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La vidéo montre le prêtre parlant en langues pendant l'élévation de la messe. Le monde obscur des nouveaux mouvements et du catholicisme charismatique promus après le Concile, dont beaucoup sont …Plus
La vidéo montre le prêtre parlant en langues pendant l'élévation de la messe. Le monde obscur des nouveaux mouvements et du catholicisme charismatique promus après le Concile, dont beaucoup sont aujourd'hui à l'origine de scandales.
Catholique et Français
"...Ce prêtre franco-portugais, ancien Légionnaire du Christ, a «reconnu et confirmé son intention..." >>> Légionnaires du Christ" : Marcial Maciel Degollado (mort à Jacksonville, Floride, le 30 janvier 2008), fondateur de la «Légion du Christ» et Supérieur Général de la «Congrégation des Légionnaires du Christ», qui revendique plus de 700 prêtres et 3.000 séminaristes. Proche de «saint» …Plus
"...Ce prêtre franco-portugais, ancien Légionnaire du Christ, a «reconnu et confirmé son intention..." >>> Légionnaires du Christ" : Marcial Maciel Degollado (mort à Jacksonville, Floride, le 30 janvier 2008), fondateur de la «Légion du Christ» et Supérieur Général de la «Congrégation des Légionnaires du Christ», qui revendique plus de 700 prêtres et 3.000 séminaristes. Proche de «saint» Jean-Paul II, il participa à plusieurs synodes, et devint consultant permanent de la Congrégation pour le Clergé. Il a été publiquement accusé d'actes de pédérastie sur leurs personnes par d'anciens séminaristes, en 1956 et 1997; le 14 juin 1948, à la suite d'accusations lourdes portées contre lui, le Vatican de Pie XII demande que l'on n'érige pas canoniquement la congrégation. On lui présente ainsi dix-huit (dix-huit !) chefs d'accusation, dont mensonges, alcoolisme, séquestration de jeunes séminaristes qui auraient l'interdiction de se confesser à un autre prêtre, trafic de drogues et manque d'attention à la formation des séminaristes… Les accusations continuent pendant plusieurs années, au point que le Vatican demande à l'évêque du lieu de dissoudre la congrégation. Marcial Maciel voit alors le cardinal de la Congrégation pour les religieux, qui affirme l'invalidité de cette annulation, le cardinal n'ayant pas signé l'acte de dissolution. Vers 1954, un séminariste de Mexico écrit au Cardinal Valerio Valeri, Préfet de la Congrégation pour les Religieux, lui racontant qu’il a vu Maciel s'injecter de la drogue et avoir un comportement déplacé avec de jeunes garçons. Ces inquiétudes sont partagées par un prêtre qui dirige alors la grande école de la Légion. Le Cardinal Valeri décide, en 1956, de suspendre Marcial Maciel de ses fonctions, et demande à des prêtres carmes de s'occuper des maisons dirigées par la congrégation. Une visite apostolique est menée pour vérifier la teneur des soupçons. En 1959, les visiteurs du Vatican concluent l'enquête par un non-lieu, bien que le principal enquêteur fasse état, dans le rapport, de ses doutes sur l'innocence de Maciel. L'un des adolescents alors interrogés dira plus tard que lui et les autres jeunes avaient tous menti pour protéger le père Maciel qu'ils admiraient… Celui-ci est rétabli dans ses fonctions de supérieur général par le cardinal Clemente Micara, Vicaire Général de Rome. Le décret est signé par le cardinal Micara à un moment où il n'était pourtant pas autorisé à le faire, pendant la vacance du siège apostolique, entre la mort de Pie XII et l'élection de Jean XXIII. Le 29 juin 1983, a lieu une relecture de la constitution de la «Congrégation» à la suite du Concile Vatican II, par la Congrégation pour les religieux. Elle conduit à l'«approbation définitive» des constitutions des Légionnaires du Christ par le Vatican. En 1992 lors de la Conférence des évêques d'Amérique latine, «saint» Jean-Paul II demande au père Marcial Maciel de l'accompagner. En novembre 1992, Marcial Maciel est réélu supérieur général de la Légion du Christ lors du deuxième chapitre général. «Saint» Jean-Paul II lui demande de participer au «synode des évêques sur la vie consacrée et sa mission dans l'Église et dans le monde» à Rome entre le 2 et le 29 octobre 1993. Il devient «consultant permanent» de la Congrégation pour le clergé à partir de 1994, et membre de l'"assemblée spéciale du synode des évêque pour l'Amérique" à Rome en 1997. La Légion du Christ fonde en 1993, avec l'accord de «saint» Jean-Paul II, un Athénée pontifical, l'Université pontificale Regina Apostolorum, créant une université de… théologie, philosophie et… de bioéthique ! C’est la première université de bioéthique du monde. «Saint» Jean-Paul II soutient de nombreuses fois la Légion du Christ, rendant des visites aux légionnaires à Rome, écrivant une lettre à Marcial pour les 50 ans de son ordination, en 1994. « Saint » Jean-Paul II écrit à cette occasion: «Depuis le jour de votre ordination sacerdotale, Vous avez voulu mettre le Christ, l’Homme Nouveau qui révèle l’infini amour du Père aux hommes qui ont besoin de rédemption, comme critère, centre et modèle de toute votre vie, et de celle de ceux qui, depuis 1941 vous ont suivi, découvrant en Vous un père spirituel proche et un guide efficace dans l’aventure passionnante du don total à Dieu dans le sacerdoce». Le Pape ordonnera même certains légionnaires dans la Basilique Saint-Pierre de Rome lors du cinquantenaire de la fondation. Le 26 novembre 2004 le "Regnum Christi" reçoit une approbation définitive de ses statuts par le Vatican. Le 30 novembre 2004, «saint» Jean-Paul II reçoit en audience les Légionnaires du Christ et les membres de Regnum Christi à l'occasion des soixante années de ministère sacerdotal du père Maciel et lui rend un hommage appuyé dans son discours : «J'adresse tout d'abord mon salut affectueux au cher Père Maciel, que j'accompagne volontiers de mes voeux les plus cordiaux pour un ministère sacerdotal empli des dons de l'Esprit Saint !» «L'heureux anniversaire qui nous voit tous rassemblés autour du Fondateur, alors qu'il nous invite à faire mémoire des dons qu'il a reçus du Seigneur au cours de ces soixante années de ministère sacerdotal, constitue dans le même temps l'occasion de réaffirmer les engagements que vous avez pris au service de l'Evangile en tant que Légionnaires du Christ !» En 1976, 1978 et 1989, l'évêque John McGann envoie au Vatican une lettre d'un ancien prêtre de la légion du Christ, accusant à nouveau Maciel d'abus sexuels. Celles-ci restent sans effets, l'enquête de 1956-1959, qui donnait comme non fondées les accusations contre Maciel, ayant porté un discrédit sur les allégations ultérieures. En 1997, un quotidien américain, The Hartford Courant publie des accusations contre lui, huit membres de la Légion du Christ disant avoir été abusés dans les années 1950-60, alors qu'ils avaient entre 10 et 16 ans. La même année, une enquête du quotidien mexicain La Jornada, le met également en cause. En 1998, le Saint-Siège est officiellement saisi par ces huit personnes.
D'après Jean-Marie Guenois, journaliste à La Croix, l’instruction de ce dossier est, selon le témoignage du Cardinal Ratzinger à l’évêque de Coatzacoalcos (Mexique), gelée en 1999 à la demande de «saint» Jean-Paul II, en raison de la floraison de vocations dans cette œuvre et parce que les faits, qui remonteraient à plus de trente ans, sont prescrits. D'après le National Catholic reporter, le cardinal Angelo Sodano, secrétaire d'État du Saint-Siège, s'est ainsi personnellement opposé à la poursuite de l'enquête par le cardinal Ratzinger et la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Toutefois, en décembre 2004, alors que Maciel vient, à nouveau, d'être honoré au Vatican pour l'ensemble de son œuvre, le Cardinal Joseph Ratzinger décide, de son propre chef, la reprise de l'enquête.

Le 4 février 2009, le New-York Times révèle que le père Maciel a mené une double vie et a eu, au moins, une fille. Le 5 février 2009, Jim Fair -porte-parole des Légionnaires du Christ aux États-Unis, confirme que le P. Marcial Maciel a eu une liaison avec une femme dont il a eu une fille. «Nous sommes peinés et attristés pour toutes les souffrances que certains actes du P. Maciel ont provoquées à l'Église et à ses membres. La Croix rapporte, le 9 février, que «les Légionnaires du Christ admettent la double vie de leur fondateur».
Le 31 mars 2009, la Légion du Christ annonce qu'elle doit recevoir une visite apostolique par des évêques envoyés par le Vatican. Plusieurs prêtres de la congrégation la quittent en 2009, soulignant des manquements de leurs responsables dans l'élucidation des affaires concernant le père Maciel. Fin août 2009, l'existence de trois fils mexicains, nés d'une autre mère, est dévoilée par la presse ! En mars 2010, deux de ses fils dénoncent des viols commis à leur encontre par Maciel. La double vie du père Maciel, utilisant parfois une fausse identité, et gérant d'une façon opaque une fortune considérable, est de plus en plus mise au jour. Pour le sociologue et psychanalyste Fernando Gonzalez, auteur de deux ouvrages sur la Légion du Christ, son fondateur «était un calculateur rusé qui s'adaptait parfaitement à chaque situation». Une partie de la hiérarchie catholique est aussi très critique envers le père Maciel. Pour Edwin O'Brien, archevêque de Baltimore, Maciel est un «entrepreneur génial qui, avec des tromperies systématiques, a utilisé la Foi pour manipuler les autres en fonction de ses intérêts égoïstes».
Cette double vie pourrait avoir été protégée par certains membres de l’Ordre… Ainsi, par un vœu spécial, levé seulement en 2006 à la demande expresse du Saint-Siège, les prêtres de la congrégation s'obligeaient à ne pas critiquer leurs supérieurs. Plusieurs prêtres de la congrégation la quittent en 2009, soulignant des manquements de leurs responsables dans l'élucidation des affaires concernant le père Maciel. Le 15 mars 2010 la Légion du Christ annonce la fin de la phase d'enquête de visite apostolique qui avait commencé le 15 juillet 2009. Le 25 mars 2010, dans un communiqué signé par l'ensemble de sa direction, la Légion du Christ atteste la réalité des «actes d'abus sexuels sur des séminaristes mineurs» dont le père Maciel était accusé. Les signataires déclarent: «Nous voulons demander pardon à toutes les personnes qui l’ont accusé dans le passé, que nous n’avons pas crues et que nous n’avons pas su écouter, car à cette époque nous ne pouvions pas imaginer de tels comportements.»
Le 30 avril 2010, les évêques chargés de l'enquête apostolique rendent leur rapport au pape. D'après un communiqué du Saint-Siège, publié le 1er mai, des comportements très graves et objectivement immoraux du père Maciel sont confirmés par des témoignages incontestables. Ils se «présentent parfois comme de vrais délits et démontrent une vie sans scrupules ni authentique sentiment religieux». Le communiqué mentionne aussi que «le fondateur avait créé autour de lui un mécanisme de défense qui l'a rendu inattaquable pendant longtemps». D'après plusieurs vaticanistes, les dirigeants de la congégation sont remis en cause, le Saint-Siège dénonçant implicitement une époque d'occultation. Un délégué du Saint-Siège va être nommé pour procéder à des réformes au sein de la congrégation. L'identité de la congrégation, et son exercice de l'autorité doivent notamment être redéfinis».
david33
Merci saint esprit, alléluia ❤️❤️🔥🔥
Guiharan
Ce père Antoine Coelho, fondateur de la Maison de l’Esprit-Saint (« Holy spirit house ») au Castellet (Var), a été suspendu de son ministère et interdit d’exercer le sacerdoce le 7 mars 2023 par Mgr Dominique Rey « pour des raisons doctrinales et morales ». Ce prêtre franco-portugais, ancien Légionnaire du Christ, a « reconnu et confirmé son intention d’épouser et de fonder une famille avec …Plus
Ce père Antoine Coelho, fondateur de la Maison de l’Esprit-Saint (« Holy spirit house ») au Castellet (Var), a été suspendu de son ministère et interdit d’exercer le sacerdoce le 7 mars 2023 par Mgr Dominique Rey « pour des raisons doctrinales et morales ». Ce prêtre franco-portugais, ancien Légionnaire du Christ, a « reconnu et confirmé son intention d’épouser et de fonder une famille avec une femme de nationalité espagnole qu’il affirme être « l’incarnation » de l’Esprit Saint ». Sa communauté a fermé ses portes.
Var : un prêtre suspendu parce qu’il voulait épouser une femme
shazam
Voir ce monsieur, sans le son :
un gestuel d'insistance excécrable ! (à éviter !!!) et que l'on voit chez les politiciens qui veulent à tout prix imposer leur point de vue, et chez certains dictateurs aussi, tel Mussolini.
Quoi qu'il soit, quoi qu'il dise, une personne à fuir. Ne surtout pas donner du pouvoir à ce genre de personne.Plus
Voir ce monsieur, sans le son :

un gestuel d'insistance excécrable ! (à éviter !!!) et que l'on voit chez les politiciens qui veulent à tout prix imposer leur point de vue, et chez certains dictateurs aussi, tel Mussolini.

Quoi qu'il soit, quoi qu'il dise, une personne à fuir. Ne surtout pas donner du pouvoir à ce genre de personne.
jean pierre aussant
Le ne le sens pas du tout ce type.
Elie M.