Bénédicte LIOGIER

Maxence Hequard - Les origines d'une crise annoncée dans la Sainte Écriture

PS :
Je recommande l'écoute du commentaire du dernier document du DCPU :
Nouveau document signé par le pape François ... la…
Les communautés traditionnelles par leur fausse conception de l'universalité du pouvoir du pape (universel par extension et somme de toutes les juridictions particulières des évêques ; contre universel par transcendance de la primauté pontificale) ne doivent pas faire le …More
PS :
Je recommande l'écoute du commentaire du dernier document du DCPU :
Nouveau document signé par le pape François ... la…

Les communautés traditionnelles par leur fausse conception de l'universalité du pouvoir du pape (universel par extension et somme de toutes les juridictions particulières des évêques ; contre universel par transcendance de la primauté pontificale) ne doivent pas faire le lit de la religion mondiale unique (universelle par inclusion de toutes les religions particulières ; contre universelle par transcendance de l'unique religion fondée par le Christ sur Pierre et ses successeurs) et de l'Antéchrist.

La fausse "Eglise" décentralisée, synodale et oecuméniste, voudrait-elle remettre les clés de Pierre à l'Antéchrist, après s'être dépouillée de tous ses autres attributs : tiare, titre de Vicaire du Christ, infaillibilité, primauté, etc. ?

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Le DCPU a publié le 13 juin 2024, un document signé par François sur L’évêque de Rome. Primauté et synodalité dans les dialogues œcuméniques et réponses à l’encyclique Ut unum sint.

DCPU = Dicastère pour la Promotion de l'Unité des Chrétiens créé le 5 juin 1960 avec, à sa tête, le Cardinal Béa :
CONSEIL PONTIFICAL POUR LA PROMOTION DE L'UNITÉ DES CHRÉTIENS

Rappelons-nous le 3ème secret de Fatima : ce sera plus clair en 1960.

1960 est, entre autres, l'année de la création du DCPU et, en germe, de l’Église mondialiste ouvrant la voie à l'Antéchrist.

***

16ème mn de la vidéo de Fabienne Guerrero :
Nouveau document signé par le pape François ... la…

L’Église est universelle :
- universelle par transcendance
en raison de la primauté du pape, Vicaire du Christ éternel (α et ω), et gardien infaillible du dépôt révélé ;
- et non pas universelle par extension géographique, mondiale, ou, plus exactement, mondialiste.

La religion mondiale unique en préparation fait le lit de l’Antéchrist.

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47ème mn de la vidéo de Fabienne Guerrero :

À l’issue de la 3ème guerre mondiale, l’Antéchrist arrivera comme pacificateur et instaurateur d’un gouvernement mondial unique : religion mondiale unique, santé mondiale unique, monnaie mondiale unique (puce), éducation mondiale unique, police mondiale unique, etc. Il durera 3 ans ½ avant la venue du Grand Monarque.

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Je laisse cela à votre réflexion pour mettre en garde contre une fausse conception de l'universalité qui rejoindrait une nouvelle conception du pape et, par conséquent, de la constitution de l'Eglise, synodale et oecuméniste.

Ce n'est pas Pierre qui est fondé sur l'Eglise universelle, mondiale tendant au mondialisme.
C'est l'Eglise, de par sa constitution divine, qui est fondée sur Pierre et ses successeurs, dotés de la primauté et de l'infaillibilité rappelées dans les deux constitutions dogmatiques du Concile Vatican I.
Bénédicte LIOGIER

Maxence Hequard - Les origines d'une crise annoncée dans la Sainte Écriture

Cette conférence de Mr Maxence Hecquard est passionnante et j'ai été contente de la réentendre.
La presque totalité de la conférence est irréprochable et vraiment bien menée avec une grande justesse.
Cependant les dernières minutes concernant "la double juridiction des évêques" mériteraient d'être plus étayées et précises. Des citations complètes avec les termes exacts des propos tenus par …More
Cette conférence de Mr Maxence Hecquard est passionnante et j'ai été contente de la réentendre.

La presque totalité de la conférence est irréprochable et vraiment bien menée avec une grande justesse.
Cependant les dernières minutes concernant "la double juridiction des évêques" mériteraient d'être plus étayées et précises. Des citations complètes avec les termes exacts des propos tenus par Dom Adrien Gréa, les Pères du Concile de Trente, Grégoire XVI, les rapporteurs du Concile Vatican I, auteurs auxquels se réfère Mr Hecquard, seraient les bienvenues.

Il ne me paraît pas évident que "l'universalité de juridiction" soit inhérente à la fonction épiscopale et il faudrait préciser de quelle universalité il est question.
Si, dans un vote, chaque voix d'évêque vaut "1", c'est que seule la somme des voix vaut la totalité, et non pas chacune d'entre elles. C'est l'universel horizontal par addition de voix partielles et équivalentes.
Au contraire la voix du pape vaut, à elle seule, la totalité en raison de sa primauté. C'est l'universel vertical : plus quelqu'un est élevé en dignité, plus son rayon d'action est étendu. Le pape qui est au sommet de la hiérarchie a seul autorité sur tous, les brebis et les pasteurs et sur chacun d'eux. Seule la voix du pape est véritablement universelle. Les voix des évêques n'ajoutent rien à sa voix. Sans l'approbation du pape, le vote des évêques ne vaut rien. Sans le pape, les évêques se réuniraient en vain. L'Eglise est hiérarchique.
Il semble qu'il y ait confusion entre deux types d'universalité et qu'on reste dans un discours univoque (universalité par addition de voix égales) inadapté à la réalité de l'Eglise qui est une unité organique (universalité du principe de l'unité dans la diversité, donc de l'ordre) requérant des concepts analogiques : le principe est cause et non pas effet.

Par ailleurs, l'Eglise, me semble-t-il, enseigne que les évêques ne peuvent pas, à proprement parler, être appelés "les successeurs des Apôtres" au sens où ils hériteraient de leur charisme d'inerrance. S'ils sont successeurs des Apôtres, ils le sont sans leurs prérogatives et un abus de langage peut amener à des conclusions fausses.
Cf. dernier § des citations de Satis Cognitum de Léon XIII.

Enfin, peut-on arguer des sacres sans juridiction qu'a faits St Eusèbe de Samosate pendant la crise de l'arianisme alors que Pie XII a, depuis, interdit les sacres sans mandat pontifical malgré l'impossibilité du recours au St Siège sous le communisme chinois ?
Il est très intéressant, comme l'a fait Mr Hecquard, de remarquer que, pour clore le Grand schisme d'Occident, c'est un pape légitime, Grégoire XII, qui, avant sa renonciation, a convoqué le Concile de Constance pour l'élection d'un nouveau pape, Martin V.

Quoi qu'il en soit, Mr Hecquard a le mérite de chercher une solution et qui cherche trouve, avec la grâce de Dieu.

***

Les deux types de juridiction (toujours cum Petro et sub Petro) que peuvent recevoir les évêques sont bien distincts :
· Une juridiction 1/ ordinaire, 2/ limitée au territoire ou à la portion de fidèles que le pape leur assigne et, en tant que telle, 3/ propre dans leur diocèse ;
· Une juridiction 1/ extraordinaire, 2/ étendue à l’Église universelle lorsqu’ils sont convoqués en Concile et, en tant que telle, 3/ participée à l'autorité supérieure du pape.

C'est l'image des astres qui se meuvent par un mouvement propre et sont mus par un mouvement d'attraction venant d'astres supérieurs.
Dans leur diocèse, les évêques se meuvent avec une certaine autonomie ; en Concile, ils sont mus par un plus grand qu'eux, le pape.

L'universalité de la juridiction des évêques est très différente de l'universalité inhérente à la primauté pontificale :
· universalité relative, participée cum Petro et sub Petro, par extension quantitative du territoire ou des sujets de la juridiction des évêques convoqués de façon extraordinaire en concile ;
· universalité absolue du principe, du pape, qui possède la primauté de juridiction de façon ordinaire, quotidienne, propre et immédiate sur tout le troupeau et sur chacune de ses portions, sur tous les pasteurs et sur chacun d’eux.

L'unité de l'Eglise réclame un chef unique.
L'Eglise n'est pas la somme de ses membres mais un corps organisé par son chef qui en est le principe et le fondement. "Tu es Pierre et sur cette Pierre, je bâtirai mon Eglise".

***

Cf. Léon XIII, Satis Cognitum :

C'est pourquoi il faut faire ici une remarque importante. Rien n'a été conféré aux Apôtres indépendamment de Pierre ; plusieurs choses ont été conférées à Pierre isolément et indépendamment des Apôtres. Saint Jean Chrysostome, expliquant les paroles de Jésus-Christ (Jean, XXI, 15), se demande « pourquoi, laissant de côté les autres, le Christ s'adresse à Pierre », et il répond formellement : « C'est qu'il était le principal entre les Apôtres, comme la bouche des autres disciples et le chef du corps apostolique » (Hom. LXXXVIII, in Joan., n. 1). Lui seul, en effet, a été désigné par le Christ comme fondement de l'Eglise. C'est à lui qu'a été donné tout pouvoir de lier et de délier ; à lui seul également a été confié le pouvoir de paître le troupeau. Au contraire, tout ce que les Apôtres ont reçu, en fait de fonctions et d'autorité, ils l'ont reçu conjointement avec Pierre. « Si la divine bonté a voulu que les autres princes de l'Eglise eussent quelque chose de commun avec Pierre, ce qu'elle n'avait pas refusé aux autres, elle ne leur a jamais donné que par lui (S. Leo M., sermo IV, cap. 2). Il a reçu seul beaucoup de choses, mais rien n'a été accordé à qui que ce soit sans sa participation » (Ibid).

Par où l'on voit clairement que les évêques perdraient le droit et le pouvoir de gouverner s'ils se séparaient sciemment de Pierre ou de ses successeurs. Car, par cette séparation, ils s'arrachent eux-mêmes du fondement sur lequel doit reposer tout l'édifice, et ils sont ainsi mis en dehors de l'édifice lui-même ; pour la même raison, ils se trouvent exclus du bercail que gouverne le Pasteur suprême, et bannis du royaume dont les clés ont été données par Dieu à Pierre seul.

Mais ce serait s'éloigner de la vérité, et contredire ouvertement à la constitution divine de l'Eglise, que de prétendre que chacun des évêques pris isolément doit être soumis à la juridiction des Pontifes romains, mais que tous les évêques pris ensemble ne le doivent point. Quelle est en effet toute la raison d'être et la nature du fondement ? C'est de sauvegarder l'unité et la solidité, bien plus encore de l'édifice tout entier que de chacune de ses parties. Et cela est beaucoup plus vrai dans le sujet dons nous parlons, car Jésus-Christ Notre-Seigneur a voulu, par la solidité du fondement de Son Eglise, obtenir ce résultat, que les portes de l'enfer ne puissent prévaloir contre elle. Or, tout le monde convient que cette promesse divine doit s'entendre de l'Eglise universelle et non de ses parties prises isolément, car celles-ci peuvent en réalité être vaincues par l'effort des enfers, et il est arrivé à plusieurs d'entre elles, prises séparément, d'être en effet vaincues.
Bénédicte LIOGIER

Moi, je suis gallican - chapitre d'un livre de Mgr de Ségur (catholique)

Oui, c'est très bien de le rappeler. Tout ce qui est aimé plus que Dieu est une idole.
"Autant que" et "pas plus que" nécessaire au salut (St Ignace), tel est l'ordre des choses et la vraie mesure.
Bénédicte LIOGIER

La falsification, seule arme de ceux qui paniquent

Prouvez-moi que quelqu'un d'autre que le pape définit solennellement des vérités et exerce un magistère ordinaire et universel.
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Par ailleurs, je complète la citation en la resituant dans son contexte entier, notamment au sujet de votre fausse notion de l'universel qui explique vos erreurs :
Transmettre la tradition fait une grossière erreur sur le sens du mot universel qui l'induit à nier …More
Prouvez-moi que quelqu'un d'autre que le pape définit solennellement des vérités et exerce un magistère ordinaire et universel.

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Par ailleurs, je complète la citation en la resituant dans son contexte entier, notamment au sujet de votre fausse notion de l'universel qui explique vos erreurs :

Transmettre la tradition fait une grossière erreur sur le sens du mot universel qui l'induit à nier l'infaillibilité pontificale dans son magistère ordinaire et universel et la primauté pontificale qui lui est connexe. Il nie en plus la constitution divine de l'Eglise qui est hiérarchique et fondée sur Pierre et ses successeurs.
C'est évidemment très grave.

Une addition de membres ne peut pas faire un corps, sans l’âme qui est principe de vie et d’ordre.
L’universalité par addition n’équivaut pas à l’universalité du principe.
La somme des troupeaux des évêques dispersés dans l'univers, ayant chacun autorité sur son propre troupeau et aucune autorité sur d'autres troupeaux et sur les autres pasteurs (aucun évêque n'a un magistère universel), ne fait pas un seul troupeau gouverné par un seul pasteur ayant autorité ordinaire et immédiate sur l'ensemble du troupeau et sur chaque brebis, sur l'ensemble des pasteurs et chacun d'eux.

Dire que le magistère ordinaire pontifical est de soi réduit géographiquement est une grave hérésie.
Cf. la page du Manuel apologétique de Boulanger : Voici le script de notre en vidéo, disponible en PDF.

Les évêques ne sont infaillibles que cum Petro et sub Petro mais Pierre est infaillible sans eux tant dans ses définitions solennelles que dans son magistère ordinaire et universel et cela dans tout le domaine des vérités divinement révélées. C'est Pierre qui affermit ses frères dans la foi, en matière de foi et de moeurs.
Bénédicte LIOGIER

Choisis ton camp - Enquête à Tradiland - Les différents camps se prétendant catholique

Cette vidéo est très bien argumentée et présentée. Bravo.
Permettez-moi cependant un bémol sur la fin.
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Il y a selon moi deux questions distinctes :
celle de la légitimité d'un "pape" hérétique et schismatique, d'une part ;
et celle de la validité et licéité des sacrements de rite traditionnel dans des communautés "ralliées" au sens large : reconnaissance de François comme "pape" légitime …More
Cette vidéo est très bien argumentée et présentée. Bravo.
Permettez-moi cependant un bémol sur la fin.

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Il y a selon moi deux questions distinctes :
celle de la légitimité d'un "pape" hérétique et schismatique, d'une part ;
et celle de la validité et licéité des sacrements de rite traditionnel dans des communautés "ralliées" au sens large : reconnaissance de François comme "pape" légitime de diverses manières (avec des arguments divers) et à divers degrés, d'autre part.

La 1ère est bien argumentée et convaincante.
La 2de en revanche est moins évidente.

***

Compte tenu que les communautés "ralliées" (au sens large) confèrent des sacrements dans le rite traditionnel, à condition que des ministres validement et licitement ordonnés aient l'intention de faire ce que veut l'Eglise et usent de la bonne matière et de la bonne forme, d'une part ;
compte tenu que ces communautés dites "ralliées", à la différence des orthodoxes par exemple, ne sont pas excommuniées, d'autre part ;
compte tenu enfin de l'ignorance quasi invincible de beaucoup de fidèles et même de membres du clergé en raison de faux préjugés inculqués par voie d'autorité durant leur formation au sujet de la doctrine de l'infaillibilité et de la primauté pontificale ; ou en raison d'une duplicité de langage des derniers "papes", brouillant le discernement à leur égard de sorte que la reconnaissance de ces "papes" n'a pas la connotation que leur donne un sédévacantiste,
y a-t-il vraiment difficulté à recevoir ces sacrements ?

***

Le seul danger est au niveau de la doctrine.
Mais, d'une part, il y a d'autres moyens de se former et de rectifier d'éventuelles erreurs doctrinales.
d'autre part, quelles sont les communautés indemnes de toute erreur doctrinale ? Aucune. Même les meilleures se trompent sur tel ou tel point.
Il est bon de combattre les erreurs, de chercher à convaincre ceux qui les professent (votre vidéo très didactique est un excellent outil pour cela) et de fortifier ou d'exhorter ceux qui résistent à la vérité par crainte, par intérêt ou par orgueil (cas du péché contre l'Esprit-Saint), mais on ne peut aller plus loin.

***

Il y a, à mon avis plus de danger pour notre salut à se priver des sacrements et de la grâce qu'ils contiennent que de continuer à les recevoir.
Le prêtre n'agit pas en son nom propre mais in Persona Christi. C'est le Christ qui opère à travers lui.
L'indignité et la malice du ministre ne rendent pas invalides, ni illicites les sacrements. L'offrande pure n'en est pas souillée.
Ceux qui reçoivent les sacrements dans les conditions requises continuent à être purifiés.
Bien sûr, Dieu peut donner des grâces aussi hors des sacrements, mais cela reste exceptionnel et non conforme à ce que Notre Seigneur Jésus-Christ a voulu en instituant l'Eglise. Il faut de toute façon avoir le désir du sacrement et un désir parfait mais c'est très périlleux de le présumer. Est-on sûr par exemple, d'avoir une contrition parfaite et de pouvoir se passer de l'absolution qui supplée à l'imperfection de nos dispositions ?
Par ailleurs, l'erreur du pélagianisme (on se sauve par ses propres forces) a été condamné par l'Eglise.

***

Ceci étant dit, votre adversaire "Transmettre la tradition" vous oppose une série de sophismes très faciles à réfuter. Tout est dit par Léon XIII dans Satis Cognitum. Le pontife romain, et lui seul, est infaillible dans ses définitions solennelles ET dans son magistère ordinaire et universel.

Votre adversaire fait une grossière erreur sur le sens du mot universel qui l'induit à nier l'infaillibilité pontificale dans son magistère ordinaire et universel et la primauté pontificale qui lui est connexe. Il nie en plus la constitution divine de l'Eglise qui est hiérarchique et fondée sur Pierre et ses successeurs.
C'est évidemment très grave.

Une addition de membres ne peut pas faire un corps, sans l’âme qui est principe de vie et d’ordre.
L’universalité par addition n’équivaut pas à l’universalité du principe.
La somme des troupeaux des évêques dispersés dans l'univers, ayant chacun autorité sur son propre troupeau et aucune autorité sur d'autres troupeaux et sur les autres pasteurs (aucun évêque n'a un magistère universel), ne fait pas un seul troupeau gouverné par un seul pasteur ayant autorité ordinaire et immédiate sur l'ensemble du troupeau et sur chaque brebis, sur l'ensemble des pasteurs et chacun d'eux.

Dire que le magistère ordinaire pontifical est de soi réduit géographiquement est une grave hérésie.
Cf. la page du Manuel apologétique de Boulanger : Voici le script de notre en vidéo, disponible en PDF.

Les évêques ne sont infaillibles que cum Petro et sub Petro mais Pierre est infaillible sans eux tant dans ses définitions solennelles que dans son magistère ordinaire et universel et cela dans tout le domaine des vérités divinement révélées. C'est Pierre qui affermit ses frères dans la foi, en matière de foi et de moeurs.
Bénédicte LIOGIER

Homélie du diacre Emmanuel : qu'en pensent les tradis ?

Il est important de rappeler que Dieu nous aime. Et c'est pour cela qu'il est grave de l'offenser.
Si Dieu était un dictateur ou un tyran, il recevrait la monnaie de sa pièce lorsque nous l'offenserions. Mais ce n'est pas le cas et c'est pourquoi il est grave de l'offenser.
Et il est important aussi de se rappeler que Jésus-Christ n'a pas fait semblant de nous aimer puisqu'Il s'est abaissé en se …More
Il est important de rappeler que Dieu nous aime. Et c'est pour cela qu'il est grave de l'offenser.
Si Dieu était un dictateur ou un tyran, il recevrait la monnaie de sa pièce lorsque nous l'offenserions. Mais ce n'est pas le cas et c'est pourquoi il est grave de l'offenser.

Et il est important aussi de se rappeler que Jésus-Christ n'a pas fait semblant de nous aimer puisqu'Il s'est abaissé en se faisant chair, a souffert sa douloureuse Passion et est mort sur la Croix par amour pour nous.
Nous devons rendre amour pour amour, sans faire semblant de l'aimer : Il ne suffit pas de dire Seigneur Seigneur mais il faut faire la Volonté de notre Père céleste, comme Jésus sur la Croix. Il faut honorer son sacrifice par le culte qui lui plaît et par une vie conforme aux exigences de la grâce et de la fin surnaturelle à laquelle il nous appelle.

Il est important enfin de se rappeler que Jésus-Christ n'est pas mort "pour nous sauver d'un rhume de foin". Sa Passion est à la mesure de la gravité de notre péché. Il a payé le prix proportionné à tous et à chacun de nos péchés.
A nous de ne pas rendre vain son sacrifice en prétendant nous sauver sans lui ou par d'autres moyens que ceux qu'il a préparés dans sa sagesse et sa bonté et qu'il met à notre disposition, à savoir tous les moyens de salut dont l'Eglise catholique est la gardienne et la dispensatrice.
Bénédicte LIOGIER

France : Bergoglio commence à persécuter le prochain bon évêque

C'est l'heure de rendre témoignage à la Vérité et d'affermir les âmes dans la Foi catholique.
Bénédicte LIOGIER

Mgr Viganò accuse : "Bergoglio lui-même a commis les mêmes abus sexuels"

Mgr Vigano est la voix qui, comme Jean-Baptiste et contrairement à la voix du serpent antique, crie dans le désert en rappelant qu’il n’est pas permis de manger du fruit interdit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, d’appeler bien ce qui est mal, contraire à l’ordre de Dieu, et réciproquement.
Mc 6,18 : car Jean disait à Hérode : "Il ne t’est pas permis…"
Gn 3,3-5 :
3."…Mais du …More
Mgr Vigano est la voix qui, comme Jean-Baptiste et contrairement à la voix du serpent antique, crie dans le désert en rappelant qu’il n’est pas permis de manger du fruit interdit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, d’appeler bien ce qui est mal, contraire à l’ordre de Dieu, et réciproquement.

Mc 6,18 : car Jean disait à Hérode : "Il ne t’est pas permis…"

Gn 3,3-5 :
3."…Mais du fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne mouriez."
4 Le serpent dit à la femme : "Non, vous ne mourrez point ;
5 mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme Dieu, connaissant le bien et le mal."
Bénédicte LIOGIER

Adrien Abauzit | Abbé Pivert VS Vatican I et Léon XIII

@AveMaria44
Il y a confusion entre Tradition et Magistère
Merci pour cette remarque très pertinente.
Bénédicte LIOGIER

Michel Onfray, le sophiste du siècle - Des origines païennes des Évangiles 8/10 partie 2

Michel Onfray semble avoir été touché par son passage à l'Abbaye des Chanoines réguliers de Lagrasse et semble, sur certains points, presque plus traditionnel que le Père Michel :
Christianisme: Michel Onfray dialogue avec un moine de l’abbaye de Lagrasse
Evidemment, il reste encore du chemin à parcourir avec la grâce de Dieu.
Bénédicte LIOGIER

Adrien Abauzit | Abbé Pivert VS Vatican I et Léon XIII

Merci à Adrien Abauzit pour cette excellente vidéo, très intéressante et qui remet bien les choses au point.
***
Permettez-moi de préciser un point qui pourrait ne pas être clair pour tout le monde.
Citation à 10mn environ :
Le pape est au cœur du magistère ordinaire,
1/ soit qu’il exerce seul le magistère ordinaire, c’est ce qu’on appelle le magistère pontifical, et cela est infaillible. …
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Merci à Adrien Abauzit pour cette excellente vidéo, très intéressante et qui remet bien les choses au point.

***

Permettez-moi de préciser un point qui pourrait ne pas être clair pour tout le monde.

Citation à 10mn environ :

Le pape est au cœur du magistère ordinaire,
1/ soit qu’il exerce seul le magistère ordinaire, c’est ce qu’on appelle le magistère pontifical, et cela est infaillible. Pie XII nous le rappelle dans Humani Generis.
2/ soit qu’il agisse dans le cadre du magistère ordinaire et universel, c’est-à-dire avec les autres évêques. Mais dans ce cadre du magistère ordinaire et universel, les évêques ne sont infaillibles que parce qu’ils sont en communion avec le pape. C’est ce que rappelle Mgr Davanzo, membre de la Députation de la Foi lors du Concile Vatican I.
Le magistère ordinaire est toujours infaillible en matière de foi et de mœurs
.

***

Commentaire :

Le magistère ordinaire du pape est toujours universel, qu’il soit exercé :
1/ par le pape seul (il a autorité sur toute l’Église, pasteurs et brebis)
ou
2/ par le pape et les évêques unis à lui (cum Petro et sub Petro),
les évêques étant :
2a/ soit dispersés, mais recevant chacun leur juridiction du pape
2b/ soit convoqués par le pape en Concile.

Le magistère ordinaire du pape n’a pas besoin des évêques pour être universel.

Aucun évêque n’a une autorité universelle et il est soumis au pape.
Chaque évêque n’a d’autorité ordinaire que sur son troupeau, qu’il exerce en dépendance du pape.

Tous les évêques réunis n’ont pas d’autorité universelle et ils sont soumis au pape.
Tous réunis, ils ont une autorité sur l’ensemble du troupeau, mais par addition, sans mélange des troupeaux, chacun n’ayant d’autorité que sur son propre troupeau, et sans autorité les uns sur les autres. Mais un corps est plus qu’une addition de membres. Le corps épiscopal est soumis à sa tête, le pape.

Seul le pape a une autorité immédiate et indépendante, ordinaire et universelle sur tout le troupeau, l’ensemble des pasteurs et chacun d’eux, l’ensemble des brebis et chacune d’elle. Le pape ne dépend que du Christ dont il est le Vicaire.

Les évêques réunis en Concile, cum Petro et sub Petro, jamais sans lui, participent d’une certaine façon extraordinaire à son autorité universelle.

Le pape seul fait l’unité de l’Église et, en tout premier lieu, l’unité de la Foi.

En somme :
L’autorité des évêques, à la différence de celle du pape n’est jamais à la fois ordinaire et universelle. Leur autorité, tant ordinaire (pouvoir de juridiction) qu’extraordinaire (convocation au Concile), dépend du pape (cum Petro et sub Petro).

***

Satis Cognitum de Léon XIII :

Mais ce serait s'éloigner de la vérité, et contredire ouvertement à la constitution divine de l'Église, que de prétendre que chacun des évêques pris isolément doit être soumis à la juridiction des Pontifes romains, mais que tous les évêques pris ensemble ne le doivent point. Quelle est en effet TOUTE LA RAISON D'ÊTRE ET LA NATURE DU FONDEMENT ? C'EST DE SAUVEGARDER L'UNITÉ ET LA SOLIDITÉ, BIEN PLUS ENCORE DE L'ÉDIFICE TOUT ENTIER QUE DE CHACUNE DE SES PARTIES. Et cela est beaucoup plus vrai dans le sujet dons nous parlons, car Jésus-Christ Notre-Seigneur a voulu, par la solidité du fondement de Son Église, obtenir ce résultat, que les portes de l'enfer ne puissent prévaloir contre elle. Or, tout le monde convient que cette promesse divine doit s'entendre de l'Église universelle et non de ses parties prises isolément, car celles-ci peuvent en réalité être vaincues par l'effort des enfers, et il est arrivé à plusieurs d'entre elles, prises séparément, d'être en effet vaincues.

De plus, celui qui a été mis à la tête du troupeau tout entier doit avoir nécessairement l'autorité, non seulement sur les brebis dispersées, mais sur tout l'ensemble des brebis réunies. Est-ce que par hasard l'ensemble des brebis gouverne et conduit le pasteur ? Les successeurs des Apôtres réunis ensemble seraient-ils le fondement sur lequel le successeur de Pierre devrait s'appuyer pour la solidité ? Celui qui possède les clés du royaume a évidemment droit et autorité, non seulement sur les provinces isolées, mais sur toutes à la fois ; et de même que les évêques, chacun dans son territoire, commandent avec une véritable autorité, non seulement à chaque particulier, mais à la communauté entière, de même les Pontifes romains, dont la juridiction embrasse toute la société chrétienne, ont toutes les parties de cette société, mêmes réunies ensemble, soumises et obéissantes à leur pouvoir. Jésus-Christ Notre-Seigneur, Nous l'avons déjà assez dit, a donné à Pierre et à ses successeurs la charge d'être Ses vicaires et d'exercer perpétuellement dans l'Église le même pouvoir qu'Il a exercé Lui-même durant Sa vie mortelle. Or, dira-t-on que le collège des Apôtres l'emportait en autorité sur son Maître ?

Cette puissance, dont Nous parlons, sur le collège même des évêques, puissance que les Saintes Lettres énoncent si ouvertement, l'Église n'a jamais cessé de la reconnaître et de l'attester. Voici sur ce point les déclarations des Conciles : "Nous lisons que le Pontife romain a jugé les prélats de toutes les Églises ; mais Nous ne lisons point qu'il ait été jugé par qui que ce soit" (Hadrianus II, in Allocutione III ad Synodum Romanam an. 869. Cf. Actionem VII Concilii Constantinopolitani IV). Et la raison de ce fait est indiquée, c'est que "il n'y a point d'autorité supérieure à l'autorité du Siège Apostolique" (Nicolaus in epist. LXXXVI, Ad Michael. Imperat. "Patet profecta Sedis Apostolicæ, cuius auctoritate major non est, judicum a nemine fore retractandum, neque cuiquam de ejus liceat judicare judicio").
Bénédicte LIOGIER

Le tradi conciliaire ! Pro Schneider

Qui est "Saint Timothée" ?
Est-ce simplement une allusion à ce passage de l'épître de St Paul, II Tim 4,2
prêche la parole, insiste à temps et à contretemps, reprends, menace, exhorte, avec une entière patience et toujours en instruisant.
Ce Timothée est-il un ancien membre de la FSSPX ?More
Qui est "Saint Timothée" ?

Est-ce simplement une allusion à ce passage de l'épître de St Paul, II Tim 4,2
prêche la parole, insiste à temps et à contretemps, reprends, menace, exhorte, avec une entière patience et toujours en instruisant.

Ce Timothée est-il un ancien membre de la FSSPX ?
Bénédicte LIOGIER

Pédocriminalité

La vérité sort avec ses ramifications dans le monde civil et religieux, tant mieux.
Bénédicte LIOGIER

L'enfant chéri de François à La Plata démissionne après moins d'un an (Mise à jour)

Bossuet : Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.
Bénédicte LIOGIER

Mauvais Père Mauvais Pape : Réponse à l'abbé Raffray

Merci pour cette excellente vidéo que vous avez publiée, intitulée : Mauvais père, Mauvais pape.
Pourriez-vous nous communiquer le lien vers la 1ère vidéo et les suivantes ?
***
Permettez-moi de vous signaler, vers la 10ème mn, une imprécision de langage, sans incidence d'ailleurs sur le raisonnement.
Il est dit :
Pour extraire l’essence d’une chose, on pose la question qu’est-ce que c’est ?…More
Merci pour cette excellente vidéo que vous avez publiée, intitulée : Mauvais père, Mauvais pape.

Pourriez-vous nous communiquer le lien vers la 1ère vidéo et les suivantes ?

***

Permettez-moi de vous signaler, vers la 10ème mn, une imprécision de langage, sans incidence d'ailleurs sur le raisonnement.

Il est dit :
Pour extraire l’essence d’une chose, on pose la question qu’est-ce que c’est ? Pour aller à l’essence d’une personne, on ne va pas poser la question : qu’est-ce que c’est ? On va poser la question : qui c’est ?

Or :
La personne est définie par St Thomas, qui reprend Boèce, comme une "substance individuelle de nature rationnelle".

L'essence ici, c'est la nature rationnelle, la substance seconde (répond à la question qu'est-ce ? un homme).
Ce n'est pas la substance individuelle, le suppôt, la substance 1ère (répond à la question qui est-ce ? Pierre, Paul, Jacques, Jean...).

La substance 2de (essence) et la substance 1ère (suppôt) sont de l'ordre de la substance, de ce qui demeure dans ce qui est, au contraire de l'accident qui peut changer sans modifier la substance, comme cela est bien expliqué dans la vidéo.

La substance 1ère est le suppôt de toutes les autres déterminations, les dix prédicaments qui lui sont attribués :
1/ la détermination essentielle (substance 2de)
2/ les neuf déterminations accidentelles : qualité (vertus, habitus, couleur, odeur, etc.), quantité (taille, poids, etc.), relations (amis, etc.), action (éduquer, etc.), passion (souffrir), lieu (ville, etc.), temps (âge, etc.), situs (position dans un lieu), habitus (avoir, vêtement).

Comme l'a bien souligné l'auteur de la vidéo, on est dans un langage courant, qui n'a pas la précision du langage philosophique.

***

Philosophiquement, on ne se situe pas au même niveau d'analyse :

- quand on parle de la substance 1ère et de la substance 2de (niveau descriptif des 10 prédicaments d'Aristote)
- ou quand on parle de la substance principe (niveau métaphysique de la découverte du principe et cause propre (immanente) selon la forme, dans l'ordre de la détermination, de ce qui est en tant qu'il est).

- quand on parle de l'essence, distincte de l'esse, une des modalités de l'être en acte.
L'acte, au plan métaphysique, est principe et cause propre selon la fin, selon l’ordre analogique (proportionnel au degré d’être) de l’état d’imperfection à l’état de perfection, de ce qui est en tant qu'il est.
L’être en acte comporte 5 modalités : esse au niveau de la substance, vrai et bien au niveau de l’esprit, opération vitale chez le vivant, mouvement dans l’être mobile)
- ou quand on parle de la nature, qui se subdivise en nature-matière et nature-forme (philosphie de la nature) ou qui est principe d'opérations (philosophie du vivant).
Bénédicte LIOGIER

Mieux vaut en rire qu'en mourir...

Mais finalement ce Monsieur qui ne dit pas la vérité, dit certaines vérités.
Par exemple, il dit que l'Eglise ne peut pas se tromper.
Mais ensuite par un tour de passe passe, il suppose ce qui est à démontrer, à savoir que celui qui occupe le Siège de Pierre est pape.
Puisqu'il est pape, il ne peut pas se tromper !
Or il se trompe et contredit des points essentiels de la foi et de la morale : …More
Mais finalement ce Monsieur qui ne dit pas la vérité, dit certaines vérités.

Par exemple, il dit que l'Eglise ne peut pas se tromper.

Mais ensuite par un tour de passe passe, il suppose ce qui est à démontrer, à savoir que celui qui occupe le Siège de Pierre est pape.
Puisqu'il est pape, il ne peut pas se tromper !

Or il se trompe et contredit des points essentiels de la foi et de la morale : qui est le vrai Dieu ? quel culte faut-il lui rendre ? que faut-il faire pour avoir la vie éternelle ?
Puisqu'il se trompe, il ne peut pas être pape !
Bénédicte LIOGIER

Cardinal Burke : Situation apocalyptique dans l'Église, causée par le clergé

Bien sûr Dieu agit toujours, par ses bienfaits ou par sa colère.
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Louis Veuillot :
"Quand l'insolence de l'homme a obstinément rejeté Dieu, Dieu lui dit enfin : Que ta volonté soit faite ! Et le dernier fléau est lâché. Ce n'est pas la famine, ce n'est pas la peste, ce n'est pas la mort : c'est l'homme. Lorsque l'homme est livré à l'homme, alors on peut dire qu'on connaît la colère de Dieu".More
Bien sûr Dieu agit toujours, par ses bienfaits ou par sa colère.

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Louis Veuillot :
"Quand l'insolence de l'homme a obstinément rejeté Dieu, Dieu lui dit enfin : Que ta volonté soit faite ! Et le dernier fléau est lâché. Ce n'est pas la famine, ce n'est pas la peste, ce n'est pas la mort : c'est l'homme. Lorsque l'homme est livré à l'homme, alors on peut dire qu'on connaît la colère de Dieu".
Bénédicte LIOGIER

Le pape François répète ses bêtises d'Abu-Dhabi

Un "pape" qui n'enseigne pas quel est le vrai Dieu et quel culte il faut lui rendre, est plus inconcevable qu'un cercle carré.
Est-ce une petite erreur que de rendre une adoration à une mauvaise personne pourvu qu'on croit en l'amour ?
La Video du Pape - Le dialogue interreligieux - Janvier 2016 v2
Les époux diront-ils que ce n'est pas grave si l'autre époux se trompe de conjoint pourvu qu'il …More
Un "pape" qui n'enseigne pas quel est le vrai Dieu et quel culte il faut lui rendre, est plus inconcevable qu'un cercle carré.

Est-ce une petite erreur que de rendre une adoration à une mauvaise personne pourvu qu'on croit en l'amour ?
La Video du Pape - Le dialogue interreligieux - Janvier 2016 v2

Les époux diront-ils que ce n'est pas grave si l'autre époux se trompe de conjoint pourvu qu'il croit en l'amour ?

Que ce soit pour goûter à une connaissance interdite, comme au Paradis terrestre, pour participer au culte interdit du veau d'or au pied du Mont Sinaï, ou pour être complice d'une domination mondiale usurpée par Satan, comme au désert de Judée, il faut repousser toute alliance avec le démon qui nous suggère d'être comme Dieu et de l'adorer comme Dieu, et répondre comme Jésus : Vade retro Satana.