Mgr Rey ment sous serment devant le tribunal correctionnel de Toulon
Source Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, cité comme témoin dans un dossier pénal
Outre le fait qu’il mente effrontément aux magistrats sur le nombre de courriels qu’il aurait reçu sur « la séparation », voici une copie du dernier courriel dont il parle qu’il a reçu selon lui le matin même :
Début du courriel du mercredi 16 août 2023 à 23:33:22 UTC+2
Chers amis,
au delà de la nécessité d'amputer l'Eglise de Fréjus-Toulon, des faux pasteurs qui y pullulent à cause des incardinations et des ordinations sans discernement de Mgr Rey, Mgr Vigano révèle qu'un cardinal électeur du conclave de 2023 a déclaré qu'il a été témoin en 2013 de faits qui rendent l'élection de Bergoglio nulle (merci à DD de Six Fours).
Français
Pas de complot, mais quelques manœuvres
Anglais
Archbishop Viganò suggests a cardinal has proof Francis' election was corrupt and his 'pontificate' null - LifeSite
Je ne comprends pas qu’un membre du Collège des Cardinaux puisse confier à des amis qu’il a été témoin de faits qui rendent l’élection de Jorge Mario nulle et non avenue, et qu’en même temps il ne veuille pas les dénoncer publiquement pour ne pas rompre le secret pontifical : secret qu’il a déjà rompu en en parlant avec ceux qui ne peuvent rien faire, ce qui contraint Son Éminence au silence devant l’Église, dont les Pasteurs pourraient peut-être trancher la question. Mais il ne s’agit pas ici du sceau de la confession, mais de choses qui ont raison d’être réservées jusqu’à ce que ce soit au détriment de l’institution qui les a mises en vigueur ; sinon nous nous retrouvons comme les pharisiens de l’Évangile, qui demandaient à Notre Seigneur s’il était permis de tirer un âne du puits le jour du sabbat.
Les indiscrétions de ces cardinaux se concentrent sur les preuves de graves irrégularités, sans fournir d’autres détails. Cela me rappelle ce qui s’est passé en 1958, avec la question de la fumée d’abord blanche puis devenue noire : il semble que le cardinal Giuseppe Siri ait été élu, mais qu’ensuite, en raison de l’opposition du régime communiste soviétique, les Pères aient été contraints d’élire un autre homme comme pape, qui, par coïncidence, s’est avéré être le conciliant Angelo Giuseppe Roncalli.
Si ces confidences sont vraies, je n’ose penser au travail moral de ceux qui s’apprêtent à emporter le secret dans la tombe, alors qu’ils auraient eu l’occasion de démasquer les intrigues et les complots de la mafia saint-galloise. Si elles ne sont pas vraies, cela n’aurait pas de sens d’en parler même aux personnes les plus dignes de confiance (qui, cependant, ont dû en parler à d’autres, puisque la nouvelle a fuité).
Les échecs de l’Église profonde, comme ceux de l’État profond, peuvent être cachés et niés, mais ils sont apparents dans toutes leurs conséquences désastreuses. Pour retirer l’Église profonde du corps ecclésial – comme on ampute un membre infecté – il faut avant tout dénoncer les faux pasteurs, résister fermement à leurs ordres illégitimes et coordonner la pastorale des petites communautés de « réfractaires ». Cela n’assurera probablement pas la victoire, mais notre engagement, notre désir sincère de servir le Seigneur et de sauver les âmes, notre témoignage de la cohérence de nos vies chrétiennes, pourront inciter le Seigneur à ce « tout » que seul notre « rien » peut déplacer.
Mgr Aguer, archevêque émérite de la Plata, miséricordié par son pape, poursuit son analyse de l"autre Eglise" (Merci à SS d'Ollioules.
(Attention traduction automatique de l'espagnol par le navigateur Chrome !)
L'« autre Église » selon Mgr Hector Aguer archevêque émérite de La Plata.
Une autre Église (II)
Dans cette brève note, ce que j'appelle "l'altérité" de l'Église, c'est la résurgence de l'Église de toujours, celle voulue par ceux que Rome méprise comme "indietristas", s'imposant à "l'Église de la propagande". ", qui aime le parti progressiste au pouvoir. Cette autre Église est peuplée surtout de jeunes; c'est pourquoi l'avenir l'attend, selon les desseins impénétrables de la Divine Providence. Je m'approprie la position représentée vers le milieu du XIXe siècle par Soeren Kierkegaard, qui critiquait le protestantisme de son temps, au Danemark, en distinguant le christianisme du Nouveau Testament du christianisme soutenu par l'État, et financé par lui.
Dans divers pays apparaît cette « autre Église », où règne l'orthodoxie doctrinale, et une liturgie exacte, solennelle et belle. La prédication, le catéchisme et les sacrements rappellent ce qui était normalement en des temps meilleurs, mais n'assument pas la routine de ce qui serait une simple répétition. Dans la véritable Église ainsi retrouvée, d'excellents prêtres accompagnent, soutiennent et nourrissent les légions de jeunes, qui sont les authentiques protagonistes de la résurrection ecclésiale. Cette « autre » Église n'est pas la concentration du « sexe féminin dévot » ; selon une version correcte de la « perspective de genre », la nouveauté est la présence masculine. Une réalisation récente est le chapelet masculin, qui a été vérifié dans plus de 40 pays ; A Buenos Aires, pour la deuxième année consécutive, plus de 500 hommes ont prié le Rosaire à genoux, sur la Plaza de Mayo, devant le siège du gouvernement national. Ils ont prié la Vierge pour le bonheur du pays. L'étonnement des touristes et des porteños des quartiers, qui visitaient le centre, était notoire.
Un aspect qui mérite une mention spéciale est que dans ces contingents qui indiquent l'"altérité" de l'Église, il n'y a pas d'attachement spécial à la "Messe d'avant", et à l'usage exclusif du latin. La critique du Concile Vatican II n'est pas non plus imposée. La normalité est la règle, dans laquelle on voit que « l'altérité » n'apparaît pas comme quelque chose d'étrange et d'extravagant.
Il n'y a pas d'Église sans épiscopat. L'avenir de "l'altérité" exige simplement que certains évêques opèrent en silence, sans attirer l'attention, ouvrez vos diocèses afin que les fidèles laïcs qui constituent ces mouvements qui émergent dans les différents pays puissent s'y intégrer spontanément. La discrétion est essentielle, afin que le parti progressiste au pouvoir n'active pas ses moyens de proscription. Un problème encore non résolu est de savoir où peuvent se former les vocations sacerdotales qui surgissent. L'histoire récente montre que l'imposition du progressisme avait pour germe la corruption du Séminaire traditionnel. Ce phénomène a été l'une des caractéristiques de la période post-conciliaire, même si dans de nombreux pays il s'est vérifié par la conspiration des tentatives d'« aggiornamento », contemporaines de Vatican II. Il serait naturel que les jeunes aient des vocations sacerdotales, où vont-ils se former ? A l'époque, des alternatives à la structure traditionnelle du Séminaire ont été tentées ; Ils n'ont pas donné la solution attendue. En fait, on pourrait encore recourir à cette structure qui n'est pas mauvaise en elle-même, et peut être adaptée à différentes situations. L'élément clé est l'inspiration, l'esprit, qui dépend de la manière dont l'évêque conçoit l'organisation de son diocèse. Il s'agit de l'esprit de son propre ministère. L'évêque doit être directement responsable du Séminaire, même s'il s'appuie sur la participation de prêtres bien préparés, et qui assument sincèrement l'orientation que l'évêque souhaite mettre en œuvre. l'esprit, qui dépend de la façon dont l'évêque conçoit l'organisation de son diocèse. Il s'agit de l'esprit de son propre ministère. L'évêque doit être directement responsable du Séminaire, même s'il s'appuie sur la participation de prêtres bien préparés, et qui assument sincèrement l'orientation que l'évêque souhaite mettre en œuvre. l'esprit, qui dépend de la façon dont l'évêque conçoit l'organisation de son diocèse. Il s'agit de l'esprit de son propre ministère. L'évêque doit être directement responsable du Séminaire, même s'il s'appuie sur la participation de prêtres bien préparés, et qui assument sincèrement l'orientation que l'évêque souhaite mettre en œuvre.
Normalement, les vocations naissent dans le cadre d'une pastorale sérieuse des jeunes. Il semble a priori vain de concevoir un projet de pastorale des jeunes. Il suffit plutôt d'être attentif à l'œuvre de Dieu parmi les jeunes de cette « autre Église », qui fleurit providentiellement dans différents pays et milieux. Lors de la Journée mondiale de la jeunesse, le Souverain Pontife a fait une erreur complète dans son discours. Au lieu d'annoncer Jésus-Christ, ou du moins d'inviter à la plénitude de la condition humaine, il a parlé de « changement climatique » ; C'était son message : accompagner une telle circonstance. Il avait devant lui quelque 800 000 jeunes du monde entier.
Pour mesurer le calibre de la surveillance de Rome, il suffit de se rappeler le mandat du Christ aux Apôtres : faire de toutes les nations ses disciples et se configurer en tant que nations chrétiennes. Le « petit troupeau » qu'est l'Église doit peupler le monde entier par l'acceptation de la foi et du Baptême. L'« altérité » de l'Église est une sorte de ferment, à partir duquel peut grandir le christianisme authentique, le christianisme selon le miroir du Nouveau Testament. La question du « changement climatique » et de la « déforestation », entre autres questions, est actuellement la priorité de l'Église officielle ; C'est un chapitre de plus de la primauté accordée aux problèmes culturels, sociaux et économiques. Un autre mythe a maintenant émergé : l'idéologie synodale, qui vise à intégrer l'Agenda 2030 pour la mondialisation.
Archevêque émérite de La Plata.
Buenos Aires, lundi 14 août 2023.
Saint Maximilien Kolbe, prêtre et martyr. –
L'abbé Biziou, en copie, vient d'être nommé commissaire de la Fraternité Marie Mère des apôtres. Il faudra bien prier pour cette fraternité qu'il n'y provoque pas de divorce parmi leurs laïcs et qu'il ne rédige pas des faux à son encontre. (Merci à BT)
Nous, Dominique Rey, par la grâce de Dieu et l’autorité du Siège Apostolique, évêque de Fréjus-Toulon ;
Vu notre lettre de nomination du 26 mai 2023 (Prot. N. 2023E134) nommant Monsieur l’abbé David Biziou Commissaire ad tempus pour une durée de SIX mois – avec possibilité de prolongation – de la Fraternité Missionnaire Marie Mère des Apôtres ;
Considérant la lettre de mission qui l’accompagne (Prot. N. 2023E135) ;
Considérant une première évaluation écrite du Commissaire en date du 17 juillet 2023 qui nous a été remise et archivée ;
Après avoir consulté et pris l’avis de personnes avisées ;
Prorogeons la Nomination de Monsieur l’abbé David Biziou, Commissaire “ad tempus” de la « Fraternité Missionnaire Marie Mère des Apôtres »,
jusqu’au 30 juin 2024
À compter de ce jour.
Nonobstant toute chose contraire.
Donné en trois exemplaires originaux, à Toulon, au siège de notre Évêché, le 27 juillet 2023, sous notre seing et notre sceau, avec le contreseing de notre chancelier.
+ Dominique Rey, Évêque de Fréjus-Toulon
Par mandement, L’abbé Alexis Campo, Chancelier.
Dans l'attente des cosaques et du Saint Esprit dans notre pauvre diocèse, je vous souhaite de bien répondre à l'appel de Mgr Vigano, et de bien extirper les tumeurs cancéreuses qui se trouvent dans notre diocèse et qui y prospèrent à cause des mauvais chefs.
Fin du courriel
Où est-il question de la moindre séparation selon cet évêque dans le collimateur de Rome à cause de ses effroyables refus de discerner ?
A l’exemple de son pape, Mgr Rey pourrait lui aussi dire « Je peux dire que je suis un peu fourbe (1) » : “un po’ furbo” (1).
(Interview de François du 19/09/2013 pour 16 revues jésuites)
