Article 40 : Liberté religieuse : ce qu’en dit l’Église (1/2)

Résumé des publications précédentes : Au lieu de dialoguer sur les arguments qui fondent la sainteté et l'autorité du magistère de l'Eglise catholique et dont la reconnaissance l'obligerait à renoncer …Plus
Résumé des publications précédentes :
Au lieu de dialoguer sur les arguments qui fondent la sainteté et l'autorité du magistère de l'Eglise catholique et dont la reconnaissance l'obligerait à renoncer à son sacerdoce illégitime pour le plus grand bien de son âme et de celles de ses fidèles, l'abbé Salenave s'en est pris de nouveau à ma personne, suite à mon droit de réponse à ses attaques personnelles.
Plutôt que de lui répondre inutilement, voyons en détails ce qui le dérange particulièrement, c’est-à-dire la doctrine sur la liberté religieuse que l'Eglise catholique en 1965 a enseigné à nouveau avec autorité et que les structures dissidentes refusent de reconnaître...
Bien que certaines l’aient certainement finalement parfaitement comprise… mais trop tard, après les sacres schismatiques de 1988 qui les piégèrent dans la dissidence.
Cette reconnaissance de la parfaite orthodoxie de la doctrine sur la liberté religieuse constituerait la fin de leur auto-exclusion et leur humble retour …Plus
jean-yves macron
L’encyclique Mit brennender Sorge (1937) du pape Pie XI déclare que :
« l’homme croyant - et non pas seulement l'homme "catholique" ou même l'homme "chrétien" mais bien l' HOMME CROYANT a un droit inaliénable dans la société, à vivre sa croyance comme elle veut être vécue ».Plus
L’encyclique Mit brennender Sorge (1937) du pape Pie XI déclare que :

« l’homme croyant - et non pas seulement l'homme "catholique" ou même l'homme "chrétien" mais bien l' HOMME CROYANT a un droit inaliénable dans la société, à vivre sa croyance comme elle veut être vécue ».
jean-yves macron
@Marie Blanche colombe
« Croire avoir raison » ? Mais c'est bien plus grave que çà, car n'importe qui peut se tromper de bonne foi ou par ignorance d’un sujet.
Mais il ne s'agit pas de cela : l'article 40 est une démonstration purement logique de Léon XIII, de Pie XI et de Paul VI qui ont élaborée et développé ensemble cette doctrine bi-millénaire, sans se contredire, dans le cadre du magistère …Plus
@Marie Blanche colombe
« Croire avoir raison » ? Mais c'est bien plus grave que çà, car n'importe qui peut se tromper de bonne foi ou par ignorance d’un sujet.
Mais il ne s'agit pas de cela : l'article 40 est une démonstration purement logique de Léon XIII, de Pie XI et de Paul VI qui ont élaborée et développé ensemble cette doctrine bi-millénaire, sans se contredire, dans le cadre du magistère vivant et infaillible, donc adéquat et protégé de l'erreur par Jésus Christ Lui-même.

Comment ne pas appeler le courroux du Ciel sur leur pauvre intelligence éteinte ?
Un enfant de 12 ans de bonne foi pourrait comprendre cette déclaration on ne peut plus catholique, j'en ai fait un résumé en 2 commentaires au bas de l'article, en moins de 10 lignes irréfutables, tandis que leurs « théologiens » commettent de volontaires contresens dans le but de ne pas la comprendre.
Ils seraient obligés de déposer leur sacerdoce illégitime aux pieds de l’Église qui les sauverait.

Pour preuve, voyez donc les réactions malhonnêtes de ces malheureux « riches » de la parabole @Panetier @AveMaria44 et de @jili22 qui défendent leur caste plutôt que la vérité qu’ils rejettent :
- refus de lire,
- détournement du sujet,
- fuite de sa responsabilité personnelle,
- mépris du devoir de vérité qui incombe à chaque chrétien,
- soumission aveugle à des autorités auto-proclamées qui jouent la même partition auto-référencée.
Notre devoir n’est pas de faire croire, mais de dire.
jean-yves macron
@Marie Blanche colombe voyez comme Pie XI est en accord et adéquation avec la doctrine de Paul VI dans son encyclique qui la prépare Mit brennender Sorge (1937), Pie XI qui déclare donc que :
« l’homme CROYANT - et non pas seulement l'homme "catholique" ou même l'homme "chrétien" mais bien l' HOMME CROYANT a un droit inaliénable dans la société, à vivre sa croyance comme elle veut être vécuePlus
@Marie Blanche colombe voyez comme Pie XI est en accord et adéquation avec la doctrine de Paul VI dans son encyclique qui la prépare Mit brennender Sorge (1937), Pie XI qui déclare donc que :

« l’homme CROYANT - et non pas seulement l'homme "catholique" ou même l'homme "chrétien" mais bien l' HOMME CROYANT a un droit inaliénable dans la société, à vivre sa croyance comme elle veut être vécue ».

Comment osent-ils résister ainsi à la vérité du magistère de toujours et à Jésus Christ Lui-même ?

Tout simplement à cause de monstrueux conflits d'intérêts personnels auxquels ils tiennent plus qu'à la vérité catholique traditionnelle infaillible. Voilà le drame qui se joue depuis 60 ans...
jean-yves macron
l’homme doit avoir dans la société lle droit à la liberté civile d’accomplir ce devoir religieux, car :
« la vérité ne s’impose pas, sinon par la force de la vérité elle-même, laquelle pénètre de façon à la fois suave et forte dans les esprits ».
La liberté religieuse concerne donc l’immunité de coercition dans la société civile, elle laisse intacte la doctrine catholique traditionnelle …Plus
l’homme doit avoir dans la société lle droit à la liberté civile d’accomplir ce devoir religieux, car :

« la vérité ne s’impose pas, sinon par la force de la vérité elle-même, laquelle pénètre de façon à la fois suave et forte dans les esprits ».

La liberté religieuse concerne donc l’immunité de coercition dans la société civile, elle laisse intacte la doctrine catholique traditionnelle au sujet du devoir moral des hommes et des sociétés envers la vraie religion et l’unique Église du Christ.
jean-yves macron
« Le droit à la liberté religieuse n’est ni la permission morale d’adhérer à l’erreur, ni un droit supposé à l’erreur, mais un droit naturel de la personne humaine à la liberté civile, c’est-à-dire à l’immunité de contrainte extérieure, dans de justes limites, en matière religieuse, de la part du pouvoir politique » (CEC 2108).
C'est si simple que l'on se demande pourquoi les dissidents …Plus
« Le droit à la liberté religieuse n’est ni la permission morale d’adhérer à l’erreur, ni un droit supposé à l’erreur, mais un droit naturel de la personne humaine à la liberté civile, c’est-à-dire à l’immunité de contrainte extérieure, dans de justes limites, en matière religieuse, de la part du pouvoir politique » (CEC 2108).

C'est si simple que l'on se demande pourquoi les dissidents refusent de comprendre : Serait-ce parcequ'il serait trop humiliant d'avouer s'être trompé pendant 60 ans ? Ou pour conserver une influence et un fond de commerce pesant aujourd'hui des millards ?

Il a toujours été plus difficile à un riche - d'argent, de pouvoir ou de sa propre image - d'entrer au Paradis, qu'à un chameau de passer par le trou d'une aiguille...