Tous les messages de Trévignano commencent par "mes enfants... plier les genoux" et fini par : "suivez l'Evangile". Faisons confiance en l'Evangile qui discréditera cet Evèque. Les signes se réaliseront, j'espère jour après jour entre les messages et l'Evangile. Le combat pour le Verbe divin : est-ce la bonté de l'Evangile. Encore saint Paul aux romains : ne briser pas l'élan de votre générosité, c'est l'Esprit qui parle. Ne vous inquiétez pas de ce que vous aurez a dire : la bienveillance aura les paroles justes et le sens des contextes. Nous devons prier pour Giséla. Ces oeuvres caritatives seront peut être des faits évangéliques infalsifiables. Une apparence universelle du combat spirituel entre le Bien et le Mal est n'oublions pas le combat entre la Bonté et la sournoiserie. C'est l'archétype de tous les contes de Fées. Alors avec la Madone !!! Et le discernement porte aussi sur les fruits de la bonté. Jésus et Dieu donne toujours le même signe aux Hommes : la bonté.

Une source du site du Vatican, en italien, confirme la chose :
Trevignano, il vescovo decreta la “non soprannaturalità” degli eventi - Vatican News
Traduction automatique :

"Trevignano, l'évêque décrète le "non-surnaturel" des événements
Dans une déclaration publiée sur le site Internet du diocèse de Civita Castellana, Mgr Salvi a établi que les soi-disant « événements de Trevignano » n'ont rien de surnaturel, en utilisant la formule ecclésiale constat de non surnaturalité et en imposant aux fidèles de ne pas participer aux réunions qui y sont liées et voyant présumé d'entreprendre un voyage de purification

L'évêque de Civita Castellana, Mgr Marco Salvi, a déclaré le « caractère non surnaturel » des événements de Trevignano, dans la province de Rome. Dans un décret publié sur le portail du diocèse, le prélat précise que "en ce qui concerne les phénomènes d'apparitions et de révélations" de la Bienheureuse Vierge Marie "affirmés par Mme Gisella Cardia (née Maria Giuseppa Scarpulla) et par M. Gianni Cardia : constat de non surnaturalitate", c'est pourquoi il est interdit "aux prêtres de célébrer les sacrements ou de diriger des actes de piété populaire dans les lieux des "événements" de Trevignano ou même dans d'autres lieux privés, publics et ecclésiaux" et au prétendu visionnaire et aux personnes impliquées à divers titres "le respect et l'adhésion à ses décisions ainsi que 'la volonté d'entreprendre un processus de purification et de discernement qui promeut et maintient l'unité ecclésiale'".
Dans un communiqué du diocèse signé par le prélat, il est expliqué que la décision qui décrète « le caractère non surnaturel des faits en question » a été prise après une période appropriée de discernement attentif au cours de laquelle les témoignages venant du territoire ont été écoutés. et au cours de laquelle nous avons fait appel à une commission d'experts dans divers domaines (théologie systématique, droit canonique, théologie spirituelle, psychologie). En outre, la décision a été prise « en considérant la figure de Marie dans la Tradition de l'Église et dans la foi vivante du peuple de Dieu, après une prière fervente ».
Dans le décret, l'évêque précise que le titre de « Madone de Trevignano » n'a donc « aucune valeur ecclésiale et ne peut être utilisé comme s'il l'avait, même dans un contexte civil » et met en garde les fidèles sur l'obligation « disciplinaire et spirituelle » qui découle de cette déclaration ecclésiale, concernant l'abstention de participer et d'organiser des réunions privées ou publiques "qui considèrent la vérité surnaturelle des événements de Trevignano comme certaine et indubitable". Le prélat impose également à Mme Gisella Cardia et à son mari, M. Gianni Cardia, et à tous ceux qui sont impliqués « le respect et l'adhésion aux décisions de l'évêque diocésain, ainsi que la disponibilité d'entreprendre un processus de purification et de discernement qui promeut et maintient l'unité ecclésiale ».
Mgr Salvi, en clôturant le décret, tient également à rappeler que « la communion d'amour avec la Bienheureuse Vierge Marie, Mère du Seigneur et de l'Église, se nourrit à partir de la Parole de Dieu et de la liturgie de l'Église, qui sont le lieu véritable et réel de rencontre quotidienne avec Celle qui nous est donnée par la Trinité en signe de consolation et d'espérance sûre".
Les soi-disant « événements de Trevignano » ont commencé en 2016, lorsque Mme Gisella Cardia a signalé des apparitions présumées de la Madone qui se seraient produites en conjonction avec des larmes de sang également attribuées à une statue de la Vierge Marie. Aujourd'hui, avec le décret publié, l'évêque du diocèse concerné a établi le caractère non surnaturel des faits."

En 2022, Rosanna Chifari, médecin chirurgien et neurologue de Milan, a été présente avec Gisella le Vendredi Saint et a signalé la disparition très rapide et médicalement inexpliquée de ses lésions profondes peu après 15 heures (heure biblique de la mort du Christ), sans cicatrices. Le 24 mars 2023 (en compagnie de l'auteur de cet article), la Dr Chifari a de nouveau témoigné non seulement des stigmates apparents sur les mains de Gisella, mais aussi de l'exsudation spontanée d'huile parfumée qui s'en dégageait.