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Acte 1er - Mgr Lefebvre, S.S. Pie XII : qui croire au sujet de Maria Valtorta ?

Dans une vidéo publiée récemment, intitulée "Que penser de Maria Valtorta ?", nous sont rappelés les propos de Mgr Lefebvre mettant en garde au sujet de la lecture des vies de Jésus, comme celle que …More
Dans une vidéo publiée récemment, intitulée "Que penser de Maria Valtorta ?", nous sont rappelés les propos de Mgr Lefebvre mettant en garde au sujet de la lecture des vies de Jésus, comme celle que nous pouvons lire dans l'œuvre de Maria Valtorta.
Que penser de Maria Valtorta ?
Cette conférence est en effet très instructive ; Mgr Lefebvre ne remet absolument pas en cause cette oeuvre mais déclare simplement que cette lecture n'est pas opportune pour tout le monde. Il laissait d'ailleurs le RP Barrielle (très estimé par lui et directeur spirituel de tous les séminaristes d'Ecône) prêcher les exercices de St Ignace avec ... Maria Valtorta. Et lui même assistait à ces exercices spirituels !
Un immense merci à @SE Monseigneur Lefebvre pour ce commentaire si à propos :)
Je vous propose de découvrir de quoi il s'agit exactement, et de nous poser cette question : quelle force et quelle autorité ont réellement aujourd'hui ces propos, spécialement dans le milieu traditionnel ? Pouvons-nous ou …More
apvs
@Bénédicte LIOGIER
Chère amie, je ne suis pas "tombé dans l'oeuvre de Maria Valtorta quand j'étais petit", tel Obélix dans la potion magique ! :)) C'est en vérité sur le tard, à un âge adulte, que j'ai eu la grâce insigne de la découvrir.
Auparavant, j'avais eu la non moins grande grâce de pouvoir consacrer plusieurs années de ma vie à la méditation des saintes Ecritures, et en tout premier …More
@Bénédicte LIOGIER
Chère amie, je ne suis pas "tombé dans l'oeuvre de Maria Valtorta quand j'étais petit", tel Obélix dans la potion magique ! :)) C'est en vérité sur le tard, à un âge adulte, que j'ai eu la grâce insigne de la découvrir.
Auparavant, j'avais eu la non moins grande grâce de pouvoir consacrer plusieurs années de ma vie à la méditation des saintes Ecritures, et en tout premier lieu des quatre Evangiles, qui sont mon livre depuis ma prime jeunesse, comme beaucoup d'entre nous, qui venons de familles chrétiennes ( et je n'ostracise personne : bien des récents convertis sont devenus meilleurs que beaucoup en peu de temps).
Je suis infiniment moins imprégné de Maria Valtorta que de la Bible, qui a très longtemps suffit, avec les pères de l’Église et bien sûr les Sacrements et la vie chrétienne, à l'épanouissement de ma vie spirituelle.
C'est donc naturel pour moi de pouvoir comparer cette vie "d'avant Maria Valtorta", avec la vie d'après :

et je peux vous assurer que si cette lecture n'a aucune emprise sur moi, comme si tout soudain elle serait devenue indispensable et source de tristesse et de lassitude si j'en étais privé, elle est un puits inépuisable de force et de joie spirituel, de motivation profonde à pratiquer la charité et toutes les autres vertus, de cultiver d'avantage encore l'union au Christ, car lorsqu'on Lui donne son temps pour mieux Le connaître, notre doux Seigneur sait toujours nous en récompenser au centuple.

Venons-en s'il-vous-plaît aux éléments apportés par AveMaria44 :
"...cet ouvrage dénoncé comme non inspiré de manière surnaturelle par l’Église à maintes reprises"
C'est méconnaître la position de l'Eglise par rapport aux révélations privées : jamais elle n'engage sa parole, les fidèles sont juste invités à y adhérer ou non, et seulement de foi humaine. Donc : jamais l'Eglise ne se prononcera explicitement, même pour les révélations de Anne Catherine Emmerich par exemple, pourtant reconnue bienheureuse par ailleurs.
Un non constat de surnaturalité ( l'Eglise nengage pas sa parole ) est très différent d'un constat de non surnaturalité ( condamnation des écrits, ne pouvant en aucun cas être considérés comme inspirés du Ciel ).

Dans le cas des écrits de MV, il y a un non constat de surnaturalité. Même le Saint Office n'a pas pu, dans son article de 1949, y trouver une seule erreur théologique. Ce qui l'a conduit à prononcer une mise à l'index DISCIPLINAIRE, et non DOCTRINALE ( oui, c'est précisément ce que AveMaria44 a omis de vous expliquer... ).

La mise à l'index doctrinale aurait nécessité de trouver au moins une seule bonne raison de dénoncer ces écrits comme présentant une hérésie quelconque, une faute théologique : or il ne s'en présente aucune.

Bien au contraire ! Le Saint Office a été obligé, comme contraint et forcé, de publier les louanges de cette oeuvre, où selon lui : "Le Christ enseignerait les autres avec toute la science des meilleurs théologiens actuels". Comment rêver une meilleure publicité ? Et servie gracieusement par les plus acharnés détracteurs eux-mêmes ! C'est magnifique, ne trouvez-vous pas ?

réfuté par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (cardinal Ratzinger) en 1985 et 1988

... et voici ce que notre cher ami AveMaria44 omet soigneusement de vous apprendre : effectivement, le cardinal Ratzinger ( qui n'a aucune importance pour notre ami, car je ne crois pas qu'il considère qu'il puisse avoir été pape, cardinal évêque ou même prêtre, mais qu'il cite quand cela "l'arrange", dirait-on ) a bien interdit à l'époque à tel journal dont je pourrais vous retrouver le nom de continuer à publier des articles sur Maria Valtorta, car il craignait notamment que la théologie du mariage n'y soit pas correctement présentée... Mais par la suite, nous en avons eu le témoignage directe de la journaliste concernée, permission fut reçu de lui pour continuer ces publications, car Ratzinger devenu Benoît XVI, et ayant eu le temps d'examiner la question, avait acquis la certitude de la conformité de l'oeuvre avec la foi catholique. Mais de cela, aucun detracteur ne vous parlera, et c'est stratégique : c'est pour vous donner l'impression d'un mensonge en provenance de l'autre partie ! Vous n'en trouverez aucune trace sur Wikipedia, dont la page MV est défendue par une véritable équipe de cerbères contre tout rappel de ce genre, pouvant faire pencher la balance en faveur de l'âme privilégiée. La ficelle est un peu grosse, mais elle fonctionne de façon redoutable, comme tout autre système de désinformation.

puis par la Conférence Épiscopale Italienne en 1992 et encore par la Conférence des Évêques de France en 2021.

S'il vous plaît : ne prêtons pas au ridicule. La conférence des évêques de France ? Vous savez bien de qui il s'agit ? Qui peut espérer de la part de ces gens secularisés et prosternés devant les décisions de la junte gouvernementale ne serait-ce qu'un peu d'audace et de loyauté envers Dieu ? ( sinon pour dire tout le bien possible des divorcés remaniés, des membres lgbtq+ "chrétiens", à la suite de François&co, et de l'extrême dangerosité de l'eau bénite en temps de grippette, sans parler de la mortelle communion dans la bouche ? ). Stop : restons un peu entre gens sérieux, par pitié.

En Italie, le vent tourne, la mentalité fossilisée à la française n'y est pas de mise, et l'évêque de Lucques, terre de Maria Valtorta, en est un artisan de premier ordre. Il solennise chaque fête anniversaire de Maria Valtorta, et n'hésite pas à prendre la parole avec le talent qu'on lui connaît ( cf sa dernière homélie, publiée sur Gloria.tv, pour les 80 ans de la première apparition à MV ).
apvs
( je vous ramène au bon endroit, sur la bonne page :)))
@Bénédicte LIOGIER écrit :
apvs pouvez-vous nous communiquer le document où Pie XII se serait exprimé à ce sujet afin qu'on puisse le lire dans le texte. Il va de soi que de simples paroles orales n'offrent pas de garantie suffisante.
Chère amie, à l'heure où la suprême preuve d'un fait est de le citer, duement consigné sur Wikipedia, et …More
( je vous ramène au bon endroit, sur la bonne page :)))

@Bénédicte LIOGIER écrit :

apvs pouvez-vous nous communiquer le document où Pie XII se serait exprimé à ce sujet afin qu'on puisse le lire dans le texte. Il va de soi que de simples paroles orales n'offrent pas de garantie suffisante.

Chère amie, à l'heure où la suprême preuve d'un fait est de le citer, duement consigné sur Wikipedia, et où contester ce site "de référence" est la suprême injure à la Vérité, AveMaria44 a fort bien réussi son coup de maître auprès de vous : il vous a fait un petit résumé de la page Wikipedia de MV. Comme je vous le disais, c'est devenu un bastion des "antis MV", qu'ils défendent sans merci contre toute information favorable. À ce rythme là : toute personne vous présentant un argument favorable à MV est un menteur ! On est exactement dans le même schéma mental qui condamne toute personne un peu sérieuse à être affublée par les bien-pensants du titre de "complotiste". Vous êtes favorable à Maria Valtorta ? Vos arguments lui sont favorables ? Ils sont faux, et vous mentez ! Ne cherchez surtout pas plus loin, Wikipedia en fait foi ! On se charge de tout, ne pensez pas.

Si vous en êtes déjà là, chère madame, j'ai le triste devoir de vous annoncer que je ne peux désormais plus rien pour vous - et c'est possible ! Je le respecte - .

Mais autrement, le simple bon sens vous conduira de manière infaillible à la Vérité, même s'il n'existe pas de papier écrit de la main du pape, relatant ses propres paroles :

Une oeuvre n'est pas bonne ? Il eut été impensable que les promoteurs eux-mêmes de celle-ci fussent reçus par le pape ! C'était contraire au plus élémentaire bon-sens, et à la dignité de la fonction. ( plus depuis François, il est vrai, mais nous parlons ici.... d'un pape, d'un vrai ). Il y a suffisamment de délégués au Vatican pour s'en charger.

Or, loin d'annuler cette audience privée, Pie XII la maintint : c'était donc de science certaine le signe éminent qu'il était favorable à l'oeuvre.

D'aucun diront qu'il ne l'avait pas lue, mais c'est une très vulgaire farce : c'est accuser sa sainteté d'avoir organisé un rdv burlesque, pour se moquer du monde, et donner un avis en l'air, mais de qui ose-t-on ainsi se moquer ? Du propre vicaire du Christ ? Pffeu !

Après, que Pie XII fut favorable, nous en avons par bonheur la preuve écrite, sans un billet de la main de son plus intime confident Mgr Carinci, lui-même convaincu de la sainteté de la voyante, l'ayant rencontré, et s'étant même prosterné au pied du lit de la petite martyr ( car c'est bien ainsi qu'il faudra un jour la nommer). Ce billet est publié dans le livre "Pro et contro Maria Valtorta" de Emiliano Pissani.

Chère madame : pourriez-vous m'expliquer l'intérêt qu'aurait eu des religieux de mentir au sujet du propos d'un pape, qui par ailleurs leur était favorable ? Par quel sortilège ou quelle ânerie monumentale quelqu'un pourrait croire à cette grossièreté ?

Ainsi, ce que Wikipedia ne vous dit pas et pour cause, votre raison libre et bonne peut facilement vous le révéler.

Je suis de l'avis de Blanche concernant la mauvaise impression que font les prises à parti des personnes qui expriment un doute sur les écrits de Maria Valtorta, alors qu'elles avancent des arguments sérieux.

SÉRIEUX !?... Les oreilles me tintent, chère madame, je préfère croire n'avoir rien entendu...

En revanche, quelqu'un qui connaît bien le dépôt de la foi, critère d'après lequel on doit juger de toute oeuvre, y compris celle de MV, est mieux outillé pour avoir un bon discernement, même s'il ne lit pas toute l'oeuvre.

J'ai répondu à cela en début de mon premier message. Ils sont outillés ? Je le suis deux fois plus qu'eux, puisqu'il faut se venter ainsi.

S'il découvre en lisant certains passages un esprit ou un enseignement opposé à ceux de l'Evangile, il est normal qu'il soit alerté. L'exemple des paroles de Jésus sur la Croix me semblent significatives.

Ces gens meconnaissent :
- la liturgie
- la qualité propre des Évangiles
- l'amour de Dieu pour sa Mère.
Cela fait beaucoup tout de même...

Les stances de la Passion, qui sont on ne peut plus liturgiques, évoquent de très nombreuses paroles sorties de la bouche de la sainte Vierge au pied de la Croix du Christ, et qui ressemblent à s'y méprendre aux paroles rapportées par MV dans les mêmes circonstances. La preuve liturgique est donc bien là. Mais ils la meconnaissent, et cela leur sert de preuve pour accuser ( donc : par ignorance ).
Ces stances, il est vrai, à leur décharge, appartiennent à la sainte Liturgie de saint Jean Chysostome, ce qui atténue un peu leur responsabilité.

- les Evangiles sont compendieux, et heureusement : autrement il faudrait des liturgies de 10 heures pour pouvoir lire en une année toute la Vie de notre Seigneur ! Ce qui ne veut certainement pas dire que tous les faits, gestes et paroles du Christ et de sa Mère - pour ne parler que d'Eux - qui n'y sont pas rapportés sont sans aucun intérêt ! Quand on aime, chaque détail concernant l'être aimé a de l'intérêt pour nous.

- Pas conforme aux 7 Paroles du Christ en Croix, ce "Maman !!! " du Christ ? Mais qui peut être assez oublieux pour ne pas se souvenir de "ce grand cri" avec lequel notre Seigneur mourut ?
Et que ce fameux grand cri soit en réalité la première syllabe du mot "Maman !!! ", non seulement n'a rien d'invraissemblable, mais encore est d'une incroyable cohérence avec le Coeur du Christ, tellement uni dans la douleur avec celui si Douloureux de sa Mère.

Non : si la négation de toute saine théologie n'existait pas, les détracteurs de l'oeuvre l'aurait inventée pour parvenir à leurs fins, je trouve cela tout simplement bête, mais bête ! en plus d'être une insupportable offense à l'Amour Incarné qui meurt. Et maintenant, on va bien Lui reprocher d'avoir aimé sa Mère ! Quel cauchemard éveillé. Pincez-moi, que je puisse en sortir...

D'une manière générale, les relations de Jésus avec son entourage laissent dubitatif pour ne pas dire plus.

Non, chère madame, je ne peux pas vous laisser dire cette contre-vérité qui est une offense pour l'estime que j'ai pour vous. Vous vallez vraiment mieux que ce jugement que j'ose qualifier de stupide, et qui trahit vraisemblablement une absence de lecture, donc d'objectivité dans la critique.

Un homme debout aime les défis. Je vous propose donc un défi, chère madame, et si vous le relevez, vous augmenterez d'autant mon estime pour vous : puisque certains ont réussi à insuffler en vous le doute, alors que j'avais réussi à vous insuffler de la confiance, et que ce doute porte spécialement sur le passage de la Passion, et bien je vous propose de le lire dans l'œuvre de Maria Valtorta, au moins depuis la mise en croix du Christ, jusqu'à sa mise au tombeau ( mais sinon, en commençant à l'Agonie au Getsemani). Cela ne fait pas tant de pages que vous ne puissiez pas accomplir facilement cet "exploit".

Ayez la franchise de me dire si honnêtement vous comptez relever ce défit. Si oui, nous pourrons continuer à échanger. Dans le cas contraire, je mettrais un terme à mes discutions désormais stériles avec vous, sans du tout vouloir vous offenser. C'est juste une question de respect de nos choix mutuels.

J'attends donc votre réponse.
Bien cordialement votre, en Jésus et Marie +
Bénédicte LIOGIER
Jusqu’à présent, je n’ai pas eu de réponse à ma question, même si le fil de la conversation avec vous, AveMaria44, Blanche et Arthur de la Baure comporte des remarques intéressantes.
Dans votre "Acte 1er", vous écrivez :
"Lui aussi [Pie XII] donna son avis sur les écrits de Maria Valtorta... il fut très franchement positif. Des documents fiables l'attestent..."
Je me réjouis de savoir que …More
Jusqu’à présent, je n’ai pas eu de réponse à ma question, même si le fil de la conversation avec vous, AveMaria44, Blanche et Arthur de la Baure comporte des remarques intéressantes.
Dans votre "Acte 1er", vous écrivez :
"Lui aussi [Pie XII] donna son avis sur les écrits de Maria Valtorta... il fut très franchement positif. Des documents fiables l'attestent..."

Je me réjouis de savoir que les documents que je réclame existent et qu’il s’agit de "documents fiables". Pouvez-vous me les adresser sans m’obliger à vous lire longuement avant d’y avoir accès ? L’avis du pape Pie XII est évidemment capital. Mais c’est justement pour cela qu’il doit être dûment sourcé. Vous dites qu’on ne peut contester qu’il fut très franchement positif. Tant mieux si son avis est clair et indiscutable. Cela tranchera la question.
apvs
Madame ?
apvs
Allo, madame Liogier ?
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apvs
Est-ce que vous êtes là, pourrais-je avoir toute votre attention ?
Bénédicte LIOGIER
Cher Monsieur,
Pourriez-vous simplement me transmettre ces documents qui, s'ils émanent bien du pape Pie XII et sont très clairs, devraient clore le débat :
"Lui aussi [Pie XII] donna son avis sur les écrits de Maria Valtorta... il fut très franchement positif. Des documents fiables l'attestent..."
apvs
"Ne quittez pas, madame LIOGIER va prendre votre appel, ne qu..."
ALLO ? C'est vous chère madame ? Aaaaaallo allo ?....
apvs
Bien, puisque la communication semble rétablie, j'aimerais vous demander si vous connaissez la petite Luigina Sinapi, et sa relation avec le cardinal Eugenio Pacelli, futur pape Pie XII ?
Sa simple connaissance clot le débat sur Maria Valtorta.
Ensuite, pardon de vous avoir fait ce petit cinéma, mais c'est parce que je vous ai DÉJÀ donné la référence que vous cherchez. Pourriez-vous vous en …More
Bien, puisque la communication semble rétablie, j'aimerais vous demander si vous connaissez la petite Luigina Sinapi, et sa relation avec le cardinal Eugenio Pacelli, futur pape Pie XII ?

Sa simple connaissance clot le débat sur Maria Valtorta.

Ensuite, pardon de vous avoir fait ce petit cinéma, mais c'est parce que je vous ai DÉJÀ donné la référence que vous cherchez. Pourriez-vous vous en souvenir, ou faut-il que je me répète ? Vous ne voyez pas de quoi je veux vous parler ?
9 more comments from apvs
apvs
Voilà pour commencer ce qui concerne la petite âme privilégiée Luigina Sinapi :
apvs
Un pape familier des mystiques.
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Pie XII était familier de ces cas extraordinaires et il avait quelques raisons de l’être.
En avril 1937, le cardinal Eugenio Pacelli était alors un très proche collaborateur de Pie XI dont il dirigeait la Secrétairerie, le dicastère le plus important du Vatican puisque c’est celui du Pape lui-même. À cette date donc, Elisabetta, sa plus jeune sœur …
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Un pape familier des mystiques.

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Pie XII était familier de ces cas extraordinaires et il avait quelques raisons de l’être.

En avril 1937, le cardinal Eugenio Pacelli était alors un très proche collaborateur de Pie XI dont il dirigeait la Secrétairerie, le dicastère le plus important du Vatican puisque c’est celui du Pape lui-même. À cette date donc, Elisabetta, sa plus jeune sœur, lui présente une jeune fille de 21 ans qui venait de l’aborder sur la place Saint-Pierre. Elle avait reçu sa description de la Vierge Marie et l’ordre d’aller voir le futur Pie XII par son intermédiaire. Elle avait un message à lui transmettre. Ce qui fut fait.


Luigina Sinapi, la jeune voyante, lui transmit donc le message qu’elle venait de recevoir au lieu-dit Tre Fontane (les trois fontaines) à Rome :

Exactement dans dix ans, lui avait-elle confié, je reviendrai dans cet endroit. J'utiliserai un homme qui persécute aujourd'hui l'Église et veut tuer le Pape ... Maintenant vas sur la place Saint-Pierre, tu trouveras une dame habillée comme ça ... et tu lui demanderas de te conduire chez son frère Cardinal. Vous lui apporterez mon message. De ce lieu, j'établirai le trône de ma gloire à Rome ... Vous direz aussi au Cardinal qu'il sera le futur Pape.

Les prophéties se réalisèrent : d’abord l’élection de Pie XII deux ans après, en mars 1939, puis les
apparitions de Tre Fontane en avril 1947, soit dix ans presque jour pour jour, à Bruno Cornacchiola qui se convertit et alla tout dire au Pape qu’il voulait précédemment assassiner. Mais Pie XII avait déjà confié au P. Ricardo Lombardi, un jésuite, qu’il savait déjà tout.

Ces coïncidences frappèrent le Souverain-Pontife qui consultait souvent la voyante, soit par des entretiens téléphoniques, soit par des visites. Ce « passe-droit » était très mal vu des prélats et notamment du Saint-Office.

Lors d’une de ces visites, en janvier 1950, elle vint justement leur apporter un message du Ciel les alertant sur la mal qu’ils faisaient aux âmes en bloquant l’œuvre de Maria Valtorta à l’insu du Pape. La réaction fut violente allant jusqu’à des menaces, des brutalités physiques et même jusqu’à une menace explicite de viol de la part d’un prélat qui en resta paralysé jusqu’à ce qu’il reconnaisse cette violence.

Ces méfaits furent rapportés à Maria Valtorta par deux personnes de confiance, proches du Vatican. Ils sont développés dans
un autre article. Ils ne font que confirmer les mœurs délétères du Saint-Office et le soutien personnel de Pie XII à l’œuvre de Maria Valtorta.

Au moment où la jeune Luigina vint lui annoncer ses prophéties, le cardinal Eugenio Pacelli préfaçait Un Appel à l’Amour, un livre de révélations privées confiées à sœur Joséfa Menéndez (1890-1923). Des révélations majeures que Maria Valtorta lut à partir du 22 janvier 1949
[5], après qu’elle ait reçu ses visions de la vie de Jésus. Elle reconnut en elles l’Auteur divin qui l’avait aussi inspiré.

Ces quelques éléments indiquent bien l’intérêt de Pie XII pour les révélations privées et son désir d’exercer personnellement son jugement en ce domaine par-delà les censeurs du Saint-Office.
apvs
Voici pour ce qui est de l'authenticité de l'audience papale :
apvs
L’audience papale.
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Tout le monde peut constater son adhésion à la seule lecture de l’Osservatore romano du 27 février 1948 relatant les audiences papales. Celle des PP. Berti, Migliorini et Cecchin y est mentionnée en page 1.
Un seul sujet pouvait réunir ces trois personnes : Maria Valtorta. On n’en trouvera pas d’autres.
Pouvait-on déranger le Pape pour la moindre des révélations …
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L’audience papale.

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Tout le monde peut constater son adhésion à la seule lecture de l’Osservatore romano du 27 février 1948 relatant les audiences papales. Celle des PP. Berti, Migliorini et Cecchin y est mentionnée en page 1.

Un seul sujet pouvait réunir ces trois personnes : Maria Valtorta. On n’en trouvera pas d’autres.

Pouvait-on déranger le Pape pour la moindre des révélations privées ? Non, car des procédures canoniques étaient prévues pour traiter ces cas, assez nombreux. Celui de Maria Valtorta était donc suffisamment important pour requérir ce haut niveau d’arbitrage.

Pouvait-il accorder une telle audience sans s’être fait un jugement par lui-même ? On ne l’imagine même pas. Il en avait donc suffisamment pris connaissance pour juger le cas digne d’une audience.

L’aurait-il fait si le jugement avait été négatif ou réservé ? D’autres se seraient chargés d’une telle besogne.

Ceci cautionne la genèse de cette entrevue. Le Père Berti en eut l’intuition et son réseau d’amitié fit le reste de proche en proche. Il est étonnant de constater combien l’entourage direct du Pape fut favorable à l’Œuvre de Maria Valtorta car on alla jusqu’à demander à la mystique où se trouvait le tombeau de Saint Pierre que l’on recherchait : une demande qui illustre bien le degré de crédibilité dont elle jouissait à la Secrétairerie d'Etat, la plus haute instance du Vatican.

On sait, par le témoignage des participants
[2] que Pie XII conclut tout naturellement l’audience par cet encouragement sans ambiguïté :

Publiez l'œuvre tel quelle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront comprendront.

Bien que, sur un tel sujet, le Souverain-Pontife soit le juge ultime
[3] l’avis était donné à titre personnel, comme le requiert la règle de l’Église en cette matière [4]. D’autre part, Pie XII demanda en fin d’audience, que l’imprimatur d’usage soit accordé par un évêque selon les règles de l’Église. En effet, nul n’est au-dessus des lois qu’il est chargé de défendre, … du moins dans l’Église.
apvs
Voilà pour ce qui est du soutient de Mgr Carinci à Maria Valtorta, confident du pape :
apvs
L'Œuvre progresse dans un climat favorable.
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Le 11 avril 1948, quelques semaines seulement après l’audience papale, Mgr Carinci se rend personnellement à Viareggio[6]. C’était un proche du Pape dont il organisait toutes les cérémonies religieuses et il avait été un confident de Pie X. Dans ses fonctions il eut à superviser 62 procès en canonisation et de 200 en béatification. …More
L'Œuvre progresse dans un climat favorable.

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Le 11 avril 1948, quelques semaines seulement après l’audience papale, Mgr Carinci se rend personnellement à Viareggio[6]. C’était un proche du Pape dont il organisait toutes les cérémonies religieuses et il avait été un confident de Pie X. Dans ses fonctions il eut à superviser 62 procès en canonisation et de 200 en béatification. C’est dire qu’il ne s’en laissait pas facilement compter. Aussi quand il écrivit plus tard :

Il me vient tout à fait spontanément le désir de remercier le Seigneur de nous avoir donné par l'intermédiaire de cette femme qui a tant souffert, qui est clouée au lit, une œuvre littérairement sublime, doctrinalement et spirituellement si élevée
[7].

Il reconnaissait par-là l’origine divine de l’Œuvre et sa haute valeur.

Lors de cette première entrevue, Maria Valtorta lui demande de prendre soin de l’approbation de l’Œuvre, ce que Jésus demandait avec insistance. Elle n’avait qu’une confiance limitée dans l’ordre des Servites de Marie à qui celle-ci avait été confiée
[8].

Le 20 mai 1948, Maria Valtorta note le climat de confiance qui règne désormais, surtout grâce au Père Berti
[9].

Été 1948, Parole di Vita eterna est publiée avec l’imprimatur de Mgr Barneschi. C’est une maquette de ce qui deviendra L’Évangile tel qu’il m’a été révélé.

Le 25 octobre 1948, Maria Valtorta annonce la sortie probable du premier tome
[10].

On n’imagine pas que ceci ait pu se dérouler dans l’entourage du Vatican sans l’avis favorable du Saint-Père. D’ailleurs il prit soin de l’Œuvre dès que le Saint-Office commença son attitude hostile qui aboutit, après la mort de Pie XII, à l’indigne mise à l’Index, fomentée de toutes pièces
[11].
apvs
Et voici enfin ce dont je vous ai déjà parlé, chère madame, vous le lirez dans la note no 18, qui fait référence à un billet de Mgr Carinci publié dans le livre "Pro et contro Maria Valtorta" de Pisani ( en italien et pas encore en français, je le regrette comme vous, mais les choses avancent lentement... ) :
apvs
Son soutien durant la période d’affrontement.
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Le 11 novembre 1948, le Procureur général des Servites de Marie (le secrétaire général de l’ordre), reçut une demande du Pape transmise par Mgrs Montini et Tardini pour que la future publication soit sécurisée par "une seconde approbation plus valide". Il devait faire appel à des imprimeurs "n'appartenant pas à la Cité du Vatican, …More
Son soutien durant la période d’affrontement.

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Le 11 novembre 1948, le Procureur général des Servites de Marie (le secrétaire général de l’ordre), reçut une demande du Pape transmise par Mgrs Montini et Tardini pour que la future publication soit sécurisée par "une seconde approbation plus valide". Il devait faire appel à des imprimeurs "n'appartenant pas à la Cité du Vatican, afin de ne pas causer de dommages à l’Œuvre de la part de prélats hostiles" [12].

Le 23 décembre 1948, Maria Valtorta reçoit une supplique grave adressée par Dieu le Père Lui-même au Pape Pie XII. Il est invité à défendre avec autorité et fermeté une œuvre qui sera la "gloire future de son pontificat" [13].

Le 9 janvier 1949, sous la pression des évènements alarmants, Maria Valtorta prend l’initiative de s’adresser directement à Mgr Alfonso Carinci. Elle lui fait part que "des difficultés, continuelles et toujours croissantes, viennent de certains prélats pour empêcher le bon aboutissement de l’œuvre"
[14].

Elle fut bien inspirée de le faire, car ce proche de Pie XII, homme de piété et de pitié, sut neutraliser par la diplomatie l’offensive du Saint-Office. Il fit remonter l’arbitrage au Saint-Père et mobilisa "les personnages illustres" qui défendirent l’Œuvre
[15].

Cependant sa première réaction fut de temporiser et de minimiser les intentions du Saint-Office : les âmes saintes n’imaginent pas le mal, elles font confiance en tout
[16].

Au reçu de sa première lettre, Maria Valtorta lui répond immédiatement en l’assurant de sa confiance et de son obéissance
[17]. Mgr Carinci montre cette lettre au Saint-Père quelques jours après. Il note la réaction favorable de Pie XII qui lui dit s’occuper du Saint-Office [18].

Ainsi donc le Pape en personne s’occupait bien du cas de Maria Valtorta. Mais la réaction ne fut pas une réaction d’obéissance. Tout au contraire : le 5 février 1949, l’Œuvre est brusquement stoppée. Le Père Berti est convoqué en dehors de toutes procédures par deux censeurs, dont Mgr Giovanni Pepe, en charge de la censure des livres, celui-là même qui sera licencié par Pie XII trois ans plus tard pour une faute qui démontrait le peu d’importance que le Saint-Office accordait à l’avis du Pape
[19].

Sur l'initiative de Mgr Carinci, une deuxième entrevue avec le Saint-Père fut programmée ce qui suspendit temporairement l’offensive du Saint-Office. Mais cette seconde entrevue n’eut pas lieu pour deux raisons : parce que l’année sainte de 1950 mobilisa l’emploi du temps du Souverain-Pontife et parce que l’entourage du Pape, pourtant favorable à Maria Valtorta, ne souhaitait une confrontation directe avec le Saint-Office que l’on craignait.

Mgr Carinci organisa une supplique au Saint-Père où figurèrent les personnages d’autorité dont nous avons parlé, "les personnalités illustres" dont se moquera plus tard le Saint-Office, les taxant de naïveté. Datée du 29 janvier 1952, cette supplique de hauts personnages aboutit sur le bureau … du Saint-Office.

Le 29 juin 1952, fête des saints apôtres Pierre et Paul, Mgr Carinci célèbre la messe dans la chambre même de Maria Valtorta à Viareggio, lui causant une joie indicible
[20].

En août, Mgr Giovanni Pepe est démis de ses fonctions pour avoir mis à l’Index, sans l’avis du Pape, des livres parlant de Padre Pio.

C’est ainsi que les premiers tomes du Poema dell’Uomo-Dio purent sortir sans encombre à partir de 1956, mais peu de temps après la mort de Pie XII et le lendemain même de la cessation de fonctions de Mgr Carinci (5 janvier 1960), l’Osservatore romano publiait l’indigne mise à l’Index patiemment construite par certains membres du Saint-Office dans l’ombre des couloirs.

Mais leur victoire fut de courte durée, car si l’Œuvre de Maria Valtorta avait perdu ces puissants défenseurs le Ciel ne la laissa pas sans défense.

Le 8 décembre 1963, quand le cardinal Josef Frings déclara sous les applaudissements de l’assemblée conciliaire que :

Nul ne peut être condamné sans avoir été entendu, sans avoir eu la possibilité de se défendre et aussi de se corriger
[21].

Il ne parlait pas des mœurs régnant à l’époque dans les polices d’au-delà du rideau-de-fer, mais des procédures du Saint-Office qui étaient pour beaucoup "un objet de scandale"
[22].

Bientôt l’Index allait être supprimé, en droit et en conséquence. L’Œuvre allait alors illuminer le chemin de sept saints et bienheureux à la suite du Vénérable Pie XII
[23].
apvs
@Bénédicte LIOGIER
Donc : la question est déjà tranchée par l'Osservatore Romano du 27 février 1948, relatant les audiences papales.
Elle est également déjà définitivement tranchée par le cas de la petite Luigina Sinapi.
Elle est enfin tranchée par le soutient commun de Pie XII et de son confident Mgr Carinci face aux négateurs.
Je ne peux pas mieux vous dire. Bonne soirée à vous +More
@Bénédicte LIOGIER
Donc : la question est déjà tranchée par l'Osservatore Romano du 27 février 1948, relatant les audiences papales.

Elle est également déjà définitivement tranchée par le cas de la petite Luigina Sinapi.

Elle est enfin tranchée par le soutient commun de Pie XII et de son confident Mgr Carinci face aux négateurs.

Je ne peux pas mieux vous dire. Bonne soirée à vous +
France Vappereau
Merci apvs
Question admirablement bien re.. tranchée !
Tout cela si bien expliqué et démontré devrait éviter à l'intéressée tout retranchement. 👍😊
Bénédicte LIOGIER
Cher Monsieur,
Je m'attendais à un écrit pontifical, même court, approuvant incontestablement l'ouvrage de Maria Valtorta.
Mais il s'agit seulement d'une ligne de l'OR du 27 février 1948, attestant de l'audience papale et de faits : le cas de Luigina Sinapi, très intéressant bien sûr ; et le soutien sans trace écrite de Pie XII et Mgr Carinci.
En somme, peu d'éléments connaissables et vérifiables …More
Cher Monsieur,

Je m'attendais à un écrit pontifical, même court, approuvant incontestablement l'ouvrage de Maria Valtorta.
Mais il s'agit seulement d'une ligne de l'OR du 27 février 1948, attestant de l'audience papale et de faits : le cas de Luigina Sinapi, très intéressant bien sûr ; et le soutien sans trace écrite de Pie XII et Mgr Carinci.
En somme, peu d'éléments connaissables et vérifiables par le commun des mortels.
C'est très dommage et je reste un peu sur ma faim.

Ceci étant dit, j'ai quand même lu les pages d'où vous tirez vos informations et qui sont intéressantes, notamment :
Pie XII et Maria Valtorta

Je suis aussi tombée sur cette vidéo de présentation de Maria Valtorta par Bruno Perrinet à Montréal.
Rencontre Maria Valtorta à Montréal le 30 août 2018 - Vidéo
Elle est très bien faite, bien illustrée, claire et époustouflante.

C'est ainsi que vous convaincrez. Pas besoin d'insultes, ni de menaces qui sont contre-productives et rebutent vos interlocuteurs. On se demande comment un bon arbre peut porter des fruits aussi aigres.
Vous êtes chargé de dire et pas de faire croire. Dites donc ce qui peut édifier : les faits tels qu'ils sont. Documentez-les bien car chacun a le droit, et même le devoir de remonter aux sources pour vérifier les informations. On ne peut pas suivre aveuglément le 1er venu qui déclare recevoir des lumières divines. Ce serait du fidéisme. En plus, je me demande pourquoi vous n'écrivez pas à visage découvert. C'est un handicap pour le témoignage que vous voulez rendre et pour l'évaluation que l'on peut faire de votre crédibilité. Peut-être que si l'on vous connaissait, votre témoignage aurait plus de poids et que vous apporteriez une certaine caution en faveur de sa véracité.
Sans cette vidéo de Bruno Perrinet, je n'aurais peut-être pas poursuivi mes recherches.

La Providence m'a mené à une vidéo sur la préparation à la mort : "Jésus nous apprend à mourir"
"Jésus nous apprend à mourir." | Dictée de Jésus à Maria Valtorta
Cette vidéo très bien lue (bravo au lecteur) est passionnante et édifiante.
Je ne vois rien à redire. Au contraire, je ne peux que la recommander. Il me semble qu'elle peut faire beaucoup de bien.

J'en ai sélectionné d'autres que je vais écouter pour vérifier mon impression : une sur le Vendredi Saint, une sur la fête du Sacré-Coeur une sur le Saint-Sacrement et une sur l'Assomption.

Enfin, j'ai lu votre commentaire de la vidéo de Mgr Lefebvre :
Acte 2. Mgr Lefebvre n'avait pas un avis défavorable à Maria Valtorta !
Acte 2 - Mgr Lefebvre n'avait pas un avis déf…

Il me semble qu'il est plus pondéré et plus convaincant aussi que d'autres. L'oeuvre de Maria Valtorta, même si elle est un don de Dieu, n'est peut-être pas destinée à toute âme qui, en revanche, bénéficient d'autres grâces. C'est un peu comme dans la vocation.

Bonne fête de l'Assomption si je n'ai pas l'occasion de vous lire ou de vous écrire d'ici-là.
France Vappereau
Bénédicte Liogier
Je viens de vous lire et d'apprécier votre réponse à apvs concernant MV.
Un pas est fait, j'en suis ravie ! Que la Providence continue de vous conduire à aimer de plus en plus lire et comprendre à quel point cette œuvre est divine et tout le bien qu'elle est en mesure de procurer (et particulièrement dans le contexte actuel.)
La Miséricorde de Dieu est Infinie.
Qu'il vous …More
Bénédicte Liogier
Je viens de vous lire et d'apprécier votre réponse à apvs concernant MV.
Un pas est fait, j'en suis ravie ! Que la Providence continue de vous conduire à aimer de plus en plus lire et comprendre à quel point cette œuvre est divine et tout le bien qu'elle est en mesure de procurer (et particulièrement dans le contexte actuel.)
La Miséricorde de Dieu est Infinie.
Qu'il vous bénisse abondamment !