Article 20 : La perte du pontificat « ipso facto »

Article 20 : La perte du pontificat « ipso facto » ?

Résumé de l’article 19 :

« Si l'on suivait la bulle de Paul IV et si les prescriptions dans le § 6 étaient vraiment de droit divin comme l'avancent péremptoirement, mais fort inintelligemment, les sédévacantistes, tout le mouvement traditionaliste serait... sans évêques et bien sûr sans prêtres (Mgr Lefebvre ayant été sacré par le Cal Liénart, ce dernier étant réputé franc-maçon, son sacre était donc invalide).

Mais, à la limite, ce ne serait pas vraiment « grave », bien sûr, pour un sédévacantiste qui se respecte, et qui n’est pas à cela près d’invalider le sacre de Mgr Lefebvre...
Autre conséquence : la disparition de l'Eglise catholique au VI° siècle : selon les prescriptions du § 6 de ladite bulle, en effet, l'Église aurait disparu dès... le sixième siècle, sous le pape Vigile (538-555) ».

La cause est entendue : la bulle de Paul IV n’est d'ailleurs plus en vigueur dans la loi de l’Eglise à l’heure actuelle. Il ne suffit pas d’exhumer une authentique Bulle de 1559 comme « valable à perpétuité » (c’est-à-dire tant qu’un autre pape ne modifie pas ses prescriptions par un autre document) pour la déclarer applicable aujourd’hui. Démonstration complète ici :

La Bulle de Paul IV Cum ex apostolatus dans la crise actuelle par MORLIER (Laurent) | Chiré

Pour conclure cet article 19 historique sur la bulle de Paul IV, « que le lecteur saisisse bien que dans la critique du très-funeste § 6 de la bulle de Paul IV, il n’y avait nullement l'intention de discréditer la très-sacrée et très-sainte autorité pontificale.

Il ne s’agit que défendre le droit divin de l'Église et du Saint-Siège contre la faute de faiblesse très-excusable voire même... édifiante (quant à la motivation et au contexte), de papes accidentellement défaillants pour vouloir trop humainement le Bien de l'Église. Tout chrétien doit s'affliger d'une défaillance humaine du Pape sans pour autant le déchoir de sa position de chef de l’Église comme le font certains catholiques bcbg qui ont par-dessus le marché l'outrecuidance de le mépriser, du haut de leur position hérétique ».

Aucun pape dans l’Histoire de l’Eglise ne fut un formel hérétique, contrairement à ce qu’avancent les shismatiques de tous poils pour Honorius.
Honorius Ier et le monothélisme

Qu’en est-il de la perte du pontificat en cas d’hérésie ? Que prévoit l’Eglise si par impossible ce cas se présentait ?

Article 20 : la perte du pontificat ipso facto

« Toutes les erreurs ne sont pas des hérésies.

L’hérésie est la négation obstinée ou le doute d’une vérité qui doit être crue par la foi divine et catholique (cf. can. 751).

Les seules vérités qui requièrent l’assentiment de la foi divine et catholique sont les dogmes, c’est-à-dire les vérités formellement révélées qui ont été infailliblement proposées par le Magistère comme étant révélées. La négation de toute autre vérité, qu’elle ait été enseignée par le Magistère avec autorité ou même infailliblement, n’est pas une hérésie au sens strict du terme.

Saint Robert Bellarmin évoque également deux catégories d’hérétiques, à savoir les hérétiques notoires (ou « manifestes ») et les hérétiques occultes.

Les hérétiques occultes sont, ceux qui, par un acte purement intérieur, ne croient pas aux dogmes de foi proposés par l’Église. Sont également occultes ceux qui manifestent leur hérésie par des signes extérieurs, mais non par une profession publique (c’est-à-dire notoire).

Beaucoup d’hommes de notre temps appartiennent à cette dernière catégorie, à savoir ceux qui doutent ou ne croient pas positivement aux questions de foi, et qui ne dissimulent pas leur état d’esprit dans les affaires privées de la vie, mais qui n’ont jamais expressément renoncé à la foi de l’Église, et qui, lorsqu’on les interroge catégoriquement sur leur religion, déclarent de leur propre chef qu’ils sont catholiques ».

Le cardinal Billot fournit la base théologique de cette vérité. Après avoir expliqué que « seuls les hérétiques notoires sont exclus du corps de l’Église », il écrit :

« Aussi longtemps donc que l’hérésie n’est pas professée ouvertement [c’est-à-dire profession notoire], mais qu’elle reste dans l’esprit, ou qu’elle se borne à des manifestations qui ne suffisent pas à la notoriété, elle n’empêche nullement d’être uni à la structure visible de l’Église.

Et par le fait même le caractère baptismal, par lequel nous sommes faits pour être du corps de l’Église, continue nécessairement à produire son effet, ou plutôt conserve son corollaire naturel, puisqu’il n’y a encore rien de contraire qui puisse l’empêcher ou l’expulser ».

Si l’hérésie n’est pas notoire, le caractère baptismal continue à produire l’effet d’unir la personne au Corps de l’Église et n’a donc pas d’effet juridique sur la relation de la personne avec l’Église dans le for externe.

Même les sédévacantistes bien informés admettent volontiers qu’aucun des papes récents n’a été un hérétique notoire (ou manifeste). Par exemple, après avoir expliqué que « la notoriété exige que non seulement le fait du crime soit publiquement connu, mais aussi son imputabilité (cf. canon 2197) », l’évêque Sanborn admet que l’hérésie n’a été « publique en ce qui concerne l’imputabilité » chez aucun des « papes conciliaires ».

Puisqu’il reconnaît que cet élément essentiel de notoriété fait défaut, il admet également que les papes récents (et les évêques en union avec eux) sont tous restés des membres légaux (ou membres extérieurs de l’Église), puisque, comme il l’explique, « ceux qui ont reçu le baptême catholique sont légalement membres de l’Église jusqu’à ce qu’ils cessent de l’être »
par « hérésie persistante et notoire ».

Si aucun des « papes conciliaires » n’a été un hérétique notoire et est resté un « membre légal » de l’Église, comme l’admet volontiers Sanborn, même si jamais l’un ou plusieurs d’entre eux auraient été coupables du péché mortel d’hérésie, ils n’auraient été que des hérétiques occultes, et non des hérétiques « manifestes » (c.-à-d. notoires).

Par conséquent, ils n’auraient pas été déposés ipso facto selon la Cinquième Opinion de saint Bellarmin.

« En résumé, si un catholique tombe dans le péché d’hérésie formelle et même « le manifeste par des actes extérieurs », cela n’aura aucun effet juridique dans le for extérieur, à moins que les actes extérieurs suffisent à la notoriété.

Si son hérésie n’est pas considérée comme légalement prouvée, il reste un « membre légal » de l’Église ; et le fait d’être joint au Corps de l’Église légalement est tout ce qui est requis pour exercer une fonction dans l’Église et pour répondre à la définition de Bellarmin d’un véritable membre de l’Église.

L’Église peut déclarer un vrai pape coupable d’hérésie – Comment Dieu prive un pape hérétique de sa juridiction « par l’intermédiaire des hommes »

Si un Pontife romain tombe dans l’hérésie, mais ne s’est pas « séparé publiquement de l’Église », il conservera sa juridiction, sa dignité et son titre de chef de l’Église, jusqu’à ce qu’il soit « déclaré coupable d’hérésie ».

La déclaration par l’Eglise est une condition (mais pas une cause) de la perte du pontificat. Il ne s’agit pas d’une déclaration post factum selon laquelle un ancien « pape » est déjà déchu de son pontificat, mais d’un jugement selon lequel le pape régnant actuellement – qui conserve sa juridiction, sa dignité et son titre – est un hérétique.

Ce n’est que si le pape hérétique est reconnu coupable d’hérésie que sa juridiction lui est « retirée par Dieu ».

Dans le cas contraire, il reste pape. C’est l’enseignement de saint Robert Bellarmin et on le retrouve tout au long de ses écrits.

Saint Robert Bellarmin n’exclut pas la nécessité d’un jugement antérieur pour qu’un pape hérétique soit ipso facto déposé. Au contraire, sauf dans le cas extrême d’un pape qui se sépare publiquement de l’Église, il exige un jugement antérieur de l’Église (un Concile) comme condition pour que la perte de la charge ait lieu. La raison pour laquelle la déclaration de culpabilité par l’Eglise est une condition pour qu’un « hérétique manifeste soit ipso facto déposé » est que le pape hérétique devient un « hérétique manifeste » (hérétique notoire) lorsqu’il est déclaré coupable d’hérésie, et c’est donc à ce moment-là qu’il est « destitué par Dieu », ou « ipso facto déposé ».

Le pape doit être légitimement déclaré coupable d’hérésie par les cardinaux ou les évêques lors d’un concile – soit lors d’un concile parfait, si le pape le convoque lui-même, soit lors d’un concile imparfait, s’il refuse de le faire.

Il va sans dire que tout cela contredit directement la façon dont certains apologistes ont interprété saint Robert Bellarmin. Ils l’ont interprété comme enseignant que l’Église n’a aucun rôle à jouer dans la chute du pontificat d’un pape hérétique (sic !).

« Juger » le Pape

Un pape ne peut jamais être véritablement jugé, comme un supérieur juge un inférieur.

Par conséquent, les évêques réunis en concile ne peuvent jamais exercer de juridiction ou de pouvoir coercitif sur le pape, tant qu’il reste pape.

L’immunité de jugement du pape, qui fait partie de la loi divine, n’admet aucune exception, même en cas d’hérésie. La difficulté à laquelle sont confrontés les théologiens est d’expliquer comment l’Église peut légalement établir le fait qu’un pape est tombé dans l’hérésie, sans violer son immunité de jugement personnel.

« la déposition d’un pape ne peut donc pas se faire directement, par voie de jugement et de punition, puisque le pape n’a pas de supérieur sur terre par qui il pourrait être puni ».

Suarez :

« Nous nions donc que l’Église puisse exercer un pouvoir coercitif sur le Pontife, que ce soit par la censure ou de toute autre manière, à moins qu’il ne tombe d’abord du pontificat […].

Car tant qu’il reste un vrai Pape, il a juridiction sur toute l’Église, même prise ensemble ; et donc, par nécessité, il est de droit divin spirituellement exempt, c’est-à-dire qu’il n’est pas soumis à un pouvoir spirituel supérieur en dehors du Christ, parce qu’un tel pouvoir ne se trouve pas dans le monde. »

Pourtant, les évêques réunis en concile peuvent « déclarer » un pape coupable d’hérésie (Bellarmin) et le « déclarer » hérétique (Suarez), alors qu’il reste pape, et même le déposer indirectement (Jean de Saint-Thomas), ce qui nécessite évidemment une forme de jugement antérieur de la part du Concile.

Comment peuvent-ils à la fois affirmer et nier qu’un pape puisse être jugé ?

La réponse se trouve dans une distinction entre deux formes de jugements juridiques.

Deux formes de jugement – discrétionnaire et coercitif

Dans De Concilio, saint Robert Bellarmin distingue les deux pouvoirs nécessaires au jugement (discrétionnaire et coercitif) et les deux modes de jugement juridique. Il commence par expliquer qu’un « jugement parfait » requiert les deux pouvoirs :

1) Premièrement, le pouvoir [discrétionnaire] de discuter de l’affaire et de discerner ou de juger ce qui doit être fait.

2) Deuxièmement, le pouvoir [coercitif] de contraindre celui qui manque à obéir au jugement qui lui est imposé.

Dans le for ecclésiastique, ces deux pouvoirs (discrétionnaire et coercitif) correspondent aux deux facettes des « clés » (savoir et pouvoir) et sont reçus avec juridiction.

Les membres de l’épiscopat jouissent de ces deux pouvoirs en vertu de leur fonction : le pouvoir discrétionnaire est le pouvoir d’enquêter sur une affaire et de rendre un verdict ; le pouvoir coercitif est le pouvoir de lier et de délier (par exemple, de retenir et d’absoudre les péchés dans le sacrement de Pénitence), ou de contraindre, de punir ou d’imposer une sentence coercitive (c’est-à-dire une censure ecclésiastique).

Saint Robert Bellarmin explique qu’un juge proprement dit possède les deux pouvoirs.
Un arbitre, en revanche, n’a que le pouvoir discrétionnaire. Un arbitre a l’autorité légale d’examiner les faits d’une affaire, de parvenir à un jugement et de décider ce qui doit être fait, mais il n’a pas le pouvoir coercitif nécessaire pour imposer la sentence ou punir la partie ‘suspectée’.

Le jugement d’un arbitre est dit discrétionnaire. Le « jugement parfait » d’un véritable juge est appelé jugement coactif (les deux pouvoirs agissant) ou coercitif.

Dans le cas d’un pape hérétique, l’Église (c’est-à-dire les cardinaux ou les évêques réunis en concile) a le « pouvoir de discuter de l’affaire » et de « discerner » si les accusations d’hérésie portées contre le pape sont vraies ou fausses (jugement discrétionnaire).

Ce premier jugement (antécédent) de l’Église, qui évalue les preuves et vérifie les faits, n’est pas coercitif et n’exerce aucune autorité juridictionnelle sur le pape. Il s’agit uniquement de l’exercice d’un pouvoir discrétionnaire.

Il peut être comparé à celui d’un jury qui juge les faits d’une affaire ou, comme le dit saint Robert Bellarmin, à celui d’un arbitre d’une affaire, car ni un jury ni un arbitre n’ont le pouvoir coercitif de contraindre.

Ce n’est qu’une fois que le pape est déchu de son pontificat (après que sa juridiction lui a été « retirée par Dieu » -par l’intermédiaire des hommes) qu’il peut être jugé avec un jugement coactif (coercitif) – c’est-à-dire jugé et puni – puisqu’il n’est alors plus pape.

Ce second jugement (conséquent) est celui d’un juge proprement dit, puisque seul un juge peut contraindre et punir.

En vertu du droit divin, le pape ne peut faire l’objet d’un jugement coercitif, mais seulement d’un jugement discrétionnaire

L’immunité de jugement du pape, qui fait partie de la loi divine, comporte deux aspects :

1) premièrement, elle empêche que les décisions judiciaires définitives du pape fassent l’objet d’un appel devant un concile (Cf. Pastor Aeternus, Denz. 3063) ;

2) deuxièmement, elle exempte le pape du pouvoir coercitif de l’Église (ou de l’État).

Par conséquent, un pape ne peut jamais être légitimement soumis à un jugement judiciaire coercitif, même s’il le voulait. Mais la loi divine n’empêche pas qu’un pape puisse être jugé par un jugement discrétionnaire.

Bellarmin le prouve par les cas historiques du pape Léon IV (‘Nos si incompetenter’ 2, q.7), Sixte III (‘Mandasti’ 2, quaest. 5), Léon III (ch. ‘Auditum’) et de plusieurs autres papes, qui, accusés de divers crimes, se sont soumis au jugement discrétionnaire des conciles ou des empereurs.

Le pape Léon IV a même accepté à l’avance d’obéir à la décision qui serait rendue. Bellarmin a déclaré que dans un tel cas (accepter à l’avance d’obéir à la décision), le pape est moralement tenu d’obéir à la décision, mais qu’il ne peut pas être légalement contraint de le faire.

En réponse à ceux qui soutenaient qu’un pape pouvait être jugé par un jugement coactif, et faisaient appel au cas de Léon IV pour le prouver, Bellarmin a expliqué que « Léon s’est seulement soumis au jugement discrétionnaire de l’empereur, et non à un jugement coactif ». (De Romano Pontifice, lib. 2, ch. 29).

Normalement, les faits ou les accusations concernant un pape ne peuvent faire l’objet d’un jugement discrétionnaire par les évêques lors d’un concile que si le pape s’y soumet volontairement, mais il y a une exception dans le cas d’un pape hérétique, ou d’un schisme dû à plusieurs papes douteux.

Saint Robert Bellarmin enseigne que le simple soupçon d’hérésie, ou une accusation d’infidélité contre un pape, justifie que les évêques ou les cardinaux se réunissent en concile – même sans le consentement du pape – pour examiner les faits et rendre un verdict.

Suarez explique que le droit d’examiner le cas d’un pape hérétique a été concédé à l’Église par Dieu comme une défense juste et nécessaire dans le cas d’un pape hérétique :

« Bien qu’en cas d’hérésie il puisse être déposé, il ne l’est pas en vérité par un homme, mais par Dieu lui-même, après la déclaration d’un Concile légitime.

Et de cette façon, il n’y a pas de soumission volontaire de la personne du Pontife, ni même de contrainte involontaire tant qu’il est Pontife, mais seulement la connaissance et l’examen de la cause [pouvoir discrétionnaire], que lui-même dans ce cas ne peut pas justement empêcher, parce qu’elle a été concédée par Dieu comme une défense juste et nécessaire. »

Seul pouvoir nécessaire pour enquêter légalement sur des faits ou des accusations et parvenir à un jugement légal est le pouvoir discrétionnaire (clavis scientiae).

Comme l’explique saint Thomas d’Aquin, le pouvoir discrétionnaire est « l’autorité de juger ». (Suppl, q. 17, a. 3, ad 2) – non pas le pouvoir d’imposer une peine coercitive ou de punir (clavis potentiae).

Mais simplement le pouvoir d’enquêter légitimement sur une affaire et de rendre une décision".

Fin de la première partie.
jean-yves macron
@steack Vous avez été modéré - et non pas (pas encore) bloqué, pour insultes et vulgarités. J'aurais laissé vos commentaires si vous n'aviez pas "pété les plombs".
Je ne refuse pas de discuter sur des arguments à condition qu’ils ne soient pas parsemés de gentillesses du genre : « papolâtres ! », « hérétique moderniste ! », « conciliaire !», « Hérétique et MENTEUSE ! », « cet hypocrite ! …Plus
@steack Vous avez été modéré - et non pas (pas encore) bloqué, pour insultes et vulgarités. J'aurais laissé vos commentaires si vous n'aviez pas "pété les plombs".

Je ne refuse pas de discuter sur des arguments à condition qu’ils ne soient pas parsemés de gentillesses du genre : « papolâtres ! », « hérétique moderniste ! », « conciliaire !», « Hérétique et MENTEUSE ! », « cet hypocrite ! » qui « tortille des fesses ! » et j’en oublie quant à la forme poétique de l’expression - un peu allumée, tout de même.
Quant au fond, il serait intéressant de comparer votre « doctrine » avec celle du rigorisme janséniste ou puisque vous aimeriez bien me passer à "la Question", à celle qui avait cours aux plus sombres périodes de l’Histoire de l’Eglise.

Adorons-nous le même Dieu (Deus caritas est ?), ce Jésus Christ doux et humble, celui qui fût continuellement en bute aux rigueurs des Pharisiens ?

PS : parceque vous me traitez de "vierge effarouchée hypocrite", votre dernier commentaire va aussi passer à la trappe. A +
steack partage ceci
124
Partage pour contourner la censure prévisible de Jean Yves Macron qui ne supporte plus la saine doctrine et se donne des airs de vierge effarouchée quand on montre ses hypocrisies, ses faux semblants et ses contre vérités concernant tant les papes que ses contradicteurs.
steack
jean-yves macron
Comme notre ami @steack s'est plaint que j'ai supprimé certains de ses commentaires, je signale que je ne supprime que les commentaires qui contiennent des vulgarités ou des insultes, à mon encontre ou à l'encontre d'autres contributeurs. Sans justification.
Quand je dois supprimer un commentaire parce qu’il est hors sujet ou pour d'autres raisons, je tâche d'en préciser les motifs en adressant …Plus
Comme notre ami @steack s'est plaint que j'ai supprimé certains de ses commentaires, je signale que je ne supprime que les commentaires qui contiennent des vulgarités ou des insultes, à mon encontre ou à l'encontre d'autres contributeurs. Sans justification.

Quand je dois supprimer un commentaire parce qu’il est hors sujet ou pour d'autres raisons, je tâche d'en préciser les motifs en adressant un petit mot à la personne concernée, en toute amitié.
Merci de votre compréhension.
Arthur De la Baure
"Sont également occultes ceux qui manifestent leur hérésie par des signes extérieurs, mais non par une profession publique (c’est-à-dire notoire)".
Les hérésies sont notoires à un niveau jamais egalé dans l'histoire, a tel point qu'elles sont devenues le fondement d' un nouveau christianisme. Toutes les autorites conciliaires adhérants, professants, appliquants et enseignants aux fidèles les …Plus
"Sont également occultes ceux qui manifestent leur hérésie par des signes extérieurs, mais non par une profession publique (c’est-à-dire notoire)".
Les hérésies sont notoires à un niveau jamais egalé dans l'histoire, a tel point qu'elles sont devenues le fondement d' un nouveau christianisme. Toutes les autorites conciliaires adhérants, professants, appliquants et enseignants aux fidèles les réformes conciliaires fondées sur des propositions hérétiques issues du concile et célébrant une liturgie publique fondee sur ces hérésies, font profession publique d'hérésie, le "pape en tête.

Code de droit canonique de 1917, ca. 2197.1 : « [Un délit est] “public” s’il est déjà divulgué ou s’il s’est produit ou se présente dans des circonstances telles qu’on puisse juger avec prudence qu’il doive facilement être divulgué. »
Arthur De la Baure
citations confirmant que l'heresiarque est hors de L'Église sans pour autant qu'il faille une sentence déclaratoire :
Tt 3:10:"-
Quant à l'homme hérétique, après un premier et un second avertissement, romps avec lui."
Code de Droit Canonique de 1917, ca. 2314: « Tous les apostats de la foi chrétienne, tous les hérétiques ou schismatiques et chacun d'eux : 1) Encourent par le fait même une …Plus
citations confirmant que l'heresiarque est hors de L'Église sans pour autant qu'il faille une sentence déclaratoire :

Tt 3:10:"-
Quant à l'homme hérétique, après un premier et un second avertissement, romps avec lui."

Code de Droit Canonique de 1917, ca. 2314: « Tous les apostats de la foi chrétienne, tous les hérétiques ou schismatiques et chacun d'eux : 1) Encourent par le fait même une excommunication... »

Pape Pie VI, Auctorem fidei ; : « De même (la proposition) qui affirme qu'il est nécessaire selon les lois naturelles et divines que, soit pour l'excommunication, soit pour la suspense, il y ait un examen personnel préalable, et que par conséquent les sentences dites ipso facto n'ont pas d'autre portée que celle d'une menace sérieuse sans aucun effet actuel, (est) fausse, téméraire, pernicieuse, injurieuse pour l'autorité de l'Église, erronée. »

St. Robert Bellarmin, De Romano Pontifice, II, 30, parlant d’un postulant à la fonction papale : « Car, en premier lieu, il est prouvé par des arguments d'autorité et de raison que l'hérétique manifeste est déposé ipso facto. L'argument d'autorité est fondé sur saint Paul (Tite 3:10), qui ordonne d'éviter l'hérétique après deux avertissements, c'est-à-dire après s’être montré manifestement obstiné — ce qui signifie avant toute excommunication ou sentence judiciaire. Et ceci est ce qu’écrit saint Jérôme, ajoutant que les autres pécheurs sont exclus de l’Église par sentence d’excommunication, mais que les hérétiques s’exilent eux-mêmes et se séparent eux-mêmes, par leurs propres actes, du corps du Christ. »
Arthur De la Baure
Mais encore
L'encyclopédie catholique américaine, « Hérésie ; » 1914 : « Le pape lui-même, si notoirement coupable d'hérésie, cesserait d'être pape parce qu’il cesserait d'être un membre de l'Église. »
St. Robert Bellarmin, Cardinal et Docteur de l’Église : « Un pape qui est un hérétique manifeste cesse automatiquement (per se) d'être le pape et la tête, de la même façon qu'il cesse …Plus
Mais encore

L'encyclopédie catholique américaine, « Hérésie ; » 1914 : « Le pape lui-même, si notoirement coupable d'hérésie, cesserait d'être pape parce qu’il cesserait d'être un membre de l'Église. »

St. Robert Bellarmin, Cardinal et Docteur de l’Église : « Un pape qui est un hérétique manifeste cesse automatiquement (per se) d'être le pape et la tête, de la même façon qu'il cesse automatiquement d'être un chrétien et un membre de l'Église. C’est pourquoi il peut être jugé et puni par l’Église. C'est l’enseignement de tous les anciens Pères, qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute juridiction. »

St. François de Sales, Docteur de l'Église ; 17e siècle : « … Or, quand il [le pape] est hérétique exprès, ipso facto, il tombe de son grade hors de l’Église… »


Sentence tres importante marquant le bon sens catholique

St. Robert Bellarmin, De Romano Pontifice, II, 30 : « ... car les hommes ne sont pas tenus, ou capables de lire dans les cœurs ; MAIS QUAND ILS VOIENT QUE QUELQU'UN EST UN HÉRÉTIQUE PAR SES ŒUVRES EXTERNES, ILS JUGENT PUREMENT ET SIMPLEMENT QU'IL EST UN HÉRÉTIQUE, ET LE CONDAMNENT COMME UN HÉRÉTIQUE.
1 autre commentaire de Arthur De la Baure
Arthur De la Baure
Vos prélats
Le cardinal Raymond Burke a déclaré dans une interview de CatholicWorldReport.com (19 décembre 2016) : ""Si un pape proférait formellement une hérésie, il cesserait, par cet acte, d'être le pape. C’est automatique
Le Cardinal Müller a déclaré lifesitenews: "Le pape perdrait automatiquement sa fonction s’il devenait hérétique.Un pape pourrait devenir hérétique en tant que …
Plus
Vos prélats

Le cardinal Raymond Burke a déclaré dans une interview de CatholicWorldReport.com (19 décembre 2016) : ""Si un pape proférait formellement une hérésie, il cesserait, par cet acte, d'être le pape. C’est automatique

Le Cardinal Müller a déclaré lifesitenews: "Le pape perdrait automatiquement sa fonction s’il devenait hérétique.Un pape pourrait devenir hérétique en tant que personne privée et ainsi perdre automatiquement sa fonction si la contradiction avec la révélation et l’enseignement dogmatique de l’Église est évidente ".

Il poursuit : « C’est l’opinion de tous les Pères anciens, poursuit Bellarmin, qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute juridiction, et notamment celle de saint Cyprien (lib. 4, épist. 2) qui parle ainsi de Novatien, qui fut pape [antipape] dans le schisme survenu pendant le pontificat de saint Corneille : « Il ne pouvait pas conserver l’épiscopat et, s’il avait été fait évêque auparavant, il s’était séparé du corps de ceux qui étaient comme lui évêques et de l’unité de l’Église ».

« Selon ce que saint Cyprien affirme dans ce passage, même si Novatien avait été le vrai et légitime pape, il serait automatiquement tombé du pontificat, s’il s’est séparé de l’Église », a déclaré Bellarmin, ajoutant que « [l]e fondement de cet argument est que l’hérétique manifeste n’est en aucune façon membre de l’Église, c’est-à-dire ni spirituellement ni corporellement, ce qui signifie qu’il ne l’est ni par union interne ni par union externe. »
jean-yves macron
@Arthur De la Baure
De quelles hérésies "notoires" les papes modernes se sont-ils rendus coupables ?Plus
@Arthur De la Baure

De quelles hérésies "notoires" les papes modernes se sont-ils rendus coupables ?
Arthur De la Baure
Les hérésies sont notoires à un niveau jamais egalé dans l'histoire, a tel point qu'elles sont devenues le fondement d' un nouveau christianisme. Toutes les autorites conciliaires adhérants, professants, appliquants et enseignants aux fidèles les réformes conciliaires fondées sur des propositions hérétiques issues du concile et célébrant une liturgie publique fondee sur ces hérésies, font …Plus
Les hérésies sont notoires à un niveau jamais egalé dans l'histoire, a tel point qu'elles sont devenues le fondement d' un nouveau christianisme. Toutes les autorites conciliaires adhérants, professants, appliquants et enseignants aux fidèles les réformes conciliaires fondées sur des propositions hérétiques issues du concile et célébrant une liturgie publique fondee sur ces hérésies, font profession publique d'hérésie, le "pape en tête.

Nous en revenons toujours a la même question: rupture substantielle ( hérésies) de Vatican avec la doctrine catholique ou développement homogène.
Arthur De la Baure
Exemple: Acte d'accusation pour hérésies formelles de François venant des conciliaires eux-memes ( 62 signataires)
"Correctio "

Au moyen de paroles, d’actions et d’omissions et par des passages du document « Amoris laetitia », Votre Sainteté a soutenu, de manière directe ou indirecte (avec quelle connaissance de cause, nous ne le savons pas et nous ne voulons pas en juger), les propositions …Plus
Exemple: Acte d'accusation pour hérésies formelles de François venant des conciliaires eux-memes ( 62 signataires)

"Correctio "

Au moyen de paroles, d’actions et d’omissions et par des passages du document « Amoris laetitia », Votre Sainteté a soutenu, de manière directe ou indirecte (avec quelle connaissance de cause, nous ne le savons pas et nous ne voulons pas en juger), les propositions fausses et hérétiques suivantes, propagées dans l’Eglise aussi bien de façon officielle que par acte privé :
1. « Une personne justifiée n’a pas la force avec la grâce de Dieu d’accomplir les commandements objectifs de la loi divine, comme si certains commandement étaient impossibles à observer pour celui qui est justifié ; ou comme si la grâce de Dieu, en produisant la justification d’un individu, ne produisait pas invariablement et par sa nature la conversion de tout péché grave, ou comme si elle ne suffisait pas à la conversion de tout péché grave. »
2. « Les chrétiens qui ont obtenu le divorce civil de leur conjoint avec lequel ils étaient validement mariés et ont contracté un mariage civil avec une autre personne (alors que leur conjoint était en vie) ; ceux qui vivent ‘more uxorio’ avec leur partenaire civil et ont choisi de rester dans cet état en toute conscience de la nature de leur action et en toute conscience de la volonté de demeurer dans cet état, ne sont pas nécessairement en état de péché mortel et peuvent recevoir la grâce sanctifiante et grandir dans la charité ».
3. « Un chrétien peut être pleinement conscient d’une loi divine et peut volontairement choisir de la violer dans une matière grave mais ne pas être en état de péché mortel comme résultat de cette ‘action’ ».
4. « Une personne, tout en obéissant à la loi divine, peut pécher contre Dieu en vertu de cette même obéissance ».
5. « La Conscience peut véritablement et correctement juger que parfois les actes sexuels entre des personnes qui ont contracté entre elles un mariage civil, bien que l’une ou deux d’entre elles soient sacramentellement mariées avec une autre personne, sont moralement bons, demandés ou commandés par Dieu ».
6. « Les principes moraux et les vérités morales contenues dans la Révélation Divine et dans la loi naturelle n’incluent pas d’interdits négatifs qui défendent absolument certains types d’actions qui par leur objet sont toujours gravement illicites ».
7. « Notre Seigneur Jésus Christ veut que l’Eglise abandonne sa discipline constante de refuser l’Eucharistie aux divorcés remariés et de refuser l’absolution aux divorcés remariés qui ne manifestent pas de repentir pour leur état de vie et une ferme intention de s’amender ».
Ces propositions contredisent toutes des vérités qui sont divinement révélées et que les catholiques doivent croire avec l’assentiment de la foi divine. […] Il est nécessaire pour le bien des âmes que leur condamnation soit rappelée par l’autorité de l’Eglise. En faisant la liste de ces sept propositions nous n’avons pas l’intention de donner une liste exhaustive des hérésies et erreurs qu’un lecteur sans préjugés, tentant de lire « Amoris laetitia » dans son sens naturel et obvie, pourrait de manière plausible estimer avoir été affirmées, suggérées ou favorisées par ce document. […] Nous cherchons plutôt à donner la liste des propositions que les paroles, les actions et les omissions de Votre Sainteté ont en effet soutenues et propagées, plaçant les âmes dans un danger grave et imminent.
En ces heures critiques, donc, nous nous tournons vers la « cathedra veritatis », l’Eglise romaine, qui par la loi divine a prééminence sur toutes les Eglises, et dont nous sommes et avons l’intention de rester toujours les enfants loyaux, et nous insistons respectueusement pour que Votre Sainteté rejette publiquement ces propositions, accomplissant ainsi le mandat que Notre Seigneur Jésus- Christ a donné à saint Pierre et à travers lui à tous ses successeurs jusqu’à la fin du monde : « J’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille pas ; et toi, quand tu seras converti, affermis tes frères. »(Luc, 22, 32)
Nous demandons respectueusement à Votre Sainteté sa bénédiction apostolique, avec l’assurance de notre dévouement filial en Notre Seigneur et de notre prière pour le bien de l’Eglise.
jean-yves macron
@Arthur De la Baure
De quelles hérésies "notoires" les papes modernes se sont-ils rendus coupables ?Plus
@Arthur De la Baure

De quelles hérésies "notoires" les papes modernes se sont-ils rendus coupables ?
Arthur De la Baure
Autre exemple venant de conciliaires
"Après les accusations lancées contre François qui pervertit le Magistère au travers d’au moins sept hérésies formelles, ce ne sont pas moins de deux textes qui accusent, à leur tour, le théologien Ratzinger, puis le pape Benoît XVI, de dérives hérétiques évidentes.
La première attaque portée ces derniers jours contre le théologien Ratzinger se trouve …
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Autre exemple venant de conciliaires

"Après les accusations lancées contre François qui pervertit le Magistère au travers d’au moins sept hérésies formelles, ce ne sont pas moins de deux textes qui accusent, à leur tour, le théologien Ratzinger, puis le pape Benoît XVI, de dérives hérétiques évidentes.
La première attaque portée ces derniers jours contre le théologien Ratzinger se trouve dans un livre « Au cœur de Ratzinger, au cœur du monde » qui vient de sortir de presse sous la plume d’Enrico Maria Radaelli. L’auteur est connu comme étant le plus fidèle disciple de Romano Amerio (1905–1997), le philosophe suisse qui, en 1985, avait publié « Iota Unum », l’accusation la plus systématique et la mieux argumentée contre l’Eglise catholique de la seconde moitié du vingtième siècle à laquelle il reproche d’avoir subverti les fondements de la doctrine au nom du subjectivisme moderne.
Le livre de Radaelli vient d’être éditée par Aurea Domus, l’éditeur dont ce même auteur est propriétaire auprès duquel il peut être acheté par courrier électronique ainsi que dans quelques librairies de Rome et de Milan.
Ce qui a décidé Radaelli à incriminer également la théologie de Ratzinger d’avoir été subversive c’est la lecture et l’analyse de son œuvre théologique la plus connue et la plus lue, « Einführung in das Christentum », Introduction au christianisme [paru en français sous le titre « La foi chrétienne hier et aujourd’hui », NdT]. Publié pour la première fois en 1968 avant d’être réédité des dizaines de fois et d’être traduit dans plusieurs langues jusqu’à aujourd’hui.
La seconde, encore plus frontale – au moins dans le titre – , est un texte de soutien au livre de Radaelli. Il s’intitule « L’eresia al potere » (l’hérésie au pouvoir) et provient de l’un des théologiens et philosophes les plus renommés, Mgr Antonio Livi, doyen émérite de la faculté de philosophie de l’Université pontificale du Latran, académicien pontifical et président de l’International Science and Commonsense Association.
En effet, selon Mgr Livi, Ratzinger et sa théologie ont contribué de façon notable à la montée en puissance de ce qu’il appelle « la théologie moderniste et sa dérive hérétique évidente » qui est devenue de plus en plus hégémonique dans les séminaires, les athénées pontificaux, les commissions doctrinales, les dicastères de la Curie ainsi qu’aux plus hauts échelons de la hiérarchie , jusqu’à la papauté.
Il en ressort qu’aujourd’hui, François n’est pas le seul pape à être la cible d’une « correction » pour hérésie puisque même son prédécesseur émérite n’est plus à l’abri.
Radaelli comme Livi figurent parmi les premiers signataires de la « correctio » adressée au Pape François l’été dernier. Et aujourd’hui également de celle contre Benoît XVI."
Sources : Diakonos.be /Settimo cielo /espresso repubblica.it
jean-yves macron
@Arthur De la Baure
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@Arthur De la Baure

De quelles hérésies "notoires" les papes modernes se sont-ils rendus coupables ?
Arthur De la Baure
St. Robert Bellarmin, De Romano Pontifice, II, 30, parlant d’un postulant à la fonction papale : « Car, en premier lieu, il est prouvé par des arguments d'autorité et de raison que l'hérétique manifeste est déposé ipso facto. L'argument d'autorité est fondé sur saint Paul (Tite 3:10), qui ordonne d'éviter l'hérétique après deux avertissements, c'est-à-dire après s’être montré manifestement …Plus
St. Robert Bellarmin, De Romano Pontifice, II, 30, parlant d’un postulant à la fonction papale : « Car, en premier lieu, il est prouvé par des arguments d'autorité et de raison que l'hérétique manifeste est déposé ipso facto. L'argument d'autorité est fondé sur saint Paul (Tite 3:10), qui ordonne d'éviter l'hérétique après deux avertissements, c'est-à-dire après s’être montré manifestement obstiné — ce qui signifie avant toute excommunication ou sentence judiciaire. Et ceci est ce qu’écrit saint Jérôme, ajoutant que les autres pécheurs sont exclus de l’Église par sentence d’excommunication, mais que les hérétiques s’exilent eux-mêmes et se séparent eux-mêmes, par leurs propres actes, du corps du Christ. »
jean-yves macron
Vous dites : "il est prouvé par des arguments d'autorité et de raison que l'hérétique manifeste est déposé ipso facto" :
Non. C'est plus compliqué que çà, surtout pour un pape.Plus
Vous dites : "il est prouvé par des arguments d'autorité et de raison que l'hérétique manifeste est déposé ipso facto" :

Non. C'est plus compliqué que çà, surtout pour un pape.
jean-yves macron
@Pierre Augustin
De bonnes intuitions dans votre commentaire flashy, mais encore une fois cette page est pour discuter par pour copier-coller des tartines hors sujet et des hérésies contre l’Église catholique :
Je retiens de ce que vous dites :
Oui : « La véritable Eglise fondée par Notre Seigneur Jésus-Christ se reconnaît à ce qui est dit dans la prière du Credo : Je crois en l’Église Une, …Plus
@Pierre Augustin

De bonnes intuitions dans votre commentaire flashy, mais encore une fois cette page est pour discuter par pour copier-coller des tartines hors sujet et des hérésies contre l’Église catholique :

Je retiens de ce que vous dites :

Oui : « La véritable Eglise fondée par Notre Seigneur Jésus-Christ se reconnaît à ce qui est dit dans la prière du Credo : Je crois en l’Église Une, Sainte, Catholique et Apostolique. Ce sont les 4 notes de l’Église. L’Église a la note d’Apostolicité. Par Son Divin Fondateur et les apôtres, via tous les évêques qui se sont succédés depuis, sa doctrine est demeurée vraie, pure et sainte ».

Tout à fait vrai. Cela ne se vérifie que dans la seule Église catholique romaine de Pierre à François.

Oui : Doutes sur les Lignées : Mgr Sanborn, FSSPX, FSSPV, Résistance Williamson, dominicains d'Avrillé, capucins de Morgon, abbé Rioult, abbé Belmont, abbé Lafitte, abbé Seuillot, abbé de la Chanonie, abbé Dutertre, abbé Orasch, père Jacques de Saint Joseph, père Rigoberto, abbé Grossin/Rolland, abbé Marchiset...)

… et tous les sedevacs en général pouviez-vous ajouter, vous incluant dans la liste.

Oui : REFUTATION DE L’ERREUR DITE "THESE DE CASSICIACUM"
Lettre de Mgr Guérard des Lauriers rejetant finalement la dite "thèse de Cassiciacum", avouant qu'elle «contient des erreurs théologiques énormes».