La "saga Bouflet", acte 1 : le profil des personnages.
La "saga Bouflet", acte 2 : l'impos…
Joachim Bouflet souligne les aspects problématique…
Bonsoir, chers lecteurs de Gloria.tv +
Tous les détracteurs de l'oeuvre de Maria Valtorta commençant généralement leurs exposés sur elle par une courte et très laconique présentation de l'auteur ( histoire de décourager si possible le lecteur d'en apprendre plus par lui-même ),
avant de rentrer plus à fond dans ma réponse à Joachim Bouflet, j'ai voulu - ce n'est que justice - faire de même en ce qui le concerne, et en ce qui concerne sa principale référence : dom Guillaume Chevallier, et vous allez voir à quel point cela n'a rien d'accessoir.
1 ) Monsieur Joachim Boufflet :
L'incroyable "CV" de monsieur Joachim Boufflet
( CV à lire absolument, car cela va bien au-delà de la petite présentation qui suit )
il est un représentant affiché d'un courant théologique très présent aujourd'hui dans l'Eglise moderne, extrêmement pernicieux, et dont la figure de proue est le cardinal Kasper.
Selon ce courant de pensée :
- l'Eglise du Christ ne se serait construite que progressivement, selon l'avancée humaine. Le Christ n'en serait pas directement l'initiateur dès le départ, ce qui contredit le catéchisme de l'Eglise catholique,
- il ne faudrait parler que de "signes" accomplis par le Christ, et non pas de miracles dont la valeur historique est ainsi niée.
En bref : ce courant de pensée nie la transcendance de l'Evangile. Elle est écartée au profit du rationalisme : tout une réflexion est mise en place pour vous expliquer que les "miracles" ont été inventés par la suite par les évangélistes comme autant de signes nécessaires à ce que l'on mette sa foi dans le Christ, mais que ces récits évangéliques n'ont rien d'historique.
On comprend bien que l'oeuvre révélée à Maria Valtorta soit l'antidote à tout ce système mensonger, elle qui affirme bien au contraire :
- la véracité historique de tous les faits et gestes du Christ, tels qu'ils nous sont parvenus dans saint Matthieu, saint Marc, saint Luc et saint Jean
- et la sûreté des enseignements qui en découlent.
On comprendra mieux ainsi la rage, mêlée d'une mauvaise foi évidente, qui transparaît dans l'article de monsieur Bouflet, contrarié au plus haut point par cette oeuvre, qui est pour lui la pierre d'achoppement qu'il s'agit de détruire coûte que coûte.
Nous allons voir par la suite comment tous les arguments de ce prétendu savant sont aujourd'hui devenus obsolètes.
2 ) Dom Guillaume Chevallier :
avant de devenir prêtre de la communauté Saint Martin, ce détracteur acharné de Maria Valtorta avait vécu un premier épisode de vie religieuse, durant lequel il assure avoir vécu une véritable emprise sectaire, notamment par l'intermédiaire des écrits mystiques de la fondatrice Clémence Ledoux ( 1888-1966 ), car il s'agit en réalité de la fraternité Marie Reine Immaculée fondée dans la mouvance de ses écrits, et faisant actuellement l'objet d'une enquête mandatée par Mgr de Germay, évêque de Lyon.
Pourtant :
- vu que c'est Joachim Bouflet qui fut en charge d'enquêter sur ce dossier en 2012, allant jusqu'à qualifier C.Ledoux de "mégalomane mythomane",
- et vu l'entière décomplexion avec laquelle notre homme pratique le mensonge et le laisser-aller intellectuel en ce qui concerne Maria Valtorta, ce qui l'amène - nous allons le voir en détail - à parler abondamment de sujets qu'il ne connaît pas, et à pratiquer l'art de la dissimulation pour arriver à ses fins accusatoires,
rien n'est moins sûr que cette pauvre dame soit réellement une affabulatrice. Le simple fait que ce soit Bouflet qui ait enquêté à charge suffit presque à persuader de son innocence.
Quoi qu'il en soit, Guillaume Chevallier dit avoir souffert de cette aventure ( certainement à cause du modérateur mis en cause, mais n'ayant rien à voir avec l'inspiratrice de la communauté, morte avant même sa fondation ).
Cela a du très certainement le blesser dans son amour propre, de s'être soit-disant laissé berner aussi facilement. Alors, il a décidé que tout cela ne serait plus sa faiblesse à l'avenir, mais sa force.
Au moins, il allait être capable désormais, lui, de pourfendre les gourous soit-disant mystiques : de faible, le voici qui devenait expert. Quelle belle promotion...
Le malheur, c'est qu'il a utilisé sa nouvelle... "capacité d'expert" pour plaquer artificiellement sa soi-disant expérience sectaire sur une autre vraie mystique, ayant reçu de vrais révélations du ciel.
Ainsi, dom Guillaume Chevallier, au lieu d'en arriver au statue d'expert auquel il prétendait, est seulement tombé d'une erreur dans une autre, d'une errance dans une autre, d'un non-sens dans un autre, en s'attaquant à ce qui est purement vrai avec des arguments qui n'en sont pas, avec la même faiblesse de jugement qu'à ses débuts.
C'est très regrettable pour lui, mais il se rend ainsi coupable vis-à-vis du ciel, qui a suscité l'oeuvre de Maria Valtorta, non pas pour "gouroutiser" les pauvres gens, mais pour les ramener à la vraie foi , à la lecture des Ecritures Saintes et à la pratique des sacrements catholiques. C'est-à-dire : non pas pour les égarer, mais pour leur donner le salut.
En conclusion : dom Guillaume Chevallier est une âme faible, croyant avoir subit une emprise sectaire, et qui depuis, par réaction, prétend dénoncer des "emprises sectaires" comme celle qu'il aurait subit... sauf qu'elles n'en sont pas.
On comprend maintenant quelle connivence unit ces deux hommes, tout autant aveugles l'un que l'autre, et se dirigeant bras-dessus bras-dessous dans un trou, entrainant avec eux tous ceux qui les écoutent.
Et c'est cette équipe de bras cassés, Joachim Bouflet et dom Guillaume Chevallier, unis par les liens du mensonge, qui va oser s'ériger en juge de ce que tant de saints, bienheureux, papes, ont unanimement proclamé si digne de tous les éloges, de tous les intérêts pour la foi, la conversion des âmes.
Le spectacle va en être tristement hallucinant.
Joachim Bouflet souligne les aspects problématique…
Bonsoir, chers lecteurs de Gloria.tv +
Tous les détracteurs de l'oeuvre de Maria Valtorta commençant généralement leurs exposés sur elle par une courte et très laconique présentation de l'auteur ( histoire de décourager si possible le lecteur d'en apprendre plus par lui-même ),
avant de rentrer plus à fond dans ma réponse à Joachim Bouflet, j'ai voulu - ce n'est que justice - faire de même en ce qui le concerne, et en ce qui concerne sa principale référence : dom Guillaume Chevallier, et vous allez voir à quel point cela n'a rien d'accessoir.
1 ) Monsieur Joachim Boufflet :
L'incroyable "CV" de monsieur Joachim Boufflet
( CV à lire absolument, car cela va bien au-delà de la petite présentation qui suit )
il est un représentant affiché d'un courant théologique très présent aujourd'hui dans l'Eglise moderne, extrêmement pernicieux, et dont la figure de proue est le cardinal Kasper.
Selon ce courant de pensée :
- l'Eglise du Christ ne se serait construite que progressivement, selon l'avancée humaine. Le Christ n'en serait pas directement l'initiateur dès le départ, ce qui contredit le catéchisme de l'Eglise catholique,
- il ne faudrait parler que de "signes" accomplis par le Christ, et non pas de miracles dont la valeur historique est ainsi niée.
En bref : ce courant de pensée nie la transcendance de l'Evangile. Elle est écartée au profit du rationalisme : tout une réflexion est mise en place pour vous expliquer que les "miracles" ont été inventés par la suite par les évangélistes comme autant de signes nécessaires à ce que l'on mette sa foi dans le Christ, mais que ces récits évangéliques n'ont rien d'historique.
On comprend bien que l'oeuvre révélée à Maria Valtorta soit l'antidote à tout ce système mensonger, elle qui affirme bien au contraire :
- la véracité historique de tous les faits et gestes du Christ, tels qu'ils nous sont parvenus dans saint Matthieu, saint Marc, saint Luc et saint Jean
- et la sûreté des enseignements qui en découlent.
On comprendra mieux ainsi la rage, mêlée d'une mauvaise foi évidente, qui transparaît dans l'article de monsieur Bouflet, contrarié au plus haut point par cette oeuvre, qui est pour lui la pierre d'achoppement qu'il s'agit de détruire coûte que coûte.
Nous allons voir par la suite comment tous les arguments de ce prétendu savant sont aujourd'hui devenus obsolètes.
2 ) Dom Guillaume Chevallier :
avant de devenir prêtre de la communauté Saint Martin, ce détracteur acharné de Maria Valtorta avait vécu un premier épisode de vie religieuse, durant lequel il assure avoir vécu une véritable emprise sectaire, notamment par l'intermédiaire des écrits mystiques de la fondatrice Clémence Ledoux ( 1888-1966 ), car il s'agit en réalité de la fraternité Marie Reine Immaculée fondée dans la mouvance de ses écrits, et faisant actuellement l'objet d'une enquête mandatée par Mgr de Germay, évêque de Lyon.
Pourtant :
- vu que c'est Joachim Bouflet qui fut en charge d'enquêter sur ce dossier en 2012, allant jusqu'à qualifier C.Ledoux de "mégalomane mythomane",
- et vu l'entière décomplexion avec laquelle notre homme pratique le mensonge et le laisser-aller intellectuel en ce qui concerne Maria Valtorta, ce qui l'amène - nous allons le voir en détail - à parler abondamment de sujets qu'il ne connaît pas, et à pratiquer l'art de la dissimulation pour arriver à ses fins accusatoires,
rien n'est moins sûr que cette pauvre dame soit réellement une affabulatrice. Le simple fait que ce soit Bouflet qui ait enquêté à charge suffit presque à persuader de son innocence.
Quoi qu'il en soit, Guillaume Chevallier dit avoir souffert de cette aventure ( certainement à cause du modérateur mis en cause, mais n'ayant rien à voir avec l'inspiratrice de la communauté, morte avant même sa fondation ).
Cela a du très certainement le blesser dans son amour propre, de s'être soit-disant laissé berner aussi facilement. Alors, il a décidé que tout cela ne serait plus sa faiblesse à l'avenir, mais sa force.
Au moins, il allait être capable désormais, lui, de pourfendre les gourous soit-disant mystiques : de faible, le voici qui devenait expert. Quelle belle promotion...
Le malheur, c'est qu'il a utilisé sa nouvelle... "capacité d'expert" pour plaquer artificiellement sa soi-disant expérience sectaire sur une autre vraie mystique, ayant reçu de vrais révélations du ciel.
Ainsi, dom Guillaume Chevallier, au lieu d'en arriver au statue d'expert auquel il prétendait, est seulement tombé d'une erreur dans une autre, d'une errance dans une autre, d'un non-sens dans un autre, en s'attaquant à ce qui est purement vrai avec des arguments qui n'en sont pas, avec la même faiblesse de jugement qu'à ses débuts.
C'est très regrettable pour lui, mais il se rend ainsi coupable vis-à-vis du ciel, qui a suscité l'oeuvre de Maria Valtorta, non pas pour "gouroutiser" les pauvres gens, mais pour les ramener à la vraie foi , à la lecture des Ecritures Saintes et à la pratique des sacrements catholiques. C'est-à-dire : non pas pour les égarer, mais pour leur donner le salut.
En conclusion : dom Guillaume Chevallier est une âme faible, croyant avoir subit une emprise sectaire, et qui depuis, par réaction, prétend dénoncer des "emprises sectaires" comme celle qu'il aurait subit... sauf qu'elles n'en sont pas.
On comprend maintenant quelle connivence unit ces deux hommes, tout autant aveugles l'un que l'autre, et se dirigeant bras-dessus bras-dessous dans un trou, entrainant avec eux tous ceux qui les écoutent.
Et c'est cette équipe de bras cassés, Joachim Bouflet et dom Guillaume Chevallier, unis par les liens du mensonge, qui va oser s'ériger en juge de ce que tant de saints, bienheureux, papes, ont unanimement proclamé si digne de tous les éloges, de tous les intérêts pour la foi, la conversion des âmes.
Le spectacle va en être tristement hallucinant.