Mais la messe est toujours en latin (sinon c'est autre chose) ! Regardez la chronologie satanique de Vatican II : ils inventent en 1968 un nouveau rite pour leurs soi-disant "ordinations" juste... quelques mois avant la promulgation du nouvel ordo missae en 1969 parce qu'ils savent très bien qu'en l'absence de transsubstantiation dans leur doctrine luthérienne..... il n'est plus besoin de prêtres !!! Aussi incroyable que cela puisse paraître...... ça fait 50 ans cette année que les conciliaires (comme on les appelle) n'ont plus de prêtres et plus d'évêques (l'ancien rite des sacres ayant été également remplacé par un nouveau en 68 je crois).
Mais alors où sont les prêtres ? Eh bien ce sont ceux ordonnés par Mgr Lefebvre dans la Fraternité Saint Pie X (et non dans la Fraternité Saint Pierre) mais le problème est que même s'ils ont conscience que François ne peut pas être assisté du Saint-Esprit (c'est le moindre que l'on puisse dire) ils le reconnaissent quand-même comme Vicaire du Christ avec obligation de lui désobéir du matin au soir (probablement pour préserver la succession apostolique et la visibilité de l'Eglise).
Alors l'étau se resserre..... il n'y a plus que les rares prêtres, toujours ordonnés par Mgr Lefebvre, mais sortis de cette Fraternité ! On laissera de côté les prêtres ordonnés par les 4 évêques illégitimes de Mgr Lefebvre et tous les autres évêques issus de Mgr Thuc (dont le père Guérard des Lauriers contre le sacre duquel s'étaient élevés en 1982 le père Barbara et le père Vinson) : ils sont entrés dans la Bergerie par ailleurs que par la Porte, et Notre Seigneur les traite..... de voleurs.

@Ne nous laisser pas succomber Ce que je veux dire c'est qu'il ne sert à rien de célébrer "l'ancienne Messe"si l'ordination du prêtre n'est pas valide, c'est à dire faite dans "l'ancien rite", de même pour le sacre de l'évêque. Ceux qui ont participer à "l'opération survie", sont maintenant heureux d'être "normalisés", voilà le drame. Et comme je l'ai déjà dit, il faut aussi prêcher la doctrine qui va avec, légèrement rigide et qui n'est pas tout à fait celle de François.