historiques, des passages mutilés, des calomnies lancées contre les Pontifes romains, des sophismes de tout genre. Ils remettent avec impudence toutes ces choses sur le tapis, sans tenir aucun compte des arguments par lesquels on les a cent fois réfutées.

« Leur but est d'agiter les esprits, et d'exciter les gens de leur faction et le vulgaire ignorant contre le sentiment communément professé. Outre le mal qu'ils font en jetant ainsi le trouble parmi les fidèles et en livrant aux discussions de la rue les plus graves questions, ils nous réduisent à déplorer dans leur conduite une déraison (folie) égale à leur audace. » (S.S. Pie IX : Bref Dolendum profecto, 12 mars 1870, adressé à Dom Guéranger pour le féliciter pour son livre La monarchie pontificale, livre dans lequel le célèbre bénédictin prône l'infaillibilité permanente du Pape).

« Il faut s’en tenir à la sentence du Pape, à qui il appartient de prononcer en matière de foi, plutôt qu’à l’opinion de tous les sages ». (Saint Thomas d'Aquin, Quæstiones quodlibetales, q. 9, a. 16)

« Le divin Rédempteur gouverne son Corps mystique visiblement et ordinairement par son Vicaire sur la terre. Vous savez, en effet, Vénérables Frères, que le Christ Notre-Seigneur, qui durant sa vie mortelle avait dirigé Lui-même visiblement son « petit troupeau », au moment de quitter ce monde pour retourner à son Père, confia au Prince des Apôtres le gouvernement visible de toute la société fondée par Lui. Lui, si sage, ne pouvait nullement laisser sans tête le corps social de l’Église qu’Il avait constitué. Et l’on ne peut soutenir, pour nier cette vérité, que par un primat de juridiction établi dans l’Église, ce Corps mystique serait pourvu d’une double tête. Car Pierre, par la vertu du primat, n’est que le Vicaire du Christ, et il n’y a par conséquent qu’une seule Tête principale de ce Corps, à savoir le Christ ; c’est Lui qui sans cesser de gouverner mystérieusement l’Église par Lui-même, la dirige pourtant visiblement par celui qui tient sa place sur terre, car depuis sa glorieuse Ascension dans le ciel, elle ne repose plus seulement sur lui, mais aussi sur Pierre comme sur un fondement visible pour tous. Que le Christ et son Vicaire ne forment ensemble qu’une seule Tête, Notre immortel Prédécesseur, Boniface VIII, l’a officiellement enseigné dans sa Lettre Apostolique Unam Sanctam et ses successeurs n’ont jamais cessé de le répéter après lui.

« Ceux-là se trompent donc dangereusement qui croient pouvoir s’attacher au Christ Tête de l’Église sans adhérer fidèlement à son Vicaire sur la terre. Car en supprimant ce Chef visible et en brisant les liens lumineux de l’unité, ils obscurcissent et déforment le Corps mystique du Rédempteur au point qu’il ne puisse plus être reconnu ni trouvé par les hommes en quête du port du salut éternel. » (S. S. le Pape Pie XII, Lettre encyclique Mystici Corporis Christi, 29 juin 1943)

@steack ! L'Infaillibilité du Pape découlerait de l'infaillibilité de l'Église, selon vous ? L'Église est toujours infaillible, mais selon vous le Pape serait infaillible que rarement ? Ah oui ? Pouvez-vous nous montrer la référence de cette énormité hérétique ?

En fait, vous ne prouvez rien par des références magistérielles, car il n'existe aucune référence du Magistère infaillible du Pontife Romain ou de l'Église qui supporte vos folies hérétiques et blasphématoires. A leur place, vous « arguments » sont des falsifications historiques et doctrinales, des mensonges, des calomnies, des sophismes de tout genre, des textes mutilés qu'on sorte du contexte pour leur donner le sens qu'on veut, etc. Vous dites que Vatican I enseigne le contraire, c'est-à-dire, que le Pape serait rarement infaillible ? Prouvez-le, car je vous l'ai demandé à maintes reprises !!! Apportez-nous ici le passage d'un document du Vatican I qui supporte votre thèse !!!

Si vous n'apportez aucune référence du Magistère, mais continuez à propager vos opinions personelles hérétiques, sachez bien que vos paroles n'ont aucune autorité, elles sont de nulle valeur, et par le fait même vous êtes considéré un hérétique, un blasphémateur et un falsificateur diabolique.


Constitution Dogmatique PASTOR AETERNUS :

« Nous enseignons donc et nous déclarons, suivant les témoignages de l’Évangile, que la Primauté de juridiction sur toute l’Église de Dieu a été promise et donnée immédiatement et directement au bienheureux Apôtre Pierre par le Christ notre Seigneur. C’est, en effet, au seul Simon, auquel il avait déjà été dit : « Tu t’appelleras Céphas », après que celui-ci l’avait confessé en ces termes : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant », que le Seigneur adressa ces paroles solennelles : « Bienheureux
es-tu, Simon, fils de Jona, car ce n’est ni la chair ni le sang qui te l’ont révélé, mais mon Père qui est dans les cieux ; et moi, Je te dis que tu es Pierre et que sur cette pierre Je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle. Je te donnerai les clefs du royaume des Cieux. Et tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans le ciel ». Et c’est au seul Simon Pierre que Jésus, après sa résurrection, conféra la juridiction de Souverain Pasteur et de Chef Suprême sur tout son troupeau en disant :

« Pais mes agneaux, pais mes brebis »

« Cette doctrine si claire des Saintes Écritures se voit opposer ouvertement l’opinion fausse de ceux qui, pervertissant la forme de gouvernement instituée par le Christ notre Seigneur, nient que Pierre seul se voit vu doté par le Christ d’une primauté de juridiction véritable et proprement dite, de préférence aux autres Apôtres, pris soit isolément soit tous ensemble, ou de ceux qui affirment que cette primauté n’a pas été conférée directement et immédiatement au bienheureux Pierre, mais à l’Église et, par celle-ci, à Pierre comme à son ministre. »


« Ce que le Christ notre Seigneur, Chef des pasteurs, Pasteur suprême des brebis, a institué pour le salut éternel et le bien perpétuel de l’Église doit nécessairement, par cette même autorité, durer toujours dans l’Église, qui, fondée sur la pierre, subsistera ferme jusqu’à la fin des siècles. Personne ne doute, et tous les siècles savent que le saint et très bienheureux Pierre, chef et tête des Apôtres, colonne de la foi, fondement de l’Église catholique, a reçu les clés du Royaume de notre Seigneur Jésus-Christ, Sauveur et Rédempteur du genre humain : jusqu’à maintenant et toujours, c’est lui qui, dans la personne de ses successeurs « , les évêques du Saint-Siège de Rome, fondé par lui et consacré par son sang, » vit « , préside « et exerce le pouvoir de juger ».

« Dès lors, quiconque succède à Pierre en cette chaire reçoit, de par l’institution du Christ Lui-même, la Primauté de Pierre sur toute l’Église.

« Ainsi demeure ce qu’ordonna la vérité, et le bienheureux Pierre, gardant toujours cette solidité de pierre qu’il a reçue, n’a pas laissé le gouvernail de l’Église ». Voilà pourquoi c’est vers l’Église Romaine, « par suite de son origine supérieure », qu’il a toujours été nécessaire que chaque Église, c’est-à-dire les fidèles de partout, se tournent, afin qu’ils ne fassent qu’un en ce Saint-Siège, d’où découlent sur tous « les droits de la vénérable communion », comme des membres unis à la tête dans l’assemblage d’un seul corps. »


Encore Pastor Aeternus :

« Car le Saint Esprit n’a pas été promis aux successeurs de Pierre pour qu’ils fassent connaître, sous sa révélation, une nouvelle doctrine, mais pour qu’avec son assistance ils gardent saintement et exposent fidèlement la révélation transmise par les Apôtres, c’est-à-dire le dépôt de la Foi.

« Leur Doctrine apostolique a été reçue par tous les Pères vénérés, révérée et suivie par les saints docteurs orthodoxes. Ils savaient parfaitement que ce Siège de Pierre demeurait PUR DE TOUTE ERREUR, aux termes de la promesse divine de notre Seigneur et Sauveur au chef de ses disciples : « J’ai prié pour toi, pour que ta foi ne défaille pas ; et quand tu seras revenu, affermis tes frères ».

« Ce charisme de vérité et de foi à JAMAIS indéfectible a été accordé par Dieu à Pierre et à ses successeurs en cette chaire, afin qu’ils remplissent leur haute charge pour le salut de tous, afin que le troupeau universel du Christ, écarté des nourritures empoisonnées de l’erreur, soit nourri de l’aliment de la Doctrine céleste, afin que, TOUTE occasion de schisme étant supprimée, l’Église soit conservée tout entière dans l’unité et qu’établie sur son fondement elle tienne ferme contre les portes de l’enfer. »

Rappel :

« … Je reconnais la Sainte, Catholique et Apostolique Église Romaine comme la mère et la maîtresse de toutes les Églises. JE PROMETS ET JE JURE VRAIE OBÉISSANCE AU PONTIFE ROMAIN, successeur du bienheureux Pierre, Chef des Apôtres et Vicaire de JÉSUS-CHRIST.

« Je reçois et je professe sans en douter TOUT ce qui, par les saints canons et par les conciles oecuméniques, principalement par le saint concile de Trente et par le concile oecuménique du Vatican, a été transmis, défini et déclaré spécialement sur le Primat du Pontife Romain et son Magistère infaillible. En même temps, je condamne, je rejette et j'anathématise également tout ce qui leur est contraire et toute espèce d'hérésie condamnée, rejetée et anathématisée par l'Église.

« Cette vraie Foi catholique, hors de laquelle personne ne peut être sauvé, que je professe présentement de plein gré et que je tiens sincèrement, moi, N... je promets, je prends l'engagement, et je jure de la garder et de la confesser, Dieu aidant, entière et inviolée, très fidèlement jusqu'à mon dernier soupir, et de prendre soin, autant que je le pourrai, qu'elle soit tenue, enseignée et prêchée par ceux qui dépendent de moi ou par ceux sur qui ma charge me demandera de veiller. Qu'ainsi Dieu me soit en aide et ces saints Évangiles. »
(Profession de Foi Catholique-tridentine; S. S. le Pape Pie IV, Bulle Iniunctum Nobis, 13 novembre 1564; cette " Profession de Foi Catholique " fut mise en tête du Code de Droit canonique de 1917)
Joseph-Marie
Des ennemis très rusés, par leur « haute vente », ont réussi à infiltrer Vatican et les diocèses, des vrais loups sataniques et ravisseurs, qui se cachent sous l'apparence des brebis et d'une fausse piété afin de dévorer et déchirer le troupeau du Seigneur. Alors c'est normal que ses diables sous peaux de brebis sont en fureur, quand ils réalisent que leur masques tombent devant la Vérité …Plus
Des ennemis très rusés, par leur « haute vente », ont réussi à infiltrer Vatican et les diocèses, des vrais loups sataniques et ravisseurs, qui se cachent sous l'apparence des brebis et d'une fausse piété afin de dévorer et déchirer le troupeau du Seigneur. Alors c'est normal que ses diables sous peaux de brebis sont en fureur, quand ils réalisent que leur masques tombent devant la Vérité catholique intégrale qui les dissipent. Pour riposter, ils apportent des sophismes, ils vomissent des calomnies de toutes les espèces, car qui peut combattre la Vérité sans en être écrasé ?

« On les voit donc mettre en avant avec audace, comme indubitables ou du moins complètement libres, certaines doctrines maintes fois réprouvées, ressasser d'après les anciens défenseurs de ces mêmes doctrines des chicanes historiques, des passages mutilés, des calomnies lancées contre les Pontifes Romains, des sophismes de tout genre. Ils remettent avec impudence toutes ces choses sur le tapis, sans tenir aucun compte des arguments par lesquels on les a cent fois réfutées.

« Leur but est d'agiter les esprits, et d'exciter les gens de leur faction et le vulgaire ignorant contre le sentiment communément professé. Outre le mal qu'ils font en jetant ainsi le trouble parmi les fidèles et en livrant aux discussions de la rue les plus graves questions, ils nous réduisent à déplorer dans leur conduite une déraison (folie) égale à leur audace. »


(S. S. le Pape Pie IX : Bref Dolendum profecto, 12 mars 1870, adressé à Dom Guéranger pour le féliciter pour son livre La monarchie pontificale, livre dans lequel le célèbre bénédictin prône l'infaillibilité permanente du Pape).

« Il faut s’en tenir à la sentence du Pape, à qui il appartient de prononcer en matière de foi, plutôt qu’à l’opinion de tous les sages ». (Saint Thomas d'Aquin, Quæstiones quodlibetales, q. 9, a. 16)
Hélène33
steack, encore une inversion accusatoire de votre propre péché. Qui êtes-vous? vous qui vous produisez sous différents pseudos (Mahmoud, simplicius a, et quel autre encore?)... Avez-vous tellement honte de vos commentaires pour ne pas divulguer votre identité? En plus que vous êtes malhonnête encore une fois, de dire que les auteurs érudits de l'ouvrage Mystère d'iniquité ont sorti des citations …Plus
steack, encore une inversion accusatoire de votre propre péché. Qui êtes-vous? vous qui vous produisez sous différents pseudos (Mahmoud, simplicius a, et quel autre encore?)... Avez-vous tellement honte de vos commentaires pour ne pas divulguer votre identité? En plus que vous êtes malhonnête encore une fois, de dire que les auteurs érudits de l'ouvrage Mystère d'iniquité ont sorti des citations hors de leur contexte. Vous avez AVOUÉ sur une autre publication, ÊTRE DÉTERMINÉ À NE JAMAIS LE LIRE. Cessez donc vos calomnies, semeur de zizanie!
steack partage ceci
221
Partage pour contourner la censure d'un sédévacantiste qui ne supporte plus la saine doctrine pour se tourner vers des fables constituées de sosies et de grecs et surtout vers l'hérésie (2 Tim 4-2).
Plus d'info où la parole est libre sur :
Arthur, le sédévacantiste militant de GTV qui ne s…
Les sédévacantistes avancent masqués, comme les modernistes
Le dilemme sédévacantiste impossible
Saint …Plus
Partage pour contourner la censure d'un sédévacantiste qui ne supporte plus la saine doctrine pour se tourner vers des fables constituées de sosies et de grecs et surtout vers l'hérésie (2 Tim 4-2).
Plus d'info où la parole est libre sur :
Arthur, le sédévacantiste militant de GTV qui ne s…
Les sédévacantistes avancent masqués, comme les modernistes
Le dilemme sédévacantiste impossible
Saint Léon II un pape gallican antisédévacantiste …
ATTENTION ce document est brulot sédévacantiste non signé par des auteurs honteux qui prend la licence de sortir les citations de leur contexte pour leur faire dire ce qu'elles ne disent pas. Notamment le bref de Léon XIII Bref Saepenumero considerantes, 18 août 1883 qui est sournoisement associé à infaillibilité exceptionnelle des papes.
Le procédé est éminemment malhonnête mais c'est ce qui restent aux sédévacantistes pour colporter leurs fables. (2Tim 4-2)
steack
Pour vérifier qu'Honorius a bien été condamné à cause de sa lettre hérétique, voir l'éditeur du pape Pie IX
L'éditeur du pape Pie IX confirme que le pape…
Hélène33
Encore un mensonge de steack.
Errare humanum est. Perseverare autem diabolicum.