apvs
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5 ) Arrêt sur image ! Attention, une religieuse défroquée cherche à vous enfumer.

Tout est "rabaissé au niveau de la bande dessinée".

Mais alors, il suffit donc qu'une œuvre littéraire soit un tant soit peu descriptive au niveau des lieux, des personnages et des dialogues, comme par exemple "les trois mousquetaires" d'Alexandre Dumas, pour qu'on puisse l'accuser de "nous rabaisser au niveau d'une bande dessinée" ? Cela n'a pas grand sens.

D'autant plus que la bande dessinée chrétienne n'a strictement rien de méprisable, elle a produit de véritables chefs d'œuvres !

Telle la BD de 1951 "Don Bosco" par Jijé, qui a permis à des générations de jeunes de découvrir la vie de ce grand saint.

Telle la BD plus récente sur la vie de padre Pio aux éditions Triomphe.

Telle la BD Larousse de 1983 en 8 tomes retraçant toute la Bible en résumé, et qui fait le bonheur de ceux qui ont la chance de la lire.

Telles aussi les BDs faites récemment à partir de l'oeuvre de Maria Valtorta, et qui dépassent largement en qualité toutes les autres ayant été précédemment écrites sur notre Seigneur Jésus-Christ.

L'oeuvre de MV est infiniment au-delà d'un scénario de BD, il n'y a qu'à voir l'extrême simplification qui a du être nécessaire pour en tirer les ouvrages susmentionnés.

Il y a plein de choses qui ne conviennent pas à la Divinité du Christ dans Maria Valtorta.

Et pour appuyer ses dires qui manquent cruellement de substance, cette pauvre femme prend l'exemple de l'inconvenance que ce serait pour le Christ d'éclater de rire :

Mais justement : il n'y a qu'à ouvrir l'Oeuvre ( ce que cette dame n'a pas fait sérieusement ) pour Le regarder durant un jour de grande liesse, comme aux noces de Cana, et comprendre que Jésus n'y est certainement pas décrit comme un plaisantin, bruyant et éclatant de rire tel Robin des bois dans le film de Michael Curtiz. Il y est tout au contraire décrit comme parlant peu, souriant sans aucune difficulté, mais... sans rire non plus. Et c'est ainsi durant les 10 tomes.

Par contre : "Mieulx est de ris que de larmes escripre, pour ce que rire est le propre de l'homme". Rabelais ne se trompait pas en citant ainsi Aristote dans son "traité des Parties des animaux", où ce dernier disait : "L'homme est le seul animal qui ait la faculté de rire."

Et c'est d'ailleurs ce livre d'Aristote ( qui prouverait donc que Jésus avait bien rit durant sa Vie mortelle puisqu'Il s'est fait pleinement homme, donc avec cette faculté bien innocente de rire : s'Il n'avait pas rit, Il lui aurait manqué cette part d'humanité, ce qui est impossible pour un Homme parfait ) que le vieux moine grincheux et haineux, dans "le Nom de la Rose", empoisonne sur la tranche pour que personne ne puisse le consulter et survivre à sa lecture pour pouvoir en témoigner ( car le lecteur ensalive son doigt pour tourner les pages ), et qu'il va enfin jusqu'à tout bonnement manger, se jetant avec lui dans les flammes pour que personne ne puisse jamais contredire son affirmation : "Le Seigneur n'a pas rit !!! Il n'a pas rit !!! ".

On voit malheureusement que sa tromperie a réussi à faire école jusqu'à aujourd'hui...

Que disait saint Jean Bosco ? "Un saint triste est un triste saint !", et il avait bien raison. Et pour un "saint" triste, quelle honte d'apprendre que notre Seigneur savait Lui-même montrer de la gaieté à l'occasion, tout comme ses vrais saints, que ce soit saint Philippe Néri ou sainte Thérèse de Lisieux.

Mais un examen tout simple de l'Evangile prouve bien qu'il n'est pas inconvenant de penser que Notre Seigneur ait usé de cette noble faculté, bien au contraire :

En effet, les enfants rient joyeusement. Le rire est le propre des enfants, bien plus encore que celui de l'homme adulte !

Or notre Seigneur nous demande de devenir comme des petits enfants... Bref, tous les propos de cette dame sont nuls.

Un Jésus bavard qui ne convient pas

Notre détractrice de MV s'attaque à des passages où... on voit simplement Jésus parler à des gens simples, les écouter, leur répondre avec à propos : rien donc qui soit indigne de son Incarnation, puisqu'Il a voulu précisément qu'elle serve à être plus proche de nous, plus accessible, et qu'Il ne fuit jamais ceux qui viennent à Lui avec confiance, mais les encourage au contraire par un très doux et humble : "Venez à Moi, vous tous (...) ", et comment pouvoir soulager efficacement un cœur, si on commence par refuser de lui parler, de l'écouter, de lui répondre ? C'est absurde. Le Christ parlait, souvent, c'était sa vocation parmi les hommes, comme un vrai Père spirituel.

On ne peut pas toujours prendre les quatre Evangiles pour une relation exhaustive des faits et des dialogues, car à dessein ils sont compendieux, jusqu'à en être parfois squelettiques, pour nous rapporter juste ce qui nous est nécessaire pour croire en Jésus le Fils de Dieu.

Par exemple, en lisant Marc 11 comme si c'était une description exhaustive des faits, on en arriverait à penser que Notre Seigneur était autiste !

La critique des détracteurs du Christ pour son "bavardage" n'est pas du tout inconnue des saints Evangiles :

" Il mange avec les publicains et les pécheurs ! " : On est bien loin ici d'un repas monastique, pris en compagnie de silencieux disciples de saint Benoît... Les pharisiens critiquent donc aussi Jésus pour son abondance de paroles, pour eux, c'est un insupportable "blablateur", selon le mot de cette dame.

Ceux qui critiquent, continue Jésus, trouvent toujours de quoi alimenter leurs aversions :

- Jean vient, ne mangeant ni ne buvant ( ascétisme qui concerne forcément aussi la parole ) et vous dites : "C'est un possédé ! "

- le Fils de l'Homme vient, Il mange et Il boit ( manque apparent d'ascetisme concernant la parole considérée alors comme du bavardage ) , et vous dites : "C'est un glouton et un ivrogne, un ami des publicains et des pêcheurs ! " Et donc sous-entendu : un blablateur qui parle à tort et à travers avec eux.

Car, "être l'ami" de ceux qui parlent beaucoup, c'est forcément se mettre à leur portée et ne pas refuser d'en faire autant, même reproche sous-entendu de la part des mêmes personnages psychorigides.

Nul, nul, tout est nul dans la critique de cette pauvre dame.

Dès que le style est direct, comme pris sur le vif, voici qu'elle s'indigne, se plaint, gémit, on dirait que pour elle : tout vaudrait mieux qu'avoir connu le Christ durant sa Vie terrestre... c'est invraisemblable.

"La parabole du semeur. Un Jésus "tchatcheur", qui fait du blabla."

Aussitôt cette pauvre femme se récrit : "saint Jean a bien spécifié que tout n'a pas été rapporté" convient-elle ( caractère compendieux des Evangiles ).

Pour encore une fois accréditer ses dires farfelus, elle se dit "pétrie du sens de l'Eglise de toujours".

Cependant, est-ce que l'Eglise de toujours ignore que le Christ parlait longuement aux foules ? Non, car c'est justement une particularité de ses discours qui nous fut rapportée.

- 1 ) Or, le Christ parlait souvent en paraboles.

- 2 ) Si donc, comme cette femme veut nous le faire croire, Il énonçait toujours ses paraboles de manière aussi courte et lapidaire que ce que nous entendons à la Messe ou lisons dans notre Bible, alors : pour tenir si longtemps à l'oral, il aurait fallut que notre Seigneur dise une foule nombreuse de paraboles à la suite ! Ce qui n'est pas logique, car un enseignement est d'autant plus efficace qu'il ne se disperse pas en une multitude de considérations différentes.

- 3 ) et par conséquent, à l'inverse de ce que cette dame insinue, il est parfaitement convenable de penser que Notre Seigneur, lorsqu'Il faisait un enseignement sur une parabole, la développait beaucoup plus longuement, avec beaucoup plus de réalisme et de détails, que ce que nous en connaissons grâce aux Evangiles, mais que cela ne change strictement rien à la Sagesse que ces paraboles nous transmettent, que ce soit en version longue ou en version courte.

- Conclusion : c'est donc l'oeuvre de Maria Valtorta, et non les raisonnements faussement doctes de notre religieuse défroquée, qui remporte la mise et se trouve justifiée par la raison.

"Jésus réfléchit à ce qu'Il va leur dire, c'est ridicule !" s'amuse-t-elle pour passer le temps et dissimuler sa tendance à l'hystérie.

Sauf que c'est réellement un déni de l'humanité du Christ : pour elle, son Humanité a donc été anéanti par sa Divinité, puisqu'Il n'a plus rien d'un Orateur humain, par le simple fait qu'Il serait divin...

C'est une hérésie. Comme on l'a déjà vu dans le post sur le nestorianisme, le Christ choisit d'agir tantôt plutôt en tant qu'Homme, et plutôt en tant que Dieu à d'autres, ou encore d'user simultanément de ses deux Natures, sans que cela crée en Lui la moindre division.

De même en effet qu'Il n'a pas voulu pouvoir parler lorsqu'Il était un Enfant nouveau-né, de même pour manifester son Humanité, Il a voulu avoir à réfléchir à ses enseignements comme un Homme véritable, durant sa Vie publique.

Mais c'est sûr que sans aucune connaissance théologique fiable, cette pauvre dame ne pouvait pas aller bien loin : je la plains de tout mon coeur, elle semble sincère...

"Jésus a cherché dans les événements du matin, et a trouvé de quoi s'inspirer pour inventer la parabole du semeur, c'est n'importe quoi ! Le Seigneur sait tout, tout de suite ! "

Que Jésus se soit inspiré de sa propre expérience de vie terrestre est bien loin d'être ridicule, c'est au contraire évident :

pourquoi ses paraboles sont si empreintées au milieu agricole, sinon parce qu'Il avait les yeux ouverts sur le monde qui entourait Nazareth, et qu'Il s'en inspirait pour parler des blés, de la plus grande plante potagère etc, avec un regard de cultivateur ?

Il y a même des paraboles qui font réellement penser à des expériences vécues, tant elles sont merveilleusement vivantes, prises sur le vif !

Telle cette femme ayant perdu une drachme cousue à son voile de jeune mariée, et cherchant éperdument dans toute la maison jusqu'à ce qu'elle l'ait enfin retrouvée : impossible de ne pas s'imaginer que le Christ fut témoin d'une telle scène pour s'en inspirer dans sa parabole...

Toute la création semble nous chanter la profusion de l'inspiration divine ! Quelle merveille... Qui peut penser qu'une sorte de robot prédéterminé a conçu tous les éléments créés sans jamais se poser une seule question, qui peut imaginer que Dieu ne soit pas un peu ce génial et parfait Artiste de la création, ayant uniquement pris conseil de Lui-même avant de créer la girafe au si long cou, la baleine si énorme et amusante, le cheval si noble et utile pour l'homme, le chien si affectueux et capable de l'aider pour la chasse, etc etc ?

Qui oserait croire que tout cela a surgit de façon automatique de la Pensée Divine, sans que Dieu se demande comme un vrai Père : "Et maintenant, que vais-je créer pour mes fils de prédilections ? Oui, c'est cela que Je vais faire, comme ceci."

Nous en avons une trace dans la Genèse, lorsque Dieu, voyant Adam nommer tous les animaux mais ne trouvant aucun qui soit capable de combler sa solitude, se dit à Lui-même : "Il n'est pas bon que l'homme soit seul."

Ça alors !!! Dieu prit en flagrant déli de réflexion !!? Mais alors Il n'est pas Dieu ??!

Bon, trêve de plaisanterie, car oui, les propos de cette pauvre femme sont juste de cet ordre, et donc inacceptables.

Un dernier éclat de rire que j'aimerais partager avec vous :
elle se gausse des points d'exclamation qui ponctuent ça et là le rapport du discours du cultivateur, dans la parabole du semeur, car la scène décrit une action prise sur le vif...

Et quant à elle, elle ne peut s'exprimer que par des gesticulations intenses, des cris, des moqueries, des prises à partie qui ne pourraient se transcrire à l'écrit que par des séries ininterrompues de points d'exclamation et d'interrogation multiples ! 🥴

Bref, c'est l'hôpital qui se fout copieusement de la charité.

Ce qui différencie cette dame de l'oeuvre de Maria Valtorta :

-la première est fatigante à voir et à entendre, toujours à se moquer de ce qui est simple et limpide,

- l'oeuvre est quant à elle sereine, reposante et merveilleusement enrichissante, proprement divine, un pur reflet de l'Évangile de Notre Seigneur.

Il n'y a plus qu'à choisir entre les deux, et à faire le bon choix.
Claudius Cartapus
Excellent passage dans le Tome-10 (PDF), p.303-305. Par recherche automatique du mot 'Apocalypse', on lit ce qui suit. Ça répond à toutes les objections ! 🙏 Voir ce passage dans le sous-commentaire.
Claudius Cartapus
Tome-10 page 303-305
Et encore: si vous objectez que la révélation est close avec le dernier Apôtre et qu'il n'y avait rien de plus à ajouter, puisque le même Apôtre dit dans l'Apocalypse: "Si quelqu'un y ajoute quelque chose, Dieu fera retomber sur lui les plaies écrites dans ce livre" (ch. 22, vers. 18), et cela peut se comprendre de toute la
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Révélation dont l’Apocalypse de Jean est le …Plus
Tome-10 page 303-305

Et encore: si vous objectez que la révélation est close avec le dernier Apôtre et qu'il n'y avait rien de plus à ajouter, puisque le même Apôtre dit dans l'Apocalypse: "Si quelqu'un y ajoute quelque chose, Dieu fera retomber sur lui les plaies écrites dans ce livre" (ch. 22, vers. 18), et cela peut se comprendre de toute la
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Révélation dont l’Apocalypse de Jean est le dernier couronnement, je vous réponds qu'avec cette œuvre on n'a rien ajouté à la révélation, mais que l'on a comblé les lacunes qui s'étaient produites par des causes naturelles et des volontés surnaturelles.
Et s'il m'a plu de reconstituer le tableau de ma Divine Charité comme fait celui qui restaure une mosaïque en remettant les tessères détériorées ou manquantes pour rendre à la mosaïque sa complète beauté, et si je me suis réservé de le faire en ce siècle où l'Humanité se précipite vers l’Abîme de la ténèbre et de l'horreur, pouvez-vous me le défendre?
Pouvez-vous peut-être dire que vous n'en avez pas besoin, vous dont l'esprit est tellement embrumé, sourd, affaibli aux lumières, aux voix, aux invitations du Haut?
En vérité vous devriez me bénir d'ajouter de nouvelles lumières à la lumière que vous avez et qui ne vous suffit plus pour "voir" votre Sauveur. Pour voir la Voie, la Vérité et la Vie, et sentir surgir en vous cette spirituelle commotion des justes de mon temps, pour parvenir à travers cette connaissance à un renouvellement de vos esprits dans l'amour qui vous sauverait car ce serait une montée vers la perfection.
Je ne dis pas que vous êtes "morts", mais endormis, assoupis, semblables à des arbres durant le sommeil de l'hiver. Le Soleil divin vous donne ses splendeurs. Réveillez-vous et bénissez le Soleil qui se donne, accueillez-le avec joie pour qu'Il vous réchauffe de la surface à l'intérieur, vous réveille, vous couvre de fleurs et de fruits.
Levez-vous. Venez à mon Don.
"Prenez et mangez. Prenez et buvez" ai-je dit aux apôtres.
"Si tu connaissais le don de Dieu, et qui est Celui qui te dit: 'Donne-moi à boire', toi-même tu Lui en aurais demandé à Celui qui t'aurait donné de l'eau vive" ai-je dit à la Samaritaine.
Je le dis encore maintenant: aux docteurs comme aux samaritains, car les deux classes extrêmes en ont besoin, et en ont besoin ceux qui sont entre les deux extrêmes.
Les premiers pour n'être pas sous-alimentés et privés de forces même pour eux, et de nourriture surnaturelle pour ceux qui languissent faute de connaître Dieu, le Dieu-Homme, le Maître et Sauveur. Les seconds parce que les âmes ont besoin d'eau vive quand ils périssent loin des sources. Ceux qui sont entre les premiers et les seconds, la grande masse de ceux qui ne sont
pas en état de péché grave, mais aussi de ceux qui restent sans avancer, par paresse, tiédeur, par un concept erroné
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de la sainteté, ceux qui pensent surtout à ne pas se damner, à être des pratiquants, qui se perdent dans un labyrinthe de pratiques superficielles, mais qui n'osent pas faire un pas sur le chemin raide, escarpé de l'héroïcité, afin que par cette œuvre ils aient l'impulsion initiale pour sortir de cet immobilisme et commencer la route héroïque.
C'est Moi qui vous dis ces paroles. Je vous offre cette nourriture et cette boisson vive. Ma Parole est Vie. Et je veux vous avoir dans la Vie, avec Moi. Et je multiplie ma parole pour contrebalancer les miasmes de Satan qui détruisent les forces vitales de l'esprit.
Ne me repoussez pas. J'ai soif de me donner à vous parce que je vous aime. C'est ma soif inextinguible. J'ai un ardent désir de me communiquer à vous pour vous préparer au banquet des noces célestes. Et vous avez besoin de Moi pour ne pas languir, pour revêtir le vêtement orné pour les Noces de l'Agneau, pour la grande fête de Dieu lorsque vous aurez surmonté la
tribulation dans ce désert rempli d'embûches, de ronces et de serpents, qu'est la Terre, pour passer à travers les flammes sans subir de dommages, fouler aux pieds les reptiles, absorber les poisons sans en mourir, ayant Moi en vous.
Et je vous dis encore: "Prenez, prenez cette œuvre et 'ne la scellez pas', mais lisez-la et faites-la lire 'car le temps est proche'" (Ap 25,10) "et que celui qui est saint se rende encore plus saint" (Ap 25,11).
Que la Grâce de votre Seigneur Jésus Christ soit avec tous ceux qui dans ce livre voient une approche de Moi et demandent qu'elle s'accomplisse, pour les défendre, avec le cri de l'Amour: "Viens, Seigneur Jésus!".”
Claudius Cartapus
Dans cette page 305 ci-dessus, les mots utilisés sont très intéressants en fonction de notre époque. « pour la grande fête de Dieu lorsque vous aurez surmonté la tribulation dans ce désert rempli d'embûches, de ronces et de serpents, qu'est la Terre, pour passer à travers les flammes sans subir de dommages, fouler aux pieds les reptiles, absorber les poisons sans en mourir, ayant Moi en vous. »Plus
Dans cette page 305 ci-dessus, les mots utilisés sont très intéressants en fonction de notre époque. « pour la grande fête de Dieu lorsque vous aurez surmonté la tribulation dans ce désert rempli d'embûches, de ronces et de serpents, qu'est la Terre, pour passer à travers les flammes sans subir de dommages, fouler aux pieds les reptiles, absorber les poisons sans en mourir, ayant Moi en vous. » (survivre aux injections covid ?)
A B
merci je ne connaissais pas les BDs faites récemment à partir de l'oeuvre de Maria Valtorta ! excellent :)
apvs
Comme quoi, c'était tout de même heureux qu'elle en parle :))
apvs
S'il vous plaît, redites encore une fois le mot "bis-nes" ( je suppose que vous vouliez dire "business" ), car votre langue de serpent à sonnette émet un sifflement caractéristique du crotale, qui permet de vous identifier. 😂 C'est à vous @Alex Andre
1 autre commentaire de apvs
apvs
OK merci, serpent français, vous êtes identifié. Moi c'est apvs, et je vous mets dehors.
jean-yves macron
@apvs
"Ôtez-moi d'un doute" ...
L'Esprit-saint est bien donné à l'Eglise catholique quand on en est membre vivant ? Un schismatique comme Luther, on est bien d'accord qu'il n'a plus l'assistance du Saint-Esprit pour discerner ce qui est bien, beau ou vrai ?
Faisons un petit test d'intelligence, de science et de conseil pour cette ancienne religieuse dans son approche de "l'Evangile tel qu'il m'a …Plus
@apvs

"Ôtez-moi d'un doute" ...
L'Esprit-saint est bien donné à l'Eglise catholique quand on en est membre vivant ? Un schismatique comme Luther, on est bien d'accord qu'il n'a plus l'assistance du Saint-Esprit pour discerner ce qui est bien, beau ou vrai ?

Faisons un petit test d'intelligence, de science et de conseil pour cette ancienne religieuse dans son approche de "l'Evangile tel qu'il m'a été révélé" - et qui visiblement ne lui a pas été révélé du tout à elle (il aurait fallu qu'elle le lise, il est vrai).

Faisons ensuite ce test pour les catholiques qui commettent volontairement le péché de calomnie contre le prochain et celui contre la morale chrétienne d'utiliser des mauvais moyens pour atteindre ce qu'ils estiment être une bonne fin (ce qui est donc TOUJOURS un péché qui coupe le pécheur de l'Esprit-saint) :

· L’intelligence : elle aide à entrer dans le mystère de Dieu, à comprendre de l’intérieur la foi, les Écritures, à distinguer l’erreur de la vérité. Par ce don, chaque chrétien peut devenir un authentique théologien.

· La science : elle permet de reconnaître Dieu à l’œuvre dans la nature et dans l’histoire, de recevoir le monde comme un don de Dieu.

· Le conseil : c’est le don du discernement spirituel. Il ajuste ce qu’il convient de faire ou d’éviter, de dire ou de taire. Il dispose à voir clair en soi et dans les autres.