04:18
jean-yves macron
110868
Article 6 : les fruits du Droit à la Liberté Religieuse, l'exemple des Indiens Hurons. Chant Catholique Huron de Noël - Saint Jean de Brébeuf Trêve du Dimanche (intermède musical) « Le Droit est un …Plus
Article 6 : les fruits du Droit à la Liberté Religieuse, l'exemple des Indiens Hurons.

Chant Catholique Huron de Noël - Saint Jean de Brébeuf


Trêve du Dimanche (intermède musical)

« Le Droit est un objet de la justice. C’est ce qui revient à chacun dans la société où il se trouve. D'où, le Droit est ce qui est exigible dans une collectivité humaine » (saint Thomas).

Le Droit, au sens de puissance, selon la conscience commune des hommes se définit comme le pouvoir moral de posséder, de faire (positivement) ou d'exiger (négativement) quelque chose (= ne pas être contraint).

Dans les pays ou la liberté religieuse est réprimée, le Droit négatif à la liberté de chercher la vérité, de la trouver et d'en vivre, ce droit s'appelle le Droit à la liberté religieuse.

Sans ce droit, c'est l'Evangile lui-même qui perd ses droits à être entendu. Le catholicisme Huron est-il du fait du devoir coercitif de se convertir ou du Droit de la liberté de pouvoir choisir la foi en Jésus Christ ?

Bon et saint Dimanche à tous.
jean-yves macron
@Arthur De la Baure
On a critiqué la longueur de la thèse du père Basile, je vois que vous ne savez pas être concis dans un article que vous publiez sur votre page pour commenter un seul point de droit, mais passons, je vous ai lu avec bienveillance.
Au passage, je ne suis pas "conciliaire" mais catholique, car c'est une condition pour être catholique que de reconnaitre tous les conciles oecuméniques …Plus
@Arthur De la Baure

On a critiqué la longueur de la thèse du père Basile, je vois que vous ne savez pas être concis dans un article que vous publiez sur votre page pour commenter un seul point de droit, mais passons, je vous ai lu avec bienveillance.

Au passage, je ne suis pas "conciliaire" mais catholique, car c'est une condition pour être catholique que de reconnaitre tous les conciles oecuméniques, le concile Vatican II y compris, bien entendu.

Vous dites : « Pie XI parle de l'éducation en général, en revanche les parents n'ont pas le droit d'entrainer leurs enfants dans une voie diabolique en matière religieuse ».

Bien entendu, qu’ils n'en ont pas le droit, l'erreur n'a aucun droit. Mais DH ne dit pas cela, vous ne savez pas lire ou ne voulez pas lire le texte comme il a été écrit car, je suppose que son acceptation remettrait en question le fondement de votre choix d'avoir quitté l'Eglise qui était une décision extrêmement grave et que le reconnaître sera difficile. Pour ma part, je l'ai fait au bout de 20 ans après avoir suffisamment souffert dans ma chair et commencé à lire honnêtement les textes.

Je développe un précédent commentaire à vous adressé auquel vous n’avez pas répondu, ici avec les précisions qui s’imposent :

« la liberté ne signifie plus la même chose qu’au XIXe siècle ; il ne s’agit plus du droit DE faire quelque chose, mais le fait qu'on ne vous contraigne PAS à faire quelque chose ou à omettre quelque chose.

(Voir mon commentaire en finale @francefidele ci-dessous, pour l'exposé rapide des raisons profondes de ce développement doctrinal nécessaire pour notre époque).

Le droit à cette immunité de coercition n’est pas le droit de faire ou d’omettre.

Prétendre que DH crée un droit positif pour des parents à éduquer leurs enfants dans l’erreur est hors sujet.

Cette action ou omission que cette immunité rend possibles ne sont pas l’objet du droit de DH ;

l’objet du droit est l’abstention des autres personnes : une immunité. Cela ne donne aucun droit aux parents.

Pardon de répéter, mais il le faut : l’objet du droit de DH est l’abstention des autres personnes : une immunité.

Vous êtes choqué parceque vous croyez que le pouvoir civil devrait intervenir comme il le faisait en catholicité. Mais il ne doit plus intervenir, il est incompétent et dans d'autres pays non chrétiens, agressif. Il pourrait intervenir davantage encore contre les chrétiens. Soyez raisonnable, voyez l'état du monde : le catholismisme est pérsécuté autant qu'aux premiers temps de l'Eglise :

Rapport 2023 sur la Liberté Religieuse - Aide à l'Église en Détresse

Pour reprendre l’exemple ancien bien connu et admis de tous que vous citez :

« Le droit des parents, même non chrétiens, à ne pas être empêchés d’éduquer leurs enfants dans leur religion n’est pas un droit à éduquer leurs enfants éventuellement dans une religion erronée (cf. saint Thomas d’Aquin, Somme de théologie, II-II, q. 10, a. 12). Même si les parents sont non-chrétiens, il serait « contraire à la justice naturelle » de disposer en quelque manière que ce soit de leurs enfants, même pour les faire baptiser » (fin de citation).

Un droit naturel à ne pas être contraint ou empêché n’est donc pas la même chose qu’un droit d’agir ou d’omettre.

La liberté dans ce sens d’immunité de coercition (et non au sens de droit d’agir ou d’omettre) fait l’objet d’un droit fondamental et c'est la proclamation de celui-ci qui est nouvelle, et c’est lui que revendique DH pour la personne humaine.

DH est un développement homogène de la doctrine de l'Église sur les droits fondamentaux » (fin de ma citation précédente complétée).

PS : Voir le texte de Léon XIII dans Libertas praestantissimum sur « le droit pour l’homme de suivre dans la société, en fonction de sa conscience, la volonté de Dieu, sans qu’on puisse l’en empêcher.
jean-yves macron
@France Fidele
L’argument de Notre Seigneur Jésus-Christ utilisant un fouet est hors de propos et usé jusqu'à la corde; cet argument n'est plus utilisé depuis longtemps :
1) d’abord avec son fouet, Notre Seigneur n’a frappé aucune personne humaine, mais seulement des animaux ;
2) ensuite, le Christ a une autorité absolue ;
3) ensuite, il ne s’agissait pas de frapper une erreur religieuse, mais …Plus
@France Fidele

L’argument de Notre Seigneur Jésus-Christ utilisant un fouet est hors de propos et usé jusqu'à la corde; cet argument n'est plus utilisé depuis longtemps :

1) d’abord avec son fouet, Notre Seigneur n’a frappé aucune personne humaine, mais seulement des animaux ;

2) ensuite, le Christ a une autorité absolue ;

3) ensuite, il ne s’agissait pas de frapper une erreur religieuse, mais de chasser des trafiquants de biens religieux.

Et pour d’autres raisons encore.

Que France Fidèle me fasse savoir, s'il vous plait, si j'ai affaire à un prêtre ou un laïc, je choisirais une manière de répondre plus respectueuse encore pour tâcher de qualifier ce genre d'arguments éculés, par respect pour l'homme de Dieu, cependant même que France Fidèle soit dans l'erreur invincible et piégé par une illusion du démon, de bonne foi (c’était mon cas autrefois), parce qu’ayant été scandalisé par des abus doctrinaux ou liturgiques que Vatican II n’a jamais promus, mais au contraire condamnés (le pape François l’a encore explicitement dit dans Traditionis custodes, par exemple, ainsi que tous les autres papes avant lui. Il faudrait arrêter de toujours leur faire des procès d’intention).

Que vous prétendiez par contre ici que « le concile Vatican II a hélas fait croire que l’exercice public d'une fausse religion était un droit individuel et surtout social », montre que vous n'avez rien lu de ce que j'ai rapporté sur ces pages.

J’ai donné pour expliciter le Droit à la liberté religieuse – un droit négatif usuel, l'exemple de l'obligation vaccinale et du droit négatif que cette obligation viole.

Je propose maintenant aux personnes de bonne foi, l’exemple encore plus évident du Droit à la liberté non pas en matière de santé, mais cette fois en matière religieuse :

Un droit négatif est, par exemple, celui de l'exigence de ne pas être empêché d'aller à la messe le dimanche.

C’est un droit civil négatif qui protège non seulement les catholiques dans mon exemple, mais tout homme croyant en tant que personne (Pie XI parle bien du droit naturel à la liberté de professer sa croyance. En 1937, condamnant le nazisme, Pie XI aborde plus directement la question de la LR, dans un passage de l’encyclique Mit brennender Sorge et proclame les droits naturels inaliénables face à l’État.

Le pape parle alors de l
’homme, en tant que personne (der Mensch als Persönlichkeit) et non pas de l'homme catholique, comme il a été faussement affirmé sur ces pages. Parce que Jésus est mort pour tout homme, même dans l’erreur.

Nota bene : Ce droit négatif ne donne à personne davantage de droit positif d’aller à la messe à un catholique ou de droit positif d’aller à la mosquée à un musulman.

DH protège tout homme croyant de la coercition. Parce que la coercition est un mal qui viole la liberté de l’homme de chercher et de trouver finalement la vérité de la vraie religion catholique.

Supposer que Notre Seigneur convertissait « à coup de fouet » est bien mal connaitre la doctrine de Jésus Christ.

L’auteur de la doctrine sur le droit à la Liberté religieuse est Dieu Lui-même qui n’impose pas le salut mais le propose et c’est le travail de l’évangélisation (et non pas de la coercition qui est toujours une tentation de certains catholiques zélés).
Un travail d’évangélisation qui ne sera plus possible dans le monde actuel que grâce à un droit universel à la liberté religieuse pour tout homme et bien sûr pour le catholicisme.

C’est tout le génie de l’inspiration du Saint-Esprit aux pères du Concile que la promulgation finale d’un tel droit universel à une époque qui n'a jamais été aussi proche d'une dictature mondilale anti-religieuse et anti-humaine.
France Fidele
Quand Notre Seigneur chassait les vendeurs du temple à coups de fouets, il exerçait le droit coercitif de Dieu et de son Église à corriger les pêcheurs et empêcher les scandales.
Même chose quand Il menace Pilate et rappelle son droit à régner sur la société ("tu n'aurais aucun droit sur moi s'il ne t avait été donné par mon Père")
Le concile Vatican II a hélas fait croire que l exercice …Plus
Quand Notre Seigneur chassait les vendeurs du temple à coups de fouets, il exerçait le droit coercitif de Dieu et de son Église à corriger les pêcheurs et empêcher les scandales.
Même chose quand Il menace Pilate et rappelle son droit à régner sur la société ("tu n'aurais aucun droit sur moi s'il ne t avait été donné par mon Père")
Le concile Vatican II a hélas fait croire que l exercice public d'une fausse religion était un droit individuel et surtout social.
jean-yves macron
@Arthur De la Baure
Le droit à la liberté religieuse de DH a pour seul objet la personne humaine sans rien changer à la doctrine traditionnelle de l'Eglise qui est clairement rappelée dans le préambule de DH. Ce droit est un droit négatif, une notion qui n'est pas évidente à saisir, je vous l'accorde.
« Il y a d’un côté le droit affirmatif d’agir bien ou de bien s’abstenir d’agir, et qui …Plus
@Arthur De la Baure

Le droit à la liberté religieuse de DH a pour seul objet la personne humaine sans rien changer à la doctrine traditionnelle de l'Eglise qui est clairement rappelée dans le préambule de DH. Ce droit est un droit négatif, une notion qui n'est pas évidente à saisir, je vous l'accorde.

« Il y a d’un côté le droit affirmatif d’agir bien ou de bien s’abstenir d’agir, et qui n’existe que pour celui qui met en œuvre le bien et la vérité (ce qui donc engendre une obligation de prestations positives de la part des autres) ».

Et jusqu' ici vous êtes en parfait accord avec l'interprétation classique du droit de la vérité et de l'Eglise catholique et je vous rejoins bien évidemment sur ce premier aspect du droit.

Mais « de l’autre côté, il y a le droit négatif consistant d’une part à ne pas être contraint d’agir contre sa conscience, d’autre part à ne pas être empêché d’agir selon sa conscience (ce qui n’engendre qu’une obligation d’abstention chez les autres) ».

La « positivité » et la « négativité » ne portent pas, dans le point doctrinal qui fait difficulté, sur agir / ne pas agir, mais sur le fait que l’action ou l’omission sont ou non à considérer comme des action / omission légitimes. Dans le cas du droit négatif, on ne s’occupe pas de la légitimité de l’action / omission exempte de coercition chez le sujet agissant ou non, mais de l’obligation faite aux autres de ne pas exercer sur ce sujet une contrainte ».

Ce n'est pas évident, encore une fois je l'admets. Mais raison de plus pour dépassionner le débat et faire l'effort de réflexion nécessaire à des personnes comme vous et moi qui ne sommes pas juristes de métier.

Je vous fais la confidence suivante que pour ma part, j'ai besoin d'être très attentif à la lecture de documents juridiques (et non qui concernent la morale, c'est important de la rappeler pour DH) parce que tous les mots ont un sens bien précis et qu'une seule virgule dans une phrase, placée au mauvais endroit, peut changer le sens de la phrase.

Et qu'on ne me dise pas que c'est la façon de faire des « modernistes », c'est totalement hors de propos. C'est seulement dû à l'extrême concision et précision des documents juridiques quels qu'ils soient. Si vous en doutez, consultez votre avocat sur un sujet profane : vous constaterez que la rigueur et l'articulation des termes exigent une grande attention pour lire correctement un arrêté ou une requête en justice.
Arthur De la Baure
Il a déjà été démontré par plusieurs et notamment des conciliaires, que le père Valuet s'appuait sur les notions modernes du droit qui ne sont pas celles du droit entendu jusque là par l'Église. Plusieurs articles ont été écrits par des jésuites notamment. A cela s'ajoute une conception biaisée de la dignité ontologique et au fond une prédominance de la conscience et donc de la subjectivité …Plus
Il a déjà été démontré par plusieurs et notamment des conciliaires, que le père Valuet s'appuait sur les notions modernes du droit qui ne sont pas celles du droit entendu jusque là par l'Église. Plusieurs articles ont été écrits par des jésuites notamment. A cela s'ajoute une conception biaisée de la dignité ontologique et au fond une prédominance de la conscience et donc de la subjectivité. L'Abbe de tanouarn explique cela dans son livre "Vatican II et l'evangile". Sans rentrer dans tous ces détails. Tout catholique doit savoir que le droit est essentiellement lié a la morale et que par conséquent les condamnations sont faites en vertu du droit et de la morale. Pour renverer ses condamnations il faut donc soit tordre le droit soit la morale.
Le père Basile n'a jamais fait l'unanimité dans le monde intellectuel catholique. Cela suffit. Le magistère s'est déjà prononcé avec autorité, les novateurs ont affirmé qu' il y avait renversement voir rupture, la condamnation de la liberté religieuse bénéficie d'une littérature tres importante avant le Concile, puis apres chez les catholiques fideles, les fruits amers de celle-ci et du concile en général temoignent de maniere evidente que cela ne vient pas de Dieu etc.....
Couper les cheveux en quatre sur des milliers de pages témoignent de l'évidence de la rupture. L'absence totale de fondement scripturaire donne le coup de grâce. Il s'agit bien d'une nouveauté qui contredit la saine Tradition. Nouveauté qui, avec l'œcuménisme et la collégialité a transformé l'Eglise et le monde moderne en une gigantesque loge maçonnique à ciel ouvert. Le pontificat actuel profondément ancré dans Vatican 2 en est l'illustration parfaite mais l'aveuglement perdure malheureusement encore. Que faudra-t-il que notre Seigneur fasse pour que les yeux, les intelligences et les cœurs s'ouvrent ?
Maximilian Schmitt
@Arthur De la Baure
Prière pour l'empéreur romain du Vendredi-Saint (Missel de saint Pie X, monument textuel depuis 1806, éliminé par Roncalli dans le missel de 1962)
 : Prions également pour notre très chrétien empereur « N. », afin que Dieu et notre Seigneur lui soumettent toutes les nations barbares, dans l'intérêt d'une paix perpétuelle.
Prêtre: Flectamus genua ! Diacre: levate !
Dieu tout …Plus
@Arthur De la Baure

Prière pour l'empéreur romain du Vendredi-Saint (Missel de saint Pie X, monument textuel depuis 1806, éliminé par Roncalli dans le missel de 1962)
 : Prions également pour notre très chrétien empereur « N. », afin que Dieu et notre Seigneur lui soumettent toutes les nations barbares, dans l'intérêt d'une paix perpétuelle.

Prêtre: Flectamus genua ! Diacre: levate !

Dieu tout-puissant et éternel, entre les mains duquel sont les pouvoirs de tous et les droits de tous les royaumes ; regardez avec bienveillance l’Empire romain : que les nations qui se confient à leur férocité, soient écrasées par Votre main droite.

De l'"Exsultet" de la Vigile Pascale : Regardez aussi notre très pieux empereur "N.". Vous, ô Dieu, connaissez les désirs de son cœur : accordez-lui, ainsi qu'à tout son peuple, dans votre grâce et votre miséricorde ineffables, une paix durable et une victoire céleste.

Victoire ? Sur qui ? Les barbares ? le paganisme ? les ennemis de la religion catholique ?

Oraison "ad libitum" dans l'annexe du missel n¨°5 ; missel de saint Pie X : O Dieu, protecteur de tous les royaumes et en particulier de l'empire chrétien : accorde à votre serviteur, notre empereur "N.", la grâce de compléter sagement la victoire de votre puissance, afin qu'il reçoive de votre main, en tant que prince par votre ordre, un pouvoir durable à titre de don. Par nôtre Seigneur etc.

Secrète n°5 : Seigneur, daignez accepter les prières et les sacrifices de votre Église, qui vous supplie pour le bien-être de votre serviteur ; faites, comme autrefois [comme autrefois ? Parle-t-on des maccabéens ?], les miracles de votre puissance pour la protection des nations croyantes, afin que les ennemis de la paix soient vaincus et que la chrétienté vous serve dans le calme et la liberté. Par nôtre Seigneur etc.

Postcommunion n°5 : O Dieu, vous avez fondé l'Empire romain pour que l'Évangile du Roi éternel soit proclamé ; donnez donc les armes célestes à votre serviteur, notre empereur "N.", afin qu'aucun orage de guerre ne vienne troubler la paix de votre Église. Par notre Seigneur etc.
Arthur De la Baure
Notre Seigneur est contre la liberté religieuse
"Voici, au contraire, comment vous agirez à leur égard: vous renverserez leurs autels, vous briserez leurs statues, vous abattrez leurs idoles, et vous brûlerez au feu leurs images "
. Deuteronome 7.5
Arthur De la Baure
Le Seigneur par la bouche de David, Psaume 30.7
" Je hais les adorateurs de faux dieux, et moi, je suis sûr du Seigneur."
jean-yves macron
Monsieur De la Baurre, vous n'avez toujours saisi que la liberté au sens large n'est pas seulement la liberté DE faire quelque chose, mais c'est aussi la liberté qu'on ne vous oblige PAS à faire quelque chose.
Prenons un exemple profane : vous faire vacciner par exemple : Vous avez le droit, en période de Covid, DE vous faire vacciner ou bien le droit DE NE PAS vous faire vacciner (pour des …Plus
Monsieur De la Baurre, vous n'avez toujours saisi que la liberté au sens large n'est pas seulement la liberté DE faire quelque chose, mais c'est aussi la liberté qu'on ne vous oblige PAS à faire quelque chose.

Prenons un exemple profane : vous faire vacciner par exemple : Vous avez le droit, en période de Covid, DE vous faire vacciner ou bien le droit DE NE PAS vous faire vacciner (pour des raisons personnelles qui ne regardent que vous). Cela s'appelle la liberté.

La liberté est un droit fondamental et c'est celui-là qui est nouveau et que revendique DH pour la personne humaine (parce que Dieu n’est pas mort que pour les catholiques, mais pour tous les hommes).

DH est un développement homogène de la doctrine de l'Eglise sur les droits fondamentaux, point barre et rien de plus.

Faites une pose dans les commentaires et réfléchissez-y le temps qu'il faudra. Bien cordialement.
Arthur De la Baure
Oui, c'est pour cela que l'Eglise a toujours demandé la liberté religieuse dans les pays qui reprimaient les religions. Mais elle ne l'a toujours demandé que pour elle-même car seule la vérité , et donc la vraie religion, a des droits.
Pape Pie XII : « Ce qui ne répond pas à la vérité ou à la norme de la moralité n’a objectivement aucun droit, ni pour être, ni pour être propagé, ni pour …Plus
Oui, c'est pour cela que l'Eglise a toujours demandé la liberté religieuse dans les pays qui reprimaient les religions. Mais elle ne l'a toujours demandé que pour elle-même car seule la vérité , et donc la vraie religion, a des droits.
Pape Pie XII : « Ce qui ne répond pas à la vérité ou à la norme de la moralité n’a objectivement aucun droit, ni pour être, ni pour être propagé, ni pour agir »
vérité vrai partage ceci
149
chant catholique Huron de noël