News au 2 janvier 2020

Le Père John F. O'CONNOR
a MIS en GARDE CONTRE le Cardinal BERNARDIN et a été PUNI
(+ vidéo anglaise)

Le cardinal de Chicago Blaise Cupich a conservé une série de documents secrets révélant que feu le cardinal de Chicago Joseph Bernardin, un moderniste convaincu, aurait abusé de mineurs, de séminaristes masculins et d'autres adultes. Selon Church Militant, citant des sources anonymes, Cupich, qui doit sa carrière au cardinal McCarrick, fait maintenant l'objet d'une enquête des autorités de l'État parce qu'il n'a pas révélé ces faits. Il n'est pas surprenant que le pape François ait choisi Cupich pour diriger le sommet de février sur les abus au Vatican.

Les documents obtenus par Church Militant révèlent que l'archidiocèse de Chicago, puis le pro-nonce aux États-Unis, l'archevêque Cacciavillan et le secrétaire d'État du Vatican ont été informés des allégations contre Bernardin. Mais le Vatican n'a pas ouvert d'enquête, aussi parce que Bernardin était protégé par les médias de l'oligarchie libérale. Les commentateurs de gloria.tv qui ont étudié à Rome confirment que les soirées-pyjamas de Bernardin avec les jeunes prêtres étaient bien connues. Même le père Reto Nay de Gloria.tv en a entendu parler à l'époque.

Le Dominicain américain, le Père John F. O'Connor, avait déjà révélé au début des années 90 les abus sexuels de Bernardin. En conséquence, O'Connor a été renvoyé de l'ordre dominicain et suspendu parce que - je cite - « il a porté atteinte à la réputation de la province centrale, de tout l'ordre dominicain et de l’Église avec ses accusations contre Bernardin ». Ses supérieurs ont même voulu le forcer à suivre un traitement psychiatrique, mais O'Connor a refusé. Évidemment, ses révélations furent également ignorées par les médias oligarques qui, à l'époque, encourageaient les contacts sexuels entre adultes et mineurs.

Bernardin était le principal moderniste aux États-Unis. Il était chargé de l'affectation des évêques pendant de nombreuses années sous le pontificat de Jean-Paul II. Church Militant conclut que l'Église catholique en Amérique, telle qu'elle est aujourd'hui constituée, a été conçue et réalisée non pas par un mais par deux homosexuels, les cardinaux McCarrick et Bernardin. Ils ont promu de nombreux prêtres corrompus à l'épiscopat. Beaucoup d'entre eux occupent encore des postes de haut niveau.

Il y a un an, Gloria.tv a rapporté que le Secrétaire d'État du Vatican, le Cardinal Pietro Parolin, a appelé Bernardin pendant une messe dans la ville natale de ses parents en Italie : « le grand Joseph Bernardin ». Parolin a continué en affirmant que Bernardin était « un grand berger, mais surtout, il a tant souffert ».

[Toute cette corruption fait littéralement vomir et elle était à l'époque, il faut le souligner, patronnée par Jean-Paul II, un saint corrompu, et donc pas saint ! Bergoglio ne fait que suivre la locomotive de Vatican II qui a introduit partout cette horrible corruption. Tant que la conciliaire ne sera pas évacuée, cela continuera et ira de mal en pis.]

it.news 2 janvier 2020

« Comme si c'était une messe » - par Gianni Toffali

Pendant la période de Noël, les chroniques du Vatican ont attiré l'attention sur l'aspect maniaque du pape François, ce qui n'est pas en accord avec le fondateur du christianisme.

Peu de place, au contraire, a été réservée aux paroles exprimées par le pontife sur les méthodes communicatives du troisième millénaire.

De la place Saint-Pierre, Bergoglio a battu les fidèles en disant : « Vous, dans votre famille, savez-vous communiquer ou êtes-vous comme ces garçons à table, chacun avec son téléphone portable, pendant qu'ils discutent ? Il semble y avoir un silence à cette table comme s'il y avait une messe, mais personne ne communique. »

Ce concept est certainement vrai, mais il semble pour le moins irrévérencieux de la part du chef de la catholicité.

La référence apparemment anodine à « comme s'il y avait une messe » est en fait une attaque directe contre l'essence même du catholicisme, c'est-à-dire contre la célébration du mystère-sacrifice pascal (Passion, mort, Résurrection) du Christ Seigneur, rendu présent et effectif au sein de la communauté chrétienne.

Les silences des Messes servent à faire comprendre aux fidèles plus d'aspects. Le premier est qu'il faut contempler, qu'il ne faut pas tant participer qu'adhérer.

Le second est que la Messe n'est pas un spectacle qui doit divertir agréablement, mais la réactualisation du Sacrifice du Calvaire.

Le troisième est que le célébrant agit "in persona Christi", et en tant que tel, n'est pas sujet à des bavardages inutiles. Concepts élémentaires, mais évidemment pas pour tout le monde.

[D'autant plus que les messes d'aujourd'hui sont plutôt des kermesses que des messes ! Et de la faute à qui ? À Vatican II !]

fr.news  2 janvier 2020

Le Cardinal Marx veut « aller vers d'autres rives »

« Abordez la nouvelle décennie avec fantaisie », a dit le cardinal Marx de Munich dans son sermon de la veille du Nouvel An, pour ensuite répéter les vieux slogans habituels.

Il a appelé à « une nouvelle pensée holistique ». « Les vieux modèles et la pensée possessive » devraient être laissés de côté.

L’Église ne devrait pas aborder le Nouvel An dans une « attitude défensive », mais dans la confiance « que Dieu nous ouvre de nouvelles possibilités - sans peur, sans étroitesse, mais avec un grand courage et avec un grand désir de penser de nouvelles choses ».

Il a dit que le Christ était en colère contre ceux « qui sont coincés dans des préjugés tenaces [de gauche], qui ne quittent pas les chemins habituels [du monde] et qui sont indifférents à la souffrance des autres, qui placent leurs propres traditions humaines au-dessus de la volonté de Dieu ».

« Traditions humaines » est le contraire de « Traditions de l’Église ».

« Nous n'avons pas à briser les ponts de la tradition, nous devons les traverser pour aller sur d'autre rives », a poursuivi Marx. L'« autre rive » est en allemand un terme qui désigne l'homosexualité.

Le progrès ne peut être mesuré uniquement par des chiffres économiques ou par des critères de croissance, a affirmé Marx en essayant de détourner l'attention de l'effondrement de l’Église allemande moderniste radicale.

Marx est le coordinateur du Conseil économique du Vatican et membre du Conseil des cardinaux, et donc l'un des cardinaux les plus puissants de l'Église.

[Marx ouvre en beauté la dernière décennie conciliaire, ce qui est normal : ils ont encore 10 ans pour faire la fête, et ensuite, oust : en enfer !]

fr.news  2 janvier 2020

Matteo Salvini parodie la colère de François

Le politicien italien Matteo Salvini a mis en scène une scène (Twitter, 1er janvier, vidéo) se moquant du coup de François infligé à une femme.

La vidéo montre Salvini dans une belle région montagneuse enneigée. Une femme lui prend la main. Salvini fait semblant d'être nerveux et veut la gifler mais, au dernier moment, il décide de lui caresser les cheveux.

Puis, les deux s'éloignent en riant.


[Valli a fait aussi là-dessus un truc très rigolo. Voir ici : L'ANTICRISTO è INGANNEVOLE : la fa sempre franca! (se servir de votre traducteur car cela vaut le coup)]

fr.news  2 janvier 2020

Le cardinal Müller parle du « poison qui paralyse l’Église ».

« La crise dans l’Église est due à l'homme », a prêché le cardinal Gerhard Müller à des milliers de catholiques réunis pour le Student Leadership Summit de Phoenix le 1er janvier.

Selon lui, « le poison qui paralyse l’Église » consiste à s'adapter à l'esprit de l'époque, à relativiser les commandements et à réinterpréter la doctrine révélée.

Il en résulte un catholicisme sans dogmes, sans sacrements, et un magistère infaillible.

« Cependant, celui qui croit n'a pas besoin d'idéologie [environnementaliste, homosexualiste ou progressiste] », a-t-il expliqué.

Les appels à la « modernisation » exigent que l'Église renonce à sa prétention de vérité, au profit de la construction d'une « nouvelle religion d'unité mondiale » que Müller a qualifiée de « religion civile ».

Cependant, Dieu ne peut pas être changé par les caprices de la société, a-t-il dit.

[Müller vasouille ! Voici la vérité : le modernisme est monté peu à peu dans l’Église jusqu'à ce qu'il en usurpe la tête en 1958. Ce qui arrive maintenant est la suite logique de cette usurpation.]

fr.news  2 janvier 2020

Les journalistes serviles justifient la colère de François

Actuellement, les journalistes de l'oligarchie font tout pour justifier la violence de François contre une femme la veille du Nouvel An.

La journaliste de cour de François, Franca Giansoldati, a écrit sur IlMessagero.it (1er janvier) que cette colère était due à une « sciatique ».

Selon Giansoldati, cet état lui cause « des douleurs insupportables aux hanches ». Cependant, l'expression du visage de François pendant l'incident n'était pas de la douleur mais de la colère.

Giansoldati se plaint d'un « manque de sécurité » autour de François, bien que lui-même ne veuille pas de filtres entre lui et les gens parce que - selon Ginasoldati - il « aime être libre de les saluer, de les embrasser, de les approcher [et de les battre] ».

[La sciatique de l'Antéchrist ? Voilà encore une sornette ! Par contre, cela lui ferait beaucoup de bien d'en avoir une vraie et des deux jambes à la fois !!!]

fr.news  2 janvier 2020

Qu'a dit la femme frappée par François ? (vidéo)

Selon les médias, la femme chinoise frappée par François la veille du Nouvel An a dit :

« Attendez ! Attendez ! Soyez attentif aux Chinois ! Ils perdent la Foi ! »

[Voilà le pot-aux-roses ! Maintenant on comprend, et je m'en doutais, que l'Antéchrist s'est mis en super boule, et s'il avait pu boxer la femme, il l'aurait fait ! Mais c'est encore trop tôt... mais ça viendra !!!]