François souhaite une reconnaissance œcuménique d'une "papauté sans contenu".
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Intitulé "L'évêque de Rome", il a été signé par François. Le texte présente une synthèse historique et descriptive des développements et des opinions sur la papauté.
Koch espère une "nouvelle compréhension" de la papauté qui pourrait être "reconnue par tous les intéressés", ce qui inclut d'innombrables groupes schismatiques et hérétiques.
Le pape ne devrait être accepté par les nombreuses sectes chrétiennes qu'en tant que "chef honoraire", avec une sorte de "primauté de la proclamation et du témoignage".
Sous le sous-titre "Principes pour l'exercice de la primauté au 21ème siècle", le texte suggère un changement dans la compréhension de la papauté qui serait au service de l'"œcuménisme" et de la "synodalité". La "synodalité" est un autre terme pour le conciliarisme, la croyance que les conciles ont une plus grande autorité que le pape, qui a été condamnée par le concile de Bâle-Ferrara-Florence au 15ème siècle.
Le document présente "l'interdépendance mutuelle de la primauté et de la synodalité à chaque niveau de l'Église et la nécessité qui en découle d'un exercice synodal de la primauté" comme un "accord général".
La synodalité devrait signifier donner plus de pouvoir aux niveaux "régionaux" de l'Église, et "une 'décentralisation' continue inspirée par le modèle des anciennes Églises patriarcales [qui étaient sous la papauté]".
Cela inclut une réflexion sur l'autorité [= le pouvoir] des conférences épiscopales nationales.
Le cœur du document est un appel, au numéro 178, à "une 'relecture', une 'réinterprétation', une 'interprétation officielle', un 'commentaire actualisé' ou même une 'reformulation' catholiques des enseignements de Vatican I". Au contraire, la "Primauté juridictionnelle" de Vatican I a défini comme un dogme le pouvoir suprême, plein, immédiat et universel du pape sur toute l'Église.
Le document ajoute : "Ces enseignements étaient profondément conditionnés par leur contexte historique [= "erronés" aujourd'hui], et suggèrent que l'Église catholique devrait rechercher de nouvelles expressions et un nouveau vocabulaire fidèles à l'intention originale, mais intégrés dans une ecclésiologie de communio et adaptés au contexte culturel et œcuménique actuel."
Le paragraphe 179 suivant tente de limiter le pouvoir papal à la ville de Rome : "Un accent plus marqué sur l'exercice du ministère du pape dans son Église particulière, le diocèse de Rome, mettrait en évidence le ministère épiscopal qu'il partage avec ses frères évêques et renouvellerait l'image de la papauté."
Enfin, l'unicité de l'Église est attaquée : Il semble particulièrement nécessaire de clarifier le sens de l'expression "Église universelle".
Il est clair que ces propositions ne peuvent être mises en œuvre sous François, qui prône le centralisme, l'autoritarisme et la tyrannie.
Traduction de l'IA
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