@Jean 76
Voici ce que dit le Christ de cette oeuvre inspirée par Lui à Maria Valtorta ( conclusion de la vidéo ) :

" Les bons, parmi vous, tirerons de cette oeuvre une joie sainte.
Les savants honnêtes, une lumière.
Les distraits qui ne sont pas mauvais, un plaisir.
Les mauvais : un moyen pour épancher leur science mauvaise. "

@Jean 76
Enfin, le Saint Office a interdit définitivement (sans correction possible) en février 1949, les quatre premiers volumes qui ont malgré tout été publiés entre 1956 et 1959 sans imprimatur (donc désobéissance). Mise à l'index le 16 décembre 1959.
Par principe, lorsque j'ai un doute, je m'abstiens.

C'est dommage que vous ne vous interessiez ainsi que de très loin à cette question, qui pourtant est si importante : ne cesser de s'y référer ( comme tous les opposants à MV ) SANS JAMAIS S'Y INTÉRESSER DE PRÈS est une marque de profonde négligence intellectuelle, un grand manque de rigueur, dommageable uniquement pour vous.

En effet, comment pouvez-vous feindre d'ignorer que, si l'on avait suivi aveuglement le Saint Office depuis sa création, de nombreux écrits on ne peut plus catholiques auraient définitivement sombré dans l'oubli ? Comme par exemple les livres de saint Jean d'Avila, eux-aussi abusivement mis à l'index en leur temps.

Pourquoi cela ? Parce que ce fameux "Saint Office" fut malheureusement manipulé de l'intérieur par des gens qui n'avaient pas vraiment l'intérêt de la Sainte Eglise en vu, et qui censuraient à tout va.

Et si Saint Jean d'Avila eut ses censeurs abusifs parmi le Saint Office, Maria Valtorta eut droit elle-aussi au sien, en la personne si détestable de Mgr Pépé. Ce Mgr Pépé meprisait si bien le pape, qu'il produisit une première attaque contre l'oeuvre ( celle que vous citez , février 1949 ), alors que Pie XII, quant à lui, était favorable et l'avait fait savoir. IL FAUT SAVOIR ( car vous paraissez l'ignorer ) QUE CE TORCHON ACCUSATOIRE MAIS QUI VANTE MALGRÉ LUI , D'UNE MANIÈRE ASSEZ COMIQUE, LES SUBLIMES ÉCRITS DE MV, N'A LAISSÉ AUCUNE TRACE DANS LES PUBLICATIONS DU MAGISTÈRE. IL A ÉTÉ TRAITÉ COMME S'IL N'AVAIT JAMAIS EXISTÉ ! ET POUR CAUSE...

Donc, chère amie, vous repasserez une autre fois avec le pseudo argument de "l'infaillibilite du Magistère" qui invaliderait MV.

Ensuite, et puisqu'il faut vous dire, et vous redire, et vous reredire, et vous rereredire... et vous rererere.... .teuh ! teuh ! teuh ! Pardon, ce sont les rerererere qui m'irritent la gorge, ce n'est pas l'omis-con, bref : puisqu'on doit vous renseigner à votre place et vous redire sans cesse les mêmes choses sans vous faire avancer d'un micron :

Mgr Pépé fut, pour faute grave, destitué de son poste au Saint Office, non content de s'attaquer à MV, il s'en prenait également aux livres sur le Padre Pio.

Bon, après : libre à vous de considérer ce personnage sombre et désobéissant, qui méprisait cordialement les avis du pape, comme la voix même du Bon Dieu, c'est un peu votre problème, chère madame.

Ce qu'il en est réellement, c'est que la mise à l'index des écrits de MV survient :
- juste après la mort de Pie XII en 58, qui ne pouvait plus après sa mort prendre la défense de l'oeuvre
- pour un motif de "vice de procédure" , et en AUCUN CAS pour les motifs cités malhonnetement par Pépé : l'oeuvre, en effet, avait été publiée avec trop de hâte, par les mauvais soins de celui qui pour la défendre, en vint à la desservir : le père Migliorini, le même qui avait tenté de voler la signature de l'oeuvre, pour l'attribuer à quelqu'un de son ordre. Pas glorieux tout cela ? EN TOUT CAS, SANS AUCUN LIEN AVEC LE CONTENU INATTAQUABLE DE L'OEUVRE, NI AVEC SON VRAI AUTEUR, MOURANTE AU FOND DE SON LIT, INCAPABLE DE SE CHARGER DE FAIRE CONNAÎTRE CE TRÉSOR.

Mais l'entourloupe fonctionna si bien sur les personnes simples ou mal renseignées, comme vous l'êtes chère madame, que :

- non seulement on arriva à dissimuler que cette mise à l'index n'était pas pour des questions théologiques ou doctrinales

- mais on ressuscita le vieux torchon de mrg Pépé ( je ne sais pas si vous vous souvenez que je vous ai parlé de lui tout à l'heure ? Peut-être faudra-t-il plus tard que je recommence ) , comme si cette "mise à l'index" lui avait tout soudain redonné la valeur qu'il n'avait jamais eu !

Et c'est ainsi qu'il est cité comme "argument massu" par tous les détracteurs de MV, qui n'ont rien d'autre à se mettre sous la dent.

Tels messieurs Abauzit et Von Azel, à qui je n'ai pas hésité à remettre les idées en places, les pauvres petits , j'espère qu'ils s'en sont remis ! C'est tout le mal que je leur souhaite :))))

1/4 Réponse à : "MARIA VALTORTA T…

2/4 Réponse à : "MARIA VALTORTA TELLE QUE NOUS VOUS L'AVONS …

3/4 Réponse à : "MARIA VALTORTA T…

4/4 Réponse à : "MARIA VALTORTA T…

Que Dieu vous bénisse, chère amie, merci de votre aimable attention.

J'ai été un fin de Maria Valtolta et je connais l'œuvre en entier, mais j'ai découvert les erreurs historiques dans cet ouvrage et même dogmatique, le plus important est que l'église l'a mis à l'index à plusieurs reprises, y compris l'église avant Vatican 2, si on se dit catholique, on doit faire confiance à notre église et pas nos propres sentiments, les vrais saints de l'église nous ont tout donné pour la perfection,
J'ai rencontré les personnes qui défendait Maria Valtolta, aucun de ceux que j'ai connu, ne priait pas le Rosaire, un très mauvais signe, lisez Saint lui Marie Grignon de Monfort et vous comprendrez de quoi je parle, sur le passage de ceux qui ne priait pas le Rosaire,

L'épisode bien connu de "Marthe et Marie", tel qu'il nous est rapporté par Maria Valtorta ( totalement inoffensif, lecture non dangereuse, non gourourisante, ne faisant pas dévier d'un seul iota de l'Evangile canonique, respect des personnages assuré ) :

(...)

377.3 Jésus sort dans le jardin ombragé et frais. Il porte simplement son habit bleu foncé. Son manteau, replié avec soin par Marie, est resté sur un banc de la pièce. Marie sort avec Jésus.

Ils cheminent par des allées bien entretenues, entre des parterres de fleurs, jusqu’à un vivier qui a l’air d’un miroir tombé dans la verdure. L’eau, très limpide, est à peine remuée çà et là par le frétillement de quelque poisson ou la pluie très fine du jet d’eau qui est au centre. Des sièges sont disposés près de la large vasque, qui ressemble à un petit lac d’où partent des petits canaux d’irrigation. Je crois même que l’un d’eux alimente le vivier et que les autres, plus petits, servent à l’écoulement pour l’irrigation.

Jésus s’assied sur un siège placé exactement sur le rebord de la vasque. Marie s’assied à ses pieds dans l’herbe verte et bien entretenue. Au début, ils ne parlent pas. Jésus savoure visiblement le silence et le repos dans la fraîcheur du jardin. Marie se délecte à le regarder.

Jésus joue avec l’eau transparente de la vasque. Il y plonge les doigts, il la peigne en la séparant en petits sillages, puis il laisse la main se plonger tout entière dans sa fraîcheur cristalline.

« Comme cette eau limpide est belle ! dit-il.

– Maître, elle te plaît tellement ? dit Marie.

– Oui, Marie, parce qu’elle est si pure. Regarde : pas une trace de boue. C’est de l’eau, mais elle est si claire qu’il semble qu’il n’y ait rien, comme si elle n’était pas élément mais esprit. Nous pourrions lire sur le fond les paroles qu’échangent les petits poissons…

– Comme on lit au fond des âmes pures, n’est-ce pas, Maître ? »

A ces mots, Marie soupire avec un regret caché.

377.4 Jésus remarque le soupir qu’elle étouffe et il lit le regret que voile un sourire. Il guérit aussitôt la peine de Marie.

« Où y a-t-il des âmes pures, Marie ? Il est plus facile à une montagne de se déplacer qu’à une créature de savoir se garder des trois impuretés. Trop de tentations s’agitent et fermentent autour d’un adulte. Et il ne peut toujours empêcher qu’elles pénètrent en lui. Seuls les enfants ont l’âme angélique, l’âme préservée par leur innocence des connaissances qui peuvent se changer en fange. C’est pour cela que je les aime tant. Je vois en eux un reflet de la Pureté infinie. Ce sont les seuls qui portent avec eux ce souvenir du Ciel.

Ma Mère est la femme à l’âme d’enfant. Plus encore, elle est la Femme à l’âme angélique, telle Eve sortie des mains du Père. Imagines-tu, Marie, ce qu’a dû être le premier lys fleuri dans le jardin terrestre ? Ceux qui conduisent à cette eau sont bien beaux, eux aussi. Mais le premier sorti des mains du Créateur ! Etait-ce une fleur ou un diamant ? Etaient-ce des pétales ou des feuilles d’argent très pur ? Eh bien ! ma Mère est plus pure que ce premier lys qui a parfumé les vents. Et son parfum de Vierge inviolée emplit le Ciel et la terre, et c’est derrière elle que marcheront les hommes bons dans les siècles des siècles.

Le Paradis est lumière, parfum et harmonie. Mais si le Père ne s’y délectait pas dans la contemplation de la Toute-Belle qui fait de la terre un Paradis, si le paradis devait à l’avenir ne pas posséder le Lys vivant au sein duquel se trouvent les trois pistils de feu de la divine Trinité, la lumière du Paradis, son parfum, son harmonie et sa joie seraient amoindris de moitié. La pureté de ma Mère sera le joyau du Paradis.

Mais le Paradis est sans limites ! Que dirais-tu d’un roi qui n’aurait qu’une seule pierre précieuse dans son trésor ? Même si c’était le bijou par excellence ?

Quand j’aurai ouvert les portes du Royaume des Cieux… — ne soupire pas, Marie, c’est pour cela que je suis venu — beaucoup d’âmes de justes et de petits enfants entreront, formant une troupe candide derrière la pourpre du Rédempteur. Mais ce sera encore peu pour peupler les Cieux de joyaux et former les citoyens de la Jérusalem éternelle. Et ensuite… lorsque la Doctrine de vérité et de sanctification sera connue des hommes, lorsque ma mort leur aura rendu la grâce, comment les adultes pourraient-ils conquérir les Cieux, si la pauvre vie humaine est une fange continuelle qui rend impur ? Mon Paradis appartiendra-t-il donc aux seuls enfants ? Oh, non ! le Royaume est aussi ouvert aux adultes, mais il leur faut savoir devenir comme des enfants. Comme des tout-petits… Voilà la pureté.

Tu vois cette eau ? Elle paraît si limpide, mais observe : il suffit qu’avec un jonc j’en remue le fond pour qu’elle se trouble. Des détritus et de la boue affleurent. Son cristal devient jaunâtre et personne n’en boirait plus. Mais si j’enlève le jonc, la paix revient et l’eau reprend peu à peu sa clarté et sa beauté. Le jonc, c’est le péché. Il en est ainsi des âmes. Le repentir, sois-en sûre, est ce qui purifie les âmes… »

377.5 Marthe survient, tout essoufflée :

« Tu es encore ici, Marie ? Et moi qui me fais tant de soucis !… L’heure avance. Les invités seront bientôt arrivés, et il y a tant à faire ! Les servantes sont occupées au pain, les serviteurs découpent et font cuire les viandes. Moi, je prépare les nappes, les tables et les boissons. Mais il y a encore les fruits à cueillir et l’eau de menthe et de miel à préparer… »

Marie écoute d’une oreille les lamentations de sa sœur. Avec un sourire bienheureux, elle continue à regarder Jésus sans bouger de place.

Marthe réclame l’aide de Jésus :

« Maître, tu vois comme j’ai chaud. Te paraît-il juste que je sois seule à faire les préparatifs ? Dis-lui, toi, de m’aider ! »

Marthe est vraiment énervée.

Jésus la regarde avec un sourire à la fois doux et légèrement ironique, ou plutôt taquin. Marthe s’offense un peu :

« Je parle sérieusement, Maître. Rends-toi compte comme elle est oisive pendant que je travaille. Et elle reste ici à ne rien faire… »

Jésus prend un air plus sérieux :

« Ce n’est pas de l’oisiveté, Marthe : c’est de l’amour. L’oisiveté, c’était avant. Et tu as tant pleuré à cause de cette oisiveté indigne. Tes larmes ont rendu encore plus efficaces mes efforts pour la ramener à moi et la rendre à ton honnête affection. Voudrais-tu lui disputer l’amour qu’elle a pour son Sauveur ? Préférerais-tu donc qu’elle soit loin d’ici pour ne pas te voir travailler, mais aussi loin de moi ? Marthe, Marthe ! Dois-je donc te dire qu’elle (et Jésus met la main sur la tête de Marie), revenue de si loin, t’a surpassée en amour ? Dois-je donc dire qu’elle, qui ne savait pas une seule parole de bien, est maintenant savante dans la science de l’amour ? Laisse-la à sa paix ! Elle a été si malade ! C’est maintenant une convalescente qui revient à la santé en buvant les boissons qui la fortifient. Elle a été tellement tourmentée… Désormais sortie du cauchemar, elle regarde autour d’elle et en elle, elle se voit renouvelée et elle découvre un monde nouveau. Laisse-la dans cette sécurité. C’est avec ce qui est “ renouvelé ” en elle qu’elle doit oublier le passé et conquérir l’éternité… Elle ne sera pas seulement conquise par le travail, mais aussi par l’adoration. Celui qui aura donné un pain à l’apôtre et au prophète obtiendra une récompense, mais celui qui aura oublié même de se nourrir pour m’aimer en obtiendra une double, parce qu’il aura eu l’esprit plus grand que la chair, un esprit qui aura crié plus fort que les besoins humains, même licites. Tu te préoccupes de trop de choses, Marthe. Pour elle, une seule compte. Mais c’est celle qui suffit à son âme et surtout à son Seigneur, qui est aussi le tien. Laisse tomber ce qui est superflu. Imite ta sœur. Marie a choisi la meilleure part, elle ne lui sera jamais enlevée. Quand toutes les vertus seront dépassées, parce qu’elles ne seront plus nécessaires aux citoyens du Royaume, la seule qui restera sera la charité. Elle seule demeurera toujours, telle une souveraine. Marie l’a choisie, elle l’a prise comme écu et comme bourdon. Ainsi armée, comme sur des ailes d’anges, elle arrivera dans mon Ciel. »

377.6 Marthe, mortifiée, baisse la tête et s’en va.

« Ma sœur t’aime beaucoup et se donne du mal pour te faire honneur… dit Marie pour la justifier.

– Je le sais et elle en sera récompensée. Mais elle a besoin d’être purifiée, comme l’a fait cette eau, de sa façon de penser trop humaine. Regarde comme l’eau est redevenue limpide pendant que nous parlions. Marthe se purifiera grâce aux paroles que je lui ai dites. Toi… toi, par la sincérité de ton repentir…

– Non, par ton pardon, Maître. Mon repentir ne suffisait pas pour laver mon grand péché…

– Il suffisait et il suffira pour toutes tes sœurs qui t’imiteront. Pour tous les pauvres malades spirituellement. Le repentir sincère est un filtre qui purifie ; l’amour ensuite est la substance qui préserve de toute nouvelle souillure. Voilà la raison pour laquelle ceux que la vie a rendus adultes et pécheurs pourront redevenir innocents comme des enfants et entrer comme eux dans mon Royaume. Rentrons maintenant à la maison. Que Marthe ne reste pas trop dans sa douleur. Apportons-lui notre sourire d’Ami et de sœur. »

Le problème de nombreux croyants trrrrrès catholiques et sincères cependant dans leur foi, c'est qu'ils ne croient pas au SURNATUREL de Dieu....Si Marie notre Sainte et Douce Mère du ciel ne s'en était tenue qu'à la synagogue, elle aurait refusé d'écouter l'archange Gabriel.....et Joseph de même et tous les autres prophètes de l'AT de même.
Dieu se révèle aux humbles, aux sages, et aux simples. Et il a choisi MV, sans gloire et dans la souffrance physique lui a obéi.
Le MIRACLE de Dieu!

Si vous le permettez, je préfère m'en remettre à Dieu plutôt qu'à ses "saints".
Très bien ! Mais à ce rythme là... IL FAUT DONC SE RÉFÉRER À DIEU SANS PASSER PAR SES SAINTS : ET DONC NE SURTOUT PAS PASSER PAR SAINT MATTHIEU, SAINT MARC, SAINT LUC ET SAINT JEAN POUR LE CONNAÎTRE ! FINI LES ÉVANGILES, ALLONS À DIEU DIRECTEMENT !

Puisque le nouveau précepte est : "s'en remettre à Dieu plutôt qu'à ses saints"...

Et effectivement, nombre de nos contemporains rejettent les Evangiles canoniques, qui sont pour eux une œuvre humaine qu'on a privilégiée par rapport à d'autres, par un choix purement arbitraire, injuste...

Et les récits de miracles qu'ils contiennent ne sont que des fables, ou simplement des reprises de récits beaucoup plus anciens, rien de nouveau ! Et donc seuls les pharaons detiennent la clef du mystère !

Wwwwwoooouuuuuuuuuuu !!! .....

( 32' 30'' )
TROISIÈME OBJECTION : LES LECTEURS DE MARIA VALTORTA FONT VRAIMENT TROP DE ZÈLE !
On va même jusqu'à denoncer "un lobbie valtortien"

RÉPONSE :
COMMENT PEUT-ON RESTER INSENSIBLE QUAND ON DÉCOUVRE UN TEL TRÉSOR ?

Imaginons Howard Carter lorsqu'il a découvert la tombe de Toutankamon : on n'imagine même pas qu'il ait pu aussitôt refermer le tombeau, en disant : "Allez, circulez : y'a rien à voir ! ". Il s'est empressé au contraire, de faire des rapports partout.

ConseilBenoît XVI :
"QUE CELUI QUI A RENCONTRÉ CE QUI EST VRAI, BEAU ET BON DANS SA PROPRE VIE, L'UNIQUE TRÉSOR, LA PERLE PRÉCIEUSE, COURT LE PARTAGER PARTOUT, EN FAMILLE, AU TRAVAIL, DANS TOUS LES DOMAINES DE SON EXISTENCE. "

Le père Boston, missionnaire en Chine, ayant été expulsé, rentrait à Rome. Entendant au Vatican deux prélats discuter de MV en la critiquant copieusement, il s'est énervé devant plusieurs témoins de la scène, et leur a répliqué :

" ON NE JETTE PAS UNE MONTAGNE D'OR, UNIQUEMENT PARCE QU'ELLE POURRAIT CONTENIR UN GRAIN DE SABLE. "

L'oeuvre de MV captive dans le monde entier des chrétiens qui sur d'autres plans sont divisés : C'EST EXACTEMENT CE QUI CARACTÉRISE UN CHEF D'OEUVRE, selon la définition de Tolstoï qui disait :
" LES GRANDES OEUVRES D'ART NE SONT GRANDES QUE PARCE QU'ELLES SONT ACCESSIBLES ET COMPREHENSIBLES PAR TOUS."

Le bienheureux Gabriel Allegra, missionnaire lui-aussi et premier traducteur de la Bible en chinois, considérait à juste titre que cette oeuvre était "un trésor inestimable de la littérature universelle".
Il a donné une interview devant 700 journalistes à Macao en 1970, soit 1 an après la mise à l'index de MV - c'est pour dire s'il savait que ce n'était pas une mise à l'index pour des questions théologiques ou doctrinales - disant :
"JE NE CROIS PAS QU'IL SOIT SAGE OU JUSTE DE RESTER INDIFFÉRENT DEVANT DE TELS TRÉSORS. "