Pape Grégoire XVI: ON NE PEUT, SANS FOLIE, NIER L’INFAILLIBILITÉ DES PAPES.
"Donc si la foi des derniers Papes manquaient, la prière de J.C. serait vaine, elle serait inefficace; OR, ON NE PEUT, SANS FOLIE, EN NIER L’EFFICACITÉ; ON NE PEUT D’AILLEURS NIER L’INDÉFECTIBILITÉ DE LA FOI DES PAPES, SANS NIER CETE EFFICACITÉ; DONC, ON NE PEUT, SANS FOLIE, NIER L’INFAILLIBILITÉ DES PAPES."Pape Grégoire XVI, « De l’infaillibilité du Pape », p.279-282 du livre « Triomphe du Saint-Siège et de l’Église »(Ed. 1833)
Saint Agathon , Pape:
«Y aura-t-il quelqu'un d'assez fou pour penser que la prière de celui dont la volonté est de pouvoir ose penser qu'elle est vide de quoi que ce soit ? N'est-ce pas du Siège des Apôtres, c'est-à-dire de l'Église romaine, tant PAR LE MÊME PIERRE, QUE PAR SES SUCCESSEURS, que les opinions de tous les hérétiques et les cœurs des frères à la fin de Pierre, furent rejeté, condamné et attaqué confirmé ?"(Ep.ad Mich, et Leon .c.7) »
>Ainsi, pour nous en notre …Plus
Sauterelle Steak, vous citez:
"Le pape n'est jugé par personne sauf s'il a dévié de la foi"
Hélas Saint Pie X, dans son code de 1917, a évacué le "nisi a fide devius...." ce qui explique partiellement la crise dans l'Eglise post conciliaire !" dans votre document ridicule en citant Gratien, qui n'est pas Pape.
Votre "hélas" (s'il vient de vous) prouve bien votre hérésie à nier l'infaillibilité pontificale, car si Saint Pie X fait sauter le "nisi a fide devius...." c'est qu'il est en rapport avec:
Saint Jérôme: « c’est pourquoi l’hérétique est dit condamné par lui même : car le fornicateur, l’adultère, l’homicide et les autres pécheurs sont expulsés de l’Église par les prêtres, tandis que les hérétiques, prononçant une sentence contre eux- mêmes, s’excluent de l’Église par leur propre arbitre. »
L'hérétique n'a pas donc pas besoin d'être jugé par personne, c'est son erreur qui le condamne. Par contre il est déclaré tel.
Le canon de Gratien était le droit le droit de la Saint Eglise catholique avant le code de 1917.
Ce qui vaut c'est le canon 1917. Point barre.
Etonnant que tout à coup , vous vous préoccupiez des canons d'avant 1917, vous qui soutenez "celui" de votre gourou pseudo" canonisé" Wojtila
Ce qui vaut c'est le magistère irréformable de l'Eglise : le pape peut dévier de la Foi, conformément au droit de l'Eglise d'avant le code de 1917 ""Prima sedes a nemine iudicatur, nisi a fide devius deprehendatur"
Non! un pape ne pas dévier de la foi, sinon il est déchu, et déclaré sans valeur.
Mgr Fessler: " Le Pape évidemment se représente ici comme possible (bien que des plus invraisemblables) le cas où un homme attaché à une doctrine hérétique serait élu Pape : il suppose que, même une fois parvenu au trône pontifical, cet homme adhère encore en son particulier à cette doctrine hérétique ou peut-être la manifeste dans des conversations; mais non qu'il enseigne
à l'Église universelle, dans une décision de son suprême magistère (ex cathedra). Une décision semblable ne se produira pas. Dieu, par son assistance spéciale, en préservera toujours le Pape et l'Eglise. Ainsi donc, si la personne élue Pape adhérait à une doctrine hérétique, sans pourtant la déclarer formellement doctrine de foi catholique et sans prescrire à l'Église uni- verselle de l'observer comme telle, alors ce se- rait le cas prévu par la bulle citée (§ G), celui pour lequel Paul IV prend des précautions,
quand il casse l'élection d un tel homme comme Pape, et la déclare nulle et non avenue. "
pour info:
Cance, Com.du Code.:
« Code de droit canonique. De l’exposé précédent il résulte que depuis longtemps il était difficile de retrouver la législation ecclésiastique, « dans cet amas énorme de documents dispersés en tant de volumes et sans aucun ordre, dont beaucoup n’étaient pas de vraies lois, mais des réponses à des particuliers, ou avaient été abrogés par des lois postérieures ou par la coutume »(Préface du Code). De plus, beaucoup de ces lois anciennes, « en raison des modifications survenues, étaient d’une application difficile ou de moindre utilité pour le salut des âmes » (Saint Pie X, L.Arduum sane munus, 19/07/1904) Aussi désirait-on que l’Eglise opérât une mise au point aussi complète que possible de sa législation et la rédigeât en articles courts, précis, à forme impersonnelle; au Concile Vatican en particulier, de nombreux Evêques avaient fait face à ce sujet des demandes pressantes. Depuis lors, Léon XIII avait codifié la législation de l’Index (1897) et des Congrégations religieuses à voeux simples (1900). »
Mgr Fessler a parfaitement raison. Le pape est infaillible quand il s'exprime ex cathedra.
Mais il ne l'est pas dans tous les autres cas. C'est à dire le plus souvent.
Dans ces autres cas il peut dévier de la Foi comme le magistère de l'Eglise l'a toujours enseigné.
En témoignent le décret de Gratien, la patristique, le 3eme concile de Constantinople, et le concile Vatican 1 au moins...
Fac simile des actes de la condamnation d'Honorius pour avoir dévié de la foi par le concile de Constantinople qui ont été traduits du grec en latin par le pape Saint Léon II lui même :
Sauterelle Steak vous dites justement:
"Dans ces autres cas il peut dévier de la Foi comme le magistère de l'Eglise l'a toujours enseigné." en privé seulement, non ex-cathedra, ce que j'ai toujours affirmé.
Et EN PRIVÉ , CE N'EST JAMAIS ARRIVÉ....
Votre fac similé est dépassé, puisque :
R. Naz, Traité de Droit CANONIQUE - t.I, Livre.II. Titre. VII. Pouvoir Suprême. p.376. écrit :
Il n'est d'ailleurs pas d'exemple, dans l'histoire ecclésiastique, qu'un vrai Pape soit tombé dans l'hérésie formelle, même en tant que docteur privé.
3 autres commentaires de Apocalupsis Henoch
Vous vous leurrez et vous vous enfoncez davantage dans votre hérésie, tout ça pour justifier que votre gourou Dégueuglio peut être Pape en étant hérétique, invraisemblable!
Vous ne lisez pas les réponses tout en postant n'importe quoi.
Mons. Louis-Nazaire Bégin
La question d'Honorius a toujours été le bastion le plus solide de tous ceux qui ont nié l'infaillibilité des papes ; C'est là qu'ils se réfugient en dernier recours lorsqu'ils ont été encerclés par leurs adversaires. On vient de constater la faiblesse de sa position. Une fois de plus, la papauté n'a pas laissé s'éteindre entre ses mains le flambeau divin de la vérité destiné à éclairer le peuple en marche vers la patrie. Nous avons fouillé les immenses catacombes de l'histoire et nous ne pouvons exhumer le nom d'un seul pape qui s'est trompé dans sa mission divine et a menti sur la parole divine sortie de la bouche de Jésus-Christ lui-même : « Pais mes agneaux. , nourris mes moutons ; affermis vos frères dans la foi ; Tu es Pierre, et sur ce roc je bâtirai mon Église.
Je résume cette leçon en disant : Que les documents sur lesquels repose la fameuse question d'Honorius sont authentiques ; Que ce Pontife n'a absolument rien défini dans ses lettres, mais a seulement prescrit le silence sur l'unité ou la dualité des opérations et des volontés en Jésus-Christ ; Que ses lettres à Serge sont irréprochables au point de vue doctrinal parce qu'elles expriment clairement et à plusieurs reprises la vérité catholique de deux opérations en Jésus-Christ ; Qu'il a été condamné par le Sixième Concile, non pas pour avoir enseigné l'erreur, ni comme hérétique formel, mais seulement pour ne pas s'être opposé à la propagation du monothélisme avec le zèle et l'énergie qu'exigeaient ses hautes fonctions de chef de l'Église ; Que, à la lumière des circonstances exceptionnelles dans lesquelles se trouvait Honorius, il semble personnellement le plus digne de pardon et même non coupable.
J'attends toujours votre source fiable sur votre calomnie:"Grégoire XVI a erre dans la foi sur l'infaillibilité" concernant Grégoire XVI
Vous citez L'abbé Delarc, je reprends votre citation:
"Avant propos de l’abbé Delarc signé en février 1870 qui dit que ce sont les œuvres de Mansi qu’il qualifie de « source parfaitement pure, et dans un livre qui jouit de la confiance universelle » dans lesquelles Mgr Héfélé a puisé ses sources.
Giovanni Domenico Mansi (Lucques, 16 février 1692 – Lucques, 27 septembre 1769) est un théologien, un érudit et un historien italien du XVIIIe siècle. Il est connu universellement pour son travail sur l'histoire des conciles."
les oeuvres de Mansi n'aurait pu échapper au pape Grégoire XVI puisque chronologiquement antécédent, lorsque lui-même réaffirme :
"« C’est (cette lettre d’Agathon) une très forte preuve en faveur de l’orthodoxie d’Honorius; Car saint Agathon n’aurait pas attesté la pureté de la croyance de tous ses prédécesseurs avec tant d’assurance et sans nommer ce Pape, si sa foi avait pu être suspecte au Concile et à l’Empereur. »
Par conséquent, votre preuve s'écroule d'un bloc.
Grégoire XVI a erre dans la foi sur l'infaillibilité. Saint Pie X a corrigé son prédécesseur dans son grand catéchisme.
Le magistère d'un saint pape postérieur à V1 plus d'autorité que celui d'un pape que l'Eglise a refusé de porter sur les autels
"Grégoire XVI a erre dans la foi sur l'infaillibilité. Saint Pie X a corrigé son prédécesseur dans son grand catéchisme." sources et citations de Pape sur l'affirmation jusque là calomnieuse?
Pauvre sauterelle Steak:
""La Providence divine ne saurait permettre une chose aussi contraire au bon gouvernement de l’Église et à la paix intérieure nécessaire aux âmes. Qu'un Pape soit personnellement sans foi ou hérétique, même d'une hérésie purement interne, et qu'il soit, comme Pape, chargé de confirmer les autres dans leur foi, voilà, déclare Bellarmin, << qui est violent, et contre la manière habituelle d'agir de la divine Providence qui dispose toutes choses suavement. >> (Controv., I. IV, De Ramano Pontifice, c. 6)."
Si Grégoire XVI a erré dans la foi comme vous l'avancez, cela veut dire que la promesse de Jésus-Christ n'a pas été tenue! vous rendez-vous compte de votre hérésie?
1 autre commentaire de Apocalupsis Henoch
Sauterelle Steak ne publie plus rien? j'attends vos sources concernant vos affirmations calomnieuses à l'encontre de Grégoire XVI qui aurait dévié de la foi selon st Pie X. selon vos propos"Grégoire XVI a erre dans la foi sur l'infaillibilité. Saint Pie X a corrigé son prédécesseur dans son grand catéchisme."
Ensuite les extraits que j'ai cité ont approbation de l'Eglise, lisez plutôt:
Sur l’ouvrage de Grégoire XVI « Triomphe de l’Eglise » de l’édition 1833:
« Avertissement du traducteur:
L’ouvrage que nous publions aujourd’hui dans notre langue, parut pour la première fois en 1799; l’auteur né en 1765, était alors âgé de 34 ans environ. Si nous nous rapportons à des renseignements qui nous paraissent digne de foi, ce fut une thèse sur l’infaillibilité du Pape qui y donna lieu; le nombre des candidats et la longueur des discussions ne laissèrent pas à Maur Capellari (Grégoire XVI) le temps de paraître à son tour dans cet exercice public. Cependant il s’y était préparé par un travail sans doute fort considérable, et ce fut ce travail qui, examiné ensuite en particulier, fut jugé digne non-seulement des applaudissements d’une séance scolastique, mais encore des honneurs de l’impression.
Nous ne pouvons dire exactement le nombre des éditions diverses que cet excellent ouvrage a obtenues; celle sur laquelle nus avons traduit, est la troisième de Joseph Battagia à Venise, et elle a paru depuis l’exaltation de S.S Grégoire XVI, en 1832. Nous avons tout lieu de croire non-seulement que le souverain Pontife n’est pas resté tout-à-fait étranger à cette nouvelle publication, mais encore qu’il y ait fait quelques modifications; et nous avons été invité à ne travailler que sur cette dernière édition. »
Ensuite, sauterelle Steak, dites-moi comment st Pie X peut affirmer que Grégoire XVI ait dévié de la foi, alors que lui-même a supprimé (ainsi que vous le postez ici)le "nisi a devius etc." comme vous l'affirmez:
""Le pape n'est jugé par personne sauf s'il a dévié de la foi"
Hélas Saint Pie X, dans son code de 1917, a évacué le "nisi a fide devius...."
???
Saint Pie X a reconnu Grégoire XVI comme Pape, non? Saint Pie X n'était-il pas sensé avoir lu Satis cognitum de Léon XIII, selon vous?
« Il s’ensuit que la communion avec le Pape est inséparable de la communion avec le Christ; l’unité de l’église est unité avec le Christ et avec son Vicaire… La communion avec le Pape est nécessairement une communion dans la Vérité, et, comme telle, elle est communion avec TOUS LES PAPES D’HIER ET D’AUJOURD’HUI, EN TENANT COMPTE, BIEN SÛR DU DOGME QUI PROCÈDE PAR EXPLICATION ET JAMAIS PAR CONTRADICTION. »
2 autres commentaires de Apocalupsis Henoch
Voici ce que dit Mgr Fessler:
« M. le docteur Schulte cite ensuite une autre bulle du pape Paul IV, de l’année 1559 , bulle qui porte avec raison dans la col- lection des bulles pontificales le titre de Renouvellement des anciennes censures et peines por- tées contre les hérétiques et les schismatiques, avec addition de nouvelles peines, etc. Ce titre, qui fait très exactement connaître le contenu de la bulle, suffit à lui seul pour montrer au lecteur que ce décret pontifical n’est pas une définition de foi, ni par suite un jugement ex cathedra. [...] Il est absolument certain, malgré ce qu’il dit, que cette bulle n’est pas une définition de foi, une décision doctrinale, un jugement ex cathedra. Elle est évidemment un acte émanant du suprême pouvoir législatif et pénal des Papes, mais non de leur suprême autorité doctrinale. [...] A qui est- il venu à l’esprit, avant M. le docteur Schulte, d’affirmer que les Papes sont infaillibles dans le domaine du droit pénal ? »
Mgr Fessler, La vraie et la fausse infaillibilité des papes, 1873, pp. 105–106. Voir aussi la préface pp. 11–15 qui prolonge la discussion à ce sujet : « Or la bulle de Paul IV n’est qu’une loi pénale et non une définition dogmatique. ».
Or, dans l’ouvrage La vraie et la fausse infaillibilité des papes, 1873, pp. 105–106. De Mgr Fessler, aux pages 107-110 suivantes, nous trouvons aussi due ce même auteur:
« M. le docteur Schulte trouve par trop curieux que dans cette bulle « l'élection d'un » hérétique comme Pape soit d'avance cassée et » déclarée nulle et non avenue, » et, qui plus est, « que le Pape et avec lui le collège tout » entier des cardinaux admettent la possibilité » qu'un Pape infaillible puisse être atteint et » convaincu de s'être écarté de la foi. »
Pour faire bien comprendre cette question, les remarques suivantes pourront ne pas être inutiles. Le Pape évidemment se représente ici comme possible (bien que des plus invraisemblables) le cas où un homme attaché à une doctrine hérétique serait élu Pape : il suppose que, même une fois parvenu au trône pontifical, cet homme adhère encore en son particulier à cette doctrine hérétique ou peut-être la manifeste dans des conversations; mais non qu'il renseigne à l'Église universelle, dans une décision de son suprême magistère (ex cathedra). Une décision semblable ne se produira pas. Dieu, par son assistance spéciale, en préservera toujours le Pape et l'Eglise. Ainsi donc, si la personne élue Pape adhérait à une doctrine hérétique, sans pourtant la déclarer formellement doctrine de foi catholique et sans prescrire à l'Église universelle de l'observer comme telle, alors ce serait le cas prévu par la bulle citée (§ G), celui pour lequel Paul IV prend des précautions, quand il casse l'élection d’un tel homme comme Pape, et la déclare nulle et non avenue. C'est un des cas que les théologiens ont en vue, lorsqu'ils disent que le Pape peut errer comme personne privée (homo privatus) dans une question de foi, si on le considère simplement comme homme avec son opinion purement humaine sur une doctrine de foi. Mais il ne saurait errer, lorsque, comme Pape, comme suprême docteur de l'Église catholique, en vertu de l'assistance spéciale que Dieu lui a promise et accordée, il définit solennellement la doctrine révélée de Dieu et prescrit à l'Eglise de la tenir fidèlement. Il y a ici deux modes distincts de l'activité d'une seule et même personne : la manière ordinaire de penser et de voir les choses , et la décision doctrinale solennelle s'adressant à l'Église universelle; cela est évident.
Je voudrais éclairer la question en comparant le Pape à un juge qui doit décider une affaire litigieuse. Ce juge peut, avoir son opinion particulière et la manifester en dehors du tribunal; et cette opinion peut être très-différente de la sentence. Et pourtant il n'y a de décisif dans l'affaire que le jugement qu'il prononce à son tribunal, juge- ment qui d'ailleurs n'est assurément pas infaillible. Mais on voit clairement par cet exemple qu'un individu qui est investi d'une fonction publique, peut parfaitement être distingué dans ses opinions et ses paroles comme homme, et dans ses décisions et ses actes comme magistrat.
Après cette explication, qui, je le crois, est claire, on comprendra facilement les paroles du préambule de cette bulle, où le Pape exprime cette considération qu'il serait dangereux qu'un Pape, môme dans sa vie privée, fût partisan d une hérésie, et que ce fait pourrait amener de graves complications, puisque la même personne, considérée comme homme privé, serait coupable d'hérésie, et, par suite, tomberait sous le coup des lois pénales édictées contre les hérétiques, tandis qu'en qualité de Pape elle n'aurait personne au-dessus d'elle pour la juger. »
De retour la sauterelle Steak? vous en voulez encore?
vous citez
« Le Pape est infaillible seulement lorsque, en sa qualité de Pasteur et de Docteur de tous les chrétiens, il définit, pour être tenue par toute l’Église, une doctrine concernant la foi et les mœurs. »
(Grand catéchisme de Saint Pie X)
Et alors?
le Pape est infaillible lorsque cela concerne la foi et les moeurs et qu'il définit ex -cathedra. pas de problème avec cela. par contre, pour votre gourou déguisé en pape, cela pose un gros problème avec votre même propos! Lui qui enseigne que des couples divorcés remariés peuvent communier?
et tant d'autres hérésies ...
L'éditeur du pape Pie IX confirme que le pape Honorius a été condamné pour hérésie…
saint Bellarmin nous confirme cette calomnie lorsqu’il dit, dans son ouvrage « De Romano Pontifie », citation:
« Qui plus est dans le VIII synode (act.7) sont rapportés les actes du Concile Romain sous Adrien, en lesquels on lit que le Pape Honorius paraît avoir été anathèmes à bon droit parce qu’il fut convaincu d’hérésie, qui est la seule causeur laquelle il est permis aux inférieurs de juger les supérieurs. Il faut noter ici que, même s’il est probable qu’honoris n’ait pas été hérétique, et que le Pape Adrien II fut induit erreur par des exemplaires falsifiés du VI è Synode et pensa à tort qu’Honorius fut hérétique, on ne peut pas nier que tant Adrien avec le Concile Romain que tousses Pères du VIII è synode général estimaient qu’en cas d’hérésie le Pontife Romain pourrait être jugé. » fin de citation.
"Honorius n'a pas enseigné le monothélisme" !!!???....Or Honorius a écrit avec le nous de majesté : "Unde unam voluntatem fatemur Domini nostri Iesu Christi"...(Dz 487 p 56) : Dans cette version du Denzinger en latin on trouve la profession de foi monothelete du pape Honorius…
pape Léon XIII Satis Cognitum 1896, soit + 20 ans après vos misérables citations:
Le Pape Léon XIII dans son Encyclique Satis Cognitum dit bien: « Il s’ensuit que la communion avec le Pape est inséparable de la communion avec le Christ; l’unité de l’église est unité avec le Christ et avec son Vicaire… La communion avec le Pape est nécessairement une communion dans la Vérité, et, comme telle, elle est communion avec TOUS LES PAPES D’HIER ET D’AUJOURD’HUI, EN TENANT COMPTE, BIEN SÛR DU DOGME QUI PROCÈDE PAR EXPLICATION ET JAMAIS PAR CONTRADICTION. »
Mgr Hefele s'appuyant sur Mansi et edité par l'éditeur de Pie IX ruine la croyance en l'infaillibilité permanente des papes qui est démentie par les faits eux mêmes en ces termes :
Le 6eme concile œcuménique mentionna encore le pape Honorius dans la 16eme session, qui se tint le 9 août 681, lors des acclamations qui terminèrent la séance. Les évêques s'écrièrent: « Longues années à l'empereur, longues années au pape romain Agathon, longues années à Georges patriarche de Constantinople ! etc…anathème à l'hérétique Sergius, à l'hérétique Cyrus, à l'hérétique Honorius, à l'hérétique Pyrrhus, etc. etc. ! »
Grégoire XVI sur Honorius: Sauterelle Steak vous êtes partisan du jansénisme!
S.A. Grégoire XVI Le triomphe du Saint-Siège et de l'Église contre les attaques des novateurs (jansénistes)
Et tout d'abord, notons que dans notre cas il y a des auteurs contemporains ou immédiatement postérieurs, auxquels l'intention de ces Pères ne pouvait être inconnue , et que sans s'y opposer, ils témoignent ou supposent qu'ils n'avaient pas l'intention de déclarer le Pontife hérétique formel ; il suffit que la formule de condamnation n'exclue pas cette distinction, à plus forte raison si elle semble l'exiger. Eh bien, il en est ainsi : l'Empereur lui-même, qui n'a rien répondu à la lettre que Léon lui a écrite dans son édit publié après la séance 8.2, distingue Honorius des autres hérétiques : Ad hoc et Honorium, horum hæreseos in omnibus fautorem, concursorem, atque confirmateur . Même le concile lui-même fait cette distinction ; car ayant déjà condamné les auteurs et les défenseurs formels de l'hérésie, il excommunie séparément le Pontife, sans le confondre avec les autres : Anathematizari præcipimus et Honorium, eo quod invenimus, per scripta quæ ab eo facta sunt ad Sergium, quia in omnibus ejusmentem secutus est, et impia dogmata confirmavit.
Constantin le considère donc comme un partisan, un coopérateur et un confirmateur du monothélisme ; Le concile l'anathème séparément, donnant le motif de l'excommunication, qui dans sa lettre à Sergius in omnibus ejus mentem secutus est ; c'est-à-dire parce qu'il condescendait à leurs revendications, leurs buts et leurs intentions ; bien qu'il ignorât le but qu'il se proposait, puisqu'on lui cachait le mystère de l'hérésie sous le voile du zèle orthodoxe ; et parce qu'il confirmait les doctrines impies en imposant le silence.
Vous ne voulez pas accepter cette explication ? Alors pourquoi le concile ajoute-t-il : et impía dogmata confirmavit (et il a confirmé des doctrines impies)?
Si se conformer à l'intention de Serge signifiait embrasser ses hérésies, il était superflu d'ajouter qu'il confirmait ses dogmes impies. Celui qui embrasse l'hérésie la confirme dans le fait même de l'embrasser ; Ainsi peut-on la confirmer indirectement, par manque de prudence, sans erreur de compréhension, et par conséquent sans l'adopter.
Sur quelle base prétend-on alors que l'intention du concile était de condamner le Pape comme hérétique formel ? Mais cette interprétation était nécessaire aux innovateurs (jansénistes) pour prouver que le concile était loin de considérer le Pape infaillible, et en même temps pour autoriser avec cet exemple le système erroné de faillibilité de l'Église dans les faits doctrinaux. Au reste, il est prouvé que l'entreprise du contraire est irréalisable, sans qu'il soit nécessaire de recourir à la profession de foi que les Pontifes romains élus ont faite à la face de l'Église, y excommuniant auctores novi hæ retici dogmatis, etc. una cum Honorio, qui pravis eorum assertionibus Silentium impendit (les auteurs de ces nouveaux dogmes réticiens, etc. avec Honorius, qui passe sous silence leurs fausses affirmations.).
Si au contraire on insiste sur le mot hérétique, il faut toujours le prendre dans un sens si rigoureux qu'il ne signifie jamais autre chose que ce qui est coupable d'une hérésie formelle. On leur rappellera Théogni et Eusèbe de Nicomédie au concile de Nicée. de Théodoret et Jean, etc. en Chalcédonien, mentionné par Bolgeni ; et vous verrez que les promoteurs et les défenseurs cachés de l'hérésie sont aussi généralement appelés ainsi...
Les lettres d'Honorius ont été condamnées comme indirectement hérétiques, je l'admets, et formellement, je le nie. Et voici, sur le terrain, l'édifice monstrueux bâti contre un si digne auteur de l'Église. Ici nous voyons surtout la foi que méritent les contraires lorsqu’ils interprètent les Pères. Le même conseil dont nous parlons s'est également prononcé contre eux : Hæreticorum proprium esse, circumtruncatas patrum voices deflorare."C'est le propre des hérétiques de déflorer les voix des pères, coupées de partout."
Mons. Louis-Nazaire Bégin
La question d'Honorius a toujours été le bastion le plus solide de tous ceux qui ont nié l'infaillibilité des papes ; C'est là qu'ils se réfugient en dernier recours lorsqu'ils ont été encerclés par leurs adversaires. On vient de constater la faiblesse de sa position. Une fois de plus, la papauté n'a pas laissé s'éteindre entre ses mains le flambeau divin de la vérité destiné à éclairer le peuple en marche vers la patrie. Nous avons fouillé les immenses catacombes de l'histoire et nous ne pouvons exhumer le nom d'un seul pape qui s'est trompé dans sa mission divine et a menti sur la parole divine sortie de la bouche de Jésus-Christ lui-même : « Pais mes agneaux. , nourris mes moutons ; affermis vos frères dans la foi ; Tu es Pierre, et sur ce roc je bâtirai mon Église.
Je résume cette leçon en disant : Que les documents sur lesquels repose la fameuse question d'Honorius sont authentiques ; Que ce Pontife n'a absolument rien défini dans ses lettres, mais a seulement prescrit le silence sur l'unité ou la dualité des opérations et des volontés en Jésus-Christ ; Que ses lettres à Serge sont irréprochables au point de vue doctrinal parce qu'elles expriment clairement et à plusieurs reprises la vérité catholique de deux opérations en Jésus-Christ ; Qu'il a été condamné par le Sixième Concile, non pas pour avoir enseigné l'erreur, ni comme hérétique formel, mais seulement pour ne pas s'être opposé à la propagation du monothélisme avec le zèle et l'énergie qu'exigeaient ses hautes fonctions de chef de l'Église ; Que, à la lumière des circonstances exceptionnelles dans lesquelles se trouvait Honorius, il semble personnellement le plus digne de pardon et même non coupable.
1 autre commentaire de Apocalupsis Henoch
Paul Mury S.J :"Le seul Pape qui puisse soulever des doutes légitimes, moins à cause de ses fautes qu'à cause de la condamnation qu'il a subie ; Ce pape est Honorius, contre lequel sont portées trois accusations : 1° qu'il a été hérétique, reconnaissant, comme les monothélites, une seule volonté en Jésus-Christ ; 2° que dans ses lettres à Serge, patriarche de Constantinople, il imposa silence sur la double opération du Christ, sacrifiant ainsi le dogme catholique ; et troisièmement, que, par une indulgence coupable, il a favorisé la propagation de l'erreur. Pour ces raisons, il fut justement condamné par le VIe Concile œcuménique et réprimandé comme hérétique par ses papes successeurs.L'accusation est grave, mais elle n'a pas découragé les apologistes du Pontificat, et cette fois aussi le privilège de l'infaillibilité a dissipé les nuages avec lesquels ils voulaient l'obscurcir = Plus audacieux que les autres critiques, a nié le sage Baronius. absolument que dans le VIe Concile général il s'agissait d'Honorius. Selon le Père des Annales Ecclésiastiques, tous les passages de ce Concile sont supposés ou falsifiés. Cependant, les auteurs les plus modernes s'accordent pour dire que la condamnation a été réellement prononcée mais, en admettant la sincérité des actes du Concile, ils démontrent qu'Honorius a été anathématisé, non pour avoir enseigné l'hérésie, mais seulement pour avoir favorisé sa propagation par son silence. C'est ce qui ressort de la formule même dans laquelle les Papes, avant sa consécration. , ils reprochaient à son prédécesseur Honorius : Qui pravis eorum assertionibus fomentum impedit C'est ainsi que s'exprime le Liber diurnus Pontificalis (recueil des Actes authentiques de la Chancellerie romaine). De plus, selon les mêmes auteurs, la lettre présentée au Concile n'était pas celle qu'avait écrite le secrétaire d'Honorius. Selon nous, cette lettre est susceptible d'un sens catholique, et nous pouvons bien, sans crainte de nous tromper, l'accepter. avec le pape Jean IV et avec le saint martyr Maxime, qu'Honorius n'a pas participé à l'erreur des monothélites.
Dans ces conditions, comment aurait-il dû être condamné par le PP du Conseil ? Comment le pape Léon XII aurait-il dû confirmer cette condamnation ? Quoi qu'on en veuille, la lettre d'Honorius ne contient aucune décision de foi ; Il indique seulement une règle de conduite, et en cela il n'a pu commettre qu'une de ces erreurs dites administratives, car il n'a fait que manquer aux lois du gouvernement. Il a mal calculé, si vous voulez ; Il ne voyait pas les conséquences fatales des moyens économiques qu'il pensait pouvoir utiliser ; mais nous ne voyons dans tout cela aucune dérogation au dogme, aucune erreur théologique. Dans toutes les hypothèses, la lettre à Serge n'est qu'un acte de correspondance privée, et non un document pontifical pouvant servir contre le dogme de l'infaillibilité.
Mons. Federico Maria Zinelli
Miembro de la Comisión De Fide, Zinelli escribió el tercer capítulo de Pastor aeternus, que define la doctrina de la infalibilidad papal.
Acta et decreta sacrosanti oecumenici concilii Vaticani
Tampoco tienen un gran peso los casos puramente hipotéticos de que el Pontífice caiga en herejía como persona privada o de que sea incorregible, que puedan equipararse a otros casos de que el Pontífice caiga habitualmente en la locura, etc. . . . Esto, confiando en la providencia sobrenatural, creemos que probablemente nunca sucederá. Pero a Dios no le faltan las necesidades; y, en consecuencia, si permitiera tanto mal, no faltarían medios para que, a causa de estos casos hipotéticos, no se debilitara la doctrina del poder verdaderamente pleno y supremo del Romano Pontífice.
Nec validum pondus habent hypothetici prorsus casus de Pontifice in haeresim ut privata persona lapso aut incorrigibili, qui casus aequiparari possunt aliis de Pontifice habitualiter in dementiam lapso, etc. . . . Haec, providentiae supernaturali confisi, satis probabiliter existimamus numquam eventura. At Deus in necessariis non deest; ac proinde si ipse permitteret tantum malum, non deerunt media ad providendum, quin propter hos casus hypotheticos doctrina de vere plena et suprema potestate Romani Pontificis infirmetur.
Google Books
Mgr Federico Maria Zinelli
Membre de la Commission De Fide, Zinelli a rédigé le troisième chapitre de Pastor aeternus, qui définit la doctrine de l'infaillibilité papale.
Acta et decreta sacrosanti oecumenici concilii Vaticani
Les cas purement hypothétiques où le pontife tomberait dans l'hérésie en tant que personne privée ou serait incorrigible, qui peuvent être assimilés à d'autres cas où le pontife tomberait habituellement dans la folie, etc. ne pèsent pas non plus lourd. . Confiants dans la providence surnaturelle, nous pensons que cela n'arrivera probablement jamais. Mais Dieu ne manque pas de nécessités et, par conséquent, s'il permettait tant de maux, il ne manquerait pas de moyens pour ne pas affaiblir, à cause de ces cas hypothétiques, la doctrine du pouvoir vraiment plein et suprême du Pontife romain.
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« En effet, jusqu'à présent, aucun pape n'a été hérétique, ou du moins on ne peut prouver qu'aucun d'entre eux l'ait été ; c'est donc un signe qu'une telle chose ne peut exister. »
Saint Robert Bellarmin
Sur le pontife romain, livre 4, ch. 6.
Cornelius a Lapide
Commentaire de Saint Matthieu XVIII, 17.
« Le pape est plus grand dans l'Église qu'un roi dans son royaume. En effet, le roi reçoit son pouvoir de l'État, tandis que le pape reçoit son pouvoir non pas de l'Église, mais directement du Christ. C'est pourquoi il ne peut en aucun cas être déposé par l'Église, mais peut seulement être déclaré déchu du pontificat, si, par exemple, il avait l'occasion (à Dieu ne plaise) de tomber dans l'hérésie publique, et donc cessait ipso facto d'être pape, oui, [il cesserait ipso facto d'être] un croyant chrétien. »
Papa enim in Ecclesia plus est, quam rex in regao : hic enim a republ. suam accipit potestatem, Papag vero suam potestatem non accipit ab Ecclesia, sed imme diate a Christo : quare nullo casu ab Ecclesia deponi potest, sed tantum declarari excidisse Pontificatu, si v. g. incideret (quod absit) in publicam hæresim, ideoque ipso facto desineret esse Pontifex, imo fidelis, et Christianus.
Commentaria in sacram scripturam auctore Cornelio Cornelii A Lapide Tomus 8. complectens commentaria in quatuor Evangelia. 8
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Mgr Victor Dechamps
EXTRAIT DE LA LETTRE DE DECHAMPS ARCHEVEQUE DE MALINES A DUPANLOUP EVEQUE D'ORLÉANS
Si vous en aviez aussi profité, non pour augmenter, mais pour dissiper les difficultés que j'appelle des nuages, et que des doctrines certainement peu autorisées présentent contre l'infaillibilité du Saint-Siège, à l'occasion de certains actes des Papes dans lesquels il n'y a jamais eu la moindre ombre de définitions de foi ! Comment avez-vous eu le courage, monseigneur, de rappeler même les questions jugées de Libérius, de Vigilius et d'Honorius ? Pour ma part, je n'ai pas le courage de prouver à nouveau ce qui est absolument évident, à savoir que Liberius n'a jamais écrit quoi que ce soit de contraire à la foi : Liberius n'a jamais rien écrit de contraire à la foi, et s'il a péché, c'est en écrivant une formule de foi incomplète ; que si Vigilius a cru attribuer à Ibas l'esprit ou la lettre approuvés par le concile de Chalcédoine, il n'a commis qu'une erreur de fait, qui n'a rien de dogmatique pour lui, puisqu'il a réprouvé de la manière la plus explicite les erreurs contenues dans ce document, et qu'Honorius n'a nullement enseigné le monothélisme dans ses lettres à Sergius, car ce qu'il a enseigné très formellement, c'est le contraire, et que loin de définir quoi que ce soit contre la foi, sa faute a consisté précisément à ne rien vouloir définir, comme il le dit lui-même, contre une nouveauté dont le rusé patriarche de Constantinople lui avait caché le poison.
J'ai tous les textes sous les yeux, monseigneur ; mais ils vous sont connus, et c'est pourquoi je vous en dispense ici, ainsi que des magnifiques paroles de Léon II à l'empereur Constantin et aux évêques d'Espagne, paroles qui ont suivi de près toute cette controverse et qui démontrent de façon tangible que le sixième concile œcuménique n'a jamais songé à condamner Honorius comme personnellement coupable d'hérésie, mais seulement comme coupable de négligence.
Cardenal Joseph Hergenröther
HISTORIA DE LA IGLESIA
Tomo II
1884
EL CASO DE S. S. HONORIO : Joseph Hergenröther : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive
Paul Bottalla S.J.
Pope Honorius Before The Tribunal Of Reason And History
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León Carbonero y Sol :
« Le Père Bottalla a publié à l'avance une défense victorieuse du Pape Honorius, en réponse au libelle de M. Le Page Renouf contre la doctrine de l'infaillibilité pontificale. Ce petit ouvrage de 149 pages s'intitule Le Pape Honorius devant le tribunal de la raison et de l'histoire.
Il traite en quatre chapitres :
premièrement, l'origine et la nature du monothélisme ;
Deuxièmement, les deux lettres écrites par Honorius à Sergius ;
troisièmement, de son orthodoxie
quatrièmement, le sixième concile et la condamnation d'Honorius.
Le meilleur éloge que l'on puisse faire de ce livre est que le Père Bottalla a épuisé l'argument.
Chronique du Concile œcuménique du Vatican
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Karl Joseph von Hefele
The Catholic Encyclopedia. Vol. 7.1910.
Immédiatement après sa consécration, l'évêque est parti à Rome pour assister au concile. Lorsque la définition du dogme de l'infaillibilité papale fut proposée, il fut l'un des évêques les plus en vue de la minorité opposée. Il publia même les raisons de sa position dans sa « Causa Honorii Papæ » (Naples, 1870). Lors de la session décisive du 13 juillet, il vota « Non placet » et, après avoir signé la lettre de la minorité au pape le 17 juillet, il rentra chez lui. Il maintint sa position même après la définition du dogme, mais se trouva immédiatement dans une situation difficile, dont ni son espoir que les évêques opposés adopteraient une position commune, ni son espoir d'une reprise rapide du concile œcuménique, ni même sa pensée de démissionner, ne purent le libérer. Évitant un schisme, poussé par Rome, harcelé par le clergé de son diocèse, peut-être influencé par les souhaits du gouvernement, mais surtout poussé par son diocèse, Hefele promulgua les décrets du concile le 10 avril 1871.
CATHOLIC ENCYCLOPEDIA: Karl Joseph von Hefele
Mgr Gasser : l'assistance divine au pape est conditionnée.
Honorius: sa papauté indéfectible et infaillible est démontrée: nouvel échec et mat la sauterelle Steak.