Infanticides : Mettons la pression sur les parlementaires indignes

Et notamment sur ceux qui, se présentent à leurs électeurs, comme "catholiques" et pourtant s'abstiennent ou pire vote(ro)nt favorablement à l'inscription dans la Constitution de l'infanticide prénatal. …More
Et notamment sur ceux qui, se présentent à leurs électeurs, comme "catholiques" et pourtant s'abstiennent ou pire vote(ro)nt favorablement à l'inscription dans la Constitution de l'infanticide prénatal.
Une lettre type mais modifiable leur sera envoyée en cliquant sur
constitutionnalisation de l'IVG
Exigez une réponse.
Si le RN est devenu une structure politique incitant à s'aligner sur l'immoralité de sa présidente, alors c'est devenu une structure de péché, qu'il faut fuir.
Rappel des points non négociables en matière de politique listés par le cardinal Ratzinger, préfet de la Congrégation pour le Doctrine de la Foi.
Note doctrinale concernant certaines questions sur l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique
Maximilian Schmitt
Le ferveur fanatique d'un anglican ou de d'un gallican ? Le premier n'est pas exclut !
steack
@Hélène33 a écrit "Je pense que beaucoup ont remarqué que steack ne lit pas vraiment les arguments qu'on lui présente"
Je pense qu'Hélene33 refuse obstinément de comprendre les arguments du magistère pontifical qui sont en rupture avec ses croyances modernistes de sédévacantiste selon lesquelles le pape serait toujours infaillible alors que Saint Pie X écrit explicitement le contraire
@Hélène33More
@Hélène33 a écrit "Je pense que beaucoup ont remarqué que steack ne lit pas vraiment les arguments qu'on lui présente"

Je pense qu'Hélene33 refuse obstinément de comprendre les arguments du magistère pontifical qui sont en rupture avec ses croyances modernistes de sédévacantiste selon lesquelles le pape serait toujours infaillible alors que Saint Pie X écrit explicitement le contraire

@Hélène33 a écrit selon steack "le Pape serait infaillible que dans certaines conditions très rarement réunies"

Elle renonce même à les réfuter devant l'évidence de leur fausseté démontrée par le catéchisme de Saint Pie X et par Pie XII alors qu'elle désignée explicitement pour ce faire :

"@Bénédicte LIOGIER
@Hélène33
Glossaire
PA : Pastor Aeternus" :

Quand est-ce que le Pape est infaillible ?
« Le Pape est infaillible seulement lorsque, en sa qualité de Pasteur et de Docteur de tous les chrétiens, en vertu de sa suprême autorité apostolique, il définit, pour être tenue par toute l’Église, une doctrine concernant la foi et les mœurs
. »

Et elle préfère se taire ci dessous alors qu'elle a la liberté de répondre tandis qu'elle censure son contradicteur de peur qu'on comprenne à quel point ses théories sont ténébreuses

Aidez 2 âmes sédévacantistes de G.TV, dans l’hérés…
Selon Benedicte Liogier l'Eglise aurait eu un…

"il n'y a que les petits hommes, qui redoutent les petits écrits." (Beaumarchais)
Ca vaut pour les femmes aussi...
Le sédévacantisme est bien un péché contre l'intelligence
Hélène33
« Y aura-t-il donc encore un homme assez insensé pour oser croire que la prière (Ego rogavi pro te, o Petre) de Celui qui peut tout ce qu'Il veut, ait été privée de son effet en quoi que ce soit ? N'est-ce pas le Siège Apostolique, c'est-à-dire l'Église Romaine, qui, par saint Pierre non moins que par ses successeurs, a démasqué et terrassé les artifices de tous les hérétiques et confirmé …More
« Y aura-t-il donc encore un homme assez insensé pour oser croire que la prière (Ego rogavi pro te, o Petre) de Celui qui peut tout ce qu'Il veut, ait été privée de son effet en quoi que ce soit ? N'est-ce pas le Siège Apostolique, c'est-à-dire l'Église Romaine, qui, par saint Pierre non moins que par ses successeurs, a démasqué et terrassé les artifices de tous les hérétiques et confirmé les coeurs des frères dans la foi de Pierre, qui jusqu'à ce jour n'a jamais failli et ne défaillira jamais? » (S. S. le Pape saint Léon IX, Lettre In terra pax, ad Michaelem Cærularium, 2 septembre 1053).
- Je sais qu'il existe au moins un insensé, ici présent, qui sous peau de brebis, écrit des textes gallicans et combat avec acharnement la Pierre fondamentale de l'Église.

« Et ces Pontifes, qui osera dire qu'ils aient failli, même sur un point, à la mission qu'ils tenaient du Christ, de confirmer leurs frères dans la Foi ? » (S. S. le Pape Benoît XV, encyclique Principi Apostolorum, 5 octobre 1920).
-Idem

« Et l'on ne doit pas penser que ce qui est proposé dans les lettres encycliques n'exige pas de soi l'assentiment, sous le prétexte que les Papes n'y exerceraient pas le pouvoir suprême de leur Magistère. C'est bien, en effet, du Magistère ordinaire que relève cet enseignement et pour ce Magistère vaut aussi la parole : " Qui vous écoute, m'écoute... " (saint Luc X, 16), et le plus souvent ce qui est proposé et imposé dans les encycliques appartient depuis longtemps d'ailleurs à la doctrine catholique. Que si dans leurs Actes, les Souverains Pontifes portent à dessein un jugement sur une question jusqu'alors disputée, il apparaît donc à tous que, conformément à l'esprit et à la volonté de ces mêmes Pontifes, cette question ne peut plus être tenue pour une
question libre entre théologiens. » (S. S. le Pape Pie XII, Encyclique Humani generis, 12 août 1950).

« Que, parmi vous, il n'y ait pas de place pour l'orgueil du « libre examen », qui relève de la mentalité hétérodoxe plus que de l'esprit catholique, et selon lequel les individus n'hésitent pas à peser au poids de leur jugement propre même ce qui vient du Siège Apostolique. » (S. S. le Pape Pie XII, Vos omnes, 10 septembre 1957).

« Dès que se fait entendre la voix du Magistère de l'Église, tant ordinaire qu'extraordinaire, recueillez-la, cette voix, d'une oreille attentive et d'un esprit docile. » (S. S. le Pape Pie XII aux membres de l'Angelicum, 14 janvier 1958).

« Quand on aime le Pape, on ne discute pas au sujet des mesures ou des ordres qu'il donne ; on ne recherche pas jusqu'où doit aller l'obéissance, et quelles sont les choses dans lesquelles on doit obéir. Quand on aime le Pape, on n'objecte pas qu'il n'a pas parlé assez clairement, comme s'il était obligé de répéter à l'oreille de chacun ses volontés clairement exprimées, tant de fois, non seulement de vive voix, mais encore par des lettres et d'autres documents publics ; on ne met pas en doute ses ordres, sous le prétexte, si facile pour celui qui ne veut pas obéir, que ce n'est pas le Pape qui commande, mais ceux qui l'entourent. On ne limite pas le champ où son autorité peut et doit s'exercer. On ne préfère pas à l'autorité du Pape celle d'autres personnes, si doctes soient-elles, qui ne sont pas du même avis que le Pape : car, si elles ont la science, elles n'ont pas la sainteté, parce que celui qui est saint ne peut être en dissentiment avec le Pape. » (S. S. le Pape saint Pie X, Discours aux prêtres de l'union apostolique, 18 novembre 1912).

Möchten Sie lieber, dass ich Ihnen auf Deutsch schreibe? DER PAPST IST UNFEHLBAR!
steack
@Hélène33
@Bénédicte LIOGIER
Je suis agréablement surpris que vous ne contestiez pas l'enseignement de ce saint pape dans son catéchisme selon lequel le pape est trés rarement infaillible. Dont acte.
Et je vous informe que ni Leon IX ni Benoit XV ni Pie XII n'ont engagé leur infaillibilité pontificale sur les textes que vous citez et qui seraient selon vous en contradiction avec le catéchisme …More
@Hélène33
@Bénédicte LIOGIER
Je suis agréablement surpris que vous ne contestiez pas l'enseignement de ce saint pape dans son catéchisme selon lequel le pape est trés rarement infaillible. Dont acte.

Et je vous informe que ni Leon IX ni Benoit XV ni Pie XII n'ont engagé leur infaillibilité pontificale sur les textes que vous citez et qui seraient selon vous en contradiction avec le catéchisme de Saint Pie X. Ils peuvent donc être entachés d'erreurs. N'est ce pas ? Puisqu'ils ne remplissent ni les conditions de PA ni les conditions de Saint Pie X qui sont les mêmes par ailleurs.
Le magistère d'un saint pape porté sur les autels a plus d'autorité que celui de 4 autres qui n'ont pas été ni canonisés, ni même béatifiés.

Quant au discours de Saint Pie X de 1912, il ne vaut que "si on aime le pape". Or je n'aime pas les papes conciliaires ; c'est mal mais c'est plus fort que moi. Et je ne suis pas le seul. Donc il est inopérant, me concernant, ainsi que la plupart de nos lecteurs.

Quant à répondre à la question de Léon IX :

"Y aura-t-il donc encore un homme assez insensé pour oser croire que la prière (Ego rogavi pro te, o Petre) de Celui qui peut tout ce qu'Il veut, ait été privée de son effet en quoi que ce soit ?"

elle ne vaut que pour ceux qui ne croient pas que les papes ne reçoivent pas l'assistance du Saint Esprit.
Mais l'assistance du Saint Esprit ne fait pas obstacle à la volonté des papes d'enseigner l'hérésie et de passer outre l'assistance du Saint Esprit comme Honorius ou Jean Paul II l'ont fait. Ils gardent leur liberté d'enseigner l'erreur au mépris du Saint Esprit sauf quand ils parlent ex cathedra.

Par ailleurs je vous rappelle que la plupart des pères conciliaires du 3eme concile de Constantinople, du 2eme concile de Nicée et du 4eme de Constantinople soit les pères des sixième, septième (787) et huitième (869–870) conciles œcuméniques de l’Eglise ont été assez "incensés" pour avoir condamné Honorius à l'anathème pour avoir écrit à Serge la profession de foi monothelete "Unde et unam voluntatem fatemur Domini nostri Iesu Christi,"

Capito ?
Hélène33
Je vous ai répondu dans le passé, avec des références et non avec des opinions erronées et des manipulations comme vous faites, et je vous le répète, vous propagez des mensonges blasphématoires contre les Pontifes Romains, Vicaires de Notre-Seigneur JÉSUS-CHRIST, qui ont reçu le plein pouvoir de régir et gouverner l'Église universelle (Concile de Florence). De plus, vous avez supprimé les …More
Je vous ai répondu dans le passé, avec des références et non avec des opinions erronées et des manipulations comme vous faites, et je vous le répète, vous propagez des mensonges blasphématoires contre les Pontifes Romains, Vicaires de Notre-Seigneur JÉSUS-CHRIST, qui ont reçu le plein pouvoir de régir et gouverner l'Église universelle (Concile de Florence). De plus, vous avez supprimé les échanges de Maximilian Schmitt et moi, témoignant que vous n'êtes qu'un gallican hérétique espion, qui sème la zizanie et mérite la proscription de toutes les plateformes catholiques. Capito, blasphémateur?
steack
@Hélène33
Vous me paraissez quelque peu exaltée par votre secte hérétique...!
quels " mensonges blasphématoires contre les Pontifes Romains, "
envers quels pontifes romains ?
🥱😴
steack
@Hélène33
@Bénédicte LIOGIER
Lettre " regi regum " de Saint Leon II à l'empereur Constantin IV vers août 682
Confirmation des décisions du 3ème concile de Constantinople contre les monothélètes et le Pape Honorius 1er.

Nous avons appris en effet que le saint et grand synode universel (Constantinople III) a pensé de même que tout le concile réuni autour de ce saint Siège apostolique (Concile …More
@Hélène33
@Bénédicte LIOGIER

Lettre " regi regum " de Saint Leon II à l'empereur Constantin IV vers août 682
Confirmation des décisions du 3ème concile de Constantinople contre les monothélètes et le Pape Honorius 1er.


Nous avons appris en effet que le saint et grand synode universel (Constantinople III) a pensé de même que tout le concile réuni autour de ce saint Siège apostolique (Concile de Rome 68O)... et qu'il a confessé en accord avec nous :
Que notre seigneur Jésus Christ est l'un de la sainte et indivisible Trinité, qui existe à partir et en deux natures, sans confusion, sans séparation, sans division ; qu'il est, un seul et même, Dieu parfait et homme parfait , la propriété de chacune des deux natures qui se joignent en lui demeurant sauves ; qu'un seul et même a opéré les choses divines en tant que Dieu, et qu'il a opéré inséparablement les choses humaines en tant qu'homme, à l'exception du seul péché ; et le concile a affirmé en vérité que pour cette raison il a également deux volontés naturelles et deux opérations naturelles par lesquelles est manifestée principalement aussi la vérité de ses natures, pour qu'on reconnaisse en effet clairement la différence, à quelle nature elles appartiennent, à partir desquelles et dans lesquelles existe un seul et même notre Seigneur Jésus Christ ; en raison de cela nous avons effectivement reconnu... que ce saint... sixième synode... s'est attaché sans défaillance à la prédication apostolique, qu'il est en accord en tout avec la définition des cinq saints conciles universels, et qu'il n'a rien ajouté ni retranché aux déterminations de la vraie foi, mais qu'il s'est avancé avec une grande droiture sur le chemin royal et évangélique ; et en eux et par eux a été gardée l'élaboration des saints dogmes et la doctrine des Pères éprouvés de l'Eglise catholique...

Et parce que (le synode de Constantinople) a proclamé dans toute sa plénitude... la définition de la foi juste que le Siège apostolique du bienheureux apôtre Pierre, lui aussi...a reçue avec vénération, pour cette raison Nous aussi et, par notre ministère, ce vénérable Siège apostolique, d'un accord unanime, Nous donnons notre assentiment à ce qui a été défini par lui, et Nous le confirmons par l'autorité du bienheureux Pierre...

Et de la même manière Nous anathématisons les inventeurs de la nouvelle erreur, à savoir Théodore, l'évêque de Pharan, Cyrus d'Alexandrie, Serge, Pyrrhus ...de même aussi que Honorius qui n'a pas purifié cette Eglise apostolique par l'enseignement de la tradition apostolique, mais a tenté de subvertir la foi immaculée en une trahison impie (texte grec : a permis que l'Eglise immaculée soit souillée par une trahison impie).
2 more comments from steack
steack
Le 9 août 681, à la fin de la XVIème session du 3eme concile de Constantinople, furent réitérés les anathèmes contre tous les hérétiques et les fauteurs d’hérésie, y compris Honorius : « Sergio haeretico anathema, Cyro haeretico anathema, Honorio haeretico anathema, Pyrro, haeretico anathema » (Mansi, XI, col. 622)
@Hélène33
@Bénédicte LIOGIERMore
Le 9 août 681, à la fin de la XVIème session du 3eme concile de Constantinople, furent réitérés les anathèmes contre tous les hérétiques et les fauteurs d’hérésie, y compris Honorius : « Sergio haeretico anathema, Cyro haeretico anathema, Honorio haeretico anathema, Pyrro, haeretico anathema » (Mansi, XI, col. 622)

@Hélène33
@Bénédicte LIOGIER
steack
@Hélène33
@Bénédicte LIOGIER
2eme concile de Nicée
Il suffit de copier et coller le lien et enlever la série de xxxxxxxxx(Ne pas cliquer) ci dessous mais aussi d'accepter d'entrer en dissonance cognitive avec les mensonges historiques colportés par les gourous de sa secte ultraconfidentielle :
"Histoire universelle de l'Église Catholique: (701 p.)"
https://books.google.dexxxxxxxxx/books?id=…More
@Hélène33
@Bénédicte LIOGIER

2eme concile de Nicée
Il suffit de copier et coller le lien et enlever la série de xxxxxxxxx(Ne pas cliquer) ci dessous mais aussi d'accepter d'entrer en dissonance cognitive avec les mensonges historiques colportés par les gourous de sa secte ultraconfidentielle :
"Histoire universelle de l'Église Catholique: (701 p.)"
https://books.google.dexxxxxxxxx/books?id=iXkfmbem24kC&hl=fr&pg=PA134#v=onepage&q&f=true

sélectionner la page 134 publiée en 1866 avant que les méchants gallicans de la FSSPX ne fussent nés ni même ne fussent des projets de procréation :
VIIe Session. - On lut dans la septième session, qui est du 13 d'octobre 787, la confession de foi du concile, et les deux décrets touchant les images. La confession n'est autre chose que le symbole de Nicée ; mais il est suivi d'anathèmes contre les hérétiques qui se sont depuis élevés dans l'Église ; en particulier, contre Nestorius, Eutychès, Dioscore, Sévère, Pierre et leurs sectateurs. On anathématisa encore les fauteurs d'Origène, d'Evagre et de Didyme, Sergius, Honorius, Cyrus et les autres qui n'ont point reconnu deux volontés et deux opérations en Jésus-Christ.
Hélène33
Vous n'avez même pas cité la bonne page de l'histoire universelle de l'Église catholique de Rohrbacher, la vraie page de votre citation (document falsifié) et à la page 134. Et vous retirez un passage hors de son contexte pour appuyer vos blasphèmes contre le glorieux Pontife Honorius, qui n'a jamais erré dans la Foi, comme tous ses prédécesseurs et comme tous ses successeurs dans les siècles …More
Vous n'avez même pas cité la bonne page de l'histoire universelle de l'Église catholique de Rohrbacher, la vraie page de votre citation (document falsifié) et à la page 134. Et vous retirez un passage hors de son contexte pour appuyer vos blasphèmes contre le glorieux Pontife Honorius, qui n'a jamais erré dans la Foi, comme tous ses prédécesseurs et comme tous ses successeurs dans les siècles, qui n'erreront jamais, puisque le Christ l'a ainsi promis. Ce que vous citez contre Honorius, est une falsification des Grecs, dans les documents originaux du Concile en question, le nom d'Honorius n'a jamais été mentionné dans la liste des hérétiques. Ce dogme de foi, a été confirmé par le dernier Concile Vatican.
Hélène33
J'ai oublié cette image importante.
steack
Hélène33 a écrit " Ce que vous citez contre Honorius, est une falsification des Grecs, dans les documents originaux du Concile en question, le nom d'Honorius n'a jamais été mentionné dans la liste des hérétiques."
Cessez vos délires paranoiaques ! Et abjurez plutôt vos hérésies sédévacantistes.
Avez vous conscience qu'en venir à imaginer des "grecs" venant falsifier les actes de 3 conciles …More
Hélène33 a écrit " Ce que vous citez contre Honorius, est une falsification des Grecs, dans les documents originaux du Concile en question, le nom d'Honorius n'a jamais été mentionné dans la liste des hérétiques."

Cessez vos délires paranoiaques ! Et abjurez plutôt vos hérésies sédévacantistes.
Avez vous conscience qu'en venir à imaginer des "grecs" venant falsifier les actes de 3 conciles dogmatiques successifs et une lettre d'un saint pape pour sauver ses croyances modernistes vous range dans le camp des cinglés ?

Il faudrait que 3 conciles dogmatiques eussent erré dans la foi et dans les faits pour sauver votre croyance stupide :

Les 4 condamnations du pape Honorius pour avoir co…

Vatican I n'a jamais prononcé le mot Honorius !! Ni dans DF ni dans PA !
Abjurez ou vous allez sombrer dans la folie furieuse !
steack
@Hélène33 "Vous n'avez même pas cité la bonne page de l'histoire universelle de l'Église catholique de Rohrbacher, la vraie page de votre citation (document falsifié) et à la page 134. "
🤪😲😲😲
Par qui cette page de Rohrbacher imprimée en 1868 aurait elle été falsifiée ?
Par des grecs ou des gallicans cette fois ?
La paranoia vous guette !More
@Hélène33 "Vous n'avez même pas cité la bonne page de l'histoire universelle de l'Église catholique de Rohrbacher, la vraie page de votre citation (document falsifié) et à la page 134. "
🤪😲😲😲

Par qui cette page de Rohrbacher imprimée en 1868 aurait elle été falsifiée ?
Par des grecs ou des gallicans cette fois ?
La paranoia vous guette !
One more comment from steack
steack
@Hélène33 "J'ai oublié cette image importante."
Vous rendez vous compte de la nullité et de la stupidité de vos arguments !!!?
Abjurez !More
@Hélène33 "J'ai oublié cette image importante."

Vous rendez vous compte de la nullité et de la stupidité de vos arguments !!!?
Abjurez !
Joseph-Marie
À @steack sur le glorieux Pape Honorius I (625 A.D. - 638 A.D.)
Constitution dogmatique DEI FILIUS, Concile de Vatican, 1870 :
« C’est pourquoi, persistant à marcher sur les traces de Nos prédécesseurs, et selon le devoir de Notre charge apostolique, Nous n’avons jamais cessé d’enseigner et de défendre la vérité catholique et de réprouver les doctrines perverses. Mais, à présent, au milieu …More
À @steack sur le glorieux Pape Honorius I (625 A.D. - 638 A.D.)

Constitution dogmatique DEI FILIUS, Concile de Vatican, 1870 :

« C’est pourquoi, persistant à marcher sur les traces de Nos prédécesseurs, et selon le devoir de Notre charge apostolique, Nous n’avons jamais cessé d’enseigner et de défendre la vérité catholique et de réprouver les doctrines perverses. Mais, à présent, au milieu des Évêques du monde entier siégeant avec Nous et jugeant, réunis dans le Saint-Esprit par Notre autorité en ce synode œcuménique, appuyés sur la parole de Dieu écrite ou transmise par la tradition, telle que nous l’avons reçue, saintement conservée et fidèlement exposée par l’Église catholique, Nous avons résolu de professer et de déclarer, du haut de cette chaire de Pierre, en face de tous, la doctrine salutaire de Jésus-Christ en proscrivant et condamnant les erreurs contraires avec l’autorité qui nous a été confiée par Dieu. »

Constitution dogmatique PASTOR AETERNUS, Concile de Vatican, 1870 :

« Les Pères du IVe concile de Constantinople (869 A.D.), suivant les traces de leurs ancêtres, émirent cette solennelle profession de foi : « La condition première du salut est de garder la règle de la foi orthodoxe… On ne peut, en effet, négliger la parole de notre Seigneur Jésus-Christ qui dit : “Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église”. Cette affirmation se vérifie dans les faits, car la Religion catholique a toujours été gardée sans tache dans le Siège apostolique. Désireux de ne nous séparer en rien de sa foi et de sa doctrine… nous espérons mériter de demeurer unis en cette communion que prêche le Siège apostolique, en qui réside, entière et vraie, la solidité de la religion chrétienne.

« Avec l’approbation du IIe concile de Lyon (1274 A.D.), les Grecs ont professé : « La sainte Église romaine possède aussi la primauté souveraine et l’autorité entière sur l’ensemble de l’Église catholique. Elle reconnaît sincèrement et humblement l’avoir reçue, avec la plénitude du pouvoir, du Seigneur Lui-même, en la personne du bienheureux Pierre, chef ou tête des Apôtres, dont le Pontife romain est le successeur. Et comme elle doit, par-dessus tout, défendre la vérité de la foi, ainsi les questions qui surgiraient à propos de la foi doivent être définies par son jugement ».

« Enfin, le concile de Florence (1439 A.D.) a défini : « Le Pontife romain est le vrai vicaire du Christ, la tête de toute l’Église, le père et le docteur de tous les chrétiens ; à lui, dans la personne du bienheureux Pierre, a été confié par notre Seigneur Jésus-Christ plein pouvoir de paître, de régir et de gouverner toute l’Église ».

« Pour s’acquitter de leur charge pastorale, nos prédécesseurs ont travaillé infatigablement à la propagation de la doctrine salutaire du Christ parmi tous les peuples de la terre, et ils ont veillé avec un soin égal à sa conservation authentique et pure, là où elle avait été reçue. C’est pourquoi les évêques du monde entier, tantôt individuellement, tantôt réunis en synodes, en suivant la longue coutume des églises et les formes de la règle antique, ont communiqué au Siège apostolique les dangers particuliers qui surgissaient en matière de foi, pour que les dommages causés à la foi fussent réparés là où elle ne saurait subir de défaillance. Les Pontifes romains, selon que l’exigeaient les conditions des temps et des choses, tantôt convoquèrent des conciles œcuméniques ou sondèrent l’opinion de l’Église répandue sur la terre, tantôt par des synodes particuliers, tantôt grâce à des moyens que leur fournissait la Providence, ont défini qu’on devait tenir ce qu’ils reconnaissaient, avec l’aide de Dieu, comme conforme aux saintes Lettres et aux traditions apostoliques.

« Car le Saint Esprit n’a pas été promis aux successeurs de Pierre pour qu’ils fassent connaître, sous sa révélation, une nouvelle doctrine, mais pour qu’avec son assistance ils gardent saintement et exposent fidèlement la révélation transmise par les Apôtres, c’est-à-dire le dépôt de la foi.

« Leur doctrine apostolique a été reçue par tous les Pères vénérés, révérée et suivie par les saints docteurs orthodoxes. Ils savaient parfaitement que ce siège de Pierre demeurait pur de toute erreur, aux termes de la promesse divine de notre Seigneur et Sauveur au chef de ses disciples : « J’ai prié pour toi, pour que ta foi ne défaille pas ; et quand tu seras revenu, affermis tes frères ».

« Ce charisme de vérité et de foi à jamais indéfectible a été accordé par Dieu à Pierre et à ses successeurs en cette chaire, afin qu’ils remplissent leur haute charge pour le salut de tous, afin que le troupeau universel du Christ, écarté des nourritures empoisonnées de l’erreur, soit nourri de l’aliment de la doctrine céleste, afin que, toute occasion de schisme étant supprimée, l’Église soit conservée tout entière dans l’unité et qu’établie sur son fondement elle tienne ferme contre les portes de l’enfer. » (Mgr Paul Guérin, Concile oecuménique du Vatican-son histoire, ses décisions, 1877)

Vous le voyez bien ci-dessus que les deux constitutions dogmatiques du Concile Vatican confirment ce que toujours a été enseigné et cru dans l'Église Catholique : les Pontifes Romains n'ont jamais erré dans leur divin Magistère, et ils n'erreront jamais, car Notre-Seigneur les assiste continuellement dans leur enseignement pontifical.

Le 6e Concile oecuménique du Constantinople (680 A.D.- 681 A.D.)

- Notons en passant que le Pape saint Agathon parlait ainsi quelques années à peine après la prétendue chute du Pape Honorius :

« Le sixième Concile oecuménique tenu à Constantinople, sous le Pape saint Agathon, en l'année 681, atteste si explicitement la croyance et la pratique des siècles antérieurs, relativement à l'infaillibilité du Pape, que son seul témoignage nous dispense de rapporter en détail le témoignage des cinq premiers Conciles. Écoutons ; c'est un Concile général qui parle, qui enseigne. D'après les gallicans eux-mêmes, nous sommes ici devant un oracle infaillible :

« Pierre a reçu du Sauveur de tous, par une triple recommandation, la charge de paître les brebis spirituelles de l'Église. Par la puissante assistance de saint Pierre, cette Église Apostolique, qui est la sienne, ne s'est jamais écartée de la voie de la vérité, dans quelque partie d'erreur que ce soit.

« Aussi toute l'Église Catholique et les Conciles généraux ont TUJOURS embrassé fidèlement et suivi en tout l'autorité de cette Église Apostolique, comme étant l'autorité du Prince des Apôtres. Tous les Pères ont embrassé sa doctrine Apostolique, et par là ont resplendi les plus pures lumières de l'Église du Christ. Les saints Docteurs orthodoxes l'ont vénérée et l'ont suivie, tandis que les hérétiques se sont acharnés contre elle, la calomniant et la poursuivant de leurs odieux blasphèmes. Nous vous envoyons donc la règle de la vraie Foi, qui, soit au sein de la paix, soit au milieu des tempêtes, a été conservée et défendue énergiquement par l'Église Apostolique de JÉSUS-CHRIST, laquelle, par la grâce du DIEU Tout-puissant, ne sera JAMAIS convaincue de s'être écartée du sentier de la tradition des Apôtres, ni d'être jamais tombée dans la dépravation des nouveautés hérétiques. Telle qu'elle a reçu la Foi de ses fondateurs, les Princes des Apôtres du Christ, telle elle l'a conservée sans la moindre tache, en vertu de la promesse divine que le Seigneur JÉSUS Lui-même, notre Sauveur, a faite dans les saints Évangiles au Prince de ses Apôtres : "Pierre, Pierre, voici que satan a demandé à vous cribler tous comme on crible le froment ; mais MOI J'ai prié pour Toi afin que ta Foi ne défaille point ; et toi, à ton tour, affermis tes frères". Que votre Clémence Sérénissime considère donc que c'est le Sauveur du monde, le Seigneur de qui vient la Foi, qui a promis que la Foi de Pierre ne défaillira pas, et qui lui a recommandé d'y affermir ses frères. C'est ce que les Pontifes Apostoliques auxquels j'ai succédé ont toujours fait, en toute assurance, comme tout le monde sait. (Concile de Constantinople, VIe oecuménique, 681 A.D. ; de la Lettre du Pape saint Agathon à l'Empereur, lue dans ce même Concile oecuménique, acclamée par tous les évêques et insérée dans les actes et décrets officiels de ce saint synode ; Cfr. Oeuvres de Mgr de Ségur).

« Dans le discours de clôture, les évêques renouvellent cette même déclaration ; ils professent hautement qu'ils n'ont fait que suivre les traditions du Pape, comme lui-même avait suivi les traditions des Apôtres. Le Prince suprême des Apôtres, ajoutent-ils, combattait avec nous ; car nous avons eu pour guide son imitateur et l'héritier de son Siège, qui par ses rescrits a porté la lumière sur le mystère de DIEU. Rome a donné une profession de foi écrite par DIEU même... Le papier et l'encre y paraissent aux yeux, mais Pierre y parle par Agathon.

« Enfin ce même Concile oecuménique nous fournit un dernier et splendide témoignage en faveur des droits sacrés du Pape, dans la lettre synodale que tous les Pères adressèrent à saint Agathon pour le plier de confirmer leurs décrets. Voici comment ils lui parlent : Les grandes maladies ont besoin de plus grands secours. C'est pourquoi le Christ, notre DIEU, a procuré un sage médecin en la personne de Votre Sainteté, qui a combattu efficacement la contagion de la pestilence hérétique au moyen des remèdes de l'orthodoxie, et rendu une pleine santé aux membres de l'Église. Aussi est-ce à vous, comme au Pontife du premier Siège de l'Église universelle, et comme à celui qui se tient immobile sur la pierre ferme de la foi, que nous remettons ce qui est à faire. Nous acquiesçons de grand coeur à la confession de foi que Votre paternelle Béatitude a envoyée à notre très-pieux empereur ; nous la reconnaissons comme divinement écrite par le Chef suprème des Apôtres, et c'est par elle que nous avons refoulé les erreurs multiples de la nouvelle secte... Nous prions donc Votre Sainteté de mettre le sceau à nos décrets par ses vénérables rescrits. » (Rohrbacher, X ; Ibid.). » (Cfr. Mgr Paul Guérin, Les Conciles généraux et particuliers, 1868, t. 1, p. 556)

Dans ces quelques références des Conciles oecuméniques si-dessus, convoqués après la prétendue chute du glorieux Pape Honorius I, on ne trouve aucune trace de la culpabilité du Pontife faussement calomnié et vilipendé. Et il ne pouvait arriver autrement, car le CHRIST Notre-Seigneur a prié pour Son vicaire, et Il l'assiste continuellement afin que Pierre et ses successeurs ne puissent JAMAIS errer dans leur Magistère pontifical TOUJOURS INFAILLIBLE.

Comment expliquer alors les lettres mystérieuse du Pape Léon II qui prétendent confirmer les décrets du 6e Concile oecuménique où le Pape Honorius serait « anathématisé », tandis les décrets en question non seulement n'en disent mot, mais au contraire exaltent l'infaillibilité du Pontife Romain ? La falsification est la seule réponse possible.

Mgr de Ségur, Le Souverain Pontife, 1867, p. 236 :

« La discussion de ce fait historique se trouve résumée de la façon la plus lumineuse et à la fois la plus intéressante dans le beau livre Du Pape, du comte de Maistre, et j'y renvoie le lecteur. Je me bornerai à dire ici :

1° Qu'il est absolument certain que le Pape Honorius n'a jamais dévié d'une ligne de la foi catholique touchant cette question de la volonté humaine, unie à la volonté divine en Notre-Seigneur. Dans la lettre particulière qu'il adressa au fourbe Sergius, il disait, il est vrai, qu'il n'y a qu'une seule volonté en Notre-Seigneur; mais il n'entendait parler que de la volonté humaine, qui, en Jésus-Christ, n'est pas divisée comme chez nous autres pécheurs. Aucun doute n'est permis au sujet de la véritable pensée d'Honorius. Son secrétaire, apprenant l'abus que quelques sectaires commençaient à faire en Orient de la correspondance intime de son ancien maître, écrivait, en effet, trois ans après la mort d'Honorius, à l'empereur Constantin, une lettre qui nous a été conservée et dans laquelle il dit formellement :

« Quand nous parlâmes d'une seule volonté dans le Seigneur, nous n'avions point en vue sa double nature, mais son humanité seule. Sergius, en effet, ayant soutenu qu'il y avait en Jésus-Christ deux volontés contraires nous dîmes qu'on ne pouvait reconnaître en Lui ces deux volontés, savoir celle de la chair et celle de l'esprit, comme nous les avons nous-mêmes depuis le péché. » Le Pape Jean IV, second successeur d'Honorius, atteste la même chose dans une épître d'autant plus remarquable qu'il l'avait dictée au même prêtre qui avait été secrétaire d'Honorius. (Denz. 253, édition de 1957. Ndlr) Saint Maxime de Constantinople dit également, au sujet de cette prétendue connivence d'un saint Pape avec des hérétiques notoires : « On doit rire, ou, pour mieux dire, on doit pleurer à la vue de ces malheureux (Sergius et Pyrrhus) qui osent citer de prétendues décisions favorables à l'impie thèse, essayer de placer dans leurs rangs le grand Honorius, et se parer aux yeux du monde de l'autorité d'un homme éminent dans la cause de la Religion... Qui donc a pu inspirer tant d'audace à ces FAUSSAIRES ? Quel homme pieux et orthodoxe, quel Évêque, quelle Église ne les a pas conjurés d'abandonner l'hérésie? mais surtout que n'a pas fait le divin Honorius ! »...

« 3. J'ajouterai que, s'il est certain que le Pape Honorius a toujours été parfaitement orthodoxe, même comme homme privé, il n'est pas certain du tout que les Actes du septième Concile, tels que nous les possédons, soient purs de toute altération. Baronius et d'autres savants critiques ont la conviction que les deux passages où le nom du Pape Honorius se trouve annexé d'une manière si leste aux noms des hérétiques, ont été altérés par les ennemis de l'Église, comme autrefois les Actes de Nicée furent non-seulement altérés, mais supprimés et détruits en partie par la fureur sacrilège des Ariens, comme les Actes du cinquième Concile oecuménique de Chalcédoine l'ont été par d'autres sectaires.

« Saint Grégoire le Grand dit, au sujet de ces falsifications sacrilèges : « J'ai examiné avec soin le Concile d'Éphèse et n'y ai rien trouvé touchant les Évêques qu'on prétend y avoir été condamnés. Nous croyons que, comme le Concile de Chalcédoine a été falsifié en un endroit par l'Église de Constantinople, on a fait quelque altération semblable au Concile d'Éphèse. Cherchez dans les plus anciens exemplaires de ce Concile, mais ne croyez pas aisément aux nouveaux : les Latins sont plus véridiques que les Grecs ; car nos gens n'ont pas tant d'esprit, et n'usent point d'impostures.

« Ajouter ou ôter aux Actes des Conciles sont des entreprises ordinaires aux Grecs, disait encore à ce sujet le célèbre critique Anastase, surnommé le bibliothécaire. »

A la page 662, de votre volume de Rohrbacher que vous avez apporté, mais mal interprété, le célèbre historien écrit bien que dans le 6e Concile général de Constantinople, on ne fait AUCUN MENTION DU PAPE HONORIUS. Ce qui le confirme, ajoute le même historien, c'est que dans le livre synodique des Grecs, le nom de Honorius ne se trouve pas avec ceux de Sergius et de Phyrrus.

Encore une fois vous apportez des calomnies et des fausses références contre nos glorieux Pontifes Romains, peut-être pas à propos délibéré, mais c'est possible que vous n'avez pas consulté la bonne documentation. Or, je ne pense pas que vous ignorez les règles de la bonne conduite envers votre prochain; même si vous n'êtes pas catholique, je ne vois pas comment on peut excuser certaines de vos manière insultantes et méprisantes envers vos semblables. Il semble que quand vous n'avez pas des arguments doctrinaux, vous commencez les attaques personnels.

Je prie pour votre âme et que Notre-Dame vous éclaire !
Joseph-Marie
Can. 589
§ 1 Les religieux faiblement instruits dans les disciplines inférieures doivent étudier la philosophie pendant au moins deux ans, et la théologie pendant quatre ans, en s’attachant à la doctrine de St Thomas, selon le Can. 1366 § 2 selon les instructions du Siège apostolique.
Can. 1366
§ 1 Pour la charge d’enseigner les disciplines philosophiques, théologiques et juridiques, doivent …
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Can. 589

§ 1 Les religieux faiblement instruits dans les disciplines inférieures doivent étudier la philosophie pendant au moins deux ans, et la théologie pendant quatre ans, en s’attachant à la doctrine de St Thomas, selon le Can. 1366 § 2 selon les instructions du Siège apostolique.

Can. 1366

§ 1 Pour la charge d’enseigner les disciplines philosophiques, théologiques et juridiques, doivent être préférés, toutes choses égales d’ailleurs, au jugement de l’évêque et des délégués au séminaire, ceux qui ont obtenu le doctorat dans une université ou une faculté reconnues par le Saint-Siège ou, s’il s’agit de religieux, des sujets qui aient un témoignage équivalent de leurs supérieurs majeurs.

§ 2 Les professeurs doivent ordonner les études de philosophie rationnelle et de théologie, de même que la formation des élèves dans ces disciplines, selon la méthode du docteur Angélique, et s’en tenir religieusement à sa doctrine et à ses principes.


Saint Thomas d'Aquin sur l'infaillibilité pontificale

« Cela ne suffit pas, répond le grand Docteur saint Thomas; sans doute, c'est le CHRIST Lui-même qui fait tout dans l'Église; c'est Lui qui baptise, c'est Lui qui remet les péchés; c'est Lui qui est le vrai Prêtre, immolé sur l'autel de la croix et par la puissance duquel Son Corps est consacré chaque jour sur nos autels; et néanmoins, comme Il ne devait pas demeurer toujours avec ses fidèles d'une présence corporelle visible, Il a choisi des ministres par le moyen desquels Il pût dispenser aux chrétiens ces divins sacrements. Pour la même raison, et parce qu'Il devait soustraire cette présence corporelle à Son Église, Il a dû confier à un homme le soin de gouverner, en Son Nom et comme Son Vicaire, l'Église universelle. » (Saint Thomas d'Aquin., Sum. contra Gent., lib. IV, c. LXXVI.; cf. Oeuvres de Mgr de Ségur)

« L'Église universelle ne peut errer, car Celui qui est exaucé en tout au titre de sa dignité a dit à Pierre, sur la profession de foi duquel est fondée l'Église : "J'ai prié pour toi pour que ta foi ne défaille point". » (saint Thomas d'Aquin, Somme théologique, supplément de la IIIe partie, q. 25, a. 1).

« L'unité de l'Église demande que tous les fidèles s'accordent sur tous les points de la foi. Mais ces points soulèvent de temps en temps des questions qu'il faut résoudre. Or l'Église serait divisée en une infinité d'opinions, si la décision d'un seul ne venait sauvegarder son unité. » (Saint Thomas d'Aquin, Sum. cont. Gentes, lib. IV, c. LXXVI)

« Quatrièmement, elle [l'Église] est ferme. Une maison est ferme 1) quand ses fondations sont solides. La véritable fondation de l'Église est le Christ (I Corinthiens III, 2) et les douze Apôtres (Apocalypse XXI, 14). Pour suggérer la fermeté, Pierre est appelé le roc. 2) « La fermeté d'une maison apparaît en outre quand elle ne peut être renversée par une secousse. » L'Église n'a pu être renversée ni par les persécuteurs, ni par les séductions du monde, ni par les hérétiques. D'après Matthieu, XVI, 18, les « portes de l'enfer » (= les hérétiques) peuvent l'emporter sur telle ou telle église locale, mais point contre l'Église de Rome où réside le Pape. « C'est pour cette raison que seulement l'Église de Pierre (à qui fut attribué l'Italie lors de l'envoi des disciples) demeurera toujours ferme dans la foi. Et tandis qu'ailleurs la foi n'y est pas du tout, ou bien mêlée avec beaucoup d'erreurs, l'Église de Pierre, elle, est forte dans la foi et pure de toutes les erreurs, ce qui n'est pas étonnant, vu que le Seigneur a dit à Pierre : "J'ai prié pour toi, pour que ta foi ne défaille point." » (saint Thomas d'Aquin, Opuscula, Expositio symboli apostolorum).

« Une fois que les choses ont été décidées par l'autorité de l'Église universelle celui qui refuserait opiniâtrement de se soumettre à cette décision, serait hérétique. Cette autorité de l'Église réside principalement dans le souverain Pontife. Car il est dit (Décret. XXIV, q. I., ch. 1.2) : « Toutes les fois qu'une question de foi est agitée, je pense que tous nos frères et tous nos collègues dans l'épiscopat ne doivent s'en rapporter qu'à Pierre, c'est-à-dire à l'autorité de son nom et de sa gloire ». Ni les Augustin, ni les Jérôme, ni aucun autre docteur n'ont défendu leur sentiment contrairement à son autorité. C'est pourquoi saint Jérôme disait au pape Damase (in expo. symbol.) : « Telle est la foi, très-saint Père, que nous avons apprise dans l'Église catholique : si dans notre exposition il se trouvait quelque chose de peu exact ou de peu sûr, nous vous prions de le corriger, vous qui possédez la foi et le siège de Pierre. Mais si notre confession reçoit l'approbation de votre jugement apostolique, quiconque voudra m'accuser prouvera qu'il est ignorant ou mal intentionné, on qu'il n'est pas catholique. Mais il ne prouvera pas que je suis hérétique » (saint Thomas d'Aquin, Somme théologique, II-II. q 11.a.2).

« — Y a-t-il quelqu’un qui soit assuré de ne pas se tromper sur le sens de la parole de Dieu dans l’Écriture sainte, et où qu’elle se trouve ?
« — Oui, c’est le Souverain Pontife, et par lui l’Église Catholique dans son enseignement universel (q. 1, a. 10).
« — Pourquoi dites-vous que le Souverain Pontife et, par lui, l’Église catholique dans son enseignement universel ne peuvent pas se tromper sur le sens de la parole de Dieu dans l’Écriture sainte, et où qu’elle ait été conservée ?
« — Parce que Dieu lui-même a voulu qu’ils fussent infaillibles.
« — Et pourquoi Dieu a-t-Il voulu qu’ils fussent infaillibles ?
« — Parce que sans cela les hommes n’auraient pas eu les moyens nécessaires d’arriver sûrement à la fin surnaturelle à laquelle Il les appelle (q. 1, a. 10). » (R. P. Thomas Pègues O.P., « Catéchisme de la Somme théologique de saint Thomas d'Aquin », 1919)

« On doit plus se reposer sur la décision du Pape, à qui il appartient de décider en matière de foi, que sur aucun des plus sages docteurs. » (Saint Thomas d'Aquin, « Quodlib . » 10. art. 6; Cfr. Abbé Barbier, « Les trésors de Cornelius à Lapide », t. 1, 1876)

« ..Lorsque l'Église a décidé une question de foi, celui qui ne s'y soumettrait pas serait hérétique ; et cette autorité de l'Église réside principalement dans le Souverain Pontife (Saint Thomas d'Aquin, « Somme théologique », 2. 2. q. il. art. 2. ad o; ibid.).

Citation importante de saint Augustin sur le même sujet

« Si, défendant le libre arbitre non selon la grâce de Dieu, mais contre elle, tu dis qu'il appartient au libre arbitre de persévérer ou de ne pas persévérer dans le bien, et que si l'on y persévère, ce n'est pas par un don de Dieu, mais par un effort de la volonté humaine, que machineras-tu pour répondre à ces paroles du Maître : "J'ai prié pour toi, Pierre, afin que ta foi ne défaille pas" ? Oseras-tu dire que malgré la prière du Christ pour que la foi de Pierre ne défaille pas, cette foi eût défailli néanmoins, si Pierre avait voulu qu'elle défaillît, c'est-à-dire s'il n'avait pas voulu persévérer jusqu'à la fin ? Comme si Pierre eût pu vouloir autre chose que ce que le Christ demandait pour lui qu'il voulût ! Qui ignore que la foi de Pierre devait périr, si sa propre volonté, la volonté par laquelle il était fidèle, défaillait, et qu'elle devait demeurer jusqu'au bout, si sa volonté restait ferme ? Mais puisque la volonté est préparée par le Seigneur, la prière du Christ pour lui ne pouvait être vaine. Quand Il a prié pour que sa foi ne défaille pas, qu'a-t-il demandé en définitive, sinon qu'il ait une volonté de croire à la fois parfaitement libre, ferme, invincible et persévérante ? Voilà comment on défend la liberté de la volonté, selon la grâce, et non contre elle. Car ce n'est pas par sa liberté que la volonté humaine acquiert la grâce, mais plutôt par la grâce qu'elle acquiert sa liberté, et pour persévérer, elle reçoit, en outre, de la grâce le don d'une stabilité délectable et d'une force invincible. » (Saint Augustin, De la correction et de la grâce, livre VIII, ch. 17).
steack
@Joseph-Marie
Mgr de Segur est un crétin papolatre.
Vos citations de Vatican I ne mentionnent pas Honorius.
Vos citations qui concernent l'infaillibilité de l'Eglise et non celle du pape sont inopérantes car hors sujet.
Vos citations de simples commentaires du 6eme concile ont moins d'autorité que les ACTES mêmes des 6ème 7ème et 8eme concile qui ont TOUS ACTÉ la condamnation d'Honorius.
Voici …More
@Joseph-Marie
Mgr de Segur est un crétin papolatre.
Vos citations de Vatican I ne mentionnent pas Honorius.
Vos citations qui concernent l'infaillibilité de l'Eglise et non celle du pape sont inopérantes car hors sujet.
Vos citations de simples commentaires du 6eme concile ont moins d'autorité que les ACTES mêmes des 6ème 7ème et 8eme concile qui ont TOUS ACTÉ la condamnation d'Honorius.

Voici 4 extraits des magistères de ces 3 conciles dogmatiques avec les références dans le Denzinger.
Je peux aussi vous les citer en latin.

Les 4 condamnations du pape Honorius pour avoir co…

Abjurez pour éviter l'enfer !

(Dz 1869) Concile de Trente

Je reçois et je professe sans en douter tout ce qui,par les saints canons et par les conciles oecuméniques, principalement par le saint concile de Trente et par le concile œcuménique du Vatican, a été transmis, défini et déclaré (spécialement sur le primat du pontife romain et son magistère infaillible). En même temps, je condamne, je rejette et j'anathématise également tout ce qui leur est contraire et toute espèce d'hérésie condamnée, rejetée et anathématisée par l'Eglise.

Or 3 conciles ont déclaré que la 1ere lettre d'Honorius à Serge méritait l'anathème...

Le 9 août 681, à la fin de la XVIème session du 3eme concile de Constantinople, furent réitérés les anathèmes contre tous les hérétiques et les fauteurs d’hérésie, y compris Honorius : « Sergio haeretico anathema, Cyro haeretico anathema, Honorio haeretico anathema, Pyrro, haeretico anathema » (Mansi, XI, col. 622)
Hélène33
« Mais Jésus les regardant, leur dit : Que veut donc dire cette parole de l'Écriture : La pierre qui a été rejetée par ceux qui bâtissaient, est devenue la principale pierre de l'angle? Quiconque se laissera tomber sur cette pierre, s'y brisera ; et elle écrasera celui sur qui elle tombera. » St Luc XX, 17-18.
À votre place steack, j'arrêterais de combattre la Pierre sur laquelle est fondée …More
« Mais Jésus les regardant, leur dit : Que veut donc dire cette parole de l'Écriture : La pierre qui a été rejetée par ceux qui bâtissaient, est devenue la principale pierre de l'angle? Quiconque se laissera tomber sur cette pierre, s'y brisera ; et elle écrasera celui sur qui elle tombera. » St Luc XX, 17-18.
À votre place steack, j'arrêterais de combattre la Pierre sur laquelle est fondée l'Église, car tôt ou tard, elle vous écrasera (par le poids d'une éternelle réprobation).
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Titus Mobi
Infanticides et viols, pour le retour de la peine de mort sans appel
Attende Domine
Non à la peine de mort des innocents.
Titus Mobi
Les violeurs et les tueurs d'enfants ne sont pas innocents