Quand on a de tels vices, on supplie le Bon Dieu et surtout sa Très Sainte, Très Chaste et Très Pure Mère de nous en délivrer et on va se confesser et pleurer sa honte et sa pauvre misère seul dans son coin. Mais le pire, c'est lorsque ces mêmes individus, non seulement s'en vantent et trouvent mille et un arguments pour s'en justifier ou s'en glorifier mais, bien plus encore, supposent ou reprochent publiquement à leurs contradicteurs ou à leurs opposants, sur des sujets autrement plus graves, les chienneries dont ils sont eux-mêmes coupables. Je dis cela car j'ai été le témoin direct, très bien informé et horrifié de ces ordures souillant un prêtre en lui forgeant des histoires de moeurs dont je peux témoigner de l'inanité, malgré des "témoignages" dont je connais les motivations sordides. Et cette pourriture, répandue partout comme la peste par des ignorants, des naïfs, des imbéciles ou des gens intéressés à détruire l'honneur et la crédibilité de leur proie car ils sont a quia dans une controverse, fait son diabolique chemin, comme par exemple récemment jusque dans la Conférence des Évêques de France ! Et si le Bon Dieu peut certainement pardonner des fautes causées par la faiblesse et la misère humaines, je ne suis pas sûr du tout qu'Il manifestera la même indulgence pour ceux qui usent de tels procédés pour souiller et s'assurer une facile victoire, surtout quand ils sont eux-mêmes esclaves de ces vices ou quand ils les couvrent de leur autorité. Immonde ! Cela dit, personnellement, je suis plutôt d'accord avec ceux qui disent que ces images lubriques sont indignes d'un catholique.