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Burke : "Nous devons être capables de faire mieux que cela".

Il est "inacceptable" que les catholiques n'aient pas pu assister à la messe, recevoir la communion et se confesser pendant des semaines, a déclaré le cardinal Raymond Burke à CatholicAction.org dans une interview vidéo du 23 avril.

Il souligne que le monde trouve des moyens de pourvoir aux besoins de base. De même, l'Église aurait dû trouver des solutions pour assurer le soutien spirituel.

Burke regrette que des catholiques italiens soient morts seuls et aient été enterrés sans famille et sans prêtre : "Nous devons être capables de faire mieux que cela".

Il remarque que la réponse de l'Église au coronavirus a été "très différente" de situations similaires dans le passé, lorsque l'Église a trouvé des méthodes - même de manière héroïque - pour exercer son ministère auprès des fidèles.

#newsLnhmtdavnm

17:28
Aldegonde
Père donne nous la grâce de faire mieux que cela
Aube de la Force
A la liste des cardinaux et des prêtres courageux, vient s'ajouter la foule des fidèles qui se scandalisent et souffrent devant
la faiblesse de l'Eglise et la nonchalance des autorités religieuses, en général, qui n'ont que la louange de V2 à chantonner. Le moment est venu d'œuvrer pour la Gloire de Dieu, l'adoration du Saint Sacrement, l'amour de la Messe. Le Cardinal Burke n'est pas seul, un …Plus
A la liste des cardinaux et des prêtres courageux, vient s'ajouter la foule des fidèles qui se scandalisent et souffrent devant
la faiblesse de l'Eglise et la nonchalance des autorités religieuses, en général, qui n'ont que la louange de V2 à chantonner. Le moment est venu d'œuvrer pour la Gloire de Dieu, l'adoration du Saint Sacrement, l'amour de la Messe. Le Cardinal Burke n'est pas seul, un petit nombre suffit pour devenir opérationnel . "Quand deux ou trois se rassemblent en mon nom, Je SUIS au milieu d'eux"
Siagrius
Quand comprendrez-vous que le démon se déchaine et que ce n'est pas une pandémie, mais la fin organisée de l'Eglise catholique d'Occident que vous voyez sous vos yeux. Minée de l'intérieur par la lâcheté, la concussion, la haine des politiciens l'Eglise catholique marche à grand pas vers sa perte. Qui la relèvera ? Des évêques et des cardinaux la trahissent. Qui la relèvera ? Comme à la Croix …Plus
Quand comprendrez-vous que le démon se déchaine et que ce n'est pas une pandémie, mais la fin organisée de l'Eglise catholique d'Occident que vous voyez sous vos yeux. Minée de l'intérieur par la lâcheté, la concussion, la haine des politiciens l'Eglise catholique marche à grand pas vers sa perte. Qui la relèvera ? Des évêques et des cardinaux la trahissent. Qui la relèvera ? Comme à la Croix c'est au moment où Satan croira triompher qu'il perdra.
Claudius Cartapus
Puis, regardez le texte de cette page, en particulier dans le bas entre parenthèses:
VENDREDI 4 Mai 1962 : « LE PAPE EN RUSSIE, À MOSCOU, PUIS DÉBUT DU TEMPS DU PRÉ-AVISO »
Mari-Loli et Conchita recueillirent ce jour-là de nouvelles et prophétiques révélations sur les futures tribulations du Pré-Aviso : un retour du communisme dont Conchita répéta au cours de son extase qu'il « reviendrait […Plus
Puis, regardez le texte de cette page, en particulier dans le bas entre parenthèses:

VENDREDI 4 Mai 1962 : « LE PAPE EN RUSSIE, À MOSCOU, PUIS DÉBUT DU TEMPS DU PRÉ-AVISO »

Mari-Loli et Conchita recueillirent ce jour-là de nouvelles et prophétiques révélations sur les futures tribulations du Pré-Aviso : un retour du communisme dont Conchita répéta au cours de son extase qu'il « reviendrait [aussi] en Espagne ». La Vierge annonça également à la voyante que « le Pape ira en Russie, à Moscou », voyage tout à fait inconcevable dans le climat politique des années 60. « Dès le retour du Souverain pontife au Vatican, de violentes persécutions devraient éclater un peu partout en Europe », signes de l'entrée du monde, et de l'Église en particulier (on croira qu'elle est sur le point de disparaitre), dans le temps du Pré-Avertissement.
Ludovic Denim
A partir du moment où l'Occident n'est plus à même de maîtriser sa production comme aujourd'hui, il n'est plus qu'un fantôme prêt à tomber dans le bec de n'importe quel corbeau. C'est la religion mondiale qu'ils veulent et utiliser l'influence de l'église catholique pour ce faire à leurs fins.
Claudius Cartapus
@Ludovic Denim C'est clair qu'en réduisant au silence l'Église actuelle, et assez longtemps, autre chose de pire surgira à sa place.
AveMaria44
On aurait pu mieux faire si l'on avait eut la foi animée par la charité..........or force est de constater que nous nous sommes couchés....
Claudius Cartapus
Et ça peut durer Longtemps… Longtemps… Longtemps… 😷 C'est la première fois dans le monde occidental que le politique se place au dessus du religieux ! C'est exactement comme en Chine ! L'Église, si elle ne veut pas mourir, devra envisager d'entrer en mode 'Catacombes'. Puis comme j'ai déjà entendu dire : « Un jour, on devra cacher nos prêtres ! » Il n'y aura pas d'autres moyen d'obtenir les …Plus
Et ça peut durer Longtemps… Longtemps… Longtemps… 😷 C'est la première fois dans le monde occidental que le politique se place au dessus du religieux ! C'est exactement comme en Chine ! L'Église, si elle ne veut pas mourir, devra envisager d'entrer en mode 'Catacombes'. Puis comme j'ai déjà entendu dire : « Un jour, on devra cacher nos prêtres ! » Il n'y aura pas d'autres moyen d'obtenir les sacrements qui sauvent.
Catholique et Français
"C'est la première fois dans le monde occidental que le politique se place au dessus du religieux ! " >>> c'est FAUX, ça dure depuis 1789, partout ! Depuis plus de deux siècles ! "Rendez à Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à César", cela signifie qu'il y a des domaines qui n'appartiennent qu'à Dieu et dont César n'a absolument pas à s'occuper, sinon pour les faciliter : le fondement …Plus
"C'est la première fois dans le monde occidental que le politique se place au dessus du religieux ! " >>> c'est FAUX, ça dure depuis 1789, partout ! Depuis plus de deux siècles ! "Rendez à Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à César", cela signifie qu'il y a des domaines qui n'appartiennent qu'à Dieu et dont César n'a absolument pas à s'occuper, sinon pour les faciliter : le fondement de son trône, les biens du clergé, les lois morales, le mariage, la famille, la mort, les sacrements, la vie de la (vraie) religion etc... etc... Et tout cela, il y a bien longtemps que César se l'est approprié.
Claudius Cartapus
@Catholique et Français Disons qu'il y a quelque chose de plus manifeste qui se passe depuis le mois dernier.
Gérard de Majella
Rendez à Dieu ce qui est à Dieu , mais quand les hommes on jetez DIEU aux orties pour se couchez avec César ,vous voulez lui rendre quoi ?
Catholique et Français
Oui, si vous voulez; disons que César a fait un pas de plus en avant. Cela me fait penser à ce qu'a dit la "voyante" Marie-Julie Jahenny (voir Roberdel), dont je me méfie pourtant énormément bien qu'elle ait prédit l'invasion des mahométans dès la fin du XIX°s, dès les années 1870; si ma mémoire est bonne, elle affirme que les églises vont être fermées partout, le Culte interdit etc... et …Plus
Oui, si vous voulez; disons que César a fait un pas de plus en avant. Cela me fait penser à ce qu'a dit la "voyante" Marie-Julie Jahenny (voir Roberdel), dont je me méfie pourtant énormément bien qu'elle ait prédit l'invasion des mahométans dès la fin du XIX°s, dès les années 1870; si ma mémoire est bonne, elle affirme que les églises vont être fermées partout, le Culte interdit etc... et que les diaboliques vont proclamer une "loi d'enfer" qui va faire d'énormes dégâts mais aussi provoquer leur chute. Intriguant !
Roy-XXIII
@Claudius CartapusLoi de 1905 : quand la laïcité persécutait les catholiques
La loi de 1905 est la loi par laquelle l’État brandit l’étendard de la laïcité. Or, ce texte que l’on nous présente comme un monument de tolérance et de progrès social fut avant tout une arme d’exclusion de Dieu et des catholiques de la société française. Jean Sévillia le rappelle sans détour : « Ce n’est pas …Plus
@Claudius CartapusLoi de 1905 : quand la laïcité persécutait les catholiques

La loi de 1905 est la loi par laquelle l’État brandit l’étendard de la laïcité. Or, ce texte que l’on nous présente comme un monument de tolérance et de progrès social fut avant tout une arme d’exclusion de Dieu et des catholiques de la société française. Jean Sévillia le rappelle sans détour : « Ce n’est pas parce que la laïcité, aujourd’hui, passe pour le summum de la tolérance, qu’il faut occulter sa violence initiale ».

La fin du XIXe siècle et le début du suivant, de 1879 à 1914, furent politiquement dominés par un anticléricalisme virulent, parfois violent, comme un écho douloureux des affres de la Révolution française. Pourtant, l’Église et la société semblaient avoir trouvé un compromis satisfaisant dans le Concordat de 1802, qui considérait le catholicisme comme « la religion de la majorité des Français ».

Mais la bourgeoisie est gagnée aux idées de Voltaire, et la libre-pensée s’épanouit au sein d’une classe politique pour qui dénoncer le cléricalisme, c’est aussi dénoncer le monarchisme. La République ne peut être cléricale, donc tout catholique ne peut être qu’antirépublicain⦠Et ceci dans un pays où 95,5 % de la population se déclare catholique ! Un raccourci simpliste donc, mais qui fonctionne et qui va constituer le socle de la montée en flèche de l’anticléricalisme durant cette période.

L’offensive de Jules Ferry contre l’Église

C’est ainsi que dès 1878, Gambetta présente dans un discours son programme religieux, parfaitement annonciateur de ce qui adviendra jusqu’en 1905 : « Dispersion des congrégations, laïcisation de l’enseignement, application au clergé de toutes les lois civiles, séparation de l’Église et de l’État, rupture avec le Vatican ». Ce combat débute avec une offensive de fond contre l’enseignement dispensé par des religieux. Elle est menée par Jules Ferry, dont toute l’œuvre scolaire sera intégralement dirigée contre l’Église. À peine arrive-t-il à la tête du ministère de l’Instruction publique qu’il dépose deux projets de loi : l’un exclut les membres du clergé du Conseil supérieur de l’Instruction publique et des conseils académiques ; le second supprime les jurys universitaires mixtes et prétend ôter aux religieux le droit d’enseigner.

Ces deux projets seront adoptés, mais le Sénat, moins radical que la Chambre, maintient aux religieux le droit d’enseigner. Aussitôt, les députés réagissent et exigent l’application d’une législation antérieure qui permet d’interdire les congrégations non autorisées.

Le 29 mars 1880, Charles de Freycinet, président du Conseil, publie deux décrets. « Le premier prononce la dissolution et la liquidation des établissements de la Compagnie de Jésus : les Jésuites ont trois mois pour se disperser⦠Le second décret donne trois mois aux autres congrégations, sous peine de dissolution, pour présenter une demande d’autorisation. Neuf mille religieux et cent mille religieuses sont menacés. » Par solidarité avec les Jésuites, les supérieurs des autres congrégations décideront de ne pas solliciter d’autorisation.

Dès le 29 juin 1880, les Français vont assister à des scènes honteuses, devant lesquelles nombre d’entre eux ne resteront pas passifs. Du 16 octobre au 9 novembre 1880, ce seront six mille religieux qui seront chassés, et deux cent soixante et un couvents fermés par les forces de l’ordre. « La démesure entre le caractère symbolique de la résistance et la brutalité des moyens employés par le gouvernement » est aussi stupéfiante que scandaleuse.

En 1882, les crucifix sont interdits dans les nouvelles écoles publiques

Mais la machine infernale est enclenchée. En 1882, l’instruction religieuse est supprimée dans les établissements primaires d’État, où les prêtres n’ont plus le droit d’entrer. Et une circulaire interdit les symboles religieux dans les écoles publiques qui doivent être construites, et laisse la possibilité de retirer les crucifix dans celles qui existent.

En marge de l’École, c’est toute la société française que les lois laïcisatrices visent : institutions politiques, armée, magistrature, système de santé, prisons â et jusqu’au repos dominical qui est abrogé.

Dans un souci d’apaisement, le pape Léon XIII, tout en protestant contre ces lois, déploiera d’importants efforts de dialogue et de pacification, comme lorsque se prépare la loi sur les associations, qui vise directement l’Église. La loi de 1901 « sur le contrat d’association » accumule les obstacles à l’encontre des congrégations religieuses : « Leur existence civile dépend du vote d’une loi au Parlement. L’ouverture de chaque établissement nouveau est soumise à un décret du Conseil d’État. Toute congrégation non autorisée est illicite⦠Les congrégations ont à tenir à la disposition des préfets les comptes de leurs dépenses et de leurs recettes, l’inventaire de leurs biens, et la liste complète de leurs membres ».

Cette loi n’est rien d’autre que la préface à la loi de 1905. La majorité des religieux refusant de se plier à ce texte, trois cents congrégations devront se disperser.

Le gouvernement Combes poursuit l’œuvre entamée. En août 1902, il fait fermer trois mille établissements catholiques, interdire le catéchisme et les prédications en breton, dissoudre quatre cent trente ordres religieux (ceux qui avaient voulu tenter leur chance dans le cadre de la loi de 1901 !). Dès lors, expulsions de religieux, fermetures de chapelles et d’écoles, provocations durant les offices, vont se multiplier.

Les relations entre la France et le Saint-Siège sont rompues

Le coup de grâce est porté avec la loi du 8 juillet 1904, qui stipule que « l’enseignement de tout ordre et de toute nature est interdit en France aux congrégations ». Quatorze mille écoles seront fermées et plus de trente mille religieux exilés. Municipalités anticléricales, comités radicaux, groupes de libre-pensée, loges maçonniques, sections de la Ligue des droits de l’homme : huit cents messages de félicitations sont adressés au président du Conseil. Émile Combes exulte.

Puis, profitant de la convocation de deux évêques par Pie X, le Concordat n’y autorisant pas le Saint-Père, les relations entre la France et le Saint-Siège sont rompues le 29 juillet 1904, après une représentation ininterrompue depuis Louis XI !

Enfin, le 4 mars 1905, Aristide Briand dépose à la Chambre son projet de séparation des Églises et de l’État. L’idée n’est pas neuve : elle fait son chemin depuis le Second Empire, et entre 1901 et 1905, neuf propositions ont déjà été déposées.

Les protestants â ils sont concernés comme les juifs par ce projet â se déclarent favorables à l’idée. Du côté catholique, les avis favorables sont rares. Le principe, certes, pourrait avoir une portée positive : rendre à l’Église de France sa liberté face à l’État, et sa pleine filiation à Rome. Mais, comme le souligne le vicaire général de l’archevêché de Paris, l’abbé Odin, « la séparation, nous l’accepterions avec joie si elle ne prenait pas l’aspect d’une persécution nouvelle : car ce qu’on veut, c’est déchristianiser la France ».

Par ailleurs, les enseignements pontificaux ont toujours condamné la séparation et la neutralité religieuse de l’État. Et elle priverait l’Église de son budget

Finalement, la loi sera promulguée le 9 décembre 1905. Entre autres, l’article 3 prévoit de dresser un « inventaire descriptif et estimatif » des biens ecclésiastiques, une circulaire précisant que les fonctionnaires chargés de ces inventaires devront demander l’ouverture des tabernacles !

Peu d’inventaires se déroulent sans heurts

Si le clergé décide de jouer la passivité face aux représentants de l’État, les fidèles, eux, manifestent leur opposition. Ils arrêtent les fonctionnaires sur le seuil des églises, quand ils ne les expulsent pas avec virulence. Très vite, des dérapages ont lieu. À Sainte-Clotilde à Paris, deux mille manifestants se retranchent dans l’église : l’épreuve de force est inévitable ; bilan, des dizaines de blessés et d’arrestations. On ne comptera que vingt-quatre départements où les inventaires se dérouleront sans heurt
Rapidement, Pie X réagit. Il publie l’encyclique Vehementer nos, qui condamne la séparation, et procède à la nomination de quatorze évêques, la première dans l’Histoire de l’Église de France effectuée sans concertation avec le pouvoir civil. Enfin, en août 1906, le pape publie une autre encyclique, Gravissimo officii, qui condamne les associations cultuelles auxquelles la loi attribue les biens mobiliers et immobiliers de l’Église. La décision est prise : la loi de 1905 sera appliquée sans le consentement de l’Église. Les protestants et les juifs, en revanche, ont constitué leurs associations cultuelles.
Un an jour pour jour après sa publication, la loi entre en vigueur. Aussitôt, le nonce est expulsé et la nonciature perquisitionnée. Puis, progressivement, tous les bâtiments ecclésiastiques sont mis sous séquestre. C’est ainsi que « les palais épiscopaux vont devenir des préfectures, des mairies ou des tribunaux ». L’Église, de fait, subira un préjudice financier considérable, et de nombreux prêtres seront réduits à la misère. Mais dans le même temps, comme le souligne Jean Sévillia, avec cette loi de séparation le catholicisme français « a gagné des libertés fondamentales » : liberté de réunion, d’expression, de proposer des évêques, de fonder des paroisses, de modifier la carte ecclésiastique.
Par ailleurs, l’épisode houleux de la loi de 1905 s’estompera quelque peu avec le temps, en dépit, parfois, de nouveaux soubresauts. Cette loi sera souvent amendée, et interprétée de façon plutôt libérale ; la laïcité de 2005 n’est plus celle du début du siècle précédent. Même si les évolutions actuelles incitent à la vigilance.
Claudius Cartapus
@Roy-XXIII J'en conviens, mais vous savez, on ne vit pas tous en France. Je demeure au Québec. Le Québec est tombé sous le régime anglais juste avant la révolution française. Il faut croire que ça devait arriver comme ça, parce qu'on a été épargné des horreurs de la révolution française et de ses suites, même outre mer.
Aube de la Force
Ces satanistes n'iront plus bien loin, nous entrevoyons le moment où nous pourrons dire que LE CRIME ÉTAIT PRESQUE PARFAIT mais que LA VÉRITÉ a surgi alors qu'ils avançaient, d'un pas assuré, grisés par le bon déroulement de leur plan.
Roy-XXIII
Pardon Claudius Cartapus . Je répondais à votre généralité « C'est la première fois dans le monde occidental que le politique se place au dessus du religieux !» Monde occidental (ethniquement parlant ) dont fait encore partie la France, de moins en moins certes (que dire du Canada ...) , mais encore un peu tout de même 😬
Catholique et Français
Oui, l'histoire de la France et celle du Canada sont très différentes depuis 1763 mais je sais qu'énormément de canadiens français ont eu un comportement absolument admirable et héroïque, peut-être même bien plus que les catholiques de métropole, du moins jusqu'à notre triste époque.
Gérard de Majella
Je n'est pas tout lu j'ais de la peine à lire , mais le peut que j'en est comprit , c'est que le concile Vatican II ne date pas d’hier il est la depuis bien long temps .Merci à vous tous .